Tracy se venge de Carmen

BÊTA PUBLIQUE

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Lorsqu'il fut entièrement nu, ils le regardaient tout admiratifs.

Son corps était musclé, et noir comme le charbon, comme sculpté dans du granit.

Sa large poitrine était couverte de tatouages et ses bras étaient plus gros que la plupart des jambes des autres gars.

Sa bite qui pendait entre ses cuisses ressemblait à une grosse bâte de base-ball noire.

Il intima à Carmen de s'allonger sur le dos et de se branler la foufoune.

Comme elle s'exécutait, il se posta juste au-dessus d'elle sa bite encore flacide pointait sur son visage.

Carmen craignait ce qu'il allait lui faire et sa peur s'accrut encore lorsqu'il commença à lui uriner sur le visage

Les spectateurs explosèrent de rire alors que les jets jaunâtres s'écra-saient sur ses nibards et dans sa chevelure.

Larry l'informa que si elle avalait suffisamment de pisse il lui accorderait une pause et qu'il ne l'enculerait pas.

Elle ouvrit la bouche en grand et fit de son mieux pour attraper le plus d'urine possible l'avalant rapidement espérant ainsi éviter l'épreuve de sa bite de mammouth dans son trou du cul endolori.

Ils étaient tous étonnés de le voir pisser comme un mérinos tout autant que par la dose d'urine que Carmen parvenait à absorber.

Comme le flot tarissait, il s'accroupit sur elle et pressa son cul sur son visage lui enjoignant de le titiller de la langue.

Alors qu'elle parcourait sa raie culière de la pointe de la langue de son mieux, il fourra son énorme fût entre ses gros nibards qu'il referma comme un écrin.

Elle pensait qu'il allait les lui arracher tant il tirait fort.

Il maltraitait ses gros nichons de ses larges mains et pinça les tétons si fort qu'elle hurla de douleur.

Vingt minutes plus tard il décida de la baiser si énergiquement qu'elle en tourne de l'œil.

Il s'allongea sur le dos, son énorme bite dressée sur son bas-ventre, et pria Dale et Sam de la lever pour l'empaler sur lui.

Ils lui empoignèrent les bras et les jambes, écartèrent ses cuisses en grand, puis la guidèrent sur son épieu.

Sa chatoune résistait à l'énorme intrusion, aussi Larry lui ouvrit-il la cha-toune de la main pour aider à la pénétration de son étroite chagatte.

Carmen grognait et gémissait de douleur, alors qu'il la pénétrait d'un gland impatient il lui semblait qu'on l'embrochait sur une bâte de base-ball.

Il tendit la main et agrippa ses nibards, l'attirant sur son torse.

Les gars tentèrent de lui faire tortiller du bas ventre tandis que Larry cherchait à l'empaler à fond.

Il se débrouilla pour enfouir plus de la moitié de sa bite dans sa cra-mouille douloureuse, elle lui hurlait d'arrêter, se plaignant qu'il lui déchi-rait la foufoune.

Larry se contenta de rire à pleines gorges, et tira si fort ses nibards qu'elle crut qu'il allait les arracher de son torse.

Les deux gars la lâchèrent et Larry l'embrocha de tout son long alors qu'elle sanglotait le suppliant de l'épargner.

Il lui répondit qu'il allait dévaster sa chatte de façon à ce qu'elle ne sente même plus les petites bites de ses partenaires blancs par lesquels elle aimait se faire baiser dans on université, Carmen se sentait comblée comme une truffe.

Il lui semblait que chaque centimètre de sa chatoune frottait contre la pine de son envahisseur.

Elle était certaine que cette monstruosité ruinait sa cramouille qu'elle dis-tendait dans d'énormes proportions pour qu'elle accueillit au mieux sa monstrueuse mentule.

Tracy souriait ravie à la vue de son ex-amie sans défense se faire dé-foncer par la plus grosse bite qu'elle ait jamais pu contempler.

Elle se tordait et se tortillait pour échapper d'une façon à une autre à ce douloureux viol.

Alors qu'elle était à peine capable de s'accommoder de cet énorme en-vahisseur, il la roula sur le dos se retrouvant sur elle, la clouant à son matelas.

Il empoigna ses cuisses et les referma sur sa bite alors qu'elle le sup-pliait de retirer sa bite de sa chagatte. Carmen le suppliait toujours :

- Oh mon Dieu, je vous en prie... Retirez-vous... J'ai trop mal... Vous le tuez!

Larry lui ordonna de fermer sa gueule, et que sa chatte était le seul office dans lequel il puisse s'enfouir sans trop de dommages, parce qu'elle ne pourrait pas l'absorber dans son arrière-gorge, et que cela lui prendrait toute la nuit pour lui perforer le trou du cul!

Ses cris de douleur ne faisaient que l'encourager à poursuivre, il entreprit de la pistonner énergiquement, sur un rythme de plus en pus soutenu.

Il lui dit alors qu'elle n'était qu'un jouet sans valeur, une petite pute dont ils allaient user et abuser, qu'ils allaient la dégrader de toutes les façons qu'ils le voulaient et qu'elle n'en soufflerait pas un mot à qui que ce soit!

En outre, on a tous visionné ton gang bang de la nuit dernière, de ne te faire sauter que par 4 ou 5 mecs cette nuit doit te sembler une vraie si-nécure.

Elle cri en comprenant que de nombreuses personnes avaient visionné sa prestation de la veille.

Elle savait qu'elle ne révélerait jamais sa mésaventure à qui que ce soit, ceux qui avaient visionné la vidéo ne pouvaient que penser qu'elle n'était qu'une petite salope qui adorait les grosses bites noires.

La bite géante de Larry commençant à agir sur les sens de Carmen, elle respirait difficilement, sa chatoune s'inondait de cyprine, son corps la trahissait.

Elle était sur le point d'être terrassée par un intense orgasme.

Larry lui dit alors qu'il constatait à quel point elle aimait se faire fourrer par son énorme bite, comme toutes les putes qu'il avait déjà sautées.

Il cessa de coulisser en elle demandant à Carmen de lui dire ce qu'elle voulait maintenant.

- je veux que vous me fassiez jouir avec votre énorme épieu... Le supplia-t-elle misérablement

- Dis-moi comme que tu veux que je te remplisse la chatte avec ma semence fertile et que je te colle un polichinelle noir dans le tiroir! Dis-moi que tu n'es qu'une pouffe pour grosses bites noires!

- Mon Dieu non, je ne peux pas...

Il s'immobilisa de nouveau.

- Dis-le moi salope où j'arrête de te baiser... Je sors de ton ventre et j'éjacule sur ton visage!

- Oh je vous en prie... Je suis une petite salope qui adore les gros-ses bites noires! Remplis-moi la chatte de ton foutre! J'ai tant envie de te sentir gicler en moi!

- C'est mieux comme ça... La coupa Larry reprenant ses allées et venues dans sa moule inondée, ses grosses burnes venant frapper ses fesses.

Elle le supplia à nouveau de lui emplir la chatte de foutre! Elle en avait tant envie...

- S'il te plait bourre-moi la chatte, remplis mon ventre de sperme!

Larry grogna et gicla jet après jet profondément dans son utérus.

- Oh mon Dieu, vide-toi les couilles dans ma chatoune accueillante!

Elle succomba au plus intense orgasme qu'elle ait jamais ressenti de sa vie, tandis que Larry projetait un bon bol de foutre dans sa cramouille fertile.

Il extirpa sa bite de sa chatoune avec un "plop" sonore une bonne pinte de foutre jaillit de sa cramouille engorgée.

Il dirigea sa mentule vers son visage et la promena sur ses joues et ses lèvres, elle le lécha au passage, il dit alors :

- Il semble que notre petite pute apprécie maintenant les grosses bi-tes noires!

Alors qu'elle parcourait de léchettes avides sa hampe il se demandait comment la dégrader un peu plus encore!

Il décida alors qu'il leur restait une dernière chose à accomplir en commun pour humilier davantage cette adorable jeune étudiante blanche.

Sur un signe de sa main Dale et Sam s'approchèrent et sortirent leurs bites qu'ils entreprirent de branler vigoureusement. LJ en fit de même.

Quelques minutes plus tard les trois gaillards lui couvraient le visage de foutre, elle en avait partout : dans les cheveux, sur le front, le nez, les joues, les lèvres, la poitrine, jusqu'à son estomac et son pubis.

C'est alors que Larry interrogea Tyler :

- Et toi, quand la baiseras-tu?

- Plus tard... Quand elle aura pris une bonne douche!

Ils rirent tous en chœur.

Larry demanda encore si quelqu'un avait un appareil photo, Tyler lui pas-sa son polaroïd

Il dit alors qu'il voulait garder un souvenir de cette mignonne petite sa-lope pour s'en rappeler à l'avenir!

Larry prit quelques clichés de la jeune fille nue, couverte de foutre, puis ils partirent, Tracy et Tyler la traînèrent alors dans la salle de bain pour la nettoyer des pieds à la tête.

Une fois qu'elle fut bien propre, Tyler la ramena chez lui et la garda pour lui, à son entière disposition le reste de la nuit.

Il la baisa dans ses trois trous, elle le suça et lui lécha le trou deu cul se comportant comme une pute de bas étage.

Il savait que dorénavant elle était différente de la jeune fille prude et ré-servée qui était venue leur rendre visite, il lui proposa de la revoir par la suite.

Elle ne revint jamais et ne revit jamais Tyler et Tracy, et pas un de ses amis ne sut quoi que ce soit de son expérience avec ces noirs possé-dant d'énormes queues.

Texte anonyme trouvé sur le web

Traduction par Coulybaca

9 mai 2008.

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