Tatouage Ch. 03

Informations sur Récit
Il veut tester sa femme.
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00

Partie 3 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/08/2018
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Traduction d'un texte de Evals22.

Ce récit est une fiction qui mélange de la soumission et dégradation féminine. Si vous pensez que cela puisse vous choquer, ne continuez pas à lire.

Avertissement pour mes lecteurs : Malheureusement, je ne me suis rendu compte trop tard que cette histoire n'avait pas de fin. J'ai traduit les sept parties existantes mais vous risquez de rester sur votre faim après les avoir lues.

**********

Il avait atteint l'objectif qu'il s'était fixé. David avait perdu plus de 25 kilos. Il se sentait bien, plus jeune que huit mois auparavant. Il se rendit chez un coiffeur-styliste qui lui fit une coiffure plus moderne et le fit prendre des lentilles de contact à la place de ses lunettes. Bien qu'il n'ait jamais manqué de confiance en lui, il se sentait beaucoup plus assuré et ne craignait plus une séparation éventuelle avec sa femme.

Il était parvenu à la conclusion que, en tenant compte de cette affaire, il appréciait toujours la compagnie et la personnalité de son épouse, mais il ne pouvait permettre une telle rupture de confiance entre eux. Il n'était pas sûr que les rendez-vous annuels avec Franck ne se soient pas faits sous la contrainte. Ou, comme l'avait dit Sam, cet homme avait l'ascendant sur elle. Et comme il était mort, elle ne briserait plus sa confiance. Pourtant, s'il acceptait cela, il savait aussi qu'il lui fallait accepter 23 ans de mensonges dans leur mariage. Alors il hésitait sur quoi faire.

Il décida de tester la résolution de sa femme. Si elle refusait les avances d'un autre homme, David pourrait peut-être accepter le passé et aller de l'avant. Les choses seraient différentes. Il la confronterait avec ce qu'il savait, mais comme Franck était mort, leur mariage pourrait continuer. Certes, ce serait différent car son amour illimité pour elle avait disparu. Mais une certaine amitié et un besoin mutuel pourraient maintenir leur mariage viable. Après tout, les vingt dernières années avaient été bonnes alors qu'il n'était pas au courant des tromperies de sa femme.

David se donna un mois pour trouver le moyen de la tester. Si elle échouait au test, ou s'il changeait d'avis, tout serait fini. Il pensa qu'il serait approprié que la décision se fasse pour leur prochain anniversaire de mariage dans deux mois.

Ce soir-là, quand il rentra chez lui, Lori l'attendait à la porte, vêtue d'une robe de cocktail noire et sexy, qui, bien qu'un peu osée, affichait de manière élégante ses charmes féminins.

- Bonjour! Tu es magnifique. J'ai vu que tu avais atteint ton objectif.

Elle le serra dans ses bras, poussant ses seins contre sa poitrine. Elle lui murmura à l'oreille :

- je suis tellement fière de toi David.

Il la serra contre lui et sentit sa bite durcir. Ses yeux s'illuminèrent et avec un sourire sexy elle ajouta :

- je suppose que je suis à toi pour toute la nuit. Crois-moi, j'attends cela depuis si longtemps.

Elle posa une main sur son entrejambe et caressa sa queue sous le pantalon en ajoutant :

- Je pensais que tu étais fou de te priver de sexe. Mais ça montre à quel point tu peux être déterminé.

David la repoussa doucement et la fixa dans les yeux. Il dit :

- le contrat était que tu ferais tout ce que je veux n'est-ce pas ...

Il fit une pause avant d'ajouter :

- ... Salope?

Son sourire malicieux ne quitta pas son visage alors qu'elle répondit :

- Tout ce que vous voulez, Monsieur.

David se demanda si elle était aussi belle et coopérative lors des visites de Franck. Il lui dit de monter dans la voiture, il avait fait des réservations dans leur restaurant préféré. Si elle fut déçue qu'il ne la baise pas tout de suite, elle ne le montra pas.

Le dîner et les boissons furent excellents. La conversation entre Lori et David fut pleine de sous-entendus sexuels et de promesses à venir plus tard dans la soirée.

Quand ils arrivèrent dans le garage, David attrapa le bras de Lori avant qu'elle ne commence à sortir de la voiture. Il l'attira vers lui. Il l'embrassa brusquement, plus rudement qu'il ne l'avait fait auparavant. Écrasant ses lèvres contre les siennes, il enfonça sa langue dans sa bouche. Elle se laissa faire. Il sentit en elle une énergie et une faim de sexe.

Soudain Il mit fin au baiser et sortit de la voiture. Il s'arrêta à la porte entre la maison et le garage et il attendit qu'elle s'approche.

- A poil, sauf les talons! Ordonna-t-il.

- Je ne peux pas le faire à l'intérieur, il fait froid ici?

- Tu connais les règles de notre accord. Tout ce que je veux. Alors déshabille-toi! Maintenant et ici!

Elle fit la moue, mais lui obéit. Elle commença à se déshabiller. David senti la colère monter en lui. Il savait qu'elle n'aurait jamais remis en cause les ordres de Franck. Sam avait raison, elle ne serait jamais avec lui ce qu'elle était avec Franck. Et la raison était qu'elle aimait David.

Une fois nue, elle saisit la poignée de la porte, mais fut arrêtée par David qui la rapprocha de lui et l'embrassa à nouveau. Encore plus rudement et avec plus de ferveur qu'auparavant. Il la poussa contre la porte et glissa sa main entre ses jambes. Ses doigts touchèrent sa toison bien taillée.

- Je veux que tu sois rasée la prochaine fois. Murmura-t-il à son oreille.

Elle gémit et l'embrassa plus profondément en utilisant sa langue comme une sonde pour fouiller sa bouche.

- Oui Monsieur. Répondit-elle d'une voix à peine audible sans interrompre le contact entre leurs bouches.

David ouvrit les yeux et vit derrière la tête de sa femme le tableau blanc qu'il avait fixé sur la porte des années auparavant. La famille avait pris l'habitude de noter les choses importantes sur ce tableau. C'était le seul endroit où tout le monde pouvait le voir.

David eut une idée alors que le souvenir des photos qu'il avait visionnées à plusieurs reprises au cours des derniers mois remontait à son esprit. Il ferma les yeux et, comme s'il regardait une présentation Powerpoint, les images enracinées dans sa mémoire défilèrent. Il se remémora surtout celles qui montraient le corps de sa femme couvert des graffitis sortis de l'esprit dément de son amant.

Il saisit l'un des feutres attachés au tableau par des velcro. Le bruit du crayon se détachant fit ouvrir les yeux de Lori. Elle vit l'avant-bras de son mari se poser sur son cou pour l'épingler à la porte. David amena le stylo à sa bouche et enleva le capuchon avec ses dents. Lori comprit ce qu'il allait faire mais ne devina pas d'où venait son inspiration.

Elle sentit la pointe du stylo mordre le haut de sa poitrine. Chaque coup de crayon laissait une marque sur sa chair, les traits faisant des lettres comme elle le devina, et les lettres faisant des mots. Quand il eut fini, il remit le capuchon du stylo et il le laissa tomber de sa bouche sur le sol froid en béton.

Il relâcha la pression sur son cou et l'éloigna de la porte. Il ouvrit et entraîna sa femme dans la petite entrée qui menait à la cuisine puis au salon. Il y avait un miroir sur le mur. David, debout derrière sa femme, la poussa vers celui-ci. Puis, par derrière, il attrapa ses seins et les releva. Lori se regarda dans le miroir et sourit. Même si les lettres étaient inversées dans le miroir, elle pouvait aisément déchiffre les mots :

LA SALOPE DE DAVID

- Oui je suis ta salope. Ce soir je serai ta putain, ta salope.

Il poussa sur ses épaules pour la forcer à se mettre à genoux. Elle entendit le bruissement des vêtements derrière elle et elle comprit qu'il enlevait son pantalon. Elle sentit une queue s'appuyer contre l'arrière de sa tête avant qu'il lui dise de se retourner.

Dès qu'elle le fit, il enfonça brusquement sa bite dans sa bouche. Et il attrapa l'arrière de sa tête pour la baiser. Il ne se souciait plus que de son plaisir, qui arriva rapidement. La bouche féminine s'adaptait parfaitement à la queue à chaque poussée. Au moment où il commença à jouir, il se rappela combien de fois elle avait accepté l'éjaculation d'autres hommes.

Elle avala goulûment le sperme. En fait, c'était une épouse aimante qui tendait de satisfaire l'orgasme bien mérité de son mari. Celui-ci tenait son visage contre son entrejambe. Il maintenait la pression même après s'être vidé. Il la sentit téter amoureusement son membre alors qu'il commençait à débander. Elle savait qu'il avait fini. Son mari ne pourrait pas rebander rapidement. « Pas comme Franck aurait pu » pensa-t-elle. Mais ça lui allait. Elle avait encore des années à jouer et des milliers d'orgasmes à partager avec l'homme qu'elle aimait.

Gardant sa queue dans sa bouche, David s'agenouilla, forçant sa femme à s'allonger sur le dos. Il tendit la main vers son sexe et glissa facilement deux doigts dans sa chatte. Pour lui sa colère était évidente. Mais pour Lori, c'était juste son mari qui vivait un fantasme.

- Jouis sur mes doigts salope! Jouis avec ma bite dans la bouche comme la salope que tu es!

Dès que les mots sortirent de sa bouche, David sentit la chatte se contracter sur ses doigts. Elle jouit. Une fois l'orgasme passé, il sortit sa queue et ses doigts des deux trous béants et se leva. Il s'éloigna, la laissant se reposer et se prélasser après leur union.

Le lendemain matin, elle plaisanta à propos de son mari, de son « nouvel étalon ». Elle l'embrassa sur la joue et lui dit qu'elle avait hâte d'être sa salope le mois prochain, à condition qu'il garde la ligne. Puis elle ajouta qu'il fallait qu'elle achète des feutres à base d'eau. Elle ouvrit son peignoir et lui montra le reste des contours des mots qu'il avait écrit sur sa poitrine.

- Je pense que je ne me doucherai pas au gymnase pendant quelques jours.

Elle rit et resta dans l'embrasure de la porte en lui disant au revoir.

En sortant du garage, il regarda son corps nu, sous son peignoir ouvert. Encore une fois, il se demanda si elle avait accueilli Franck habillée de ce même peignoir.

Un conflit était présent dans sa tête. D'un côté, il détestait Lori et ne pouvait expliquer pourquoi il était toujours avec elle. D'un autre côté, il se demandait s'il pouvait continuer à vivre avec elle et continuer l'expérience de sexe brutal comme la nuit dernière pendant des années. La seule chose dont il était sûr, c'est qu'il ne l'aimait plus comme le jour avant l'histoire à l'aéroport.

*****

Une semaine plus tard, David trouva la solution à son problème. Sa secrétaire depuis des années, Mary, demanda à lui parler. David appréciait son opinion et disait souvent qu'elle contribuait largement à son succès. Il croyait au travail d'équipe et en faisait son cheval de bataille.

Après avoir fermé la porte, il leva les yeux vers celle qui avait travaillé avec lui, pas pour lui, au cours des douze dernières années. Elle s'assit et lui dit sans plus de formalités :

- David, nous avons un problème avec le stagiaire travaillant avec nous, Josh ROGERS.

Mary était responsable des stagiaires et leur donnait leur boulot.

David savait de qui elle parlait. L'entreprise embauchait souvent des étudiants en tant que stagiaire pendant l'été. Josh était chez eux depuis un mois. Il lui restait huit semaines à faire. David n'aimait pas particulièrement l'attitude arrogante de petit coq de Josh mais il était passé sur ça. En fait, la seule chose qu'il aimait chez Josh était son habilité au golf. Ils avaient tous les deux joués ensemble à quelques occasion et Josh avait donné à David de bons conseils pour améliorer son jeu.

- Quel est le problème Mary? Demanda David.

- C'est un porc. En quelques semaines, il a harcelé à peu près toutes les femmes de moins de trente ans ici. Je ne parle pas de petits flirts inoffensifs, mais d'un comportement grossier et inacceptable. Je veux qu'il parte. Maintenant.

David n'avait jamais vu sa secrétaire aussi en colère. Et il savait qu'il respecterait son souhait. Mary valait plus que dix stagiaires.

Elle lui expliqua son comportement dominant avec les femmes plus jeunes et ses plaisanteries grossières. Elle lui avait parlé mais en vain. Elle lui décrit un jeune homme n'ayant aucun respect pour les femmes. Elles n'étaient pour lui que des objets de plaisir. Mary était ferme et David savait qu'il était inutile de discuter. Puis une idée lui vint et il décida que ça valait le coup d'essayer.

- Vous savez que je ne tolère aucun comportement de ce genre. Vous savez aussi qu'il nous a été recommandé par l'un de nos plus gros clients. Mary, son père a un certain poids dans notre entreprise.

- Alors, vous vous attendez à ce que je le supporte, avec sa...

Elle s'arrêta quand David continua.

- Bien sûr que non. Mais laissez-moi une chance de gérer cela dans la discrétion. Je vais voir son père et rapporter ce que vous m'avez dit. Il doit savoir quel genre de fils il a. A moins que je me trompe, son père ne tolère pas ce genre de comportement.

Il fit une pause alors que son esprit formulait un plan.

- Et je dois jouer avec ce jeune jeudi au golf. Je lui parlerai de son licenciement. Je crois que ce sera mieux de le faire hors des bureaux.

Mary se leva et sourit :

- Merci David. Je pense que je pourrai le supporter encore deux jours. C'est vraiment un porc. Les femmes ne méritent pas de subir ses abus.

David lui dit qu'il enverrait Josh dans un autre service pour travailler. Mary comprit et lui dit quelles équipes ne comportaient que du personnel masculin. Elle le remercia et quitta le bureau.

Le jeudi, David rencontra Josh au club de golf. Le jeune garçon avait 23 ans et était très athlétique. Il mesurait 1 m85 environ et était beau. David lui dit qu'il avait besoin de lui parler et qu'il avait retardé l'heure du départ sur le parcours de golf. Josh s dit que quelque chose n'allait pas et commença à réfléchir à ses réponses.

En termes clairs, David lui dit que son comportement était inacceptable dans n'importe quel lieu de travail. Qu'il choisisse de traiter les femmes comme de simples objets de plaisir dans sa vie privée était son choix. Mais pas dans le monde du travail. Il venait de faire son dernier jour dans l'entreprise.

- C'est cette salope de Mary, je le sais. Elle a vraiment besoin d'être bien baisé.

- Ecoute jeune homme! N'as-tu pas entendu ce que je viens de dire? Dit David en essayant de contrôler sa colère.

- Ouais, ouais, j'ai déjà entendu ça Monsieur. Je suppose que j'y vais un peu fort mais ces filles aiment être dominées. Je n'ai pas beaucoup de plaintes, croyez-moi. Ecoutez, si mon père l'apprend...

Il fit une pause.

- ... encore une fois, je ne sais pas ce qu'il va faire. Il m'a dit qu'il allait me couper les vivres. S'il vous plaît, laissez-moi une autre chance.

« Eh bien, je vais peut-être pouvoir lui proposer mon offre » se dit David. Il pensa qu'il mettrait sa réputation et peut-être son travail en jeu. Il pensa aussi à sa situation financière et savait que son travail était un plaisir plus qu'une nécessité.

- Il y a peut-être quelque chose que nous pouvons faire Josh. Mais pour le bureau, si vous vous y présentez la sécurité vous mettra dehors.

- Si je rentre comme ça à la maison je vais avoir de gros problèmes. Vous avez dit qu'il y avait peut-être autre chose?

-Je te promets une bonne évaluation, pas parce que tu la mérites, parce que ça ira bien pour ton père et tes futures études.

David fait une pause.

- Et tu gardes ton appartement jusqu'à la fin du stage. De plus, j'intercepterai les critiques de Mary tant que tu resteras loin d'elle et des femmes de la société.

Un regard sceptique apparut sur le visage de Josh. Il n'était pas sûr de ce que David voulait, mais il commençait à penser qu'il pouvait lui imposer.

David vit l'expression sur le visage du garçon. Rapidement il lui expliqua la situation. Il savait que Josh avait rencontré sa femme lors du pique-nique du début de l'été. Il décida de lui parler de tout. Mais il précéda son discours d'une menace. Il nierait si Josh répétait tout à quelqu'un d'autre.

Les années avec Franck, le nom « Vide-Couilles », les années d'université, la malhonnêteté de sa femme, il raconta tout.

Josh écouta tranquillement puis demanda :

- Alors votre femme vous a trompé. Mais qu'est-ce que ça à voir avec moi?

Je veux lui donner une dernière chance. J'ai besoin de savoir si c'était quelque chose qu'elle ne pouvait pas contrôler, une relation de soumise à Franck dont elle ne pouvait pas sortir. Ou si c'est sa nature. Je veux que tu séduises ma femme.

Josh ne put croire ce qu'il disait. Sa femme était une femme mature très sexy. Il n'aurait jamais pensé à cela.

- Fais tout ce qu'il faut, sans force ni chantage. Si elle est une soumise qui a vraiment besoin de ce type de traitement dont je t'ai parlé, elle devrait être facile à séduire. Sinon je la comprendrai peut-être mieux.

David éleva la voix alors Josh comprit le sérieux de l'affaire.

- N'essaie pas de me rouler. Quand ce sera fini, peu importe le résultat. Je parlerai de notre accord à Lori. Tu ne pourras pas me faire du chantage car je ne cacherai pas les choses. Par contre, si tu essaies de me rouler, je ferai en sorte que tu ne trouves aucun travail en entreprise.

Ils s'assirent et David expliqua son plan pour les prochaines semaines à venir. Il montra à Josh certaines des photos prises au fil des années par Franck. David sentait la mentalité de dominant de Josh. Tout comme le plus fort des loups de la meute prend la femelle qu'il veut, Josh prit cette offre comme un défi.

- Eh bien monsieur, c'est un peu étrange. Mais je ne veux pas que mon père apprenne que je me suis fait mettre dehors du stage. Et votre femme est très sexy.

Il tendit la main et poursuivit :

- Affaire conclue. Mais je veux que vous sachiez que je vais faire de mon mieux pour la faire tomber dans mes bras.

- Josh, soyons clairs. Ce que je te demande va à l'encontre de tout ce que je crois dans une relation. Cela étant dit, je dois savoir ce que nos vœux de mariage signifient pour Lori. Si elle te rejette dès le premier jour, je devrais encore faire face à tous ses mensonges de ces dernières années. Je pense sincèrement que je la quitterai. Mais si tu réussis, en suivant les directives dont nous avons discuté, il y a peu de chance qu'elle retrouve ma sympathie.

- Je pense que vous allez avoir une vraie déception, quel que soit la manière dont les choses se passent.

Il sourit.

- Mais je suis toujours prêt à relever un défi.

Ils se serrèrent la main.

En début de week-end, David dit à Lori qu'il avait invité un de ses stagiaires pour un barbecue et nager dans la piscine. Ils devaient jouer au golf le matin et seraient à la maison dans l'après-midi. Lori ne se rappelait pas de Josh et elle demanda à son mari pourquoi il s'intéressait à lui.

- Son père est un gros client. Il a quitté le stage, ce type de travail ne lui plaît tout simplement pas. Son père était en colère et lui a demandé de déménager de l'appartement qu'il lui payait ou de le payer lui-même. Le garçon aimerait passer le reste de l'été dans la région, mais il doit trouver un emploi. Alors je lui ai proposé d'utiliser le cabanon de la piscine, si bien sûr ça te convient après que tu l'auras rencontré.

David sourit et ajouta :

- Et puis ça ne me fera pas de mal qu'il améliore mon jeu au golf.

Lori n'avait pas d'objections au plan de David. Ça sera bien d'avoir un jeune à la maison. Ses deux enfants suivaient des cours d'été, un à Chicago, l'autre en Grèce.

Ce samedi-là, Lori portait un short et un simple chemisier. Ses sandales n'étaient pas loin mais elle marchait pieds nus à la maison. Elle avait attaché ses cheveux en queue de cheval. Elle avait une apparence normale et personne ne pourrait nier sa beauté naturelle ou penserait qu'elle s'était habillée pour impressionner. Elle était allée faire des courses et avait acheté des steaks et des légumes frais. Puis elle avait préparé le repas.

Quand ils arrivèrent, elle serra la main de Josh et se rappela de lui au pique-nique. Elle se souvint qu'il avait détaillé toutes les femmes présentes. Ouvertement, ses yeux la regardèrent de la tête aux pieds, restant plus que nécessaire sur sa poitrine. Elle se sentit mal à l'aise pour la première fois depuis longtemps. Elle pensa à Franck.

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