Sous l'emprise de la drogue

BÊTA PUBLIQUE

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Elle avait tant de filets de foutre dans les cheveux qu'il était difficile de dire si elle était blonde ou brune. Son visage semblait recouvert d'une épaisse couche crémeuse blanchâtre, elle avait avalé tant de protéines que son équilibre hormonal devait être perturbé.

La caméra se focalisait sur son trou du cul largement distendu, et sur sa cramouille gonflée d'où s'échappaient des torrents de foutre onctueux.

Ses mamelons érigés étaient tout aussi poisseux.

Alors qu'il semblait que le dernier amateur avait joui de ses charmes, que la plupart d'entre eux avaient giclé dans ses profondeurs intimes, un colosse noir l'enfourcha.

Sa bite bien qu'en semi-érection mesurait déjà 25 bons centimètres. La caméra zooma sur lui, alors qu'il s'installait à sa convenance lui écartant les fesses à sa guise, son trou du cul ravagé dégorgeait de flots de foutre. Il tenait un large plug qu'il enfourna dans son trou du cul chassant le foutre qui le remplissait à ras bord.

Il se releva ensuite et s'assit au centre du banc, à l'endroit la moins gluant.

Elle s'agenouilla et entreprit de cajoler sa massive mentule, la léchant sur toute la longueur de la hampe avant de l'emboucher avec avidité.

Elle se déploya rapidement, c'était le plus gros chibre que j'ai jamais vu! 35 centimètres et épaisse à l'envie!

Lorsqu'elle fut totalement déployée elle détourna la tête exposant son visage et ses miches dégouttant de foutre. Elle l'enfourcha disposant ses cuisses sur le siennes pressant sa croupe contre lui.

Il se pencha en avant lui agrippant la taille empoigna son gland turgescent et le pointa sur sa foufoune dégorgeant de foutre.

Il tendit les mains et saisit ses mamelons poisseux qu'il roula fermement entre pouce et index, les yeux fermés elle gémissait de plaisir. La caméra était installée face à eux, et zoomait sur son visage et ses miches couverts de foutre alors qu'il continuait imperturbablement à lui manipuler rudement les tétons, l'autre main pressant son gland tumescent contre sa foufoune embrasée.

Elle se redressait et j'imaginais sa voix murmurant à son oreille lorsque qu'elle se blottit soudainement entre ses bras sa grosse mentule glissant de quelques malheureux centimètres dans sa cramouille en dépit de sa lubrification évidente.

Elle se redressa alors que l'énorme pal s'enfonçait avec difficulté dans sa foufoune pourtant pleine du foutre accumulé, par une douzaine d'amateurs, il donna un second coup de rein, sa mentule s'enfonça de moitié en elle alors qu'elle poussait de rauques gémissements, mi douleur, mi plaisir...

Mais elle n'avait encore qu'une petite quinzaine de centimètres de fourrée dans sa chatoune, la taille de ma bite!

Elle se redressait de plus en plus la bite s'enfonçait maintenant de 25 centimètres en elle, j'étais sur qu'elle ne pourrait pas en accueillir plus!

Elle pleurait et gémissait sans discontinuer à chaque coup de boutoir et je suis bien sur que c'était du à la douleur de se sentir aussi distendue à chaque nouveau coup de rein.

Ses mamelons pointaient comme des obus et elle les pinçait et les roulait tout en se livrant à ses assauts.

Il posa alors ses épaisses mains sur sa taille, sa peau noire contrastait fortement avec la blancheur de sa carnation.

Il y eut une longue pause, puis soudain, il l'emmancha de toutes ses forces ses 35 centimètres la remplissant jusqu'aux racines, elle hurla sa douleur, j'étais envahi d'une tendre compassion. Mais je ne pouvais m'empêcher de m'émerveiller alors qu'il entreprenait de la pilonner âprement, elle tremblait sur ses jambes alors qu'il l'embrochait à nouveau, elle gémissait mollement.

Il la martelait encore et encore, je jure que son utérus n'avait jamais accueilli de chibre aussi imposant.

Je ne sais pas combien de temps il la pilonna de profonds coups de boutoir, mais bientôt ses cris de douleur se muèrent en gémissements de plaisir, elle remuait la tête de droite à gauche, se dressant sur les mains.

Lorsqu'elle se redressa, sa bite était entièrement fourré dans sa foufoune pleine à craquer, elle se pencha en arrière, il suivit son mouvement pour lui rouler une pelle baveuse.

Elle l'embrassa longuement et passionnément, sa langue s'enroulant autour de la sienne...

Bien que je sache qu'elle subissait tout cela en dépit de sa volonté, j'étais jaloux et même furieux de la voir embrassée avec tant de passion.

Ce sentiment d'insatisfaction m'envahit alors même que ne parvenais pas à chasser l'odeur de sa chatte imprégnant mes papilles.

Chapitre 3 : Livrée au chien

Ils cessèrent enfin de s'embrasser et elle se redressa lentement. Sa massive bite glissa lentement hors de sa foufoune, les lèvres gonflées de sa chatoune serraient étroitement sa grosse hampe noire, la grosse mentule luisait de leurs jus mélangés.

Le retrait était si progressif qu'il semblait que jamais il ne prendrait fin, mais finalement il sortit avec un "plop" sonore et glissa sur le coté, encore à demi-érigé mais néanmoins imposant.

A peine avait il quitté sa poisseuse caverne que déjà une grosse goutte de foutre gluant s'écoulait sur son pubis crépu s'étalant sur ses grosses burnes.

Puis un filet sirupeux s'étira entre sa foufoune et son mont de Vénus, un homme se leva et plaça un bol de verre sous sa minette débordante de jus.

Elle se recula s'agenouillant pour lui nettoyer minutieusement la bite et les burnes d'une bouche agile.

La caméra zooma sur elle alors qu'elle empoignait l'impressionnante hampe entre ses doigts pour se régaler de l'énorme bulle de foutre qui émanait initialement de sa propre foufoune.

Elle le suçait à pleine bouche sans oublier les poils crépus de son pubis et ses grosses gonades velues. Elle le suça sans discontinuer les deux minutes suivantes, sa bandaison ne tarda pas à renaître.

Je me demandais s'il allait la baiser à nouveau dans la foulée.

L'homme qui recueillait le foutre s'écoulant de sa chagatte inondée lui tendit le bol qu'elle agrippa avec impatience.

Elle regardait fixement la caméra qui la filmait en buste, ses miches dégoulinants de foutre et sirota le contenu du bol avec avidité.

Elle le garda un bon moment en bouche, le faisant visiblement tourner dans sa bouche pour mieux en apprécier la saveur aigrelette avant d'ouvrir la bouche montrant à tous qu'elle était pleine de foutre, puis elle dégusta la savoureuse potion.

Elle ne fit aucun effort pour se redresser, lais au contraire se laissa choir sur le dos, jambes grandes écartées.

L'homme fortement couillu se posta devant ses lèvres et elle entreprit de lui sucer les burnes, lui testant le trou du cul de la pointe de la langue lorsque soudain un gros chien, un chien loup pénétra dans la pièce, il pointa sa tête directement entre les fesses de la jeune femme.

Sans s'interrompre le chien se mit à lui lécher et lui mordiller la chatoune, savourant les traces de foutre la recouvrant.

Elle s'arqua sur le dos en guise de réponse, ses mamelons pointant comme des obus alors qu'elle se tordait la tête pour observer avec attention le gros chien dont la langue parcourait sa fentine du trou du cul au clito, sa chatoune qui s'ouvrait un peu plus à chaque coup de langue du chien loup qui récoltait le foutre adhérant à ses muqueuses.

Elle suçait par ailleurs toujours la massive mentule que le colosse noir lui enfournait à grands coups de reins dans la gorge, elle enroulait sa langue autour de la large hampe s'adaptant de son mieux à son impétueuse invasion.

Bientôt le chien cessa ses léchouilles, et sauta en arrière l'enfourchant, pattes posées de chaque coté de ses miches sa longue érection luisant sous la lumière électrique, se balançant entre ses cuisses.

Je ne pouvais en croire mes yeux en voyant ma bien-aimée se retourner pour empoigner le chibre de la bête pour la pointer sur sa chagatte luisante de ses propres secrétions.

Le chien glapit alors qu'il trouvait ses marques, se raidissant sur ses pattes arrière de façon à enfourner la totalité de son sexe en elle.

La bite du chien n'était pas très épaisse en comparaison aux serpents noirs qu'elle avait du cajoler auparavant, mais je voyais que le chien s'était implanté en elle jusqu'à la racine, la fourrant de petits coups énergiques.

Elle suçait toujours la grosse bite qu'elle avait en bouche, elle ne pouvait se ménager que quelques instants à chaque retrait pour pouvoir respirer.

D'une main, Tanya branlait la lourde mentule qu'elle suçait, et de l'autre dirigeait la queue de l'animal l'enfonçant profondément en elle alors qu'elle s'arquait sur les chevilles pour mieux l'accueillir.

La caméra zooma sur la longue bite, rouge, et luisante qu'elle serrait entre ses muscles vaginaux alors qu'elle poussait des petits grognements de plaisir.

Ils étaient tous deux enfermés dans leur monde de plaisir, ils baisaient frénétiquement.

La caméra se focalisa soudain sur la bite qu'elle embouchait avec acharnement saisissant l'instant ou elle perdit le contrôle du flot de foutre qui jaillissait dans sa bouche s'étalant sur son menton et dans son cou.

Son suborneur extirpa sa bite qui projeta ses dernières giclées sur son visage, elles s'additionnèrent à la couche épaisse qui couvrait déjà son visage.

L'homme essuya sa bite sur sa joue.

Tanya leva alors la tête vers le chien qui coulissait sauvagement en elle. Comme son visage s'approchait de sa gueule il la renifla et lécha sa langue qu'elle pointait vers lui.

Le chien lui pourlécha les babines et savoura la couche de foutre qui embourbait son visage.

Tanya tendit la main et attira la gueule du chien contre son visage l'encourageant à lui brouter le visage, à se régaler du foutre qui le couvrait.

La caméra zooma sur les protagonistes alors qu'elle enfournait sa langue dans la gueule du chien qui sautait de joie.

Il lapait sa bouche, se régalant du foutre qui la tapissait introduisant profondément sa langue dans sa gorge à chaque fois.

Hanches entrelacées comme celles d'amants passionnés ils semblaient un couple d'amoureux bien que l'un des partenaires soit nettement plus poilus que l'autre. Sa langue sondait et explorait celle de la jeune femme, elle pressait furieusement ses miches contre la poitrine du chien.

Elle releva les jambes et les referma sur son dos, levant les hanches pour mieux l'enfouir dans son intimité.

Le chien pleurnichait et soudain cessa tous mouvements, je réalisai alors qu'il polluait mon adorable petite amie de sa semence bestiale.

Tanya essaya de le maintenir fermement mais il perdit tout intérêt pour elle une fois qu'il eut dispensé sa semence.

Il sauta en bas du banc bien que sa bite soit toujours enfouie dans ses profondeurs, il tirait de travers essayant d'extirper sa mentule de la chatte de ma pauvre amie.

Il se tourna sur le coté de façon à tordre son chibre vers l'é=extérieur et tira à nouveau, cherchant à extirper son nœud qui demeurait fiché en elle.

La caméra zooma sur les burnes de chair rouge qu'il cherchait à rétracter de sa chatoune, ses burnes semblaient enfler lentement avant d'exploser le chassant de son intimité.

Le chien fur projeté en arrière et renifla misérablement au travers de la pièce tandis que Tanya tendait la main pour frotter ses babines et son clito, étalant la semence du chien sur sa chatoune tout en pinçant sa mamelle gauche.

Elle amena une bonne dose de foutre canin à ses lèvres et le dégusta avant de nettoyer ses doigts d'une langue agile.

La caméra filmait son exultation alors qu'impuissant je me demandais si vraiment l'effet des drogues ou si elle se réjouissait vraiment de ce qui lui arrivait...

Texte de Bitch Monkey

Traduit par Coulybaca

27 avril 2009

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 11 ans
Désolé

Je ne comprend pas ton histoire! Comment est-ce qu'une personne peut-être droguée et réagir juste quand une personne spécifique lui demande? Niveau sensation, pas assez de description! On ne peut pas s'imaginer la scène... :(

C'est dommage, la prochaine fois, essaye de faire un bon plan de texte pour que nous puissions suivre l'histoire!

:$

misterbonemisterboneil y a presque 15 ans
Trop, C'est trop

Ces une histoire confuse et assez difficile à suivre au niveau de la forme. Au niveau du contenu, désolé, mais trop, c'est trop.

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