Stupeur et Abattement 02

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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 11/12/2020
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Rainett
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«Hé! Viens là, et regarde-moi ces deux-là!»

«Quoi?»

«En face. Regarde. Sur le balcon de l'hôtel. Tu vois?»

«Le balcon, quel balcon? Il y en a des dizaines.»

Il a pointé son doigt.

«Celui-là ... Là-bas. La femme est nue, debout, là-bas.»

«Oh merde. T'as raison. Elle est nue, cette salope. Mais pas que. Elle est blanche et le gars est noir. On voit pas ça tous les jours. Tu crois qu'ils sont mariés?»

"Probablement, mais pas ensemble."

"C'est sensationnel d'être en face d'un grand hôtel, on peut voir plein de trucs bizarres, le plus souvent la nuit. Je n'avais jamais rien vu de semblable dans la journée. Seulement la nuit, si on travaille tard. Après la tombée de la nuit, on peut voir de ces trucs, vraiment vicieux.»

«Sans blague?»

«Sans blague!»

Les deux employés, dans le grand immeuble de bureaux du centre-ville en face de l'hôtel, étaient habitués à voir des scènes parfois inconvenantes dans les étages supérieurs, mais jamais dans la journée. Une femme blanche, entièrement nue, debout sur le balcon surplombant la ville, avec son amant noir élégamment habillé à côté d'elle.

Bien sûr, des gens louaient des chambres, pour des unions furtives, le midi, mais à huis clos, et rideaux tirés. Parfois, restant pour des heures supplémentaires tard dans la soirée, les employés de bureau, de l'autre côté de la rue, ont vu des spectacles assez torrides, des accouplements sauvages, mais les amoureux illégitimes s'enregistraient généralement dans un hôtel pour la discrétion, pas pour la notoriété publique.

Le mot s'est répandu à travers tout l'étage, les employés se sont approchés des fenêtres donnant sur l'hôtel, en face. Certains filmaient le couple pour mettre leurs vidéos en ligne. D'autres bâtiments offraient une assez bonne vue sur la façade de l'hôtel, mais trop loin pour qu'aucun des employés n'ait remarqué quoi que ce soit. Sans jumelles, il était difficile de voir les détails, et peu d'employés disposaient de télescopes ou de jumelles. Ils étaient payés pour travailler, et non pour étudier les bâtiments, à la recherche d'un comportement scandaleux pendant la journée.

Les deux amants, dans leur confortable chambre d'hôtel, l'homme noir vêtu d'un costume complet, et la femme blanche, seulement vêtue de ses talons hauts et de ses bijoux, se tenaient, seuls au monde, inconscients du remue-ménage et des courses des voyeurs sur plusieurs étages dans le bâtiment d'en face.

Le mari de cette femme blanche travaillait dans un bureau, à un pâté de maisons de là. Le balcon sur lequel sa femme blanche se tenait, nue avec son amant noir, était clairement visible depuis de la fenêtre de son bureau, mais il ne la voyait pas car, assis à son bureau, il tournait le dos à la fenêtre. Le balcon était suffisamment éloigné pour que personne, dans son immeuble, ne remarque le couple sur le balcon situé à un pâté de maisons.

Il lui aurait fallu de puissantes jumelles, ou un télescope, pour les reconnaître. Ce n'est qu'ainsi équipé, qu'il aurait pu reconnaître son patron, dans l'homme noir en costume, qui avait dit à sa secrétaire qu'il était s'absentait du bureau.

Le patron noir, sur le balcon de l'hôtel, a-t-il réalisé qu'il était visible du mari et de tous ses employés? Peut-être pas. Si cela avait été le cas, probablement qu'il auraient demandé une chambre de l'autre côté du bâtiment. Trop tard.

Debout sur le balcon, avec seulement le bruit de la circulation en dessous, le couple se tenait enlacé, inconscient du monde extérieur, et des émotions qu'il procurait aux employés de l'immeuble d'en face.

«Tu vois ce bâtiment là-bas?» demanda l'homme noir à la femme blanche qui se tenait penchée sur la balustrade.

«Oui. Il a un air familier.»

«C'est là que ton cocu de mari travaille, bébé!»

«Ah ... Peut-il nous voir? De là?» demanda-t-elle d'un ton neutre.

«Pas sans jumelles.»

«J'adore cet hôtel, mais sa proximité me rend un peu nerveuse. Tu ne pourrais pas l'envoyer en déplacement, les jours où nous nous rencontrons, afin que nous puissions venir ici sans craindre de faire une mauvaise rencontre?»

«En déplacement? Hors de la ville? J'espère l'envoyer hors du pays, ou en enfer!»

«Hors du pays? Ce serait possible?»

«Avec l'aide du Seigneur, tout est possible!» lui assura avec confiance son amant noir.

«Le Seigneur? Qu'est-ce que le Seigneur a à voir là-dedans?»

«Rien! C'est juste un proverbe que ma grand-mère utilisait tout le temps.»

« ...!? »

«Elle était très religieuse. Elle citait le Seigneur souvent ...»

«Et tu y crois?»

Il haussa les épaules : «Je ne sais pas. Il y a quelques années, un noir et une blanche auraient été lynché pour avoir fait ce que nous faisons. Maintenant, je suis le patron de ton cocu de mari, et je baise sa femme pendant qu'il travaille à un pâté de maisons. Il travaille pour moi, et je baise sa femme.»

«Et tu penses que le Seigneur y est pour quelque chose?»

Il a souri : «Quelle importance? Tu es ici, dans mes bras, et je m'apprête à l'envoyer à l'autre bout du monde, pour pouvoir passer autant de temps que je le souhaite avec toi.»

«Mon chéri» ronronnait-elle dans ses bras. «Tout cela me semble parfait... Et tu me tiendrais compagnie tout le temps, pendant que mon imbécile de mari serait absent?»

«Nous pourrons baiser toutes les nuits et tous les jours, lorsqu'il sera hors du pays, nous pouvons baiser sans craindre qu'il se retourne et qu'il regarde par la fenêtre.»

«Je m'en fiche qu'il nous voit. Vraiment, je m'en contrefiche! Et toi? Es-tu inquiet qu'il nous voit?»

Elle baissa les yeux puis haussa les épaules : «Je suppose que non!»

«Il finira bien par connaître la vérité, quand tu le quitteras!»

Elle restait silencieuse, mal à l'aise. Quelque chose la dérangeait. Il essayait de comprendre.

«Qu'est qui t'ennuie? Pourquoi ce regard sombre? Tu ne l'aimes plus. Tu n'as pas besoin de rester plus longtemps avec lui. Tu dois savoir ...»

«Bien sûr, bien sûr. Je pourrais ... mais jamais je ne pourrais supporter que la même chose nous arrive. Pas après ce que tu m'as fait connaître ... Je ne pourrais même pas imaginer un monde sans toi. Je suis née le jour où je t'ai rencontré!»

Elle s'est jetée dans ses bras. Sur le balcon, en plein jour, entièrement nue, elle s'est offerte, dans les bras de son amant noir. Il l'a embrassé. Un long baiser passionné et profond.

Un frisson parcourut les voyeurs dans le bâtiment d'en face. Certains bandaient en les regardant. Les objectifs des téléphones portables filmaient la salope blanche dans les bras de l'homme noir.

«Oh mon chéri! Être nue, dans tes bras, exposée à la vue de toute la ville. Être nue, devant mon mari qui pourrait nous surprendre. Cela m'excite et m'enivre! Je me sens libre dans tes bras. Je suis à toi, toute à toi!»

Haletante, désirable, blottie dans les bras de son amant noir, elle quémandait, impudique et amoureuse ...

«Tu es si grand, si puissant, et si beau dans ton costume d'homme d'affaires ... le symbole de l'autorité. Je suis si nue à côté de toi ... C'est comme ... Je t'appartiens ... Tu es le seigneur ... Je suis ta servante. C'est tellement excitant. Je sais, c'est inégal. Mais ta puissance me submerge, m'asservit ... c'est naturel. Nous sommes des mammifères et, dans la nature, la femelle choisit toujours le mâle le plus puissant du troupeau pour être fécondée. J'ai trouvé mon mâle alpha, celui qui m'a dévergondée et détournée de mon petit mari blanc si misérable.»

Tout lui semblait si naturel. Dans l'ordre des choses. Si naturel qu'un homme noir puissamment membré comme lui puisse chasser de son cœur le petit mari blanc, si faible, impuissant à reconquérir sa femme volage.

Elle a continué : «Les gens mariés ... Comme c'est bizarre ... Devoir se cacher ... Cacher son bonheur, d'être blottie dans les bras de la personne que vous chérissez, celle qui vous procure le plus de bonheur. Vous devez cacher cela, comme un voleur. Et vous êtes libre, dans votre agonie, votre douleur, votre misère d'être dans un mariage terne, sans amour, sans sexe, qui vous étouffe, vous tue petit à petit. Vous pouvez montrer votre échec au monde entier. Vous pouvez proclamer votre misère au monde, mais pas votre bonheur. Vous devez cacher votre bonheur.»

«Je peux aller n'importe où avec mon mari. Mais toi, mon amant, l'homme qui m'a révélée, celui qui me donne le plus de bonheur, plus que je n'en avais jamais rêvé, je dois te cacher. L'homme que j'aime doit être caché, et ma misère et ma douleur avec mon mari sont montrées au monde entier.»

«C'est pourquoi je suis si heureuse, d'être ici, comme ça, avec toi. Pendant un bref instant, nue dans tes bras, debout sur ce balcon devant toute la ville, je montre à tous que je n'ai rien à cacher.»

Elle continuait, intarissable : «Tu te souviens de la fête de Noël, au bureau?»

«Bien sur, ma chérie.»

«La première fois que nos yeux se sont rencontrés, j'étais à côté de mon mari, tu étais à l'autre bout de la pièce, et ton regard brûlant m'hypnotisait ...»

«Je me souviens ...»

«J'ai deviné, à ce moment-là. Instinctivement. Je savais que tu me voulais, et j'ai compris. Immédiatement. Nos regards étaient rivés ensemble. Je respirais fortement. C'est là que j'ai su. Je voulais que tu me baises!»

«Immédiatement?»

«Oh, oui! Tu sais, je l'aurais fait. Je le désirais tant. Mais il se tenait là, à côté de moi. Mon mari. Ton employé. J'avais face à moi le mâle alpha, l'homme le plus puissant dans cette pièce, tu me désirais, je te désirais. Mais j'avais à côté de moi ton employé, mon mari, le type le plus faible, devant toute cette assemblée, et j'ai dû faire semblant, masquer mes sentiments, jouer la comédie de la femme fidèle, alors que j'en crevais d'envie ...»

Elle s'échauffait, s'excitait en se remémorant.

«C'était si évident pour nous, notre désir l'un pour l'autre ... mais invisible pour lui? Comment cela a-t-il été possible?»

«Et puis tu t'es approché et tu lui as parlé, et il nous a présentés.»

«Tu étais là, juste devant moi. Assez proche pour me toucher. Mon cœur battait la chamade. Ma chatte me picotait, mes tétons durcissaient, je te désirais tellement. Je devais rester là, comme une idiote, les bras ballants ... et vous discutiez tous les deux. De choses qui n'avaient aucun intérêt pour moi. Ensuite, tu t'es tourné vers moi, et tu m'as débité des banalités. Je m'enflammais, je brûlais de désir pour toi. Tu aurais me prendre et m'emporter!»

«Vraiment?»

«Oui, vraiment. Nous avons échangé d'autres regards ce soir-là, de loin. J'étais excitée et terrifiée. Terrifiée à l'idée que mon mari découvre ce que je pensais.»

Il a souri : «Vraiment? A quoi pensais-tu?»

Elle prit une inspiration. Elle revivait la soirée. Nue sur le balcon, en plein jour, lui dans son costume, beau comme un dieu de l'enfer, elle debout tout contre lui. Le séduisant, le captivant, pour qu'il sorte sa bite et lui permette ... lui remémorant leur rencontre, des mois auparavant.

«À ce moment là? Et ensuite?»

«Ouais. Ensuite. Je voulais que tu me baises. Ouais, Dieu me pardonne, mais debout, à côté de mon mari ... je voulais que tu me baises!»

C'était à lui de respirer difficilement, alors qu'elle s'accroupissait en sortant sa bite en train de se dresser. Un frisson traversa la foule d'employés de bureau qui regardaient de l'autre côté de la rue. Bien sûr, ils ne comprenaient pas tout, mais ils pouvaient la voir s'abaisser pour sucer sa bite.

Elle a sucé sa bite, langoureusement, savoureusement. De temps en temps, elle s'arrêtait, et les souvenirs affluaient :

«Je suis resté éveillée toute la nuit. Je pensais à toi. Si beau, si fort. Je devenais folle de désir pour toi. Couchée à côté de mon mari endormi. De ce poids mort qui m'encombrait. J'étais réveillée, et je regardais le plafond. Regardant l'obscurité. Pensant à toi. Revivant la soirée, ton regard, ta démarche quand tu t'es approché de moi. Comment ma chatte se gonflait, s'humifiait, pendant que tu me serrais la main. Ah, le contact de ta main!»

Elle reprenait son ouvrage, suçant la bite noire avec plus d'énergie, l'avalant toute, s'étouffant, et se retirant, les yeux pleins de larmes. Excitée et ravie, salope et soumise.

«Je suis resté éveillée, m'imaginant marchant vers toi, dégrafant ton pantalon et suçant ta bite ... juste devant eux. Pas en cachette. Pas de dérobade dans un bureau vide, en espérant que nous ne serions pas vus. Le faire devant eux.»

«Ma chatte me démangeait en pensant à toi! Je me suis masturbée dans le noir, avec mon mari qui dormait à côté de moi. Je me suis masturbée en pensant à toi, à mon désir de sucer ta bite devant le monde entier ... pour leur dire merde à tous, à la société, à ce monde d'hypocrisie et de faux-semblants.»

Elle le suçait en riant intérieurement.

«Imagine un peu ça. Tout le monde a les yeux rivés sur nous, chacun d'entre eux regarde ma tête monter et descendre sur ta bite ... une femme blanche avec un homme noir ... tout en restant stoïque, donner l'illusion que rien d'inhabituel ne se produit. Faire semblant de ne rien voir, discuter de banalités en jetant un coup d'œil discret, de temps en temps. Tous sont excités par ce que je te fais, même si dans leur petit esprit c'est inapproprié. Tout le monde nous voit et personne n'a le cran de nous interpeller. Ce n'est qu'après coup, après que nous aurons fini, qu'ils commenterons, qu'ils parleront du truc le plus choquant qu'ils n'aient jamais vu, dans leur pathétique petite vie de merde.»

«Oh, putain, bébé, suce-moi bien à fond!» dit-il, respirant de plus en plus fortement. Sa passion était contagieuse.

Les voyeurs dans le bâtiment d'en face la regardaient en silence, en retenant une respiration lourde, le cœur battant, alors qu'elle s'acharnait passionnément. C'était comme regarder un film porno muet, mais les spectateurs ne parvenaient pas à détourner leurs regards. C'était une scène d'un érotisme torride qui se déroulait devant leurs yeux incrédules. Une femme blanche, nue, sur un balcon, exposée aux regards, s'humiliant ainsi, devant son amant noir tout habillé. Quelques appréciations fusaient :

«C'est une professionnelle. C'est une pute. Aucune femme n'accepterait de s'humilier ainsi. Il doit la payer, et drôlement cher, pour qu'elle accepte de lui faire ça!»

Bien plus qu'une femme blanche nue sur un balcon, c'était un grand drame humain qui se déroulait sous leurs yeux. Les sonneries de téléphones sans réponse s'impatientaient derrière eux. Tout le monde dans ce bureau savait qu'à un moment donné, le couple retournerait dans la chambre et baiserait. Quelques gars priaient silencieusement pour qu'il la baise sur le balcon, mais c'était probablement trop demander.

Elle secouait la tête énergiquement. Grâce à cette posture de salope soumise, elle voulait l'asservir. Rendre cet homme si puissant, complètement fou d'elle. Qu'il ne puisse plus l'arracher de son cœur pour aller fricoter avec une autre. Elle pouvait lui faire des choses qu'aucune femme n'accepterait, elle l'aimait assez pour cela.

«J'ai fantasmé sur notre présence à la prochaine fête de ton bureau, ensemble, nous deux ...»

«Où était ton mari dans ton fantasme?»

Elle haussa les épaules avec impatience.

«Lui? On s'en fout. Nous arrivions ensemble, toi en costume, moi vêtue d'une longue cape, avec des talons hauts bien sûr. Dès notre arrivée, j'ôte ma cape et dessous, je ne porte qu'un collier de diamants. Rien d'autre. Je suis nue!»

«Sensationnel!»

«Ouais. Nous circulons autour de la pièce, saluant chacun de tes collaborateurs, comme su tout était normal ... ils ont les yeux écarquillés et sont à bout de souffle, mais personne n'a les couilles pour te faire une remarque. Même si je suis nue, à ton bras, aucun ne protestera.»

«Que se passe-t-il ensuite, bébé?»

«Après un moment, nous quittons la fête et nous baisons. Mais le lendemain, à ton arrivée au bureau ... Ouais, peux-tu imaginer cela? Comment les gens vont te regarder. Comment vont-ils te traiter?»

«Je n'ai jamais pensé à ça. Sensationnel.» Il était l'écoutait, fasciné.

«J'y ai pensé. Beaucoup. Souvent. Si tu as le culot de faire ça, m'emmener nue à ta soirée, au bureau, aucun d'eux n'osera plus jamais lutter avec toi. Jamais."

Elle fit une pause, comme pour laisser ses mots pénétrer.

«Plus personne n'osera te créer des ennuis. Personne ne se plaindra, personne ne te critiquera. Plus jamais. Ils n'oseront plus. Pas après une démonstration comme celle-là.»

«Waouh! C'est assez puissant!»

«Ouais. Le pouvoir ultime. Présente-toi avec la femme blanche volage de ton employé. Entièrement nue. Donne-lui le bras et promène-là à travers la pièce, sous le nez de tes employés. Puis quitte la fête. Emmène-la quelque part. Tout le monde saura que tu vas la baiser. Elle va te sucer la bite, et ensuite tu vas la baiser. Tous le savent. Tous savent que tu sais qu'ils le savent. Pas de tromperie. Aucune dissimulation. Envoie-leur ton message.»

«Quel message, bébé?»

«J'ai pris la femme du petit blanc craintif. Si vous n'aimez pas ça, allez vous faire foutre!»

Il sourit : «C'est vraiment puissant, bébé.»

«Ouais. Mais c'est vrai, n'est-ce pas?»

«Maintenant, je comprends.»

«Quoi?»

«Je comprends maintenant pourquoi tu as voulu te montrer nue sur ce balcon ... avec moi ... pourquoi ça compte tellement pour toi. Accepterais-tu vraiment de baiser avec moi, ici, devant tous ces gens?»

«Mauvaise question!»

«Quelle est la bonne?»

«Auras-tu le courage de le faire? Auras-tu les couilles pour le faire?»

Elle retira le coussin du fauteuil, le laissa tomber sur le sol devant elle, s'assit dessus, écartant ses jambes devant lui, offrant sa chatte à la puissance virile du mâle alpha. Pénis dressé et luisant de salive, il s'agenouilla entre ses cuisses ouvertes pour saillir la femelle désireuse.

Ce n'était pas tout à fait pareil que de sucer sa bite devant le personnel réunis, mais devant des dizaines de spectateurs anonymes et leurs caméras vidéo, c'était presque aussi bien. Il agrippa ses chevilles fermement pour hisser ses jambes en l'air en la baisant vigoureusement.

De l'autre côté de la rue, le chahut a éclaté sur plusieurs étages où des dizaines d'employés de bureau commentaient la scène, l'esprit troublé. Ils n'avaient jamais vu cela auparavant, à part dans des vidéos pornos tournées par des professionnels. Et ils filmaient leurs ébats, se jurant de mettre leurs vidéos en ligne, plus tard dans la journée.

Tout le monde n'était pas ravis. Quelques dirigeants ont attrapé leur téléphone pour appeler la réception de l'hôtel et leur passer un savon. Le temps de trouver le numéro de la chambre, la ligne intérieure sonnait dans la chambre. Le téléphone qui sonnait sans fin est vite devenu insupportable.

«Fais chier!» grogna-t-il en quittant le balcon pour répondre au téléphone.

«Monsieur. Si vous êtes la personne qui est sur le balcon avec une femme nue, sachez que les gens vous filment depuis le bâtiment d'en face. Certains appellent pour se plaindre. Vous devriez vous montrer plus discret avant que la police n'intervienne!»

«J'ai compris!», admit-il.

«Bébé» lui cria-t-il. «Amène ton cul ici, maintenant. Les gens nous filment depuis l'immeuble en face.»

«Oh mon Dieu! Quel scandale!» dit-elle en riant. En rentrant dans la chambre, elle s'est retournée pour leur adresser un doigt d'honneur en leur tirant la langue.

Le patron noir de Robert Gaillard rêvassait, assis dans son bureau, en regardant par sa fenêtre la ville en contrebas. Il pensait à sa liaison avec la belle épouse blanche de son petit subordonné blanc. Un coup d'œil à sa montre. Dans une heure, il allait rejoindre la volage Mme Robert Gaillard dans une chambre d'hôtel tout près de là.

Pendant que Robert Gaillard se fatiguera à accomplir une tâche totalement inutile, qui n'a pas d'autre importance que de garder ce pauvre type occupé, pendant que sa femme blanche sucera son patron noir, avant qu'il ne la baise.

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