Tante Jacqueline Chapitre 01

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Elias est obligé d'aller vivre avec sa tante.
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Visite et invitation

Pour Elias sa vie avait changé puisqu'il avait été décidé de changer de domicile et d'habiter dorénavant avec sa tante. Celle-ci vivait dans une petite ville distante de sa maison. Mais les problèmes de sa ville natale, avec sa criminalité et les écoles mal fréquentées avaient motivé ses parents à accepter la proposition de sa tante. En fait celle-ci était plutôt une parente éloignée, une grande-tante, du coté de sa mère.

- Et bien à Donner, il y a des écoles tout à fait convenables, je les connais toutes. Même celles qui sont gérées par des religieux. Je suis certaine qu'elles accepteraient Elias si je leur recommandais le garçon. Si vous le voulez, le peux leur poser la question. Je peux vous garantir de leur sérieux et des bons résultats de leurs élèves.

Elias sentit un frisson lui parcourir le dos. Quoi! Aller habiter dans cette ville de province et avec sa vielle tante, tellement maniérée et bardée de principes anciens. Ce serait l'horreur. C'était inimaginable d'aller vivre là-bas. A chaque séjour chez elle, surtout en l'absence de ses parents, elle devenait autoritaire et directive, intransigeante et sévère. Elle lui avait même baissé les culottes et donné une fessée il y a quelques années, après qu'il ait fait une bêtise. Il en rougissait encore de cette humiliation.

Il regarda son visage ridé et sérieux, puis détourna son attention sur ceux de ses parents qui semblaient captivés, comme si sa proposition faisait sens. Evidement ils ne pouvaient pas comprendre, n'ayant jamais vu le comportement inadéquat de la femme à son égard. Encore cette fois lorsqu'elle était arrivée, elle l'avait serré dans ses bras de manière gênante, pressant sa grosse poitrine contre lui et appuyant une cuisse entre ses jambes, la relevant et lui faisant mal, alors que les autres avaient le dos tourné. Elle lui avait coupé le souffle en heurtant ses testicules. Il rougit encore une fois et reprit le fil de la discussion.

- Mais comment cela se passe, il devrait loger à l'école, ou bien? demanda sa mère intéressée.

- Cela dépend, il y a des écoles et des pensionnats, les deux systèmes sont possibles. Selon les options recherchées, je peux déjà vous donner mon support, et si nécessaire, d'offrir le logement dans ma maison à Elias. Ma maison est grande et il a une chambre toujours prête, dit-elle en souriant chaudement.

La femme mis sa main sur la tête du garçon et lui ébouriffa les cheveux, comme si elle était complice avec lui. Elle le fixa et vit qu'il voulait protester, rejeter sa proposition, ayant attendu sa réaction, elle lui coupa la parole en donnant des détails et avec sa main sous la table, la posa sur l'intérieur de sa cuisse. Ils étaient l'un contre l'autre et la nappe masquait ce qu'elle faisait. Cela lui coupa le souffle et il devint écarlate devant son geste, écarquillant les yeux et s'assurant que personne ne voyait ce qu'elle faisait. Il sentit la main de la femme caresser le haut de sa cuisse lentement. Il ferma sa bouche, ne voulant pas attirer l'attention. Il était tétanisé, la main affectueuse de la femme l'excitait, une chaleur douce insidieuse se propageait de sa cuisse à son entre-jambe et malgré lui son pénis commença à durcir. Son comportement dominateur et possessif l'avait toujours troublé et il avait essayé de se rebeller, ce qui semblait plaire à la femme. Il avait des larmes de rage en la voyant essayer de le dominer à nouveau à ce repas, devant sa famille et sa tentative s'emparer de lui. C'était hors de question, il allait crier et tout dévoiler...repousser sa main chaude...refuser qu'elle décide de son avenir....

Il retint son souffle, espérant qu'elle ne le touche pas, essayant de trouver un moyen de la faire stopper, alors que sa verge s'était durcie entièrement, coincée par le pantalon, s'allongeant injustement sur la cuisse qu'elle caressait. Il ne pouvait pas se lever de table alors qu'ils parlaient de lui, se retournant vers lui fréquemment alors qu'ils débattaient de la question. Il avait perdu le fil de la conversation animée, faisant semblant d'être concentré sur ce qu'ils disaient. Il gémit de honte alors que la main de la femme avait ralentit en touchant le bout de son pénis durcit. Elle restât contre son gland et elle commença à pétrir sa cuisse, massant le bout de son pénis décalotté. il gémit de honte, espérant qu'elle ne le réalise pas et surtout, qu'elle ne l'expose pas à ses parents. Sa verge s'était embrasée et son gland était devenu le centre de son attention alors que la main de la femme le frottait résolument, répétitivement, entêtée. La chaleur envahit son ventre. Il paniqua soudainement en pensant qu'il allait avoir un orgasme devant tout le monde. Cela devait stopper.

- Cette situation ici doit stopper, dit-elle en tapotant sur sa verge durcie, créant la confusion avec les problèmes dans sa ville, n'est-ce pas? demanda-t-elle en le fixant. Elle avait suspendu sa caresse. Tout le monde le regardait. Il savait qu'elle le menaçait avec sa main et qu'elle lui demandait d'approuver

- ..euh....oui...je....pense aussi, s'entendit-il dire pour qu'elle stoppe sa caresse et voulant échapper aux regards.

- Il me semblait aussi que tu le pensais mais que tu étais hésitant face à tes amis, après tout cela fera un changement mais tu retrouveras vite d'autres amis là-bas. En plus dans ces écoles, les élèves sont de bonne fréquentation, dit sa tante.

Cela acheva de convaincre sa mère qui ajouta enthousiaste ;

- C'est parfait alors, Jacqueline, s'il te plait regarde toutes les possibilités pour les écoles, pour qu'on puisse choisir, dit sa mère enchantée

Elias repris sa respiration. La main de la femme était toujours collée à sa verge, menaçante mais immobile, le muselant. Les plans s'échafaudaient rapidement. Il n'était plus dans la discussion. Le trouble sexuel fut progressivement remplacé par un sentiment de révolte. Il voulait crier et terminer ces discussions. Mais son pénis restait douloureusement dur et par moment se spasmait dans la main de la femme. A chaque fois elle le serrait un peu pour lui montrer qu'elle l'avait sentit.

Intrusion dans sa chambre

Aller habiter dans sa ville, et plus encore dans sa maison, était inconcevable. Il renonça à protester, son état et la main de la femme le tétanisait. Il allait devoir explique à ses parents son refus plus tard.

- ...alors c'est important que je me mettes à jour, tu peux me montrer ta chambre....Elias? Elle tapota sa verge et le lâcha.

- ....euh.....oui, répondit-il essayant de comprendre la question, il avait perdu le fil de la conversation.

Ils rirent tous de sa confusion. Sa mère et sa tante se levèrent. Il les imita et fut gêné par son érection, il se tourna un peu, espérant que ça ne soit pas visible. Sa verge était douloureusement tendue et courbée dans l'habit. Il ne put pas se rajuster en voyant sa tante qui le fixait et attendait visiblement qu'il l'emmène voir sa chambre. Il fut soulagé en pouvant s'échapper des regards de tous et aller dans sa chambre.

- Venez, par ici, dit-il en lui tournant le dos et prenant les escaliers. Son visage était rouge de confusion. Il ouvrit sa porte et rentra précipitamment, espérant avoir quelque secondes pour réajuster son pénis. Mais la femme le suivait de près et ferma la porte derrière elle après être rentrée.

Il était debout, n'osant pas lui tourner le dos, sur le coté et attendit. La femme parcourra la pièce lentement. Son regard s'arrêta sur des affaires mal rangées.

- Elias, tu as toujours cette mauvaise habitude, je veux que cela change dès maintenant. Lorsque tu seras chez moi, je ne veux rien voir trainer....elle le fixa plus durement. Range ces habits, dit-elle fermement en pointant le sol.

Il était décontenancé par son ton autoritaire... il était chez lui et il n'était pas question d'aller habiter chez elle. Mais il n'osait pas la contredire, sachant que cela n'allait qu'empirer les choses, en plus son pénis ne lui laissait pas de répit. Il grommela en se penchant pour prendre les habits.

- Comment? je n'ai pas bien compris, dit-elle d'une voix menaçante.

- ...euh...je....oui....bafouilla-t-il en se relevant

- Elias, tu n'as pas déjà tout oublié, tu te mets droit devant moi, les bras le long du corps, tu me regardes et tu me réponds correctement.

Il retrouva ses reflexes, qu'elle lui avait imposés lors de ses séjours à ses vacances, et se redressa et la regarda. Son pénis restait horriblement tendu et douloureux. Il savait qu'il était visible. Il leva son visage et la regarda. Elle lui semblait vieille à présent. Son visage sévère et puissant restait impressionnant et il savait qu'elle avait de la force. Sa poitrine proéminente le troublait toujours, les tétons pointant au travers du pull, son regard inexorablement attiré vers ceux-ci à chaque fois.

- Oui Madame, je vais ranger ma chambre, dit-il poliment. Il se maudit intérieurement, humilié, alors qu'elle restait silencieuse, comme pour juger de son sérieux.

- C'est bien garçon, range donc et présente-toi à moi lorsque c'est finit, dit-elle

Elias travailla rapidement, grimaçant en bougeant alors que sa verge frottait contre son pantalon. Il plia les habits avec soins, sachant ce qu'elle voulait de lui. Elle resta immobile, les jambes écartées, le toisant et suivant ses gestes appliqués.

- Voilà Madame, j'ai terminé.

Il vit la femme parcourir sa chambre, ouvrir les tiroirs de sa commode et fouiller dans ses affaires. Elle poussa des exclamations choquées au fur et à mesure

- Mon dieu....et bien!....tu as tout oublié......on va avoir du travail ensemble, dit-elle finalement sévère. Bon Elias, il est déjà tard. Je veux que tu te mettes en pyjama et que tu ailles te brosser les dents. Je profite pour faire un peu d'ordre ici, dit-elle en pointant le meuble.

- ....mais....je....bafouilla-t-il. Il s'inquiétât car il avait caché des revues pornographiques dans le tiroir du bas et en la parcourant elle allait les trouver sous ses habits. Il rougit violement en imaginant la scène qu'elle ferait en les découvrant. Il voulu lui dire d'arrêter mais il était comme paralysé, elle se comportait comme lorsqu'il habitait chez elle l'été. Lui disant quant se coucher et quand changer de vêtements.

Pourtant depuis déjà quelques années il ne se changeait plus devant elle. En fait, il avait du protester avec énergie une fois, alors qu'elle le lavait entièrement malgré sa pudeur grandissante et le fait que depuis longtemps il le faisait seul à la maison. Elle s'était indignée, lui disant qu'elle avait du temps et qu'il fallait qu'il profite de sa disponibilité, qu'il n'avait pas à se gêner devant elle, ayant l'habitude des garçons et que ceux-ci avaient besoins d'être supervisés de près. Il avait cédé encore cet été, devenant écarlate lorsque la femme savonnait sa verge, le décalottant et passant sa main sur le gland. Sa verge s'engorgeait un peu plus à chaque fois. La femme l'avait remarqué et lui avait dit que c'était normal et qu'il grandissait.

L'été d'après il refusa qu'elle le lave, sachant qu'il aurait une érection et ayant découvert la masturbation, craignant un accident. Ils s'étaient affrontés, elle l'avait menacé d'appeler chez lui, et fait pression, mais il avait tenu bon. Depuis ce jour, elle le laissait seul dans la salle de bains et lorsqu'il changeait ses habits, mais il voyait que la femme était ulcérée et lui en voulait. Elle avait encore essayé avec insistance l'année d'après, le menaçant de différentes manières, mais il avait tenu bon. Là, elle recommençait, montrant qu'elle voulait reprendre le contrôle.

- Elias, tu as entendu? dit-elle plus fermement. Il sortit de sa torpeur. Il sentait son visage rouge et chaud de pudeur. La femme avait progressé et rangeait maintenant ses sous-vêtements, qu'elle plia adroitement. Il décida qu'il devait agir rapidement. Il se retourna vers le lit et sortit son pyjama de dessous les couvertures. Brusquement il retira son tee-shirt, puis son pantalon. Il enleva ses chaussettes en se penchant en avant, tournant le dos à la femme, sa verge tendue était moulée par l'habit. N'ayant plus que sa culotte sur lui il prit le bas du pyjama et l'enfila rapidement. Il profita pour faire glisser son sexe vers le bas, pour le rendre moins visible, il sursauta en entendant la femme lui parler dans son dos.

- Vraiment Elias, tu n'es pas raisonnable, cela n'a aucun sens de garder ta culotte sous le pyjama. Tu fais comme cela maintenant? dit-elle comme surprise alors que le garçon enfilait le haut.

- oui...oui..confirma-t-il ne voulant de toute façon ne pas lui montrer ses fesses. Hors de question, pensa-t-il

- Je ne suis pas d'accord, enlève-moi cette culotte tout de suite, ordonna-t-elle en en se rapprochant de lui, ses yeux lançant des éclairs.

-...je...non...c'est moi qui décide ici, dit-il d'une voix qu'il voulait ferme.

- Elias, ne soit pas puérile, soit tu m'obéis soit je te donne une fessée, dit-elle fermement.

Il la regarda estomaqué, pensant qu'elle bluffait, mais elle semblait sérieuse.

- Bien tu as gagné 15 coups de brosse. Tu peux décider maintenant de m'obéir ou en gagner encore 15.

Il s'agita, inquiet, réfléchissant qu'elle n'aurait pas les moyens d'exécuter sa menace.

- 30, dit-elle en le faisant sursauter. Et pour répondre à tes interrogations c'est une correction que tu recevras en arrivant chez moi, dit-elle en le fixant. Elle le vit pâlir et se trémousser de nervosité

- 45 Elias, c'est beaucoup, et si tu ne m'obéis pas maintenant, je te corrigerais devant Maria, ma femme de chambre.

Il devint écarlate en s'imaginant dans une position humiliante avec les deux femmes le regardant.

- Et je le ferais avec tes culottes baissées, ce qui t'exposera à Maria, et te sachant pudique, ce ne sera pas facile de la laisser voir ton pénis se balancer entre tes cuisses à chaque coup de brosse...

- ...mais...mais......il s'étrangla de honte, les mots de la femme le troublaient et il ne pouvait pas répondre à ce qu'elle lui forçait à imaginer.

Elle le regarda moqueuse perdre ses moyens. Elle le savait excité et jouait avec cela. Il respirait de manière irrégulière et était comme paralysé devant elle. Elle sourit en comprenant qu'elle allait reprendre le contrôle.

- mais...de toute façon je ne viendrais jamais habiter là-bas, fit-il dit-il précipitamment, peu sûr de lui

- Et bien détrompes-toi, ta mère est enthousiaste, crois-moi cela fait plusieurs mois que je prépare tout avec elle, tu était le seul à ne pas le savoir, ce soir c'était simplement pour t'annoncer la nouvelle, dit-elle moqueuse

- non, vous mentez, dit-il murmura-t-il stupéfait

Il resta bouche-bée alors qu'elle lui donnait les détails, lui faisant comprendre que tout avait été décidé. Il était anéanti, mais cela faisant sens maintenant, leurs attitudes envers lui et ce repas inhabituel et surtout l'attitude autoritaire de sa tante. Il sentit des larmes de rage et de désespoir lui mouiller les yeux.

- mais....pourquoi vous faites ça, bredouilla-t-il, pourquoi vous me détestez autant

- Mais non, c'est tout le contraire. J'ai toujours eu de l'affection pour toi, comme si tu étais mon propre fils. Elle se rapprocha de lui et le prit dans ses bras, lui caressant affectueusement la tête et son dos. Il sanglota de plus belle, la tension et l'émotion se relachant. Il enfouilla son visage couvert de larme contre l'épaule de la femme qui le tenait par la tête et le serrait contre elle.

- Là, c'est bien maintenant, ne t'inquiète de rien, je vais t'aider, je suis exprès venue pour toi. Elle saisit sa tête et l'écartat d'elle pour essuyer ses larmes avec les manches de sa chemise, comme lorsqu'il était petit.

- Chut garçon, calme-toi en voyant les larmes continuer à couler. Elle le prit par la tête et le pressa contre elle, cette fois son visage entre ses seins volumineux. La poitrine volumineuse était chaude et douce sur son visage. Il pleurait maintenant mais étrangement cela lui faisait du bien, comme si ses soucis s'effaçaient. Elle le berçait doucement.

- Je vais m'occuper de toi comme quant tu était plus jeune, tu en as besoin, je le sais. Tu vas redevenir le garçon docile et respectueux d'il y a quelque années, que j'appréciait tellement. Tu verras c'est cela qu'il te faut, tu n'es pas encore assez mûr pour décider, tu as besoin que je le fasse pour toi.

La femme l'écartat doucement d'elle et le regarda dans le yeux alors que ses mains descendaient de ses épaules sur ses hanches. Il était comme hypnotisé et paralysé alors que les mains de la femme poussaient son pyjama sur ses cuisses.

- ...non....souffla-t-il faiblement

- Si garçon, tu sais que j'ai raison, et tu sais aussi que tu dois m'obéir. Elle le fixait inflexible alors que l'habit tombait à ses pieds. Il était hypnotisé par son regard alors que la femme se baissait devant lui, le tenant fermement par les hanches. Il la vit se mettre à genoux à ses pieds. Alarmé il sentit les mains glisser sous l'élastique de la culotte et la tirer.

- ..non....souffla-t-il encore, mais resta incapable de l'empêcher. Il regarda sa culotte. L'habit dévoila son pubis, puis le haut de son pénis, puis le pénis se libéra d'un coup. La femme stoppa son geste, fixant sa virilité finalement ramollie

- Tu vois, ça va mieux maintenant que tu ne luttes plus contre ma volonté, que tu acceptes, tu es détendu. Ton corps suit ton état mental. Elle le fit retirer sa culotte, le laissant nu depuis la taille.

- C'est comme cela que je veux que tu sois, lorsque tu habites chez moi, soumis à ma volonté. Son visage était à quelques centimètres de sa virilité et il sentait son souffle chaud. Elle détaillait son pénis qui s'était bien développé, allongé et épaissi. Ses testicules étaient volumineux et moulés par le scrotum. Elle réprima un sourire en voyant sa verge se tendre à nouveau.

- Tu ne pourras rien me cacher, je sais ce qui se passe dans ta tête, comme maintenant, je vois que tu résistes à te soumettre à moi, et tu te tends.

Il essaya de se dérober mais elle le tenait fermement et il était coincé par le lit qui appuyait contre ses mollets.

- Reste immobile, je veux te voir quant tu es complètement bandé.

Il sanglota alors que sa verge se dressait, impudique devant le visage de la femme. Elle l'examinait alors que le gland s'était découvert, violacé et tendu. Le membre pulsait lentement et parfois se spasmait, faisant gonfler les veines.

Elle sourit en constant sa victoire totale. Le garçon ne pouvait plus rien faire, elle avait pris le contrôle.

- Tu as grandis comme je l'espérais. Je voulais m'en assurer. C'est que je n'ai pas eu l'occasion de te voir nu depuis deux ans. A partir de maintenant ça va changer, je vais m'occuper de toi comme avant, que tu le veuilles ou non, dit-elle

Elle lui passa le bas du pyjama rapidement, recouvrant sa verge durcie et se releva.

- Chez moi, je n'accepterais que tu ais une érection seulement quant je te le dis, dit-elle en pointant sa main sur son entre-jambe. Et je veux que tu restes mou dans mes mains lorsque je te lave. Je ne veux pas d'un garçon qui a des érections à tout moment. Je ne veux pas que tu embarrasses ma femme de ménage ou bien mes amies lorsqu'elles te voient nu.

Il vit la femme se retourner et ouvrir la porte de sa chambre. Elle sortit et tenant la porte dans sa main le regarda.

- Essaye de te détendre un peu ici avant de venir nous souhaiter bonne nuit en bas, ce serait pas correct, dit-elle en riant et en pointant sa virilité qui tendait l'habit.

Il pleurait de rage et de honte alors que la femme quittait sa chambre en laissant la porte grande ouverte. Il savait qu'elle faisait cela pour l'humilier, le rabaisser et l'obliger à se taire. Elle voulait reprendre le contrôle malgré les années et sa résistance et était prête à tout pour le faire. Elle l'avait muselé et menacé puis dans sa chambre à nouveau. Elle avait ri en voyant qu'il était impuissant à lui tenir tête, malgré les années et ce qu'il pensait avoir gagné lors de leur précédentes confrontions. Elle voulait revenir en arrière lorsqu'elle décidait tout pour lui et faisait intrusion constamment dans son intimité. Elle voulait le laver comme dans le passé, réveillant son indignation et le trouble qui l'emparait les dernières fois qu'elle le manipulait longuement. Il avait fantasmé sur ces moments, rendant les séances de plus en plus difficiles. Même bien après, le souvenir du regard et de la main de la femme sur son corps nu l'avait stimulé et servit de fantasme pour se masturber. Souvent il avait imaginé la femme le forçant à faire des choses alors qu'il se branlait, le rendant encore plus honteux lorsqu'elle revenait à la charge. Il savait que la femme avait comprit son ambivalence et en profitait pour le soumettre à elle.

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