Sorcellerie 01

Informations sur Récit
Pascal découvre le surnaturel ...et le corps de la femme.
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Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/14/2016
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La boutique paraissait sombre, vue de l'extérieur. Le panneau sur la devanture était écrit en lettres cursives : « Ésotérisme et Arts anciens » La décoration me plaisait et j'avais deux heures à perdre. Et puis le titre de la boutique m'intriguait. La petite rue de la vieille ville n'était pas très passante ni très riche en distraction.. Je poussais la porte et rentrais. En fait, la boutique était réellement sombre. Il y avait une vague odeur que je ne parvins pas à identifier. Une femme d'une cinquantaine d'année était assise derrière un comptoir en bois. Elle n'était ni belle ni laide mais dégageait un sorte 'puissance animale' qui m'impressionna tout de suite.

« Bonjour...vous cherchez quelque chose? »

«Non...je jette juste un œil »

« Faites, je vous en prie »

Elle se remit à sa lecture

Désœuvré, je passais dans les rayons, jetant un œil distrait au contenu de cette étrange librairie. Il y était question de spiritualité, de cartomancie, de spiritisme. Au détour d'un rayon, je tombais sur une étagère intitulée « Sorts et Imprécations » Il y avait là toutes sortes de livres apparemment dédiés à la sorcellerie. Avec un sourire en coin, j'en saisis un qui paraissait particulièrement ancien intitulé : « Des sorts de mutation ...traduit du latin par JF. Salon 1862 » Je feuilletai délicatement le livre, qui parlais de métamorphoses, de transmigrations, de voyage extra-corporel et je sursautai quand la libraire, que je n'avais pas entendu venir, s'adressa à moi.

« C'est un livre très intéressant »

« Euh ..oui, enfin, je vais être honnête, je ne crois pas trop à toutes ces choses »

Elle eut un sourire étrange.

« Le problème n'est pas croire, ou ne pas croire. Nous vivons dans un monde où la science a remplacée le savoir des anciens. Et nous raisonnons inconsciemment avec ce prisme devant les yeux. Mais les anciens avaient d'autres techniques tout aussi efficaces. Ce livre, que vous tenez, est très, très ancien. À l'origine, c'était un rouleau Grec qui , selon la légende,proviendrait de papyrus Égyptiens. Il fut traduit en Latin à de multiples reprise, puis en Français. Cette traduction-là me semble particulièrement intéressante »

Je la regardais fixement, stupéfait de sa culture bibliothécaire. Et puis, mon esprit rationnel reprit le dessus. Je reposais le livre dans l'étagère.

« Oui, enfin avant la démarche scientifique, on a pas beaucoup évolué »

« Vous êtes sûr? Les Pyramides, Stonehenge, Çatal Höyük...ça vous dit quelque chose? »

En dehors des Pyramides, je ne voyais pas bien de quoi elle voulait parler et je n'avais plus qu'une envie : sortir de cette boutique.

« Bon, excusez-moi, je vais devoir partir.. »

Et ce fut la dernière chose dont je me souviens!

Quand je revins à moi, j'étais étendu sur une surface froide.J'ouvris les yeux . Le plafond semblait immensément haut. J'avais mal à la tête et la nausée. Tant bien que mal, je me redressai. Et c'est alors que mon univers bascula.

J'étais dans une chambre assez classique, avec un lit, des penderies, une large commode....Mais tout cela avait des proportions immenses. J'étais assis sur une table de chevet. Je devais être à vingt mètres du sol. J'étais nu et mes sens me semblaient extraordinairement développé, mon odorat surtout, je sentais l'odeur de lessive du lit , l'odeur de verdure provenant de la fenêtre ouverte, l'odeur de bois ciré du parquet.

C'était incroyable et il fallut que je me pince pour me persuader que je ne rêvais pas. J'étais là depuis quelques minutes, assommé par ce qui m'arrivait quand la libraire entra dans la chambre. Une libraire grande comme un building!

« Alors petit homme, tu crois à ma science maintenant? »

Sa voix me parut anormalement grave, lui donnant une sorte de sensualité que je ne connaissais pas J'essayais de répondre, pour exprimer ma colère, mais aucun son ne sortit de ma bouche. Je sentais légèrement l'odeur aigrelette de sa sueur et inexplicablement, et à ma grande honte, je rentrais en érection . Je camouflais mon membre érigé comme je le pouvais en observant effaré cette gigantesque femme se pencher vers moi.

«Je sais que tu ne peux pas me répondre, mais tu vas avoir des compensations : - D'abord, tu t'en es peut-être déjà rendu compte, ton odorat est décuplé. - Ensuite, et tu le constates maintenant, tes pulsions sexuelles le sont aussi. Tu vas passer plus de temps en érection qu'au repos tant que tu seras dans cet état.

Elle me saisit délicatement entre deux doigts et me posa dans la paume de sa main. Allongé de tout mon long, j'y tenais juste. Je ne devais pas faire plus d'une dizaine de centimètre. J'étais immergé dans l'odeur de savon qui émanait de cette main gigantesque. Puis elle saisit un mince lacet blanc qui pour moi avait l'apparence d'un câble.

« Écarte les bras »

Complètement désorientée par ce qui m'arrivait, je m'exécutais docilement, elle passa le lacet/câble autour de mon torse et fit un nœud, me serrant fermement,. Je ne comprenais pas ce qu'elle faisait, mais je ne parvenais pas à réfléchir.

Je vécus ce qui se passa ensuite comme dans un rêve...un cauchemar. Elle me reposa sur la table de nuit, baissât son jean puis sa culotte faisant apparaître sa chatte géante perdue dans une forêt de poils noirs. Puis me saisissant d'une main tandis qu'elle écartait les lèvres de son sexe de l'autre, je la vis avec horreur m'approcher les pieds en avant de son vagin entrouvert dont je pouvais voir l'intérieur rose et gonflé et elle m'y introduisit avec fermeté. Affolé à l'idée d'étouffer dans cet antre spongieux, j'eus la présence d'esprit d'écarter les bras pour empêcher mon insertion totale, m'agrippant autant que je le pouvais aux rares poils qui m'entouraient. Satisfaite de sa manœuvre, elle remonta sa culotte puis son jean, me plongeant dans une obscurité totale ...et c'est alors seulement que je pris conscience de l'odeur...une odeur forte.. musquée...animale...un peu aigre...mélange d'odeur de sueur, de sécrétion et d'urine. Je me sentis entrer en érection dans le cocon gras qui m'enserrait.

Elle se mit à marcher. À chaque pas, le jean m'appuyait davantage dans son vagin et je devais lutter pour ne pas être totalement 'avalé'. Perdu dans mon univers obscur et noyé dans l'odeur puissante qui m'envahissait à chaque respiration, je ressentais le mouvement de va-et-vient de chacun de ses pas comme une sorte de masturbation lente et frustrante. Assez vite, l'humidité de son vagin se fit plus présente et je me trouvais plongé dans une onctuosité gluante dont l'odeur devenait plus forte de minute en minute.

Je ne me souvenais pas avoir été autant excité qu'à ce moment et le frottement lent des parois vaginales devenait une sorte de torture. Je n'avais plus qu'une envie, c'était de jouir de ce contact gras, submergé par cette odeur aphrodisiaque.

Elle marchait toujours, la masturbation lente continuait et j'éjaculais enfin. Je dis j'éjaculais parce que ce ne fut pas une jouissance, plutôt une douleur qui me saisit tout le bas ventre tandis que j'expulsais mon sperme dans ce vagin surdimensionné. Je reprenais mon souffle bouche grande ouverte quand je sentis ses cuisses se crisper et je fus inondé d'une sécrétion fluide et chaude. Surpris par ce flot imprévu, je fermais la bouche trop tard et j'avalais une pleine gorgée de sa cyprine. Plus que son goût fade, salé, vaguement métallique, c'est sa viscosité grasse qui me fascina.

Il ne fallut pas longtemps pour que mon excitation reprenne le dessus et que je me retrouve à nouveau au bord de la jouissance. Ce fut à ce moment qu'elle s'assit et que la stimulation cessa. Mais l'odeur puissante de son sexe m'imprégnait et je ne débandais pas!

Le temps passait. J'étais un peu plus à l'aise, n'ayant plus à lutter pour ne pas être ingéré pas son vagin. J'étais immergé dans l'odeur musquée de son sexe et j'avais encore dans la bouche le goût de sa mouille. De temps à autre, elle bougeait ses cuisses et je ressentais chacun de ses mouvements comme une subtile masturbation.

Puis elle se releva et se remit à marcher et le cycle infernal recommença. Cela ne dura pas très longtemps. Elle baissa son jean et sa culotte et je fus ébloui par la lumière crue. Elle s'assit sans que je comprenne tout de suite ce qui se passait. Sa position étrange pressait les parois de son vagin contre ma poitrine et j'avais du mal à respirer. J'ouvrais la bouche pour essayer de prendre le maximum d'air quand brutalement, je fus inondé par un flot d'urine dont je ne pus faire autrement que d'en absorber une partie. Je fermais immédiatement la bouche et restais en apnée toue le temps de sa miction. Quand le flot s'interrompit enfin, j'étais dégoûté par ce qui venait de se passer, j'étais inondé d'une urine chaude dont l'odeur caractéristique me montait aux narines et je luttais contre la nausée qui montait. Elle se releva, passa un papier toilette sur sa chatte et sur moi, par la même occasion, essuyant mon visage de cette urine acidulée, remonta sa culotte qui me pressa à nouveau dans son sexe et son jean qui me remit dans une obscurité odorante. J'avais dans la bouche et dans le nez le goût et l'odeur acre de son urine quand elle revint s'asseoir.

Je vivais une sorte d'enfer, qui cependant m'excitait au plus haut point.

La journée se passa ainsi, j'éjaculais une douzaine de fois durant ses 'voyages', ce qui aurait été totalement impossible dans ma vie normale, chaque éjaculation était plus douloureuse que la précédente, les dernières m'amenant des larmes dans les yeux. Elle eut, semble-t-il, un orgasme à chacune de mes éjaculations et je fermais la bouche et les yeux pour éviter ses sécrétions chaudes et glaireuses...mais mes narines en étaient totalement englués. Elle fit un autre 'voyage' aux toilettes mais, cette fois, averti de ce qui allait se passer, je fermai la bouche et les yeux quand le liquide chaud m'inondait. Je n'imaginais même plus respirer autre chose que l'odeur prégnante de son sexe dans cette obscurité musquée et aigre tout en luttant pour ne pas être ingéré totalement par son sexe.

Enfin, le soir vint. Elle défit son jean et sa culotte et, me tirant par le lacet comme un vulgaire tampon hygiénique, me sortit de la gangue onctueuse de son vagin.

« Où est-ce que je vais te mettre, il ne faudrait pas que le chat joue avec toi »

Elle enleva une de ses chaussettes en voile, l'accrocha aux montants de son lit, et me glissa dedans, tête en bas. L'odeur forte de ses pieds et le contact du nylon contre mon membre en érection me fit éjaculer à nouveau presque immédiatement, avec une douleur qui me coupa le souffle. J'étais gluant de sécrétions, j'avais bandé la plupart du temps et j'avais, jouis en une journée plus que lors d'un mois normal. Je me sentais épuisé et je m'endormis rapidement dans cette odeur fauve en sentant mon sperme me couler sur le ventre.

Je fus brutalement réveillé quand elle me tira de sa chaussette pour me plonger dans un lavabo à moitié plein d'eau tiède. Cela me faisait une piscine tout a fait convenable et je pus enfin me nettoyer. Depuis que j'étais 'nanifié', c'était le premier moment ou je me sentis un peu détendu.

La journée se passa comme la veille. À un détail près. À un moment, elle m'extrait de son vagin et me déposa dans son sac à main, parmi ses affaires intimes, tube de rouge à lèvres, brosse à cheveux, clés, paire de bas de rechange et autres objets que je n'identifiai pas. Elle bougea un instant et je fus obligé de faire attention pour ne pas être écrasé par tous ses ustensiles géants qui devaient faire dix fois mon poids. Puis elle posa le sac. Je me retrouvais allongé dans la paire de bas que j'avais utilisé pour me protéger des chocs. Je restais ainsi dans le noir pendant un moment que je ne peux pas estimer. J'étais enfin tranquille et au calme .

La soirée venue, au lieu de me remettre dans son bas comme la veille, elle me remit à me laver dans son lavabo puis m'allongea au milieu du lit gigantesque, et à nouveau, je perdis conscience. Quand je me réveillai, j'étais revenu à ma taille normale. Elle était au-dessus de moi et me regardait avec inquiétude

« Ça va? »

« Euh....oui, ça va , qu'est-ce qui s'est passé?»

« Rien, tu ne croyais pas à ma science, je te l'ai montré »

J'avais l'impression d'avoir vécu un rêve. Je me rhabillai et rentrai chez moi, dans la plus grande confusion. Je mangeai rapidement et ne tardai pas à m'endormir. Je me sentais épuisé.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 7 ans
Génial

Vraiment génial cette .... immersion !

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