Soumission bucale de Marie

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Marie est soumise violemment par la bouche.
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Marie jeune étudiante pulpeuse de 22 ans dormait paisiblement, lorsque soudain elle fut trainé hors de son lit par une main rugueuse, elle essayait de crier mais ses cries s'étouffaient sous une autre main d'homme qui lui couvrait la bouche.

Il la força à se mettre à genoux, elle résista de toute ses forces mais elles étaient bien maigre en comparaison des siennes. Une fois au sol, l'y maintenant fermement par l'arrière de ses cheveux d'or, il lui ordonna de fermer sa gueule avant de lever la main qui couvrait la bouche de Marie. Plus un son n'en sortit, l'état de choc devait l'empêcher d'agir se dit t'elle. L'homme déboutonna sa braguette pour laisser apparaître un sexe énorme, large, dur et veineux, bronzé et beau se surpris t'elle coupablement à contempler, muette, les yeux écarquillés. « Il bande comme ça pour moi? ». Comment pouvait t'elle avoir cette pensée là à ce moment. « Suce salope » dit l'inconnu d'une voix ferme, interrompant d'un coup ses rêveries. Avant d'avoir le temps de le penser, elle ouvrit la bouche, se penchât et englouti le pénis en érection face à elle.

« Arrête » se dit-elle tout en enfonçant sa bouche toujours plus loin. « Il faut que tu résistes » mais elle poussait déjà le gros gland de l'inconnu contre sa glotte. Son organe émettait de la résistance, il avait plus de mal à se laisser utiliser par ce sexe viril que l'esprit de Marie. Des bruits humides et des gémissements gutturaux sortaient malgré elle de sa bouche, conséquences de ses laborieux essais pour faire passer en force cette énorme queue dans sa gorge. Elle ne comprenais pas pourquoi elle faisait cela, elle se révoltait, mais c'était plus fort qu'elle, qu'elle genre de femme suce passionnément son violeur, elle devait vraiment être une salope en conclut elle. Salope.. « Suce salope » résonna avec force dans son cerveau. Ses mots eurent l'effet d'un électrochoc, elle poussa de plus belle et sentit sa glotte s'ouvrir, et le penis se frayer un chemin dans sa gorge. Elle sentit ses glaires remonter dans sa bouche, presque aussi épais que du vomis, couler le long de la colonne sur des boules pleines puis venir s'étirer en filaments visqueux qui tombaient avec un « ploc » sur le sol. « Suce salope » résonnait dans sa tête, la rendant toujours plus folle.

Elle ne s'en était pas rendu compte mais L'entrée du pénis dans sa gorge avait eu pour effet de lui faire durcir instantanément le clitoris. En fait elle le sentait maintenant à chaque fois que le pénis pénétrait sa gorge par analogie elle sentait de la mouillie sortir de son vagin, elle sentait son clitoris durcir avec plaisir.

Soudain elle sentit une pression à l'arrière de son crâne. La main de l'homme, qui la tenait toujours douloureusement pas les cheveux appuyait. Il voulait aller plus profond, et à cette fin forçait son passage dans la gorge de Marie. Ses gags réflexes lui faisaient avoir des haut le cœur et des soubresaut incontrôlable mais il la plaquait toujours de sorte que malgré ses mouvement de recul, le penis lui violait toujours plus la gorge. Il lui lâcha la tête, qui ressorti comme un ressort se relâche sans pression. Marie vomit sur le gros sexe face à elle, conséquence de la sur-stimulation à laquelle elle était soumise, puis se remit à le sucer, comme si il ne s'était rien passé, malgré la répulsion qu'elle éprouvait.

L'hodeur, son odeur, horrible lui emplit les narines et alors qu'elle s'étouffait à nouveau avec le tronc, la révulsion la dépassa et à nouveau elle vomit. Cette fois, elle n'eut même pas de mouvement de rejet et les filaments glaireux jaillirent de ses lèvres tendue tant sa bouche était déjà rempli. Elle astiquait cette énorme tronc luisant de fluide, roulant sa langue et ses lèvres pour maximiser le plaisir. A ce stade elle était elle meme recouverte de fluides, son visage était trempée, ses seins glissaient de bile. La bave, le vomis se mêlaient à la mouille abondant de son vagin en un ruisseau au creux de sa cuisse, mais cela elle n'en avait même pas conscience. Marie n'avait plus qu'une fonction, suce salope.

Elle faisait maintenant des long vas et vient à une vigoureuse cadence. Elle avalait cette juteuse saucisse jusqu'à sentir un sac de chair s'enfoncer sous la pression de ses lèvres, ses couilles, sa récompense, puis elle ressortait l'engin de sa gorge pour revenir couvrir de ses lèvres pulpeuses la moitié de l'énorme gland gonflé. Elle accomplissait ce cycle de plus en plus rapidement. Elle pompait. Des bruits humides et des gémissements sortaient d'elles chaque fois que la queue pénétrait sa gorge. Elle n'était plus qu'un sextoy, et sa seule fonction était de pomper. La soumise utilisait sa bouche pour son maître sans réserve, sans respect, comme la salope qu'elle était

Elle le sentait se raidir de plus en plus. Le savoir proche de l'orgasme la rendit folle. Elle en voulait plus, encore plus, elle en avait besoin. Elle laissait maintenant a peine le tronc ressortir de moitié avant de jeter son visage en avant pour avidement le faire disparaître. Il durcissait encore. L'anneau que formait ses lèvres tapait encore et encore contre la base de la virilité du taureau. Son nez s'écrasait contre son pubis poilu. Elle baisait profondément sa bouche contre ce penis, comme si c'était une vulve en manque, trempée, sa vulve de salope.

Soudain des décharges de liquides chaud lui emplirent la gorge. Il jouit. Elle jouit. Le sexe viril tressaillait, se tendait et giclait alors qu'il se faisait traire. A chaque lourde décharge de sperm qu'il envoyait au fond d'elle correspondait une décharge de sensations orgasmiques traversant le corps de Marie. Le gland jaillissait de semence qui lui tartinait les parois buccales, qui glissait délicieusement sous sa langue. Le sperm était tellement abondant qu'il lui coulait des lèvres et couler au sol. Elle avala tout, elle lui lécha la bite et l'entrejambe, tressaillant d'un plaisir intense et poussant des cris aigus chaque fois qu'elle tombait sur une coulée de plaisir à se délecter. Elle lécha ensuite goulûment ses dogts comme si ils étaient recouverts de confiture et vit les gouttes au sol. A quatre pâtés, elle aspirait avec délectation et ne le vis pas se relever et se rabiller. Il la toisa un instant avec satisfaction. Du creux de la porte il lança « bonne nuit Marie» . La sirène soumise couverte de fluide se figea à ses mots. Elle se retourna dans la mare de mouille, de bave, de vomis et de pisse qu'elle avait crée. Elle croisa le regard du violeur, son colocataire. « Bonne nuit, Ethan » dit la soumise.

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1 Commentaires
trouchardtrouchardil y a 12 mois

C'est plein de fautes, il y en a même une dans le titre. Et pour la conjugaison il faut choisir entre le passé simple et l'imparfait au lieu de les mélanger. Dommage.

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