Un Amour Non Conventionnel 06

Informations sur Récit
Le retour du Pascal : Une routine se met en place.
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Récit n'a pas de balises

Partie 6 de la série de 19 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 01/19/2021
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Quelques jours avant le retour de Pascal, Beth me remis en cage.

- Pascal sera là dimanche. Je veux que tout soit parfait. Je veux que la maison soit irréprochable. Tu poseras une semaine de congés, comme ça tu seras entièrement dévoué à notre service pendant tout le séjour de Pascal.

- Oui Madame.

- Tu seras nu, revêtu seulement de ta cage, quand il franchira notre porte d'entrée. Tu t'adresseras à lui poliment en l'appelant Monsieur. La semaine qu'il passera avec nous, je serai tout à lui, et toi tu ne seras que notre serviteur. Tu n'auras aucun droit et tu demanderas l'autorisation de parler avant de nous adresser la parole. Est-ce que c'est bien clair?

- Oui Madame.

- Mais tu ne dois jamais oublier l'amour que j'ai pour toi.

- Oui Beth.

- Pendant cette semaine, je serai Madame et non ta Beth.

- Oui Madame.

Je m'appliquais à ma tâche pendant ces quelques jours pour que tout soit parfait. Enfin le dimanche arriva. Beth avait validé mon travail après avoir passé en revue les moindres recoins de la maison. Pascal arriva vers 10h. Comme convenu je l'accueilli nu.

- Bonjour Monsieur. Laissez-moi prendre vos bagages.

Pascal ne dit pas un mot, me regarda des pieds à la tête, souri et dit à Beth :

- Parfait Beth. Je vois que mes suggestions ont été appliquées à la lettre.

- Oui mon bel étalon, lui répondit Beth. Je veux que tu te sentes parfaitement à l'aise sous mon toit. Pierre a ses instructions et obéira à la moindre de tes envies.

- Très bien.

Pascal se tourna vers moi.

- Dépose mes affaires dans la chambre de ta femme.

- Bien Monsieur.

Je pris aussitôt les valises de Pascal. Pendant ce temps, Beth avait enroulé ses bras autour du cou de Pascal et l'embrassait sauvagement.

- Ah tu me manquais tant. J'avais hâte que tu reviennes. Je n'ai pas eu une bonne baise depuis 3 semaines.

Quand je revins, Beth n'avait pas perdu de temps et suçait déjà le manche de son amant. Je ressentis immédiatement une petite douleur, lié à ma cage de chasteté qui m'empêchait de bander. Pascal du s'en rendre compte car il me fit signe de mettre à genoux à ses pieds à coté de Beth.

- Regarde comment elle me suce bien ta salope d'épouse. Tu vois comment elle s'applique? cette chienne était en manque de queue. Déshabille-là.

Ce fut vite fait. Beth n'avait pas grand-chose sur elle et se retrouva en quelques secondes juste revêtue de ses bas et de ses talons aiguilles. Elle s'empala sur la bite de Pascal et jouis immédiatement.

- Lèche ses talons pendant que je la baise bien profondément. Tu vois c'est ça un vrai homme. Tu vois l'expression de sa jouissance sur son visage? Est-ce qu'elle t'as déjà montré ce visage avec toi quand tu essayais de la tringler?

Pascal souleva Beth qui s'agrippa autour de ses hanches, et tout en restant debout, lui ravagea son vagin. Beth hurlait de plaisir. Puis il la mit à quatre pattes sur le canapé et la prit en levrette. Il éjacula puissamment dans Beth.

- Cocu. Tu as du nettoyage en perspective, ricana Pascal.

Je m'empressai de lécher toute la semence qui dégoulinait du vagin de Beth, en grande quantité. Dès que j'eu finis, Beth rejoignit Pascal et l'enlaça en lui chuchotant des mots doux. Les deux tourtereaux agissaient comme si je n'existais pas. Puis Beth se leva, prit le pénis de Pascal en main et l'entraina dans sa chambre. Elle me dit :

- Cocu, viens avec nous. On aura certainement besoin encore de tes services. Je veux que tu vois bien comment Pascal me baise bien. Tiens allonge toi sur le lit, la tête en direction du bord.

Une fois allongé, Beth se positionna pour me présenter son clitoris.

- Lèche-moi pendant que je redonne un peu de vigueur à mon formidable amant.

Beth se remit à sucer avec voracité la bite de Pascal. Son membre redevint dur en quelques secondes. Elle se leva, se repositionna à quatre pattes en direction du mur de la chambre. Dans cette position, j'avais une vue imprenable sur son clitoris. Sans un mot, Pascal la pénétra en levrette avec des coups puissants. Beth haletait. Je voyais les parties génitales de Pascal cogner fort contre celles de Beth. Je dus rester dans cette position pendant un temps qui m'a paru interminable. L'endurance de cet homme était incroyable. Beth fut submergé par de multiples orgasmes avant que Pascal finisse par éjaculer une nouvelle fois sa semence dans le vagin de mon épouse. J'avais compris mon rôle et me mit immédiatement à nettoyer Beth, avalant tout le sperme qui dégoulinait à flot.

Beth se pelotonna alors dans les bras de son amant, et tous les deux s'endormirent rapidement. J'étais sous le choc. Mais Beth semblait radieuse et repue. La satisfaction et le bonheur de ma femme était ce qui était le plus important pour moi. Je sortis de la chambre pour les laisser se reposer.

Une heure plus tard, des bruits en provenance de la chambre m'apprirent que les deux amants étaient réveillés et avaient repris leur activité favorite. Beth m'appela quelques minutes plus tard.

- Cocu. Viens exécuter tes devoirs. Ensuite tu nous prépareras un déjeuner. Toutes ces activités m'ont affamé.

Le reste du dimanche continua de la même façon. Pascal baisa Beth au moins 6 fois dans la journée, et encore une ou deux fois pendant la nuit. La porte de leur chambre étant ouverte, j'étais aux 1ères loges.

Le lendemain matin, Beth et Pascal s'apprêtèrent pour aller sur leur lieu de travail. Beth me donna ses instructions avant de partir.

- Nous rentrerons ce soir vers 20h. Je veux que tu nettoie la chambre, change les draps et lave à la main ma lingerie. Que le diner soit prêt pour notre arrivée. Dis au revoir à ta femme maintenant.

Je m'avançais vers elle pour l'embrasser, content enfin qu'elle m'accorde un peu de tendresse. Je reçu une gifle monumentale.

- Que fais-tu? Je t'ai dit cette semaine que tu n'étais qu'un serviteur. Les baisers sont réservés à mon amant. Met toi à quatre pattes et embrasse mes pieds. C'est comme ça dorénavant que tu me témoigneras ton adoration.

- Ce cocu s'accorde des initiatives intolérables. Tu dois le remettre à sa place Beth, intervint Pascal.

- Ne t'inquiète pas mon chéri. Pierre recevra sa punition ce soir à notre retour pour cette impardonnable initiative.

Je me mis donc à quatre pattes, et commençai à embrasser les chaussures de Beth. Puis, sans un mot et un regard de plus, ils franchirent la porte.

Pourquoi Beth était si cruelle avec moi? Est-ce qu'elle ne m'aimait plus? Elle avait appelé Pascal « mon chéri ». Je restais prostré de longues minutes, pleurant à chaudes larmes. Puis je me repris et entrepris d'exécuter les ordres de Beth. Je ne voulais pas la décevoir. Peut-être que quand elle verra comment ses ordres avaient été bien traités, m'accorderait-elle un baiser tendre pour me remercier? Je ne devais jamais douter de son amour pour moi.

Vers 19h30, Beth m'envoya un SMS.

- Nous sommes en route. Nous serons à la maison dans 20 minutes. J'espère que tout est prêt et que tu t'es acquitté des instructions. Attends-nous à genoux à l'entrée.

Quand ils franchirent la porte, Beth me montra son pied droit. Le message était clair. Je m'empressais de l'embrasser. Puis je fis la même chose avec son pied gauche. Pascal resta en arrière, très attentif, un sourire en coin.

- C'est bien Pierre. Je suis fier de toi. Mais pour que la leçon soit bien apprise, tu n'échapperas pas à ta punition. Va me chercher ta ceinture en cuir et rejoins-moi dans le salon.

Je revins une minute plus tard avec l'objet demandé. Pascal était assis dans un fauteuil et sirotait un whisky. Je tendis à Beth ma ceinture.

- Je vais te donner dix coups de ceinture sur tes fesses. Je veux que tu sois fort et que tu comptes les coups pour moi et que tu me remercie pour chaque coup que je te donnerai.

- Beth...je

- Ne pleure pas Pierre. C'est pour ton bien. Tu dois enregistrer et comprendre ta nouvelle place. Place toi face à la table du salon.

Un 1er coup puissant claqua sur mes fesses.

- UN. Merci Beth.

- Je t'ai dit de m'appeler Madame. On recommence donc.

Beth m'asséna un nouveau coup. Une douleur aigue me terrassa.

- UN. Merci Madame.

Beth prit son temps et m'asséna un nouveau coup. Des larmes s'échappèrent.

- DEUX. Merci Madame.

Beth continua de me claquer les fesses, qui devinrent rouge écarlate. Au dixième coup je m'écroulai mais réussit à dire :

- DIX. Merci Madame.

- C'est bien mon cocu. Je suis fier de toi. Allonge-toi sur le canapé. Je vais te mettre un peu de pommade apaisante.

Beth revint avec la pommade. Je souffrais le martyr et j'étais honteux et humilié devant l'amant de Beth qui n'avait pas perdu une miette de ce drame, tout en sirotant son whisky. Beth appliqua la pommade avec tendresse, et cela me réchauffa le cœur. Beth m'aimait encore puisqu'elle prenait soin de moi.

Le reste de la semaine me parut long. J'eu droit une ou deux fois à de nouvelles punitions du même acabit pour des erreurs dans « mon service » remarqué par Pascal. Beth et Pascal ont copulé comme de vrais lapins devant moi sans aucune gêne pendant toute cette semaine. Enfin le jour du départ de Pascal arriva. Je voyais que cela rendait triste Beth, mais égoïstement j'étais impatient de retrouver mon épouse rien que pour moi.

Au moment de partir, Pascal embrassa tendrement Beth et lui souffla ces mots :

- Merci Beth pour cet agréable et inoubliable séjour. Je reviendrai comme convenu dans 3 semaines. J'espère que ce temps permettra de mettre en place ce que nous avons discuté tous les deux pour la bonne éducation de ton cocu.

- Merci à toi mon chéri. Je me suis sentie une femme comblée avec toi pendant cette semaine, lui répondit affectueusement Beth. Je donnerai les instructions à Pierre. 3 semaines lui laisseront largement le temps pour tout soit prêt pour ton retour.

Pierre partit. Je restais sans voix.

- Pierre. Je veux que tu aménages la petite pièce au sous-sol. Il est pénible de devoir te punir dans le salon. Je veux que cette pièce soit maintenant dévolue à cette tâche.

- Mais?

- Silence. OBEIS. Ton avis ne compte pas. Quand j'aurai à te punir, ce sera dans cette pièce. Je veux que tu la repeignes. Tu y installeras une croix au mur ou tu fixeras des menottes pour tes poignées et tes chevilles. Je veux également que tu y installes une grande cage, capable de contenir un grand animal. Tu changeras le verrou de la porte. Je veux que cette pièce soit sécurisée et tu me donneras les clés. Dans les prochains jours j'irai chiner un grand siège, digne d'une reine comme moi. Tu l'installeras également dans cette pièce. Tu as tes instructions. A toi de jouer.

Je m'attelai à cette tâche dans les semaines qui suivirent pour que tout soit prêt pour le retour de Pascal. Je ne voulais pas encore recevoir de nouvelles punitions.

Je remarquai également que Beth n'avait pas reçu ces autres amants pendant cette période. Quand je lui fis la remarque, elle me répondit :

- Oui. Pascal sera mon unique amant dorénavant. Il me comble pleinement et n'ai plus besoin des autres.

- Je croyais que tu aimais la diversité.

- C'est vrai, mais Pascal les incarne parfaitement. Tu as vu comment il pouvait me faire jouir, dans toutes les positions, dans toutes les situations. Personne n'arrive à sa cheville. Et tu as vu son endurance. Il peut me baiser pendant des heures sans fatiguer.

- Je n'aime pas l'emprise qu'il a sur toi.

- Et bien tu devras t'y accommoder. T'en qu'il voudra de moi je serai sa chienne. Tu n'as pas ton mot à dire.

L'emprise de Pascal sur Beth était de plus en plus forte. Je pensais avoir touché le fonds avec cette nouvelle vie. J'étais loin de me douter que ma déchéance était loin d'être arrivée à terme, et que j'allais tomber encore plus bas.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans
Envie d'être a la place de pierre

J'adore la tournure que prends les choses

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