Ses Expériences Continuent 01

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La soirée continue avec les deux types.
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Partie 4 de la série de 5 pièces

Actualisé 03/18/2021
Créé 08/23/2005
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Nous nous éclipsâmes vers l'ascenseur, où Vincianne monta, toujours nue. Fred la poussa brusquement en avant, ce qui eut pour effet de la coller à moi, penchée en avant sur ses hauts talons, me dominant, et il lui fourra sa queue dans la chatte, d'un seul coup. Elle était encore lubrifiée de toute la mouille qu'il lui avait soutirée, et de la dernière décharge de Fred. Il entra comme dans du beurre. Elle souffla : « Oh, si tu savais comme c'est bon, comme je le sens bien! Ta bite ne m'a jamais fait ça. Tu ne m'as jamais empalée comme ça. Je t'aime. Je vais les faire jouir pour te faire plaisir. » Elle me plaqua sur les lèvres un baiser au goût de sperme, de cigarette et d'alcool, tandis qu'il la besognait. Je pouvais sentir les coups de boutoir de la bite passer à travers tout le corps de ma femme et, par ses lèvres, faire vibrer mon corps aussi.

Il avait empoigné ses fesses fermes à deux mains, les écartant pour regarder sa queue pénétrer. Avançant la main, je touchai les seins de ma femme, qui étaient brûlants et dont les tétons pointaient à mort. Fred écrasait le corps de Vincianne contre ma chemise trempée de sueur. Je bandais vraiment comme un fou, mais je savais que, ce soir, le plaisir de ma femme était exclusif.

Nous arrivâmes à notre étage et Fred se retira d'elle, ce qui la fit gémir. Je m'engageai prudemment vers la porte, vérifiant que personne ne sortirait d'un dîner prolongé pour tomber nez à nez avec une salope à moitié pétée et totalement à poil secondée par deux grands noirs qui lui fourraient des doigts dans le cul. Nous arrivâmes sans encombres à la porte et entrâmes.

Vincianne m'ordonna de servir à boire à ses deux amants, un Jack Daniel's sec pour Fred, une vodka glacée pour Pierre et Vincianne. Ils s'installèrent sur le canapé, Vincianne nue, les jambes écartées entre les deux mecs baraqués, encore habillés. Après avoir vidé cul sec son verre givré, Pierre le frotta contre les seins de Vincianne, érigeant immédiatement ceux-ci et produisant un regain de sexe dans la pièce. Après avoir joui deux fois dans la bouche de ma femme, il voulait, manifestement, lui aussi lui inonder la chatte. Il se déshabilla tandis que Vincianne embrassait Fred à pleine bouche, tout en fouillant dans son pantalon à la recherche de la queue immense qu'elle fit jaillir pour l'emboucher aussitôt.

Pierre, pour la première fois entièrement nu, prit ma femme sous les hanches et la posa sur le canapé, en position de levrette. De là où j'étais, je pouvais voir la chatte palpiter dans l'attente du plaisir. La fente s'ouvrait sur des relents de foutre, elle luisait des liqueurs de la soirée. Pierre, pas dégoûté, empoigna sa queue bandée et, décalottant son beau gland brun, approcha sa queue du trou où elle se glissa avec facilité, d'un coup, jusqu'à la garde. Il maintenait la main serrée autour de sa bite, pour que le prépuce ne recouvre pas le gland et pour optimiser son plaisir. Vincianne, de plaisir, lâcha la queue qu'elle suçait, pour l'emboucher de plus belle une fois la surprise passée.

Elle me jeta un regard où se révélait sa jouissance. Elle me disait secrètement que rien de ce qu'elle avait connu jusque là ne l'avait fait jouir à ce point. Je ressentais de la jalousie, mais aussi une impuissance totale face à cette situation. Je me sentais exclu, paralysé, et j'aurais été incapable d'aller les rejoindre, même si on m'avait invité, ce qui n'était pas le cas. Ma femme m'excluait, comme pour me signaler que sa jouissance ne dépendait, à présent, plus de moi, qu'elle avait pris son indépendance, que j'étais invité à mater, sans plus, que ma présence de voyeur lui suffisait, pour cette fois seule, j'espérais.

Pierre s'agitait en elle, ses couilles fouettant le clitoris à chaque mouvement de bassin, les boules noires piquées de poils frisottés, pleines, encore, de liqueur, accompagnaient la rapide cadence de la pénétration. Je pouvais voir cette hampe noire coulisser de tout son long dans la chatte de ma femme, le gland apparaître, à l'occasion, gluant de mouille et replonger en offrant à ma femme autant de jouissance qu'elle me causait de délicieux tourments. Pierre avait glissé dans le cul de Vincianne un doigt qui, je le devinais, pouvait sentir la pénétration à travers la paroi de l'anus. Je m'approchai, en proie à une excitation sans bornes.

« -T'es sûre qu'il veut pas une bite dans le cul, ton mec, dit Pierre, parce que mon pote serait prêt à la lui mettre. » Je me reculai, un peu effrayé, tandis que Pierre, Fred et Vinciane éclataient de rire. La queue de Pierre sortit de la chatte de ma femme sous les pulsations du rire, avec un bruit mouillé. Riant, mais déçue, elle l'attira à nouveau contre elle avec une moue câline et faussement implorante : « -Ne l'effraye pas, dit Vincianne, il est un peu timide, un peu lâche, mais c'est un gentil garçon. Regarde, c'est un peu grâce à lui si vous me baisez pour le moment. –Allez, t'inquiète pas, mec, ta femme, elle nous fait bien assez bander comme ça, dit Fred! – Ouais, merci pour ce cadeau, mec, t'es trop bon pour nous, ricana Pierre! – Reviens en moi, dit Vincianne, finis-moi!»

Pierre présenta, à nouveau, sa bite à l'entrée de la fente où elle s'engouffra d'une poussée. Il besogna Vincianne une ou deux minutes, juste le temps de faire monter sa propre jouissance. Il se foutait que cette chienne jouisse encore. Tout ce qu'il voulait, c'était se vider définitivement les burnes et pouvoir rentrer dormir. Il empoigna les globes des fesses et approfondit le rythme, heurtant à chaque coup de boutoir le fond de la chatte.

Il ne tarda pas à sentir monter un orgasme brutal, qui se construisit aux tréfonds de sa colonne vertébrale et monta de chaque membre à la fois, vers le centre de son corps, vers la libération. Il se retint le plus longtemps possible, jusqu'à la douleur presque, puis laissa jaillir sa jouissance en s'effondrant sur le cul cambré. En trois coups de queue, il se vida de quelques gouttes de foutre brûlants, la queue traversée de spasmes.

Vincianne sentit à peine le jaillissement du sperme, mais elle jouit de sentir sur son dos ce grand mec baraqué s'abandonner totalement à cette jouissance ultime, la dernière de la soirée pour lui, de sentir qu'il lui avait donné tout son sperme, que plus rien, en lui, ne subsistait pour une autre. Elle jouit de se dire qu'il n'oublierait jamais cet orgasme mythique, ni les deux autres. Il se retira d'elle et elle emboucha le tuyau déjà mollissant, purgeant les ultimes millilitres de foutre en caressant les burnes vides. Pierre, épuisé, au bord des larmes tant son plaisir avait été intense, alla s'allonger de l'autre côté de la pièce.

Fred, qui avait été délaissé le temps que son pote se tape l'orgasme de sa vie, voulait, lui aussi, que cette chienne reçoive son foutre. Il l'allongea sur le dos et, lui élevant les jambes serrées l'une contre l'autre, posta sa bite luisante de salive contre les poils du vagin d'où suintait le sperme de son pote. Une fine coulée se frayait un passage entre les poils, et se mettait en orbite autour de l'anus, s'agglutinant de manière obscène.

Il pointa son gros gland brun vers la grotte et s'y enfonça doucement. Les jambes serrées prolongeaient la chatte, enserrant la longue queue comme dans un vagin infini. Il la besogna, les jambes blanches posées contre son torse musclé d'ébène et son cou de taureau, les pieds joints contre ses cheveux. Il lécha les jambes épilées, sentant sous sa langue les poils qui repoussaient secrètement.

Fred changea de position pour une classique mais efficace missionnaire. Il passa à cette position sans sortir sa bite, ce qui dut tirebouchonner les entrailles de Vincianne, et se mit à la baiser pour de bon. Le ventre aux muscles saillants claquait contre le ventre délicieusement bombé de ma femme, la sueur de Fred venait tremper la peau tiède et humide de Vincianne. Le salon se peuplait de fragrances lourdes et entêtantes. Vincianne semblait s'en délecter. Elle appelait l'air de sa bouche extasiée. Elle sentait la peau du mec se frotter à la sienne, lubrifiée de sueur, douce et abritant un corps puissant, aux muscles bien dessinés. Les bras sur lesquels Fred appuyait le poids de son corps étaient bien dessinés, et Vincianne passa la langue sur les muscles, goûtant la sueur douceâtre.

Prenant mon courage à deux mains, je voulus me rapprocher pour me faire sucer. « Dégage! », me dit Fred, d'un air patibulaire, en détournant la tête du nichon qu'il suçait , « elle te sentirait plus, de toutes façons! » Vincianne ne fit rien pour me défendre. Je ne demandai pas mon reste et retournai vers mon fauteuil.

Vincianne me jeta un regard trouble, comme pour me demander de ne pas les interrompre et elle enroula ses jambes et ses bras autour de Fred, l'attirant plus encore contre elle, comme pour se défendre contre toute incursion de ma part. Elle voulait tirer de lui, comme de Pierre, la quintessence de l'orgasme, une inoubliable jouissance. Fred, allongé sur elle, le visage plongé dans sa chevelure, les mains agrippée aux fesses, le corps entier en contact avec celui de Vincianne, sentait monter son plaisir, lui aussi, comme une force impétueuse.

Ses pénétrations se faisaient plus rapides et plus profondes, son gland se dilatait encore, ses burnes étaient si tendues qu'on aurait cru qu'elles voulaient rentrer en lui. Je pouvais voir la bite, maintenant énorme, aller et venir dans ma femme, sans presque plus sortir d'elle, mais semblant entrer un peu plus loin à chaque coup de hanche.

Les fesses de Fred s'étaient serrées comme un étau et tout à coup, alors qu'il se libérait, toute tension s'évanouit d'un coup. Les fesses s'écartèrent et je pus, à nouveau, voir la queue dont le puissant ressort s'animait au passage du sperme libéré. L'anus palpitait, de même que celui de Vincianne, à mesure qu'il la remplissait d'une abondante production séminale. Les orteils de Fred et de Vincianne s'étaient tordus en tous sens sous la jouissance. Ils s'abîmaient l'un en l'autre, Vincianne se lâchant en même temps, chaque goutte de sperme jaillissant en elle produisant un orgasme, chaque spasme de la bite giclante faisait se resserrer sa chatte autour du membre, attirant plus encore de sperme.

Fred glapissait, les couilles s'assêchant, les yeux fermés sur des fulgurances rougeâtres. Il bavait sur la joue de Vincianne qui, les yeux ouverts sur un monde connu d'elle seule, ressentait chaque centimètre carré de la peau de Fred, de son torse, du haut de ses cuisses, de son ventre contre elle, de ses mains sur ses fesses. Elle ressentait la peau incroyablement douce du gland à travers les flux de fluides mêlés, rapidement perdre de son volume, les veines de la hampe alléger leur pression sur les parois de son vagin, les burnes se détendre en élastiques rondeurs. Elle avait l'impression de déborder de sperme, que sa chatte était, maintenant, dilatée par un trop plein de ce foutre étranger qui s'insinuait partout en elle, poussant vers les replis secrets de son utérus, poussant, toujours plus loin en elle, à l'assaut de son corps, comme il était programmé pour le faire. Elle suivait le trajet de ce sperme en imagination, le rêvant au fond de son vagin, dans son utérus, presque dans ses veines, puis dans tous ses membres. Elle voulait accueillir ce mec en elle, pleinement. Elle refusait de le lâcher.

Elle empoigna les couilles et les malaxa pour en extraire tout le suc. Les doigts blancs délicats pétrissaient les bourses brunes, les ongles s'enfonçaient dans les poils crépus, la paume s'offrait comme un reposoir aux productives testicules. Fred s'écarta doucement, la queue sortit, à regret, de la chatte engluée et, molle à présent, vint se poster à l'entrée de la bouche de ma femme, pour être nettoyée. Elle la prit avidement et téta les liqueurs mêlées. Fred remit la bite propre dans son caleçon et se rhabilla, tout comme Pierre. Ils se dirigèrent vers la sortie, jetant vers ma femme étendue, dévastée, un dernier regard, comme pour dire : Ce n'est qu'un au revoir.

En partant, ils me gratifièrent d'un sourire de mépris : « Vas-y, branle-toi bien en pensant à cette soirée, parce que ta femme, maintenant, elle s'est tellement fait défoncer la chatte qu'elle sentira plus ta queue de puceau! A la limite, si tu lui baises l'oreille... Ah, ah ah. Taste Black, never come back, mec, t'aurais dû y penser plus tôt... » Ils claquèrent la porte, très contents d'eux. Je restai seul avec Vincianne, qui continuait à clapoter sur le canapé et qui s'endormit, roulée en boule, quelques minutes plus tard.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 18 ans
tres bon

Ira t'elle plus loin ?

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