Soirée Entre Amies Ch. 04

Premiers tests

Maître Luc

Nous voici enfin à table. Le repas préparé par mon épouse est succulent, nos hôtes se régalent et boivent beaucoup. Les 3 bouteilles de bordeaux rosé bien fraîche ont presque été bues entièrement, il ne reste que la moitié de la troisième. Les filles, Carole et Laurence sont de plus en plus guillerettes, mon épouse fait semblant de l'être aussi. La discussion porte de plus en plus sur le sexe et les pratiques sexuelles de nos hôtes. Afin de savoir si elles sont prêtes, je décide de commencer mon test. Il est fort simple. Je suis assis à côté de Laurence, Carole est en face de moi et mon épouse en face de Laurence. Je pose ma main sur la cuisse de Laurence, elle ne réagit pas, du moins pas négativement, au contraire, je sens un mouvement de sa cuisse qui me fait comprendre sans avoir besoin de regarder, qu'elle vient d'écarter les cuisses. Ma main se dirige alors rapidement et avec une grande assurance vers son pubis et mon index et mon majeur se retrouvent plus vite qu'il ne faut pour l'écrire, en train d'écarter ses lèvres. Laurence prend alors son verre de vin, le porte à sa bouche et ferme les yeux comme pour faire croire qu'elle est en train de savourer ce nectar. En réalité, elle a envie que je caresse davantage son clitoris. Mon épouse en a fait de même avec Carole, qui a été plus sauvage que Laurence au départ mais a fini par devenir conciliante. Les voici toutes les deux prêtes pour descendre au sous-sol.

Laurence

Le cocktail à base de rhum était vraiment délicieux mais je pense que j'en ai peu abusé. Je me promets de faire attention pendant le repas car je me rends bien compte que je commence à ne plus avoir toute ma concentration, en mettant la table, j'ai fait tomber une fourchette sur le sol et j'ai ri aux éclats quand Françoise m'a dit que j'allais être punie pour cette erreur.

Le repas préparé par Françoise est excellent même si je le trouve un peu trop épicée ce qui me fait boire plus que je ne le voudrais, de plus Luc n'hésite pas remplir mon verre régulièrement. La tête me tourne un peu et lorsque Luc pose sa main sur ma cuisse, je ne proteste pas et au contraire, je fais quelque chose que je n'aurai jamais imaginé possible. J'écarte mes cuisses et je sens la main remonter sur ma cuisse et arriver sur la dentelle noire de mon string.

Une douce chaleur envahit mon bas ventre au moment où je sens les doigts écarter le tissu fin et se glisser entre mes lèvres intimes, ils caressent un bref instant ma toison pubienne avant de trouver le point stratégique de mon entre cuisses et commence à le titiller.

Je ferme les yeux pour apprécier cette douce caresse. Je respire profondément espérant faire durer ce moment le plus longtemps possible. J'avance même mon bassin vers le bord de la chaire.

Lorsque Luc retire son doigt, je rouvre les yeux et le regarde frustrée mais je n'ose rien dire. Je vois que Françoise me fixe. J'en baisse les yeux.

Françoise me demande alors si je peux venir l'aider dans la cuisine pour préparer le dessert.

Je me lève et la suis.

Arrivée dans la cuisine, elle me tend un tablier blanc en me disant "Enfile le, cela t'évitera de tâcher ta robe", en effet elle veut que je prépare de la crème chantilly.

-On dirait un tablier de soubrette, lui dis- je en riant alors que je l'enfile.

Elle rit avec moi.

-Oui! Tu as raison! Mais ce serait peut-être encore mieux si tu retirais ta robe pour le porter.

-Chiche! dis-je dans un éclat de rire

Prise dans mon défi, je fais glisser ma robe à mes pieds et je me dévoile en sous-vêtements à Françoise qui vient derrière moi pour m'aider à nouer le tablier.

Je sens son souffle dans mon dos et ses doigts qui habilement dégrafe mon soutien-gorge. Je ne garde plus que le string sous le tablier.

-Tu es vraiment toute en rondeurs, lance Françoise en me caressant les hanches et les fesses avant que je ne me mette à préparer cette chantilly.

Une fois le dessert prêt, elle me dit : va le servir!

Et riant, je prends les coupelles et me dirige vers la salle à manger.

Maître Luc

Françoise et Laurence sont parties toutes les deux à la cuisine pour préparer le dessert. Je décide commencer le dressage de Carole. D'un ton sec et autoritaire je lui demande d'ôter ses sous-vêtements tout en gardant ses vêtements. Au début elle résiste, mais mon regard persistant sans mots dire lui glace le dos. Elle baisse les yeux. Voilà, elle commence à devenir docile et à se soumettre à mes désirs. Elle enlève donc son soutien-gorge et son string. Ses seins sont ainsi libres de bouger plus librement, et sous la table mon épouse pourra plus rapidement caresser son clitoris et lui pincer. Mais avant, je veux être certain que la poudre commence à bien faire son effet. Je lui ordonne maintenant de se mettre à quatre pattes et de venir me rejoindre vers mon côté de table. Elle s'exécute, elle est maintenant à ma droite, ce qui tombe bien puisque je suis droitier. Je décide de remonter sa robe, son fessier est magnifique. Je lui ordonne d'étendre ses bras devant elle et de plier les coudes et de poser sa tête à même le sol. La voici dans la position Humble, position genoux au sol, bras tendu, mains à plat. Je lui donne une bonne claque sur sa fesse droite. Elle veut se relever, mais ma main est déjà posée sur sa nuque et la force à de remettre dans la position. Elle n'omet aucune résistance. Sa fesse rougit rapidement. Je me lève et me positionne accroupi derrière elle. Son anus est bien dilaté, elle doit aimer la sodomie, si elle n'aime pas, elle la pratique et il sera mis à contribution cette nuit. Je passe ma main entre ses jambes et pince son clitoris, pas très fort, juste pour voir comment elle réagit. Par réflexe, elle serre les jambes et les fesse, et les desserre quand je cesse de pincer. C'est une bonne chose elle semble accepter la douleur. Je décide qu'elle reste à mes pieds et je me rassois.

Françoise et Laurence ont fini de préparer le dessert. C'est Laurence qui vient en première pour le servir. Elle demande

-Où est passée Carole? Je lui réponds d'un ton autoritaire et sévère, Carole est à mes pieds et y reste. Sers-nous, mon épouse et moi sans dire un mot je te prie!

Florence

En arrivant dans le salon, je suis surprise de ne plus voir Carole et encore plus par les mots de Luc qui me demande de le servir ainsi que Françoise.

- Oui, dis-je, en bafouillant.

Il me reprend sèchement : Oui, Maître Luc!

Je baisse la tête et répète : Oui, Maître Luc!

Je dépose sa coupelle et je découvre Carole plus ou moins à quatre pattes sur le sol sa robe troussée dévoilant ses fesses fermes et magnifique.

Je n'ose rien dire et retourne à la cuisine pour prendre les autres coupelles et les mettre à table. Je remarque que Françoise à encore bien forcer la dose pour ma coupelle, je n'en peux plus je suis gavée, j'ai bien dû prendre un ou deux kg ce soir avec tout ce que j'ai avalé.

Une fois servi tout le monde, je ne sais ce que je dois faire et reste immobile debout près de la table.