Sorcellerie 02

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Le retour est difficile !
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00
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/14/2016
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Les jours suivants furent étranges. J'avais un peu de mal à revenir à la réalité. Je rêvais de mon voyage, coincé dans le sexe de cette femme. Le lendemain de mon 'retour', je ne pus résister et je me masturbais en me remémorant cette étrange aventure...et je fus incapable de jouir. Je m'amenais au bord de la jouissance, sentant arriver le point de non-retour, mais je n'y arrivais pas. Jamais je ne m'étais sentis aussi frustré.

Tous les soirs, je renouvelais l'expérience avec le même résultat. Quinze jours passèrent sans que le puisse faire tomber la tension sexuelle qui m'habitait continuellement. Je ne pensais plus qu'à ça et je n'arrivais plus à travailler .En désespoir de cause, je me résolus à retourner à la librairie

Elle était là, assise derrière son comptoir. Curieusement, et malgré le fait qu'elle aurait pu être ma mère, je la trouvais à présent étrangement attirante. Je ne pouvais enlever de ma mémoire les sensations incroyables que j'avais vécu avec elle dans mon état de nain. Elle leva les yeux vers moi et eut un sourire amusé

« Tiens...Bonjour, que puis-je pour vous? »

« Qu'est-ce que vous m'avez fait »

« Je ne comprends pas, j'ai juste fait une petite expérience... »

Je commençais à sentir la colère monter

« Vous le savez bien, qu'est-ce que vous m'avez fait, je n'arrive plus à jouir! »

« Oh, ça.. »

Je la vis se pencher et retirer l'une de ses chaussures qu'elle posa sur le comptoir.

« Tiens, sniffe »

Sans comprendre, je saisis la chaussure encore chaude et la portait à mon nez. L'odeur fauve et aigre m'envahit et immédiatement je me sentis bander dans mon jean. À la deuxième inhalation de cette puanteur chaude, je jouis dans mon pantalon, sans même m'être touché. Complètement perturbé, Je reposais la chaussure qu'elle remit immédiatement avec un large sourire.

« Voilà, mais maintenant, tu as une grosse tâche sur ton jean »

« Expliquez-moi, qu'est-ce qui m'arrive »

« Ça arrive parfois après le 'retour', certains ne peuvent plus jouir sans sentir mes odeurs. Une sorte de lien résiduel. En général, ça passe assez vite. Mais je n'avais jamais vu un homme jouir spontanément rien qu'en respirant ma chaussure. D'habitude, ils se masturbent »

« D'habitude? Vous avez fait ça à beaucoup de monde »

« Beaucoup, non, une demi-douzaine, tu es le huitième pour être plus précis. »

J'étais effaré par cette révélation. Ce que j'avais vécu , d'autre l'avait vécu avant moi et elle prenait ça comme si c'était tout à fait naturel.

« Mais vous êtes folle! »

« Tchh, tchh, je serai toi, j'éviterais de me mettre en colère »

Je sentis clairement la menace et me radoucis.

« Pourquoi faites-vous ça? »

« Pour deux raisons, la première, c'est pour montrer aux scientistes qu'il existe des choses que les anciens connaissaient et qu'ils ignorent, la seconde, c'est, parce que je ne jouis jamais autant que quand je sens un homoncule se débattre dans ma chatte et que chacune de ses jouissances déclenche la mienne. »

Une femme rentra dans la librairie. Je me réfugiais dans un coin pour cacher la large tâche qui auréolait ma braguette. Elle resta un temps qui me sembla infini, papillonnant parmi les étagères. À un moment où elle était au fond de la librairie, j'en profitais pour m'éclipser.

La rentrée fut un calvaire, j'avais l'impression que tout le monde voyait mon jean souillé et je suis presque certain qu'une femme ou deux s'en aperçurent. Sitôt arrivé dans mon appartement, je pris une douche chaude, autant pour me laver que pour oublier cette horreur.

Cette fois, il me fallut trois semaines avant que je ne décide de retourner voir la libraire. À cet instant, j'aurai tout donner pour jouir et faire tomber cette tension qui ne me lâchait pas. Je fus consterné en constatant que la boutique était fermée et qu'un message sur la porte indiquait qu'elle ne rouvrirait que quinze jours plus tard.

Quinze jours de plus sans jouir, cela me paraissait impossible.

Ces quinze jours furent sans doute la pire période de ma vie. La simple vue d'une jupe un peu courte, d'un décolleté avantageux me mettait dans un état d'excitation que je n'avais jamais connu. J'ai toujours été attiré par les femmes, bien qu'étant encore puceau, mais ça atteignait des proportions que je n'avais jamais connu. J'étais surtout excité par les femmes mûres et bien en chair.

J'essayais chaque soir de parvenir enfin à jouir, sans succès, et à force, ma verge commençait à me faire mal.

Je fus là le premier jour de la réouverture. Elle m'accueillit avec un air étonné.

« Encore toi, tu n'es pas encore guéri? »

« Non Madame, cela fait plus d'un mois que je n'ai pas jouis, je vous en supplie, je n'en peux plus »

Elle m'observa avec un regard interrogatif.

« Étrange, d'habitude, au bout de quinze jours, trois semaines, les choses rentrent dans l'ordre...et tu n'y arrives toujours pas?»

Elle fit un geste éloquent évoquant la masturbation. Honteux, je baissais la tête.

« Non Madame, c'est impossible »

« Bon, viens voir dans l'arrière-boutique »

Je la suivis pour pénétrer dans une large pièce, encombré de livres et de cartons. Au fond de la pièce, trônait un large lit. Elle dut percevoir mon interrogation.

« Il m'arrive de dormir ici, quand je ferme tard et que j'ai la flemme de rentrer. Retire ton pantalon »

Interloqué par sa requête, je la regardais bêtement.

« Retire ton pantalon, ça va éviter que tu rentres chez toi décoré comme un sapin de noël »

Je me déshabillai consciencieusement, retirant chaussures, chaussettes, pantalon et slip. Je me retrouvais devant elle, nu jusqu'à la taille.

« Mets-toi à genoux »

Sitôt que je fus à genoux, elle posa son pied gainé de nylon sur ma figure. À peine eus-je inhalé l'odeur de son pied que j'éjaculais sur le carrelage. Je n'avais ressenti aucun plaisir, mais au moins, la tension sexuelle qui m'habitait depuis un mois était retombée. Ce qui était incroyable, c'est qu'une fois encore, j'avais jouis presque immédiatement sans même me toucher. Elle remit sa chaussure et quitta la pièce en me disant.

« Tu nettoies, tu te rhabilles, et tu t'en vas! »

Revenu chez moi, je me demandais où tout cela pouvait me mener. Être dépendant d'une libraire de 50 ans passés pour jouir ne me semblait pas être un avenir heureux. Et pourtant, je ne pouvais m'empêcher d'éprouver une forte attirance pour elle.

Je décidais de ne plus aller la voir. Elle m'avait dit que ça allait passer, il suffisait que j'attende que ça passe.

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