Souvenirs 02

Informations sur Récit
Le dressage continue.
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1

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 01/10/2018
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Assis sur le canapé, le pantalon descendu à mes pieds, ma bite molle reposant sur une cuisse je réfléchis. Mes rêves et fantasmes les plus fous sont en train de se réaliser. Depuis ma puberté, j'ai toujours eu des envies de domination. Je dois être un peu sadique car je ne perçois pas les relations sexuelles autrement qu'en dominant ma partenaire. Le pouvoir d'humilier et de commander m'excite.

J'ai eu un coup de chance. Le destin a mis sur ma route ma tante Nicole sur laquelle je viens de prendre l'ascendant. Actuellement elle est dans la cuisine en train de préparer le diner. Elle est dans la même tenue que le jour de sa naissance, elle est complétement nue. Toutefois en 40 ans ses formes ont changé. Je la regarde s'affairer. Ses gros seins lourds ballotent et son gros cul est magnifique. Je la regarde et je recommence doucement à bander. Elle est si excitante ma tante.

Je me masturbe lentement en pensant à ma chance. J'ai eu vraiment peur de ne pas arriver à la soumettre mais je crois que la peur de la prison ou du déshonneur dans la famille a eu raison de sa résistance.

Elle est devant l'évier et j'ai une belle vue sur ses fesses. La queue raide, je me lève du canapé et je la rejoins. Je pense qu'elle sait que j'arrive derrière elle mais elle ne bouge pas. Je lève ma main et l'abat brutalement sur son cul.

- Aie! Crie-t-elle en s'écartant et en mettant une main sur sa fesse endolorie.

- Remets toi comme tu étais! Ordonné-je d'une voix qui n'admet pas la résistance.

Elle se replace devant l'évier mais garde la main sur sa fesse comme si ça suffisait à supprimer la douleur.

- Enlève ta main!

Après un instant d'hésitation elle m'obéit. J'ai frappé fort, ma main reste imprimée sur sa fesse, une belle marque rouge sur la peau si blanche. Je me déplace légèrement et je donne une grande claque sur son autre fesse. Cette fois-ci elle ne fait que crier et s'avancer sur le bord de l'évier en reculant les épaules, geste instinctif pour échapper à ma main.

Je continue à la fesser, pour mon seul plaisir. Ses fesses bougent au rythme de mes coups. Sa peau rougit. Maintenant elle pleure et me supplie :

- Snif, s'il te plaît Didier arrête... S'il te plaît, ça fait mal... s'il te plaît...

Je croie qu'elle en a assez. Je pose ma main sur son cul et je caresse ses fesses douloureuses. Sa peau douce m'excite, la rondeur de son cul m'excite.je descends ma main entre ses cuisses et je tapote l'intérieur en lui disant :

- Ecarte les jambes!

Elle renifle et obéit sans poser de questions. Je pense qu'elle a peur que je la fesse à nouveau. Ma main commence à s'aventurer plus en avant et aborde les poils pubiens de son sexe. « Il va falloir qu'elle se rase » Pensé-je. Mes doigts commencent à explorer...

- Oh! Dis-je complétement surpris.

Sous le bout de mes doigts, je sens une certaine humidité. Je les envoie plus en avant et je trouve ses petites lèvres que j'écarte. Sa chatte est humide! Je n'en reviens pas. Je dis :

- Tu mouilles ma tante!

- Non. Dit-elle, ne voulant pas accepter l'inacceptable.

- Si si salope! Regarde!

Je retire ma main et je mets mes doigts devant son visage.

- Tu vois bien que tu mouilles.

Ses yeux recommencent à se remplir de larmes. Elle me répond :

- Je ne sais pas... Je ne comprends pas... C'est mon corps qui ne m'obéit plus.

Moi je comprends très bien. Sous ses airs de bourgeoise sévère et prude se cache une femme qui aime surement qu'on la maltraite un peu. La suite me donnera raison.

Je remets ma main entre ses cuisses et trouve bientôt son clitoris que je commence à titiller. Nicole ne dit rien, mais sa respiration commence à s'accélérer. Je continue pendant un moment puis je glisse un doigt dans l'ouverture de sa petite chatte. Sa grotte est complétement humide. Je suis vraiment content que son corps réagisse de cette façon.

- Recule un peu, penche-toi et écarte bien les jambes! Dis-je.

Elle m'obéit sans se douter de la suite (ou alors elle fait semblant de ne pas comprendre). Je m'approche d'elle la queue tendue. Avec une main, j'écarte ses petites lèvres alors que l'autre présente ma bite à l'entrée de son intimité. Puis je la pénètre d'un coup sec. Mon membre entre sans problème dans son vagin bien lubrifié. Je vois ma tante tourner la tête vers moi, avec une expression bizarre sur son visage, à la fois outrée et effrayée, mais aussi, il me semble, avec un certain plaisir. Je commence lentement des va-et-vient dans son antre chaude. Elle tourne son visage vers l'avant et commence à se pincer les lèvres. Sa respiration devient lourde. J'accélère le mouvement et essaie de m'enfoncer le plus profondément en elle.

Et, alors que je ne m'y attendais pas du tout, Nicole a un orgasme qui la fait ouvrir ses lèvres et crier :

- Mmmmm... AAAAAAAHHHHHHH!

Elle baisse la tête, ses épaules s'affaissent et elle tremble de tout son corps. Ne sachant trop que faire, j'agrippe ses hanches et j'attends qu'elle se reprenne. Après quelques secondes, elle relève la tête, de la sueur sur son front. Je crois que je peux reprendre. Alors je recommence à la pilonner, ma bite étant maintenant noyée dans son jus. Je décide de l'humilier encore plus :

- Alors ma tante, c'est bon de jouir? J'ai l'impression que tu aimes bien te faire mettre par ton neveu. En fin de compte, sous tes airs coincés se cache une chaudasse. Tu aimes la bite non? tu aimes qu'on te prenne violemment n'est-ce pas? Tu aimes les vrais hommes, ceux qui arrivent à te dresser?

Elle ne répond pas mais je la vois rougir de honte. Je pense qu'elle n'arrive pas à croire qu'elle ait joui sous les assauts de son neveu. Attendant une réponse je claque son cul en lui demandant :

- Réponds Salope! Tu aimes ma bite ou non?

- Euhh... Ou... No... Oui...

Je vois qu'elle est gênée, qu'elle ne sait que répondre. Manifestement son corps prend du plaisir, mais son cerveau refuse de l'avouer. Je claque son cul une nouvelle fois :

- Alors quoi tu ne sais plus?

- Ce n'est pas normal Didier, nous n'avons pas le droit...

Je prends cette réponse comme un « oui » et je la pilonne encore plus violemment. Je sens que je ne vais plus tenir encore longtemps. Ma tante n'arrive plus à retenir ses petits gémissements de plaisir et bientôt elle a son deuxième orgasme. Je jouis en même temps et inonde son ventre de mon foutre.

Après m'être bien vidé, je me retire et je la laisse pantelante sur l'évier. Je lui dis :

- Bon, ça m'a ouvert l'appétit. Donne-moi à manger!

Elle se redresse lentement, me regarde m'assoir à la table, prend la salade sur le plan de travail et vient la poser à côté de mon coude. Puis elle fait mine de s'asseoir en face de moi.

- Que fais-tu? demandé-je

- Je m'assois pour manger.

- Tu te crois où? Tu as oublié que tu es mon esclave? Tu vas me servir et attendre debout à côté de moi. Tu mangeras quand j'aurais fini.

Sans rien dire, elle vient se positionner à côté de moi. Je la détaille. Je vois mon sperme et son jus couler un peu le long de sa cuisse. D'une main je mange et de l'autre je tripote ses seins et ses fesses. Puis je prends une feuille de salade que je passe sur sa chatte pour essayer de récolter le plus possible de nos fluides mélangés. Je lui tends en disant :

- Mange de la salade c'est bon pour le corps!

Je rigole devant son air déconfit et dégoûté. Mais elle prend la salade, la met dans sa bouche, mâche une ou deux fois et l'avale en faisant la grimace.

- Il va falloir t'y habituer ma salope.

Elle ne dit rien. Je finis mon repas et je lui dis :

- Je vais regarder la télé, tu peux manger. Ensuite tu débarrasseras et tu iras te laver. On dirait une pute en fin de journée. Fais toi belle et propre, et rejoins-moi.

Je vais sur le canapé, allume la télévision pour regarder un film sans plus m'occuper d'elle.

Une heure plus tard, lavée, elle vient s'assoir à côté de moi sur le canapé. Elle a entouré son corps d'une grande serviette éponge. Je la regarde méchamment et je lui dis :

- J'ai l'impression que tu n'as rien compris!

Elle me regarde, intriguée. Puis rapidement elle comprend. Un air désolé et effrayé s'affiche sur son visage. Elle se lève, enlève la serviette qu'elle laisse tomber sur le côté puis elle se rassoit sur le canapé.

- Voilà c'est mieux. Je ne te punis pas cette fois-ci mais fais bien attention la prochaine fois.

Je passe un bras autour de son cou et ma main commence à jouer avec sa poitrine. Je lui dis gentiment :

- Je crois que tu as oublié quelque chose tout à l'heure.

Elle me dévisage, ne comprenant pas ce que je veux dire. Je me rends compte qu'elle réfléchit et qu'elle est anxieuse. Je continue :

- Tu es mon esclave maintenant. Et en tant qu'esclave tu dois t'assurer que je me sente bien. Mais là, ma bite est toute poisseuse. Je suis mal à l'aise.

- Veux-tu que je te lave mon neveu?

- Bon, déjà on va établir une règle sur laquelle je serai ferme. Quand nous sommes tous les deux, tu vas me vouvoyer et m'appeler Monsieur. Est-ce clair?

- Oui Did...

Je la stoppe en tordant violemment un de ses tétons.

- Aie... OUI MONSIEUR!

- C'est mieux comme ça. Bien entendu quand nous serons en famille ou en public, je serais toujours Didier ton neveu et tu seras Nicole ma tante. Sauf si je te dis le contraire. OK?

- Oui Monsieur.

- Revenons à ma bite! Si je te dis qu'elle est sale, comment dois-tu réagir?

- Euhhh... je ne sais pas Monsieur.

Je recommence à tordre son téton en criant :

- TU LA NETTOIE AVEC TA LANGUE SALOPE!

- Oui Monsieur. Dit-elle en recommençant à sangloter.

Je relâche son sein et elle baisse la tête pour commencer à lécher ma bite pour la rendre propre. Des larmes gouttent sur ma cuisse. Tout en la laissant à son travail, je recommence à tripoter son corps. Je malaxe ses seins, les soupesant, les pressant puis je caresse ses fesses avant de les serrer dans mes mains. Et bien sûr, sous l'effet combiné de sa langue et de mes palpations, je recommence à bander.

- Tu vois ce que tu fais? Il va falloir me soulager une nouvelle fois. Et débrouille toi pour ne pas en mettre partout.

Elle comprend très vite. Elle lèche mon gland puis l'engouffre dans sa bouche. Elle essaie tant bien que mal de s'appliquer dans sa fellation. Elle s'aide de sa main pour tenir la base de ma queue et me masturber. Il ne me faut pas longtemps avant que je jouisse. Sa bouche se remplit de mon sperme mais elle garde les lèvres fermées et avale le tout. Ensuite elle s'applique à bien nettoyer mon membre. Quand elle a fini et qu'elle se relève, je lui dis :

- Tu peux aller te coucher! Demain nous allons avoir une longue journée. Nous irons à Lyon. Et même si c'est dimanche je crois que nous trouverons certaines boutiques ouvertes.

Elle part dans sa chambre sans rien dire. Deux heures plus tard, j'éteins la télé et je me dirige vers sa chambre. Je finis de me déshabiller et je me couche dans son lit. Elle me tourne le dos et j'ai l'impression qu'elle sanglote. Mais je me colle contre elle, ma bite entre ses grosses fesses et je passe mes mains autour d'elle pour agripper ses seins. Je m'endors ainsi, au chaud contre une bourgeoise plantureuse.

****

Le lendemain matin, lorsque je me réveille elle n'est pas là. Je suis déçu car j'ai une érection d'enfer. Je me lève et je rejoins la cuisine, complétement nu, la bite en avant. Ma tante est là, complétement habillée, couverte des pieds à la tête, une jupe très longue, un sweet sur une chemise. Elle a mis la table pour le petit déjeuner : deux bols, du beurre, de la confiture, du pain grillé. Elle a fait du café. Elle me regarde, ses yeux glissant un court instant sur mon membre dressé. Puis elle s'éclaircit la gorge et me dis :

- Bonjour mon neveu! Il faut que l'on parle!

Je la dévisage mais je ne dis rien. Je veux savoir ce qu'elle a en tête. Confiante, elle continue :

- j'ai beaucoup réfléchi cette nuit et je pense que ce que nous avons faits hier n'est pas bien. Tu es mon neveu et je suis ta tante. Ce n'est pas...

Elle s'arrête de parler alors que je m'assois à table sans rien dire mais toujours en la regardant. Elle me sert du café et continue :

- Ce n'est pas possible. Je sais que j'ai volé mon entreprise mais ce n'est pas grave, elle fait beaucoup de bénéfices. Nous pouvons partager si tu le veux. Je pense que tu as besoin d'argent pour continuer ta vie...

Je continue à la regarder sans parler. Je sens le malaise qui commence à s'installer dans son esprit. Elle avait dû se motiver toute la nuit pour pouvoir me parler ce matin. Elle continue :

- il faut que tout redevienne comme avant, que nous oublions ce qui s'est passé hier. Je n'ai pas vraiment joui tu sais. J'ai simulé pour te faire plaisir...

Je lève un sourcil et je la fixe froidement. Mais je ne dis rien. Elle commence à être inquiète, elle s'enfonce les ongles dans la paume de la main et elle commence à se demander si elle n'a pas été trop loin. Alors elle essaie de se rattraper :

- Euhhh... Je suis désolée. Tu m'as vraiment fait jouir hier. J'ai eu deux vrais orgasmes. C'était bien et nous pourrons peut-être de temps en temps le refaire quand nous nous reverrons. Mais il faut que tu rentres chez toi et que tu me laisses tranquille. Tu veux bien s'il te plaît?

Je ne réponds toujours pas. Au contraire, j'arrête de la regarder et je prends le beurre pour tartiner du pain. Je le fais lentement avant d'étaler de la confiture. Puis je trempe le tout dans mon café avant de le manger. Dans la cuisine c'est le silence. Du coin de l'œil, je vois ma tante se dandiner sur ses pieds tout en se tordant les mains. Il est évident qu'elle ne sait plus que faire. Toutes ses résolutions de la nuit ont disparu. Je crois qu'elle commence à pleurer.

Je continue à la torturer en continuant de manger en silence. Je finis ma tartine et m'en fais une autre que j'avale lentement aussi. Ensuite je sirote mon café. Enfin je m'essuie les lèvres et je la regarde. Des petites larmes coulent le long de ses joues. Je devrais me sentir coupable mais ce n'est pas le cas. Je sais qu'elle a besoin d'être dominée pour se sentir femme. Ma fessée l'avait faite mouiller hier. Je lui dis alors :

- D'accord, je m'habille et je m'en vais.

Je vois l'espoir s'afficher sur son visage. Elle pousse presque un « ouf » de soulagement. J'attends un peu qu'elle se sente mieux avant de dire :

- Mais dis-moi où est la gendarmerie s'il te plaît, il faut que j'y passe avant de partir.

Ses épaules tombent, elle est découragée. Je continue de la fixer pour qu'elle comprenne bien que je ne me laisserai pas attendrir. Je la vois réfléchir et se demander ce qu'elle doit faire. Elle est perdue. Et enfin elle fait ce que je sais depuis le début qu'elle ferait. Elle attrape le bas de son sweet et elle le fait passer au-dessus de sa tête. Puise elle déboutonne son chemisier, dézippe sa jupe, ôte les deux vêtements. Elle se retrouve en collant sur une grosse culotte et un soutien-gorge pas vraiment sexy si ce n'est qu'il comprime ses deux seins qui veulent s'échapper. Elle roule son collant le long de ses jambes et l'enlève. La culotte suit et je peux voir sa touffe de poils pubiens. Elle finit par le soutien-gorge qu'elle laisse tomber. Puis elle reste debout, les bras le long du corps, immobile, incapable de me regarder en face.

Satisfait se son comportement, je lui dis alors :

- Approche et mets-toi à genoux!

Lentement elle vient se placer à côté de ma chaise et s'agenouille. Je me tourne vers elle, pose mes mains sur ses seins et les caresse. Puis subitement, je saisis ses deux tétons que je pince et tord fortement.

- Aie aie aie aie, arrête! Crie-t-elle, le visage déformé par la douleur.

Je lâche ses tétons et je commence à gifler ses seins. Elle grimace sous les coups. Ses seins ballotent de gauche à droite sous mes claques. Mais j'arrête avant de lui faire trop mal. Et je lui ordonne :

- Mets ta main entre tes jambes et touche ta chatte! puis montre-moi tes doigts!

Elle m'obéit. Elle glisse sa main sur son sexe. Je remarque tout de suite qu'elle commence à rougir. Quand elle remonte sa main pour me la montrer, nous pouvons voir tous les deux que ses doigts luisent de son jus.

- Que t'arrive-t-il? Tu n'aimes pas ce que je te fais subir? Ta chatte dit le contraire. Alors explique-toi?

Elle est rouge pivoine. Elle comprend que son corps aime le traitement que je lui impose malgré le fait que son esprit refuse cette relation hors norme. Elle ne sait quoi dire. Alors je réponds pour elle :

- Ton corps aime être possédé. Et ton subconscient aussi. Ton éducation, ta fierté de bourgeoise font que tu n'acceptes pas qu'un gamin comme moi te commande et t'exploite. Mais ton corps ne demande que ça. Et ta vie va continuer comme ça : tu détesteras être humiliée et dégradée mais tu adoreras être baisée violemment et rudement. J'ai quelques mois pour t'apprendre ta nouvelle condition. Je ne veux plus que tu me joues la comédie de ce matin. D'accord?

- Oui Monsieur.

- Très bien. Alors commence ta journée de salope en me faisant plaisir. Et mets-y de l'entrain! Sans les mains!

Elle a compris. Elle met ses mains dans le dos et se penche sur ma queue, l'attrape avec la langue et la met dans sa bouche. Elle me suce en s'appliquant le mieux possible. Elle commence à devenir habile avec sa bouche. Je me détends, les mains derrière la tête et apprécie la caresse buccale de ma tante. Après quelques minutes, j'éjacule dans sa bouche. Comme une bonne soumise, elle avale le tout, presque sans grimace. Puis elle lèche ma queue pour bien la nettoyer et elle relève la tête et attend.

- Bonne petite chienne! tu as été obéissante alors je vais te remercier! Tu vas t'assoir dans le canapé et tu vas te faire plaisir. Et je veux voir comment tu te mets un doigt dans le cul. Fais-toi jouir! Et pas de simulation je le verrais!

Elle me regarde un peu abasourdie, hésitante.

- ALLEZ!

Elle se relève et part dans le salon. Elle s'assoit sur le canapé, écarte ses jambes et remonte ses pieds sur le bord des coussins. Sa main droite descend sur sa chatte poilue et elle commence à titiller son clitoris. Je la suis et je reste debout devant elle pour admirer le spectacle. Je lui dis :

- Je n'aime pas cette touffe de poils. Dans la semaine tu prends un rendez-vous chez une esthéticienne pour qu'elle t'enlève tout ça. Je veux que ta chatte et ton cul soient sans poils. Tu as compris?

- Oui Monsieur.

Je suis content qu'elle n'essaie pas de refuser. Je pense qu'elle comprend sa situation et que même si elle est humiliée, elle ne déteste pas ça complétement.

Ses doigts s'activent sur son clito. Sa main gauche descend vers son cul, passe dessous sa cuisse. Elle tend le majeur et l'enfonce doucement dans son petit trou du cul. Sa main droite accélère sur sa chatte. Elle respire de plus en plus lourdement. Ses yeux se ferment et je commence à entendre des petits gémissements.

Je la regarde tout en me caressant la bite. Elle recommence à durcir et à se dresser. Je veux humilier cette femme qui pendant de nombreuses années m'a regardé avec fierté :

- Alors salope, tu prends du plaisir non? Espèce de grosse vache! Et oui tu as de mamelles et un cul de grosse vache. Et comme tu ne sais pas exploiter tes charmes, je vais t'apprendre. Tu vas devenir une bonne chienne obéissante, une grosse vache que je baiserai à ma guise. Tes trous de salope sont à moi maintenant.

Elle n'a pas rouvert les yeux, mais, au début de mon discours, j'ai vu de l'indignation s'afficher sur son visage puis petit à petit elle s'est détendue. Elle a continué à frotter sa chatte tout en tournant son doigt dans son cul. Elle gémit. Je continue à l'insulter. Je veux qu'elle comprenne qu'elle est à moi et je veux savoir si elle a encore le courage de se rebiffer.

- Je vais faire de toi une bonne pute ma tante. Je vais te préparer à des séances de sexe dont tu n'as même pas idée. Je vais inviter des copains et nous te baiserons à la chaîne. Tu nous lècheras les pieds et tu avaleras des tonnes de sperme. Est-ce que tu comprends grosse vache?

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