Sexgame - 01

Les consignes : faire bander votre partenaire le plus possible sans le toucher dans le temps impartie.

Je vois les 11 autres filles qui entrent dans leurs pièces respectives. Aujourd'hui, les vitres sont floutées et la salle est insonorisée. On ne sera que tous les deux.

L'homme qui se présente à moi est grand, brun et musclé.

Et nu. Incroyable nu. Ses abdominaux sont bien dessiné et ses bras puissant sont retenu au-dessus de sa tête par une corde qui pend du plafond. Il ne peut ainsi pas bouger.

Il relève la tête est braque son regard dans le miens, ce qui a pour effet de contracter immédiatement mon bas ventre. Mais je me ressaisie.

- Salut, je murmure, en essayant de rendre ma voix sexy.

Derrière lui je vois le temps qui s'écoule en lettre rouge, plus que 4 min 47. En dessous de l'horloge se trouve une collection de cravaches, gode, vibro et instruments en tout genre.

Je réfléchi rapidement à la manière dont je vais m'y prendre pour gagner le défi.

Les hommes ont un sens de la vu très développé qui les existe tout particulièrement, ainsi que l'ouïe. Ne me reste plus qu'a gémir et être désirable.

Je le contourne en le frôlant, laissant l'effluve de mon parfum lui parvenir. Je crois le voir fermer les yeux et inspirer mais je suis déjà derrière à saisir ce qui m'intéresse : une chaise, de l'huile de massage et un vibro.

Je positionne la chaise parfaitement face à lui et je commence à me déshabiller. Il me fixe et détaille chaque partie de mon corps. Mes tétons durcissent et pointent sous son regard et je sens la mouille envahir mon entre-jambe.

Il retient un grognement qui attire mon attention, il bande déjà à moitié, mais ce n'est largement pas suffisant pour gagner.

Un fois tous mes vêtement enlevés, je m'assois sur la chaise, les jambes écartées et le dos cambré, faisant ressortir ma poitrine. Débouchant le flacon d'huile, j'en fais couler doucement entre mes seins et sur mes cuisses.

Délicatement et sensuellement, j'étale sur mon corps ce liquide qui le fait luire. Il suit des yeux mes mains qui caressent mes pieds, mes mollet qui remontent sur mes cuisses. Je fais exprès d'effleurer mon clito sans m'y attarder et je lâche un gémissement qui le fait bander un peu plus. Mes mains remontent sur mes seins qui n'attendent que mes caresses.

Je pince et tord mes tétons. Ma tête se rejette en arrière et je gémis de nouveau, mais plus fort. Je commence à être réellement excitée.

Il ne me reste plus que 1 minutes.

J'agrippe le vibro que je démarre. Bien que le bruit de vibration ne soit pas vraiment sexy je compte sur mes grognements pour les camoufler.

Je passe délicatement l'embout sur mes tétons sensibles et je dois me retenir de ne pas serrer les cuisses tellement c'est bon. Je le glisse doucement entre mes jambes écartées.

Je pose mes talons sur le bord de la chaise afin d'être plus à l'aise. De là où il est il doit avoir une vu plongeante sur ma vulve et un regarde vers lui me prouve qu'il n'en manque pas une miette.

Lorsque le vibro se pose enfin sur mon clito c'est une explosion de chaleur. Je ne fais même plus exprès de gémir et je ferme les yeux pour mieux profiter des sensations. Je bouge le sex-toys en imaginant tout autre chose, quelque chose de bien vivant et je le fait entrer en moi si facilement que cela m'étonne moi-même.

Je vais de plus en plus fort et je jouis dans un cri pile au moment de la sonnerie de fin.

Une voix dans les hautparleur :

« C'est bien. Merci à tous. Nous allons étudier les images pour vous départager. Vous avec dix minutes ».

A la fin de l'annonce la corde qui retenait l'homme se détache et ses bras retombe devant lui, toujours nouer autour des poignets.

- Tu m'aides?

Je m'avance vers lui, toujours sous l'effet de mon orgasme, le corps luisant d'huile.

Mes doigts vont rapidement autour de la corde et le libère.

Je n'ai même pas le temps de lâcher la corde qu'il m'attrape par le cou, un main sur la hanche et me fait reculer jusqu'au mur, dans un choc douloureux.

Ses lèvres trouvent rapidement mon oreille et murmurent :

- On n'aura pas besoin de dix minutes.

Il me suce le lobe, comme s'il savait d'avance mes points faibles. Je me crispe dans ses bras. Basculant ma tête en arrière autant que le mur et sa main autour de mon coup le permettent, je lui donne libre champs. Qu'il fasse ce qu'il veut de moi.

Ses baisées descendent dans mon cou et ses mains viennent se poser sur mes fesses et les soutenir pour que je puisse enrouler mes jambes autour de ses hanches, nos deux sexes se retrouvant collés l'un à l'autre.

Tandis qu'il me fait un suçon en grondant dans mon cou, mes mains parcourent son dos et sa nuque laissant surement des traces de griffures. Mon bassin dessine des cercles et sa bite frotte contre mon intimité.

Il m'arrête en me plaquant plus fortement au mur et murmure :

- Tsss, c'est moi qui vais te faire jouir princesse.

Ses lèvres trouvent enfin les miennes et il m'embrasse avec une telle passion que j'en ai le souffle coupé. Ses mains me soulèvent un peu plus et d'un coup de hanche puissant, il me pénètre.

Mon cri raisonne dans la pièce accompagné de son gémissement. Il commence à donner des à-coups puissants qui tapent le point sensible de mon vagin. Mes mains s'accrochent à ses cheveux que je tire pour maitriser mon plaisir. Ce qui n'a pas l'aire de le déranger car il continue ses coups de plus en plus fort.

Il sort entièrement, me laissant quelques secondes de répits, mais que pour mieux me pénétrer.

Un fois que je me suis habituée à ses charges, je commence à contracter mon vagin lorsqu'il est en moi.

Cela le stop d'un coup. Il me regarde. Je recommence. Ses pupilles se dilates un peu plus et je le sens durcir en moi, comme si c'était encore possible.

Ses mains se cramponnent à mes fesses pour reprendre les rênes et il finit par me faire jouir, la bouche dans mon cou. La contraction de ma jouissance le fait venir et il grogne tout en continuant délicatement ses mouvement.

Il me porte jusqu'à la chaise et s'assoit dessus, toujours en moi. Il me caresse le dos et le pose ma tête au creux de sa nuque.

« Les gagnants d'aujourd'hui sont dans le dernier boxe. Anthénaïse et Aaron du 12.

- Félicitations, me glisse-t-il à l'oreille.

- Tout le mérite te revient.

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