Stupeur et Abattement

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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 11/12/2020
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Rainett
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Robert Gaillard vérifiait ses messages, dans la boîte de réception de son téléphone, pendant la réunion du comité de direction, tranquillement et silencieusement, mais ce qu'il y a trouvé l'a fait s'étouffer avec son café.

Plusieurs personnes présentes se sont tournées pour regarder dans sa direction. Les dossiers empilés devant lui sur la table de conférence cachaient son téléphone. Dieu merci, il était en bout de table, à l'opposé de l'orateur, et quiconque aurait voulu le regarder devait tourner le dos à l'orateur. Un mouvement très peu recommandé.

Seul au bout de la table, il pouvait baisser les yeux discrètement, sans se faire remarquer.

Il regardait anxieusement l'écran de son téléphone. C'était une vidéo, pas un message texte. C'était flou au début.

Une forme claire qui va et vient, de haut en bas. Quelque chose de nébuleux. Peu à peu, la mise au point éclaircissait les contours sur l'écran, et la silhouette devenait discernable.

L'élément se déplaçait lentement, de haut en bas, et la mise au point de l'image révélait une tête de femme. Une tête de femme filmée par dessus, montrant le sommet du crâne. La femme avait les cheveux clairs avec une raie au milieu.

Au début, la tête de la femme remplissait tout l'écran. Elle bougeait lentement, ce qui permettait à la caméra de suivre son mouvement. Mais le champ de la caméra s'est agrandi pour augmenter la largeur de la zone filmée, et il était possible de voir un peu plus que le simple gros plan de la tête d'une femme.

Au fur et à mesure que la perspective de la caméra changeait, il était maintenant possible de voir partiellement le visage de la femme, voir son nez, sa bouche ... de voir aussi ses lèvres rouges, ce qu'elles suçaient, et pourquoi sa tête allait et venait lentement ... ou montait et descendait lentement, selon le point de vue ...

Il pouvait en voir suffisamment maintenant pour savoir qu'il s'agissait d'une femme blanche qui suçait un énorme pénis noir. Sa bouche se déplaçait lentement, tout au long de la colonne de chair brune, jusqu'à ressortir totalement, révélant la pleine longueur. La bite du mec noir était fabuleuse, gigantesque, Robert voyait les veines saillantes, le gland circoncis violacé. Difficile de croire qu'une femme puisse avaler la totalité de cette colonne de chair.

La femme a titillé le gland du bout de sa langue pointue puis, lentement, savoureusement, elle est redescendue dessus, gobant toute la longueur, jusqu'à ce que son nez vienne heurter le pubis noir aux poils frisés. Puis, elle a repris son mouvement rythmique de va-et-vient langoureux.

L'éclairage était bon, la distance de la caméra était parfaite, et la netteté des couleurs était à vous couper le souffle. Le sexe noir était incroyable, gigantesque. Il respirait le pouvoir, la puissance. L'image de ce sexe noir était à elle seule impressionnante, mais la vue de la bouche de cette femme blanche absorbant la totalité du monstre était hallucinante.

Robert se tortillait sur sa chaise, mal à l'aise, à l'étroit dans son pantalon.

L'angle de la prise de vue a changé. L'homme noir, qui tenait apparemment la caméra, se pencha en arrière, donnant une vue plus large, lui permettant de voir le visage de la femme, et une partie de la pièce où ils se trouvaient.

La femme c'était ... sa femme. La pièce, c'était son bureau, à la maison. L'homme noir était assis dans son propre fauteuil, dans son bureau. Il se penchait en arrière pour filmer commodément sa femme blanche suçant sa bite.

Elle glissa de nouveau sa bouche tout le long de la colonne de chair brune, lentement, jusqu'à ressortir complètement. Elle lui sourit, lui dit quelque chose, et une bave mousseuse s'agglutinait aux commissures de ses lèvres. Puis elle redescendit sur lui, plongeant toute la longueur dans sa bouche agrandie par le volume de l'engin. Et elle recommença à le pomper en redoublant d'efforts.

La bite de cet homme noir était largement plus grosse que la sienne. Incroyablement plus grosse et plus grande.

La caméra s'est déplacée, continuant son mouvement de travelling arrière, balayant la pièce, en montrant leur reflet dans le miroir fixé au mur. Il pouvait voir sa femme de dos, agenouillée entre les jambes écartées de son amant noir. Ils étaient tous les deux entièrement nus.

Toujours dans le miroir, il pouvait voir l'amant noir de sa femme assis dans son fauteuil. Il a reconnu l'homme noir. C'était son patron. L'homme noir, c'était son supérieur. Cela expliquait son absence à la réunion du comité directeur, ce matin.

Cela expliquait aussi pourquoi il devait, lui, Robert Gaillard, être absolument présent à cette importante réunion.

Son patron l'avait appelé personnellement, pour lui expliquer qu'il ne pouvait être présent à cette réunion de la plus haute importance stratégique, et qu'il devait le représenter en personne. Il l'avait assuré de son entière confiance, sachant que son directeur blanc saurait le substituer parfaitement.

Maintenant, il comprenait pourquoi son patron noir était absent. Il était chez lui, avec sa femme qui lui suçait la bite.

Mais pourquoi cette vidéo avait-elle été envoyée sur son téléphone? Était-ce une provocation délibérée, ou était-ce une erreur? Une fausse manœuvre, ou une erreur de destinataire, peut-être?

La caméra se recentra sur le visage de sa femme qui suçait la bite de son amant noir de façon plus énergique.

Soudain, son patron a éjaculé. Il pouvait le voir. Sa femme s'arrêta au milieu de son mouvement, les yeux mi-clos. Il en était certain, sa façon de le tenir dans sa bouche, sa bite qui pulsait son foutre dans sa bouche, et la main qui tenait la caméra tremblait légèrement.

Elle se recula, ouvrant la bouche, révélant une énorme quantité de crème blanche sur sa langue. Puis elle ferma la bouche, déglutit et rouvrit la bouche. Sa cargaison blanche avait disparu dans la gorge de sa femme.

La vidéo s'est arrêtée. Il a regardé l'heure. Il avait reçu ce message dans sa boîte il y a plus d'une heure.

Un froid glacial l'envahi, accompagné par un sentiment de désespoir et de défaite. Il ne pourrait jamais rivaliser. Il en était conscient. Sa femme était une femme sensuelle, passionnée. Ce qu'il venait de voir, cette attitude de soumission volontaire, d'une femme amoureuse de l'homme qu'elle suce, et son regard empli d'adoration.

C'était foutu, et les jours de leur mariage étaient comptés. Pas étonnant qu'elle ait refusé et résisté à son désir d'enfant. Elle voulait se faire engrosser par son amant noir. Celui qu'elle suçait pendant l'absence de son mari, dans sa maison. C'était évident. Pas besoin de mots pour lui expliquer. Il avait vu son regard enamouré sur son amant noir. Il était fondamentalement incapable de rivaliser avec l'attrait qu'exerçait son patron noir sur sa femme.

Cette vidéo avait-elle été enregistrée ce matin? Si oui, qu'avaient-ils fait pendant l'heure écoulée? Étaient-ils encore au lit? Était-elle déjà enceinte ... enceinte de son bâtard métis?

Il baissait la tête, envahi par une rage impuissante. Que pouvait-il faire? S'il rentrait chez lui maintenant, il lui faudrait au moins une heure de trajet, sans compter les ralentissements.

Son patron noir serait-il toujours là quand il arriverait chez lui? Au lit, avec sa femme? En train de la baiser, encore et encore? Ou s'étaient-ils enfuis ensemble, laissant la maison vide?

Ou allait-il apparaître ici brusquement, en pleine réunion, s'excusant à peine pour son retard? Faisant comme si tout était normal, lui imposant d'un regard son autorité et sa puissance. Exigeant sa soumission.

Cette vidéo a-t-elle été envoyée par inadvertance, ou intentionnellement, pour se moquer de lui, pour l'humilier, pour le rabaisser et lui révéler son impuissance?

Il a regardé de nouveau sa montre. Rentrer chez lui, plus de deux heures après les faits? Qu'est-ce que cela voudrait dire? Avait-il encore un chez soi?

La réunion s'est achevée et Robert Gaillard resta immobile pendant quelques brèves secondes, puis rassembla ses affaires pour retourner dans son bureau.

"Tout va bien?" lui a demandé son collègue.

"Bien. Très bien. Pourquoi?"

"Tu semblais un peu..."

"Un peu quoi?"

Le gars haussa les épaules : "Un peu contrarié. Je t'ai vu regarder ton téléphone. As-tu reçu une mauvaise nouvelle? Quelqu'un est mort?"

"Non. Personne n'est mort. Et tout va bien!"

Et bien, personne n'est mort, pas vraiment. Son mariage n'était pas «quelqu'un». Biologiquement, ni sa femme, ni lui n'étaient morts. Psychologiquement? Était-il psychologiquement mort? Pas encore. C'était seulement un ressenti.

"Bon, je ne voudrais pas être impoli, mais j'ai quand même du boulot ..."

"Ouais, je vois que tu es pressé, nous parlerons de tout ça plus tard."

"Ouais, à plus tard."

Le couloir. Au bout du couloir, l'ascenseur. Attendre l'ascenseur, debout, là, comptant chaque seconde angoissante ...

Robert Gaillard réalise qu'il respire fortement et que son cœur bat la chamade. Cet ascenseur est d'une lenteur désespérante. Un autre couloir. Finalement, son bureau. Il entre et referme la porte. Enfin seul. Il n'allume pas la lumière. La lumière crépusculaire de cette fin de journée lui suffit.

Machinalement, il s'installe à son bureau et range ses papiers, ses dossiers. Voilà, il a fini ce qu'il avait à faire. Plus rien ne l'empêche de regarder une nouvelle fois cette putain de vidéo. Il regarde son putain de téléphone comme si c'était lui le coupable. Aura-t-il le courage de regarder une nouvelle fois les turpitudes de sa femme? La première fois, c'était comme s'il recevait un coup de poignard en plein cœur. Mais la deuxième?

Après quelques profondes respirations, il appuya sur «lecture». C'était pire que la première fois. Des détails, négligés lors de la première visualisation, lui sautaient au yeux. Les bijoux de sa femme, qu'il lui avait offerts. La chaîne, autour de son cou, avec sa croix, ses boucles d'oreille, ses bracelets. Incroyable. Elle a tout quitté pour sucer la bite de son amant noir. Mais elle a gardé son alliance. Que son alliance. Pourquoi cette mise en scène?

Il a vérifié l'identifiant de l'appareil qui lui avait envoyé ce fichier vidéo. Numéro inconnu. Ni sa femme, ni son patron. Qui lui avait envoyé cette merde? Qui voulait qu'il sache? Pourquoi? Sa femme? Voulait-elle qu'il sache? Serait-elle là, quand il rentrerait chez lui? Lui en parlerait-elle? Osera t-il lui montrer la vidéo? Osera-t-il lui dire qu'il sait qu'elle suçait son patron ... son amant noir?

Toutes ces questions tournaient dans sa tête. Il a pris une profonde inspiration.

"Qu'est-ce qui ne va pas chez moi? C'est elle qui m'a trompé. C'est elle la salope qui a des relations sexuelles avec mon patron. C'est elle qui commet l'adultère. Pourquoi ai-je peur d'être découvert? Pourquoi ai-je peur qu'elle sache que je sais? Elle devrait trembler devant moi, pas moi devant elle. Quel est mon problème?"

Il a regardé une nouvelle fois cette putain de vidéo. Espérant quoi? Qu'il s'était trompé, que ce n'était pas sa femme, pas son patron, pas sa maison? Il a examiné chaque détail. C'était elle. Définitivement elle. Son visage, ses cheveux, son rouge à lèvres, son alliance. C'était sa maison, chez lui, dans son bureau C'était son patron qui était assis là, dans son fauteuil, tandis que sa femme, entièrement nue, agenouillée, le suçait voluptueusement.

Il a regardé la vidéo une sixième fois ... ou était-ce la dixième fois? Il avait perdu le compte. Il perdait la tête. Sa gorge était sèche, douloureusement sèche. Il sortit une bouteille d'eau du tiroir de son bureau et bu une gorgée.

Que s'est-il passé après qu'ils aient tourné cette vidéo, se demandait-il. Ont-ils baisé? Dans son lit? Pourquoi l'a-t-elle sucé dans le bureau? Pourquoi sucer dans le bureau, si la chambre à coucher est disponible? Pourquoi reçoit-elle son amant chez elle, dans sa maison? Son patron pouvait s'offrir une chambre d'hôtel. Il pouvait se permettre une dépense minime pour baiser la femme d'un employé, sans craindre d'être surpris, découvert, dérangé ...

Il s'en fichait d'être démasqué. Peut-être que le but de cette vidéo, c'était de lui révéler son infortune.

"Hé, connard, je baise te femme. Ta bourgeoise s'est déshabillée, elle sucé ma bite, et je l'ai baisée. Chez toi, dans ta maison, dans ton fauteuil. Si ça ne te plaît pas, va te faire foutre."

Était-ce cela, le but? Qu'est-ce qu'il voulait? Pour avoir le droit de le piétiner?

Les lois sur le harcèlement sexuel lui sont venues à l'esprit. Son patron ne pouvait même pas féliciter une collaboratrice dans l'entreprise parce que c'était du «harcèlement». Mais qu'en est-il de cela? Le patron qui baise la femme d'un employé? Était-ce du harcèlement si sa propre femme suçait la bite de son patron?

Quand cette vidéo a-t-elle été tournée? Il l'avait reçue tout à l'heure. D'un numéro inconnu. Appeler ce numéro? Osera-t-il? Cette vidéo a-t-elle été envoyée accidentellement? Intentionnellement? Il appellera le numéro. Pas maintenant. Plus tard. Il l'appellera d'un autre téléphone pour que son numéro ne soit pas identifié.

Encore une fois, il a regardé la vidéo, à la recherche d'indices. À quel moment? Quand a-t-elle été tournée? Tout était actuel, pour autant qu'il sache. La coiffure de sa femme était actuelle. Aucun vêtement sur elle. Le bureau n'avait pas de modifications récentes. N'importe quand, aujourd'hui, cette semaine, au cours des derniers mois.

Il a interrompu la lecture. Sa femme était figée dans le mouvement. Elle était poignardée par la bite de son patron ... jusqu'au bout. La totalité de cet énorme pieu de chair était dans sa bouche. Sa main était sur la cuisse de son patron. Sa petite main blanche, avec l'alliance qui brillait.

Pourquoi n'avait-elle pas ôté son alliance? Elle avait tout enlevé. Ses vêtements, ses bijoux. C'était pour afficher son infidélité, sa trahison? Exhiber son alliance, pour le blesser plus profondément? Étrange, non?

La porte de son bureau s'est ouverte. C'était sa secrétaire : "M. Gaillard? Tout va bien?"

"Ouais. Tout va bien. Qu'est-ce que vous voulez?"

"Je me demandais si vous étiez encore là. Pourquoi restez-vous assis dans le noir?"

"Il ne fait pas encore nuit. Il y a encore assez de lumière qui entre par la baie vitrée."

Ses yeux se posèrent sur son bureau, sur son téléphone. Rapidement, il l'a recouvert d'un dossier.

"Qu'est-ce que vous vouliez?"

"J'ai terminé tout le travail que vous m'aviez donné."

"Génial. Merci. Autre chose?"

"Non. Rien d'autre. Pourrais-je partir un peu plus tôt aujourd'hui, si vous n'avez rien d'autre?"

"C'est d'accord. À demain."

"Génial! À demain!"

La porte se referma. Dieu merci. Seul. Seul avec sa rage. Sa douleur. Sa peur. Rien ne sera plus jamais pareil. Sa vie ne sera plus jamais pareille. Il voulait rentrer à la maison, mais une partie de son esprit voulait qu'il se ressaisisse et qu'il réfléchisse.

Peut-être qu'il devrait appeler le portable de sa femme. Faire un test. Voir comment elle réagit. Va-t-elle lui demander, d'un air ironique, s'il avait apprécié la qualité de sa prestation? Que répondra-t-il?

"Oui, ma chérie, tu étais sensationnelle!"

Le reconnaîtra-t-il? Ou est-ce qu'il jouera l'idiot en prétendant qu'il avait eu beaucoup de travail, et qu'il n'avait pas vérifié ses messages dans sa boîte de réception?

Il prit une autre profonde inspiration et jeta un regard sur sa montre. Il était trop tôt, mais il pouvait partir tôt. Il avait ce pouvoir, cette latitude. Et s'il rentrait chez lui maintenant, et les trouvait au lit? Vous l'avez surprise nue, agenouillée, en train de sucer sa bite? Dans le lit conjugal? Cette putain de salope?

Il secoua négativement la tête. Ce scénario ne lui convenait pas. Peut-être devrait-il d'abord appeler son patron. Il voulait désespérément appeler quelqu'un, pour comprendre, pour agir. Mais faire quoi?

Encore et encore, l'image de cette énorme bite s'imprimait dans son esprit. Encore et encore, la passion et l'enthousiasme de sa femme. Une bite deux fois plus grosse que la sienne, peut-être plus. Plus que la taille ... c'était ... la puissance. Le pouvoir. Et elle parvenait à enfourner la totalité de cette monstruosité dans sa bouche, dans sa gorge. Puis, elle suçait ses couilles. Énormes. Gonflées de sperme. Elle les soupesait dans sa petite main blanche.

Bien évidemment, elle était hypnotisée par la taille disproportionnée de ses couilles et de sa queue. Lisse, luisante, les veines saillantes, le gland circoncis. C'était une œuvre d'art. Son patron était relativement costaud, et cela le faisait paraître encore plus grand, encore plus puissant, encore plus dominant.

L'image finale le hantait. L'image finale de cet homme déchargeant son sperme dans sa bouche. Elle le recevait, puis elle ouvrait sa bouche pour bien montrer cette énorme paquet de crème blanche sur sa langue. Puis elle fermait la bouche pour déglutir. Elle a avalé tout son sperme ... souriante, heureuse de s'abaisser, de s'avilir. Et elle regardait la caméra, pleinement consciente d'être enregistrée, pour être montrée, pour l'éternité.

Pourquoi? Pourquoi diable faisait-elle cela? Ce consentement, pour être enregistrée? Ce n'était plus une aventure, c'était autre chose. Mais, pourquoi l'enregistrer? L'enregistrer pour le conserver? Pour le montrer? Pour être mis en ligne, transmis Dieu sait où, à Dieu sait qui. C'était si bon?

Il frissonna. Apparemment, oui, c'était si bon. Cette énorme bite. Il ne pouvait pas sortir cela de son esprit. Le plaisir de sa femme. Son enthousiasme. Comment pouvait-il rivaliser avec cela, avec cet engin monstrueux?

Il l'a regardée ... une fois de plus. Les images, maintenant familières, il découvrait de nouveaux détails qu'il avait négligés auparavant. La lampe. Chaque détail, c'était comme un coup de couteau dans le cœur. Chaque détail.

Mais surtout, chaque fois qu'elle plongeait, engloutissant toute la longueur de cette bite. Comment était-ce possible? Anatomiquement possible? Pour sa femme, une bite aussi grande?

Bien sûr, il avait entendu parler de gorge profonde. Comme tout le monde. Mais ça restait un truc de spécialiste. D'actrices pornos. Qui avaient subies un entraînement spécial ... une opération?

Son cœur se serra. Comment avait-elle découvert qu'elle avait ce don? Pas avec lui, en tout cas. C'était sa petite femme blanche qui l'abandonnait pour la grosse bite de son amant noir, son propre patron.

Il ne pouvait plus se retenir. Il éteignit son portable et composa le numéro du portable de sa femme sur son téléphone de bureau. De cette façon, elle pourrait ne pas savoir, s'il avait vu la vidéo. Ça sonnait dans le vide ... il essayait de penser à ce qu'il allait dire quand elle décrocherait ... si elle décrochait.

Le message d'accueil, signalant l'absence de sa femme, lui demandant de laisser un message, résonnait dans son oreille. La voix familière de sa femme. Parfaitement normale. Bien sûr, c'était parfaitement normal. Ce message était enregistré depuis des mois, bien avant qu'elle ne suce la grosse bite de son amant noir. Il a mis fin à l'appel sans laisser de message.

Son patron? Probablement la même chose. Aux abonnés absents. Pas besoin de l'appeler et de lui laisser une trace de sa souffrance. Les deux amants compareraient les appels téléphoniques et devineraient.

Et le numéro qui lui avait envoyé la vidéo? Qui était derrière ce numéro? Ami? Ennemi? Oserait-il l'appeler? Cela le rongeait. Il avait envie d'appeler, pour savoir si la vidéo lui avait été envoyée volontairement, ou involontairement ... mais si c'était involontaire, il ne voulait pas qu'ils apprennent qu'il savait ...

Y avait-il d'autres vidéos qui traînaient, d'autres vidéos de sa femme et de son patron? Avaient-ils une bibliothèque de vidéos où elle s'exhibait? Où elle en montrait plus? Bien sûr, il y en avait. Bien sûr, qu'elle en montrait plus. Quelle question ridicule!

Rainett
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