Thémis et Alcide

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Thémis rend visite à un employé de maison de plaisir.
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Avant sa rencontre avec Astère, Thémis fait la connaissance d'Alcide, un esclave sexuel qu'il voit régulièrement, et qui le satisfait quand il en a besoin. Mais, curieux, Thémis lui demande un jour d'inverser les rôles.

Je me remis en marche, et mes pas me menèrent rapidement à la rue des roses, qui était manifestement devenue une destination habituelle, pour moi. Je longeai les nombreux établissement aux fenêtres desquelles je pouvais observer l'activité croissante au fur et à mesure que la journée se terminait. J'observai les jeunes filles qui se pavanaient parfois dehors, seins nus, ainsi que les hommes qui s'arrêtaient parfois pour leur demander leur prix ; plus rares mais non moins présents étaient les jeunes hommes, ceux-là souvent vêtu d'un simple pagne qui recouvrait leurs parties génitales. Je m'attardai sur eux, mais poursuivi ma route, jusqu'à atteindre l'ours au miel.

L'auberge venait d'ouvrir ; un homme balayait la devanture, et il n'y avait encore presque aucun client. Sans la lumière des torches qui flamboyaient habituellement près de la porte d'entrée, et sans tous les hommes qui se pressaient devant, L'ours au miel paraissait étrangement désolé. Je poussai la porte et pénétrai dans l'auberge sombre.

A l'intérieur, il n'y avait que quelques clients, dont homme, assis au coin de feu, chevauché par une jeune femme aux longs cheveux bruns. J'entendis un grognement de plaisir, et je détournai le regard pour aller m'accouder au bar. Sans l'agitation habituelle, leurs ébats m'apparaissaient presque comme inconvenants, alors que d'ici quelques heures, la pièce serait emplie de corps se chevauchant les uns et les autres.

Un homme vint près de moi et demanda : « Pour boire, ou pour coucher?

-Les deux, répondis-je, et je fus étonné de la facilité avec laquelle j'avais répondu à cette question. Il hocha la tête et dit : « Alcide s'apprête, en haut. Il sera bientôt là, si c'est lui que tu veux.

J'acquiesçai en silence ; manifestement on m'avait reconnu, et on connaissait mes préférences. Je ne savais pas exactement si cette information me rassurait ou non. Je commandai une chope de bière, en attendant, et je bu lentement, en songeant une fois de plus à Astère. Je terminai ma chope et en demandai une seconde ; je la bus plus vite, cette fois, et l'alcool commença à faire son effet sur moi.

« Oh ! Tu es là, mon doux, s'exclama la voix enjouée d'Alcide.

Je me retournai et vit le jeune homme s'avancer vers moi comme un félin sur sa proie ; ses hanches se balançaient légèrement au rythme de sa marche, et j'observai le jeu de la lumière des chandelles sur son corps ferme et souple et sa musculature finement ciselée. Je scrutai son visage encadré de boucle sombre ; ses yeux rieurs me trouvèrent et un sourire étira ses fines lèvres.

Sourire que je lui rendis aisément. « Eh bien? Tu ne peux pas te passer du bel Alcide, n'est-ce pas? » déclara-t-il d'une voix forte. Et il s'approcha de moi et me prit la main, qu'il plaça sur son sexe. Il était déjà dur. « Tu t'es dit que tout cela te manquait?

J'émis un petit rire tandis que je lui caressais doucement la queue. L'ivresse me rendait plus joyeux, et la chaleur de son corps près du mien était délicieuse. Il bascula la tête en arrière pendant que j'enveloppais sa bite chaude de ma main, et, de l'autre, je saisi une pièce d'or dans ma bourse et penchai mon visage près du sien ; il m'observa, puis je levai la pièce d'or et ses lèvres trouvèrent les miennes, tandis qu'il s'emparait de l'argent.

« Montons, alors, offrit-il avec un sourire matois. Je le lâchai et hochai la tête.

Après qu'il eut déposé la pièce d'or dans la main de l'homme de l'autre côté du comptoir, nous prîmes les escaliers jusqu'à l'étage ; là, il me désigna l'une des petites cabines protégées d'un rideau, et je me glissai dedans. J'observai son dos musclé et ses fesses rebondies, tandis qu'il refermait le rideau. Puis il fit volte-face, et son sourire s'élargit lorsqu'il surprit mon regard sur lui. « Tu es moins timide, à présent constata-t-il.

-Je veux que tu me montres comment te donner du plaisir, déclarai-je de but en blanc.

Son sourire s'affaissa légèrement sous l'effet de la surprise, puis il haussa les sourcils. « Mais bien sûr.

-Je ne veux pas que tu fasses semblant ; je veux savoir si ce que je fais te procure du plaisir ou non.

-D'accord, fit-il en reprenant son sourire aimable.

Je m'approchai de lui et l'embrassai avec la tendresse que j'aurais réservée à un amant ; il parut surpris, mais se laissa faire. Je posai à nouveau ma main sur son sexe et me mis à le caresser. « C'est un bon début, souffla-t-il, les yeux mi-clos.

Quand elle fut suffisamment dure, je pris sa queue en main et me mis à aller et venir dessus. « Dis-moi ce qui te fait du bien, murmurai-je à son oreille.

Il baissa la tête entre nous, et sa main se referma sur la mienne ; il me montra le rythme qu'il aimait, puis accéléra un peu, avant de ralentir à nouveau ; je l'imitai et il m'encouragea : « Oui, comme ça. C'est bon, quand tu changes de rythme, mais pas trop souvent non plus ; oui, oui, comme ça, soupira-t-il, tandis que je le besognai. Au début, il me regarda faire, attentif ; il avait probablement l'habitude de se faire toucher ainsi, mais sans doute avait-il aussi l'habitude de devoir retarder son plaisir, et de se soucier avant tout de celui de son client.

Je décidai d'inverser les rôles. Mon attention tout entière se dédia alors a sa bite gonflée de désir ; je la cajolai, guidé par les gémissements de plaisir de son propriétaire ; je la sentais se contracter entre mes mains, j'en éprouvai la dureté entre mes doigts ; j'observai le gland rose et luisant au bout duquel sourdait déjà les sucs du plaisir. « Oui, oh, oui... » les gémissements d'Alcide emplissaient mes oreilles, et me procuraient une autre sorte de volupté. A mesure que je le travaillai, je vis ses yeux se fermer, et sa tête basculer contre le mur derrière lui.

Je prenais plaisir à le voir ainsi ; et plus encore, je prenais plaisir à savoir que j'étais celui qui provoquait ses longs soupirs. J'oubliai tout de mon propre sexe, déjà dur et gonflé. Alcide s'était mis à gémir plus doucement ; il se mordillait la lèvre, et je le vis se pincer les tétons ; cette vision m'enflamma les sens.

Je m'agenouillai lentement et me trouvai face à son sexe ; j'avais déjà fait ce genre de choses auparavant, mais je n'avais jamais su si j'y étais doué ; après tout, Gabriel n'avait été qu'un adolescent inexpérimenté, et l'homme que j'avais rencontré à mon arrivée avait été complètement ivre. Lentement, j'embrassai l'extrémité de la queue d'Alcide, et j'en goûtai le sel ; c'était divin.

« Prends-la dans ta bouche, murmura Alcide. Il avait perdu son ton enjoué, et sa voix était lourde de désir, une lourdeur que je n'avais jamais entendue avant.

Je décidai toutefois de ne pas obtempérer tout de suite et parcouru sa verge dure avec ma langue, comme un homme affamé. Je caressai ses couilles et les soupesai doucement ; puis j'en pris une en bouche, savourant la chair salée, suçant et mordillant gentiment, pendant que ma main lui caressait l'intérieur des cuisses. Alcide se tortilla légèrement, laissant s'échapper de petits gémissement impatients. Je grognai de plaisir ; quelle satisfaction de le voir dans cette position ! Je le torturai encore un peu, en prenant ses deux couilles dans ma bouche, et les suçai avec avidité ; il était si délicieux, et je pris le temps de savourer mon plaisir.

Je le relâchai brusquement, et lui embrassai l'aine ; j'humai le parfum de sa chair, et je léchai la peau jusqu'à ce qu'il laisse s'échapper un petit rire. « Je croyais que tu voulais me faire plaisir ; mais tu me mets à la torture ! s'exclama-t-il d'un air faussement indigné.

Pour toute répondre, je me redressai, puis l'embrassai profondément, ma langue allant trouver la sienne dans sa bouche offerte ; puis je le poussai légèrement jusqu'au petit banc en bois placé au fond de la cabine. « Assieds-toi, ordonnai-je.

Il s'exécuta, un sourire amusé flottant sur ses lèvres entrouvertes.

Je le fis se pencher en arrière et lui écartai les jambes ; sa queue dressée paraissait me supplier de la sucer ; je le contemplai assis face à moi, si beau, si plein de désir ; sa vision me laissa le souffle court. Jamais je n'avais eu un homme aussi beau devant moi, et jamais non plus, je n'avais eu l'occasion de le voir offert de la sorte. Un homme, la bite dressée, prêt à se laisser faire. La pensée m'excitait terriblement.

Je m'agenouillai et pris sa bite en bouche.

Alcide se cambra aussitôt et ses hanches vinrent à ma rencontre pour s'enfoncer plus profondément dans ma gorge ; je l'accueilli aussi loin que je le pouvais. De petits halètements s'échappèrent de sa jolie bouche, et je me retirai presque entièrement ; je léchai le gland rose et luisant, et j'enfonçai le bout de ma langue dans le petit trou qui se trouvait à son extrémité. Je voulais tout explorer de cette délicieuse queue ; je le titillai, le suçai et léchai le gland palpitant de désir. Je rendis hommage à ce sexe, cette queue magnifique, tendue et dure, qui m'avait donné tant de plaisir.

-Mmh, grogna-t-il. « Plus fort, fit-il avec les sourcils froncés, et je m'appliquai à le pomper avec plus de vigueur. « Suce-moi plus fort, répéta-t-il dans un soupir.

Je pris note, et je m'appliquai ; bientôt, ses gémissements m'indiquèrent que je ne devais pas m'y prendre trop mal. « Oui, fit-il et il saisit mes cheveux pour m'obliger à le prendre jusqu'au bout. Je m'efforçai de me détendre, mais ne pus réprimer un léger haut le cœur ; il s'arrêta un moment et me dis « Ça fait toujours ça les premières fois. Même quand on a l'expérience. C'est normal. Quand ça arrive, respire fort et détends-toi.

Je respirai et ma gorge se détendit quelque peu ; je voulais pouvoir le satisfaire entièrement. Il attendit patiemment et je le sentis se glisser très doucement dans ma gorge ; sa grosse queue se fraya lentement un passage, et mon appétit grandit à nouveau ; je voulais l'avoir tout entier, je voulais tout goûter de sa délicieuse verge. J'enfonçai le nez dans la toison bouclée de son pubis, dont je respirai le parfum salé et musqué en grognant de plaisir. Il appuya sur ma tête pour m'obliger à rester bien en place, sa queue étirant ma mâchoire douloureuse, et je ne luttai pas. Il se retira, doucement, puis glissa à nouveau entre mes lèvres ; je sentis la salive couler sur mon menton, et j'ouvris encore plus grand la bouche pour lui montrer à quel point je désirai le sentir en moi. J'étais à présent ivre de désir ; je pouvais sentir cette queue palpiter dans ma bouche, et je ne voulais qu'une chose : la satisfaire.

Je levai les yeux et le vit le regard d'Alcide sur moi ; ses yeux sombres, emplis de désir, m'enflammèrent ; ma main trouva mon sexe, et je me mis à me caresser, pendant qu'il allait et venait dans ma bouche. Je le pompai aussi fort que je le pouvais, pendant que ma langue l'enveloppait complètement ; je me branlai furieusement tout du long. Ses va-et-vient s'accélérèrent, et il se mit à haleter.

-Je vais bientôt jouir, avertit-il, et cette déclaration me fit l'effet d'un feu que l'on allumait entre mes jambes ; je le stimulai encore plus ; je suivis le rythme de ses hanches, et j'entendis ses petits hoquets de plaisir qui annonçaient son orgasme tout proche ; tout à coup, un liquide chaud jaillit dans ma bouche.

« Mmh grognai-je en tâchant d'avaler ce qu'il me donnait ; j'en sentis couler au coin de mes lèvres, mais j'en gardai la plus grande partie en bouche ; je goutai sa semence amère et à la texture laiteuse ; je le bus et la sensation de recevoir son plaisir me poussa à l'avaler ; je voulais m'emplir des fruits de sa jouissance, et je déglutis, fermant les yeux, concentré sur la sensation de ses sucs qui descendaient profondément en moi. Oui, j'étais ivre, ivre de ce délicieux sentiment de plénitude que je ressentis en sentant cette douce liqueur couler dans ma gorge ; jamais je n'avais connu quelque chose d'aussi succulent.

Je levai le visage vers lui ; il était à bout de souffle et me souriait. « C'est délicieux, n'est-ce pas? » je grognai mon assentiment et suçai les dernières gouttes de son nectar.

Je me redressai ensuite pour l'embrasser. Je lui fis gouter sa propre semence, et il ouvrit grand la bouche pour recevoir ma langue.

Tout cela m'avait ouvert l'appétit ; le goût âcre de son foutre sur mon palet continuait de me faire tourner la tête. « J'en veux plus, murmurai-je.

-Plus? Je peux de nouveau être dur dans quelques instant, mais je ne sais pas si j'aurai encore la force de produire quoi que ce soit, fit-il dans un souffle.

-J'en veux encore, le pressai-je à nouveau. L'alcool et le désir s'étaient emparés de moi, et je voulais absolument que notre rencontre se poursuive. « Je te paierai si besoin.

Il eut un petit rire. « Ça me va... » Il se leva, puis se retourna, et je lui embrassai les épaules et le dos ; ma main se glissa entre ses fesses et je le titillai doucement. J'avais envie de lui, envie de sa bite chaude au fond de ma gorge, envie de le sentir encore pomper son foutre salé dans ma bouche. Je le plaquai sans douceur contre le mur et lui écartai les jambes pour mieux atteindre son petit orifice chaud et palpitant. Il gémit, et je passai un bras au travers de son torse ; je l'étreignais, pendant que mon doigt venait l'aiguillonner sans merci. « Ah, ah, ah ! » Il tressaillait, et ses fesses se contractaient, mais je pouvais sentir son anus se détendre sous mes caresses. Je lui mordillai la nuque, les oreilles, « Oui, ouvres-toi pour moi... » Je baissai doucement ma main jusqu'à atteindre son entrejambe et le trouvai encore amolli, mais je m'en fichais ; je saisi sa petite queue flasque et me mis à jouer avec, pendant qu'il gémissait de plus belle.

-Attends, attends ! supplia Alcide à bout de souffle. J'arrêtai mes caresses. « Agenouilles-toi, demanda-t-il dans un murmure par-dessus son épaule.

Je m'exécutai et me trouvai face à ses fesses rebondies ; j'en embrassai une et la mordis, ce qui le fit rire ; je les écartai doucement, me révélant un petit anneau de chair rose et tendre, bordé de poils bouclés sombres. Il me laissa l'observer et je restai bouche bée devant ce spectacle. Jamais je n'avais vu un homme sous cet angle-là, et j'en éprouvai à la fois de la gêne et de l'excitation. Je pouvais le voir se contracter et se dilater doucement, et je restai fasciné et émoustillé.

-Utilise ta langue, m'indiqua Alcide.

Je restai coi un instant ; je n'avais jamais fait ça. Mais après tout...Je me penchai et, du bout de la langue, goûtai le petit orifice, qui se contracta sous mes caresses. C'était amère, mais pas déplaisant. Je le chatouillai, puis m'écartai et j'observai les soubresaut qui l'agitaient. Entre deux gémissements, Alcide ordonna : « Continue. »

Je continuai. Je pressai ma langue contre son anus, et la fis danser de haut en bas ; je poussai, je le caressai, là, jusqu'à sentir les muscles se détendre, et à me frayer un passage en lui. Je m'enfonçai alors aussi loin que je le pouvais, et goûtai à cet endroit si intime, qu'il m'offrait, et je fis onduler ma langue en lui. Un cri de plaisir me répondit, et je répétai l'opération. « Oui, oui, murmura-t-il, le visage contre la paroi en bois.

Je songeai que c'avait été moi, visage contre le mur, lors de notre première rencontre ; je pris plaisir à y repenser, et encore plus à songer que je pouvais à présent lui rendre ce qu'il m'avait donné ; plus que l'alcool, à présent, c'était la satisfaction qui me rendait ivre.

Je le léchai jusqu'à ce qu'un gémissement guttural lui échappe ; alors, ses deux mains trouvèrent ses fesses, et il les écarta à fond pour moi. Je me reculai et admirai son anus détendu, béant, s'offrant à moi. « Tu es magnifique, murmurai-je.

Un petit rire échappa d'Alcide, puis il murmura : « Je veux que tu me prennes avec tes doigts.

Je me levai d'abord et lui embrassai à nouveau les épaules, la nuque, la mâchoire...Puis je glissai deux doigts dans sa bouche, qu'il suça avidement. Sa salive les enduisit rapidement, et je les retirai pour les glisser en lui. Son petit anus était chaud et palpitant ; il accueillit mes doigts sans difficulté.

-Aaah ! » Il se tortilla sous moi, et je ne pus m'empêcher de sourire ; je me mis à aller et venir en lui, et il gémit à nouveau. Je le besognai puis me retirai pour lui demander : « Retourne toi.

Il obéit. Je m'agenouillai à nouveau devant lui et introduisit mes deux doigts ; de l'autre main, je saisi sa queue molle et je la mis en bouche. « Oooh ! fit-il surpris. Oh oui... » Je me mis à le poignarder de mes doigts, à le baiser aussi fort que je le pouvais, pendant que je le suçais. Un hoquet de surprise lui échappa, mais il se mua bien vite en gémissements rauque. J'introduisis un troisième doigt, et je le baisai, ainsi, avec mes doigts et ma bouche.

Bientôt, Je sentis sa queue grossir dans ma bouche et j'émis un grognement approbateur, tandis qu'il ne pouvait retenir un mouvement de va et vient. Le désir me tenaillait, et je me sentis dur et gonflé, entre mes doigt, pendant que je suçais sa queue à présent raide. Ma main se mit à aller et venir sur mon sexe, et mes gémissements se joignirent bientôt à ceux d'Alcide.

-Aah, oui, oui ! Recroquevilles un peu tes doigts, souffla-t-il, oui, oui comme ça !

Sa bouche s'ouvrit et laissa s'échapper un long gémissement rauque, alors que mes doigts le stimulaient en rythme et que ma bouche allait et venait sur sa bite. « Oui, oui, juste là, tu le sens? Oh, oui, c'est si bon !

Je grognai mon approbation. « Continue, continue, supplia-t-il, pendant que je frottai le petit appendice de chair qu'il m'avait désigné en lui. Il saisit mes boucles brunes et une fois de plus, je le laissai faire ; il se mit à me baiser violement la bouche. Mon excitation ne fit que croître, et je me sentis proche de l'extase, là, agenouillé devant lui, comme si c'était moi l'esclave, sa bite m'étouffant presque, ses mains m'obligeant à le satisfaire.

J'étais ravi de l'avoir ainsi pour moi, gémissant, ouvert à moi, sa queue gonflée et dure entre mes lèvres, ses petits cris de plaisir qui emplissaient mes oreilles. J'avais aimé qu'il me prenne, mais plus encore j'aimais sentir son corps chaud et enfiévré trembler à cause de moi. J'aimais le savoir vulnérable et ses soupirs ne firent que m'exciter davantage. « Encore ! oui, là, juste là, » faisait-il en se cambrant, et j'obéissais, bien trop heureux de le satisfaire.

Je lui chatouillai ce petit nœud de plaisir jusqu'à ce qu'il se mette à crier, les cuisses tendues. Alors, je le sentis se contracter autour de mes doigts, et son nectar chaud me remplit la bouche ; cette fois, je pompai furieusement pour tout avaler de ce qu'il m'avait donné. La sensation de sa semence s'écoulant dans ma gorge me submergea de plaisir, et je finis par jouir entre mes doigts.

L'orgasme secoua Alcide si fort qu'il en trembla des pieds à la tête, et je sentis ses doigts se crisper sur ma tête ; je le maintins fermement contre le mur, tandis que les derniers soubresauts le parcouraient, ma bouche toujours refermée sur lui, mes doigts enfoncés aussi profondément que je le pouvais dans son anus dilaté.

Un dernier soupir lui échappa, et je le laissai enfin libre. J'avalai la dernière gorgée de ses sucs, et me redressai. A bout de souffle, il trouva tout de même la force de me taquiner : « As-tu aimé ton apprentissage?

-C'était délicieux, répondis-je sur le même ton, avant que nous n'éclations de rire.

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AnonymousAnonymeil y a 6 mois

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