Soumission Anale de Marie

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Le voyage de Marie dans la soumission continuel dans son cul
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Le lendemain, Marie se réveilla tard avec une tête cognante, elle avait une de ses gueule de bois se dit-elle. Bizarre elle n'avait pourtant pas bu la veille. Elle avait un gout horrible dans la bouche. Elle se leva et trébucha jusqu'à la cuisine commune pour se faire un café machine. Alors qu'elle le sirotait en se frottant les cheveux, elle essayait d'assembler ses souvenirs. Il lui semblait avoir fait un terrible cauchemard. Un homme la forçait a faire quelque chose d'horrible, la violentait..

Sabrina interrompit ses pensées en déboulant, toujours si énergique, une assiette plombée d'une pile de pancake a la main.

"Hey Marie! bonjour! Ethan a fait des pancakes avant de partir, il est trop chou, t'en veux? Ca va tu tires une de ses têtes t'es pas malade?"

"Ethan" Tout lui revint et Marie se précipita vomir aux toilettes.

Une fois la crise de vomissement (et de sanglots) passée et Sabrina éloigné sous le prétexte d'une gastro -la pétillante colocataire ne voulait pas risquer d'être contaminée- Marie ressentie un soulagement douloureux à savoir Ethan déjà parti, pour 5 jours à un congrès. Ethan était en effet coordinateur général, ou fédéral elle ne se rappelait plus, pour un parti de gauche. Cette passion d'Ethan pour la défense des opprimés pour la lutte contre les inégalités de toutes sorte, ses putain de plaidoyer féministe, prétendu savait elle maintenant mais qui semblait pourtant si sincère lui donnait envie de vomir.

Marie avait été élevée en catholique pieuse. Ce qui s'était passé, même si elle ne se le formulait pas ouvertement ainsi, était de sa faute, son péché. Elle savait en tout cas que c'est ce que se dirait ses parents si elle parlait, elle ne saurait supporter leur regard, et celui de ses soeurs encore moins. Elle avait honte d'elle meme et malgré les heures passées a se frotter sous la douche, a se brosser les dents à en arracher les poils de la brosse, elle se trouvait toujours d'une saleté répugnante, elle sentait encore les fluides nauséabonds sur son corps. Malgré les heures passait a prier, ses pensées dérivées sans cesse vers des pulsions malsaines.

La vérité était qu'elle avait passé la semaine a se masturber en revivant son viol. Elle n'avait pas pu s'empêcher de subtiliser l'énorme gode noir de sa colocataire Sabrina, cette dernière ne l'utilisait jamais de toute façon. Elle en avait besoin pour jouir, et elle avait tout le temps besoin de jouir. Chaque soir, elle se masturbait frénétiquement son clitoris d'une main en enfoncant le gode dans sa gorge de l'autre le plus profond qu'elle pouvait, elle n'arrivait d'ailleurs pas a aller aussi loin qu'avec Ethan et cela la frustrée. Elle avait peur des émotions qu'elle ressentait mais la pulsion était plus forte qu'elle. Elle jouissait avec une puissance douloureuse au moment ou la terreur et le dégout que provoquait ses actes, ses souvenirs, la submergeait. Elle éclatait ensuite en sanglot, jetant le gode avec haine et fracas. Elle se jurait de ne plus recommencer, que ce n'était pas elle et s'endormait au milieu des larmes. Chaque nuit, elle recommençait, c'était plus fort qu'elle. Elle se couchait, nue, comme toujours, et était envahi par des pensées obscènes, elle se voyait se faire agresser par un homme, se faire utiliser sexuellement par lui, se faire violenter. Elle luttait contre ses pensées mais sa vulve trempée, son clitoris durcissant la rappelait toujours a ses pulsions, et elle se retrouvait finalement chaque soir a tâtonner a la recherche du gros gode noir dont elle avait besoin. Cette mascarade dura 5 nuits.

Elle était venue lui ouvrir la porte. Elle attendait, terrifiée, le cœur battant. Elle entendait ses lourds pas d'homme montant les étages. A chaque pas elle était assailli de flash, elle a quatre pate avec sa virilité dans sa gorge, elle se faisant utiliser comme si ca seule valeur était de traire, elle jouissant. Sa terreur n'arrivait pas a lui cacher l'excitations viscérale qu'elle ressentait. A vrai dire elle devait retenir les larmes qui lui montait aux yeux et la pulsion de masturbation qui lui démangeait l'esprit.

Il la prit dans ses bras comme il avait l'habitude de le faire, avant.

il glissa ses mains de son dos vers ses fesses bombées et les serrant il lui glissa a quel point elle lui lui avait manqué avec un clin d'œil complice. Son attitude macho nonchalante la révoltait mais Marie était tétanisée.

Il demanda si Sabrina était la. Oui elle était dans sa chambre. Joyeusement il parti la trouver et ils s'échangèrent un chaleureux câlin souriant. Il lui faisait peur. Comment cet homme pouvait avoir l'air si gentil, si innocent, comment pouvait il traiter Sabrina avec douceur et amour alors qu'elle, Marie, n'était bonne qu'à se faire dégrader, utiliser pour lui vider les couilles.

Les trois colocataires partagèrent un repas ensemble. Marie était comme étourdi, elle avait l'impression d'évoluer dans un liquide épais. Leurs éclats de rire lui parvenait étouffés comme a travers un brouillard et elle avait bien du mal a dissimuler ses émotions. Sabrina remarqua tout de même sa pâleur, mais rien de plus. Apres ce moment convivial a en vomir, chacun vaqua à ses occupations dans sa chambre. Il serait plus adéquat de dire que Marie se refugia dans sa chambre; Elle se blottie dans son lit, tremblante. Le savoir de retour, à quelques mètres d'elle décuplait les émotions qu'elle avait ressenti tout au long de la semaine. La jeune fille était haletante, brulante. Elle se déshabilla tellement elle avait chaud. Elle gémissait et se tortillait en transpirant dans le lit. Les pulsions la dépassait et elle se masturbait quelques secondes puis se reprenait en se donnant une baffe, en se fessant, en s'agrippant violemment. Elle était fiévreuse et n'entendit ainsi pas Sabrina annoncer qu'elle partait faire quelques course, elle l'aurait sinon suivi de peur d'être seule en compagnie de se agresseur. Et de fait, à peine Sabrina eut elle claqué la porte de l'appartement que celle de sa chambre s'ouvrit doucement en grinçant.

Elle se tétanisa en position fœtale sur le lit, les yeux fermés de terreur. Elle entendit un bruit de ceinture qu'on déboucle, un pantalon qui tombe au sol. Elle entrouvrit les yeux pour tomber dans son cauchemarde. La même vision d'une dangerosité enchanteresse, son membre bronzé, veineux et majestueux, était dressé au dessus de sa tête.

"Pourquoi tu me fais ca?" Parvint elle à lancer

Pourquoi? Mais parce ce que c'est ce que tu souhaites Marie, ce que tu demandes et ce dont j'ai besoin. Tu as vu ce que tu m'as laissé te faire la dernière fois, tu te rappelle comme tu as tout avalé. Tu es mon esclave sexuelle Marie"

Il lui tira le crane de manière a amener son oreille contre sa bouche et lui glissa d'un souffle "je vais te sodomiser maintenant Marie". Elle le supplia de ne pas le faire, elle ne voulait pas, elle n'était pas celle qu'il disait. Sans prendre gare a ses suppliques, il projeta le drap au loin pour découvrir au dessous son corps de sirène recroquevillé, complétement nue. Il rit en lui faisant remarquer qu'elle était déjà prête a se faire utiliser, comme une bonne esclave. Elle voulut retorquer mais ses mots étaient trop vrais. Il y a quelques secondes encore elle se masturbait sa vulve débordante et n'était que trop prête à se faire violer.

Personne n'était jamais rentré dans ce trous. Ces deux petits copains précédents avaient essayer de la convaincre, elle comprenait ce qui fascinait les hommes avec ce nœud de chairs fripé au milieu de ses deux ballons de chaire blanche, mais malgré leurs demandes répétées elle ne leur avait jamais laissé accéder à cette part de son intimité. Ils avaient demandés, eux.

Il était maintenant derrière elle et l'avait positionné en levrette. Marie s'était oubliée elle même et il la positionnait comme une poupée. Elle repensait a ses ex-copains et a leur envie de son cul, elle se demandait si ils leur auraient suffit de la prendre pour qu'elle leur abandonne le fantasme qu'ils désiraient tant.

Ils ne le sauraient jamais. Ethan lui crachait maintenant dessus et étalait la bave coulant dans sa raie a l'aide de son sexe dur qu'il massait ainsi en l'utilisant. Il avait tant d'assurance, elle ne voulait pas se faire sodomiser, mais il allait lui prendre sa virginité anale, et elle allait le laisser faire, elle le savait.

Alors qu'elle le laissait utiliser son corps sans résistance, elle continuait en revanche a vocaliser son non-consentement, à lui dire qu'il ne pouvait pas faire ca. Une part perverse d'elle prenait plaisir à le voir le faire quoi qu'il en soit.

Ethan la trouvait comique, en levrette exhibant son cul, l'anus plaqué contre son gland, mais suppliant avec toute la sincérité du monde qu'elle ne voulait pas.

Il l'empoigna par le gras des fesses pour l'empêcher de bouger alors qu'il appuyait de plus en plus fort son gland contre l'entrée de son anus, qui s'enfonçait sans s'ouvrir. C'était la première fois et Ethan était massif. Sa rondelle finit par céder sous la pression et commença à s'étirer centimètres après centimètre sur l'interminable colonne.

Ses pieds et ses bras se tordaient sous la douleur mais son bassin restait docilement vissé sur le sexe responsable de son tourment.

Son dominateur amorçât un mouvement de bassin. L'anus était tellement serré qu'il se retirait avec lui dans un effet de succion à chaque vas et vient. Sa fermeté vierge provoquait un plaisir intense à Ethan et il allait de plus en plus profond pour assouvir ses besoins animaux.

Les suppliques de Marie étaient maintenant entrecoupé de gémissements d'un plaisir douloureux, inexplicable et qu'elle n'arrivait pas à réprimer.

Continue de me supplier d'arrêter et peut-être que demain matin je ne te violerai que la bouche"

Ces mots furent la goutte de trop à encaisser pour l'esprit de Marie. Les sensations que lui provoquaient l'énorme queue violant son anus étaient déjà d'une contradiction traumatisante. L'idée d'un demain matin l'emplit d'une terreur qui la fit jouir. "Arrête arrête!" hurla Marie en se cambrant pour mieux laisser Ethan lui baiser la rondelle jusqu'aux couilles. Elle était prise de soubresaut et de pleurs, elle n'avait jamais ressenti de plaisir aussi intense. Mais Ethan n'arrêtait pas, au contraire il l'empalait implacablement faisant rougir les grosses fesses tremblantes de marie sous ses coups de butoirs.

Il la releva en l'étranglant au point de l'asphyxier et tout en continuant a la sodomiser violemment il lui lança d'une voix rauque "T'es une chienne qui joui en se faisant violer le cul!" Plus aucun mots intelligibles ne sortaient de la bouche de Marie, elle avait trop peur des pensées qui se bousculaient dans sa tête . "Dit le salope" Ethan n'avait pas de respect pour elle, et le démontra en adjoignant a son ordre une forte claque sur la joue de Marie "Je suis une chienne qui joui en me faisant violer le cul!" sa phrase se brisa en sanglots alors qu'en prononçant ses mots elle joui une fois de plus. Un liquide visqueux s'écrasa sur son visage, instinctivement elle ouvrit la bouche et tira la langue juste a temps pour voir Ethan lui cracher dessus a nouveau, cette fois dans sa bouche prête a le recevoir. Elle pouvait sentir le gout du crachat dans sa bouche, le dégout la faisait jouir encore plus fort.

Ethan ralenti et arrêta l'abus délicieux que ces coups de reins lui infligées. Elle continuait de sangloter et de le supplier idiotement d'arrêter. Il sorti lentement de son anus avec un "bop" observa avec satisfaction qu'il restait béatement ouvert et vain s'assoir sur le bord du lit a coté d'elle. Elle était toujours en levrette et il lui prit la tête sous le bras, caressant ses cheveux de manière affectueuse. Il la berçait tendrement. Sa douceur la choquait après la violence qu'il avait montré

"La Marie tout va bien, détend toi ca va aller »

Les larmes de marie se calmaient. Elle se lovait contre lui, elle avait tant besoin d'être rassuré qu'elle lui était reconnaissante de le bercer. Elle ne s'en était pas rendu compte mais tout en la câlinant affectueusement il avait doucement mais assurément poussé sa tête de la position affectueuse initiale sous son bras musculeux vers son pectoral puis son ventre et elle se retrouvait maintenant avec son érection sous le nez.

Elle sentait qu'il l'avait utilisé. Elle sentait son odeur, l'odeur de sa merde. Elle voyait sa bite sale, dure et veineuse. La gorge de marie se serrait en anticipant ce qui allait lui arriver. Elle sentit de nouveau la pression de sa main a l'arrière de son crane. Elle résistait pour essayer de rester blottis contre son ventre mais son gland souillé tapait déjà contre ses lèvres. Elle voulu lui dire d'arrêter mais l'ouverture de sa bouche fut seulement l'occasion pour lui d'y pénétrer en force son sexe. il continuait de lui susurrer que tout allez bien en lui caressant doucement le corps de la main droite. De la main gauche en revanche, il obligeait son visage a descendre sur son entre jambes.

Marie résista tant qu'elle put. elle se voyait se débattre et hurler, refermer sa bouche et lui déchirer le tronc. En réalité Cette chienne ne faisait rien que freiner la descente, mais elle écartait ses lèvres et les plaquait sur la peau du pénis pour maximiser le plaisir.

Elle commençait dans son esprit a personnaliser le membre d'Ethan. Cette grosse saucisse ne pouvait pas être méchante, elle était si belle, si grosse et bronzé. La queue voulait juste donner du plaisir et Marie sentait un besoin maternelle de s'en occuper. Apres être passée dans son trou a merde, elle avait besoin d'être lavé. Oui oui c'était son devoir de la rendre propre.

A cette pensée les muscles dans son cou se relâchèrent et la force d'Ethan fit rentrer 15 bons centimètres de chair. A sa surprise Marie n'eut aucun mouvement de rejet. Au contraire elle s'étouffait maintenant frénétiquement, tirant la langue pour maximiser le glissage, bavant et s'étouffant en essayant de rentrer toujours plus de chair a l'intérieur de sa gorge. Un interrupteur s'était actionné dans l'esprit de marie et alors que quelques secondes auparavant elle était dans une apathie larmoyante elle se soumettait maintenant à sa condition d'esclave.

Comme la dernière fois, elle le suça sans réserve, sans aucun respect pour elle même. Elle pensais faire la toilette a une bête d'amour qui en avait besoin, sa bouche était simplement le gant de toilettes adéquat pour éponger les résidus fécaux dont elle avait souillé cette précieuse colonne avec son anus sans valeur. Elle avait honte de l'avoir sali ainsi, et s'affairait maintenant a astiquer cette grosse bite sale avec ses lèvres, a la polir avec sa bave. Elle venait de rentrer dans un état de transe adorative. Le pénis était sa croix, son tourment et sa délivrance, elle péchait a la rendre dur comme ca , elle péchait a se laisser sodomiser, elle devait expier ses fautes. Marie était une croyante dévoué, elle se flagellait maintenant la gorge avec ce membre sacré, imperméable à tout sauf au dieu de virilité qui se dressai entre les cuisses épaisses du taureau qui la prenait.

"C'est bien Marie tu commences à comprendre ta place. Tu es ma vache a sperm tu comprend Marie!" éructait justement son taureau

Sur ces mots il se releva et lui baisa la bouche comme l'objet qu'elle était. Il finit par sortir après de longues minutes à lui faire comprendre a grand coups de queue dans sa gorge qu'elle vivait dans un monde ou les hommes comme lui pouvait faire ce qu'il voulait des femmes comme elle. Il lui fit contempler son membre.

"Tu vois tu l'as bien nettoyé comme une bonne fille"

A ces mots en sourire qu'elle n'arrivait pas a réprimer se dessina sur ses lèvres, elle était la petite fille qui rougit de recevoir un compliment de son papa.

"Maintenant retourne toi"

Le sourire sur ses lèvres se brisa et alors qu'elle mettait du temps a obtempérer il la gifla a nouveau avec force, la projetant sur le coté. Il saisit sa cuisse et fini de la retourner comme si elle était un sac de patates. Elle était maintenant en travers du lit, ses jambes graciles pendant mollement. Au dessus d'elle il la saisit par les tibia qu'il remonta sans efforts contre ses cuisses malgré la résistance que marie opposait. Elle contracta ses cuisses mais il les ouvrit grand d'un mouvement et vain planter son gland gonflé contre son anus qu'elle essayait de maintenir clot. Elle voyait ses gros bras saillant l'utiliser, elle tremblait d'impuissance, et le sentiment l'emplissait d'une jouissance obscène. A ce stade son clitoris était tellement tendue qu'il lui faisait mal et qu'elle tressaillait de plaisir en sentant la couette l'effleurer.

Malgré elle elle glissa une main sous son ventre et alors qu'encore une fois, malgré ses efforts pour le tenir clôt Ethan rentrait dans son anus distendu par ses précédents assauts sans résistance, ses doigs entrèrent en contact avec la protubérance que formait son clitoris. Elle se cambra instinctivement sous la vague de plaisir que le contact lui déclencha, donnant involonairement accès libre a Ehtan qui rentra jusqu'aux boules. Elle hurla de douleur et, continuant la masturbation qu'elle n'était plus en mesure de controler, la jouissance se mêla a la douleur dans ses cris. Elle ne voulait pas qu'il voit ca, elle ne voulait pas lui donner une justification, une autorisation, et pourtant.. L'humiliation la fit jouir plus fort. Toujours fermement agrippé à ses tibias, Ethan plongeait au plus profond d'elle puis ressortait jusqu'à sentir son anus se refermer en poussant son gland a l'extérieur, il rentrait ensuite de nouveau en force sur toute sa longueur. A chaque vas et vient, il sentait la résistance de marie s'amenuisait à mesure qu'il lui ouvrait de force l'anus. Il lui tortura l'arrière train ainsi pendant un temps qui lui sembla ne jamais finir. Il lui ordonna d'écarter ses fesses. Répondant cette fois ci immédiatement, les doigts de Marie s'enfoncèrent dans le gras de ses fesses et écartèrent au maximum ses deux jambons de vache. Son trou était maintenant tellement distendue qu'il restait béatement ouvert, un stupide anus béant de salope, lorsqu'Ethan se retirait.

Elle pensait maintenant être une dinde se faisant fourrer le croupion, les bruits de pets et de glissements humide lui parvenant de derrière elle n'était pas pour rien dans l'image qui s'imposait dans sa tête.

Il la défonçait ainsi de plus en plus fort et après avoir longuement utilisait le cul de son esclave, le taureau n'en put plus et déchargea tout le contenu de ses boules pleines de voyages en continuant inlassablement de faire glisser toute l'amplitude de la rondelle de marie sur son membre éructant. Il la pompait pleine de son sperm. L'acte gravait sa soumission dans son esprit. Ethan était son male alpha, et elle n'était qu'un bout de viande à sa disposition.

Longtemps après qu'il fut parti continuer sa journée, non sans oublier d'essuyer sa bite avec sa bouche en aurevoir, elle se trouvait toujours dans la même position. Elle effleurait du bout des doigts les bords de son anus rouge et toujours distendu, elle goutait le liquide qui s'en échappait en intégrant ses pensées.

Dorénavant, elle savait qu'il l'utiliserait comme il le voudrait, quand il le voudrait, autant qu'il le voudrait. Telle était sa place. Sa main glissa sur son périnée couvert de fluides vers son clitoris toujours dur, et Marie gémit.

edit

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 26 jours

Quand la prête-t-il à d'autres ?

AurailiensAurailiensil y a 11 mois

Pour rester dans la rime... Soumission mentale de Marie ?

lilounordlilounordil y a 11 mois

j'adore, a quand la suite ??

AurailiensAurailiensil y a 11 mois

Orthographe mise à part... excellent !

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