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Rainett
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«Chaque nouvelle journée apporte son lot de cadeaux!» C'était l'une des phrases que la maman de Manon Samson lui répétait chaque matin. Chaque jour était un cadeau, elle devrait être heureuse de se réveiller, c'était ce que sa maman lui inculquait depuis toujours. C'était bizarre que cette pensée lui traverse l'esprit maintenant. Les choses étaient si différentes, maintenant.

Quand les yeux endormis de la jeune fille se sont ouverts, cela n'avait pas l'air d'un cadeau. Sa chambre était en désordre. Un foutoir. Il faisait sombre. La fenêtre était fermée. Les rideaux tirés. Avec ses pieds joints, elle a rejeté ses couvertures qui sont tombées en tas au pied du lit. Sur le sol de la chambre, les devoirs, les leçons, et les restes de nourriture traînaient, épars.

Elle a veillé jusqu'à 4 ou 5H du matin. Elle a dû s'évanouir. Des miettes de chips décoraient son sweater à capuche crasseux. Ses lunettes étaient barbouillées de traces grasses. Elle clignait ses yeux rougis de fatigue. Elle était épuisée. Ses cheveux étaient en désordre. Sa chambre était en désordre. Ses vêtements étaient en désordre. À 19 ans, Manon Samson était un chaos total.

«Manon! C'est l'heure!» Sa maman toquait à sa porte «Debout, feignasse!»

«Ouais» grogna Manon d'une voix éraillée.

«Allez, Abdoul, arrête de me tripoter comme ça, pas maintenant!» Manon pouvait entendre sa mère chahuter derrière sa porte. Son amant entreprenant, un réfugié soudanais, bâti comme un colosse, toujours fourré dans ses jupes. Il suivait sa mère partout, les mains baladeuses, n'en faisant qu'à sa tête, sollicitant ses faveurs sans cesse. À force d'insistance, elle finissait par lui céder, lui offrant son corps fatigué, là où ils se trouvaient. N'importe où dans la maison, en présence de n'importe qui, devant son mari ou devant ses filles.

Manon s'est habillée sans enthousiasme. Elle ne comprenait pas pourquoi sa mère s'était entichée d'Abdoul. Oh si, elle savait exactement pourquoi. C'était aussi la raison pour laquelle elle restait éveillée si tard. Abdoul avait une bite gigantesque! Elle l'avait vue souvent, depuis qu'Abdoul vivait chez eux, depuis que sa maman s'était engagée dans ce programme d'accueil des réfugiés africains.

Manon entendait sa maman parler librement, avec ses amies, des performances sexuelles comparées de son mari et de son amant, et elles étaient toutes d'accord. Les maris européens, avec leurs petites bites, ne pouvaient absolument pas rivaliser avec les immigrés. Elles parlaient de leurs orgasmes, de baiser pendant des heures, de choses sales qui étaient devenues leur principale préoccupation. Manon adorait écouter leurs confidences.

Manon l'avait vu. La première fois, c'était à la piscine, dans les douches communes. Abdoul est entré dans la douche après avoir nagé. C'était il y a 5 ans. À l'époque, Manon n'était pas encore formée. Ses seins étaient minuscules, et son pubis était lisse, imberbe. Abdoul est arrivé tout nu dans la douche, son membre au repos se balançant entre ses cuisses.

Il était immense, une carrure de colosse. Maigre, mais avec une stature énorme qui lui donnait un air effrayant. Sa bite massive pendait interminablement. C'était le premier pénis que Manon voyait, et c'était un spectacle monstrueux.

Il était long, très long, mais très épais aussi. Un sacré morceau de viande. Noir, le gland circoncis violacé, énorme, avec de grosses veines qui couraient tout le long. Avec un pubis touffu, épais, désordonné. Douloureuse vision.

Il souriait. Sa peau sombre était constellée de gouttes d'eau, il regardait Manon. Stupéfaite, elle laissa tomber sa serviette sous le choc, exposant son corps d'adolescente. Il se grattait les couilles d'une main. Il lâcha son paquet qui tomba. Sa gigantesque saucisse a claqué contre sa cuisse. Il s'approchait d'elle. Elle était hypnotisée.

«Hé, chéri, Abdoul, il ne faut pas faire ça!» s'exclama maman, s'interposant entre eux. Elle se pencha et ramassa la serviette que Manon avait laissée tomber. «Il ne faut plus faire ça, bébé.» ajouta-t-elle d'une voix plus douce et entourant Manon avec sa serviette. On ne savait pas à qui elle parlait.

Le père de Manon, le mari cocu et soumis de maman, a juste regardé. Maman le taquinait toujours, en mesurant avec son mètre ruban de couturière, les organes sexuels de ses deux hommes, et en s'esclaffant bruyamment. Bien sûr, maman serait furieuse si son mari cocu avait regardé une autre femme. Mais Abdoul? Il n'a rien fait de mal.

C'était juste une bénédiction.

Manon était désormais habituée au nouvel ordre des choses. Autrement dit, habituée à ce que tous les européens deviennent soit racistes, soit accueillent des réfugiés, pour le plus grand bonheur des ménagères. Manon était une des dernières à ne pas militer, ni dans un camp, ni dans l'autre. Malheureusement.

Au fil du temps, le gouvernement a exigé que les réfugiés soient accueillis et pris en charge. Alors que certains pays refusaient de les admettre, d'autres les ont accueillis à bras ouverts. Reçus dans les familles, pour qu'ils se sentent comme chez eux. Les premières épouses ont vite compris que les besoins sexuels de ces hommes étaient importants.

Beaucoup d'entre eux étaient musulmans, ils pouvaient avoir plusieurs épouses, et ils étaient sevrés de sexe loin de chez eux. Rapidement, le bouche à oreille a fonctionné, beaucoup de ménagères se sont portées volontaires pour accueillir chez elles un réfugié, au grand désarroi de leurs maris.

La société, bien sûr, a généreusement réglé ce problème. C'était controversé, au début, car de nombreux hommes blancs peu sûrs d'eux craignaient des problèmes, le risque d'augmenter le nombre de viols! Heureusement, les lois ont été modifiées, et un nouveau programme a été voté. Ce programme recrutait des ménagères pour servir sexuellement les migrants. C'était innovant, donc controversé, mais cela a fonctionné. Même les racistes qui craignaient l'augmentation du nombre de viols ont dû l'admettre, le taux a chuté.

Le programme était très populaire, les filles majeures pouvaient s'inscrire, et pour beaucoup c'est devenu un job à temps partiel, qui leur permettait d'améliorer les fin de mois difficiles. Curieusement, ce sont les hommes blancs qui sont devenus sexuellement violents, car les migrants les surpassant sexuellement, ils étaient délaissés. Et c'était difficile pour les garçons blancs de devoir accepter que leur petite amie se livre à cette occupation.

La maman de Manon a été l'une des premières à s'inscrire, au grand dam du père de Manon. Pourtant, il devait accepter le fait qu'il ne pouvait plus satisfaire sa femme, et qu'Abdoul le pouvait. Au fil des ans, le programme a gagné une liste d'attente massive. Timide et quelconque, Manon ne voulait pas s'inscrire mais, à sa majorité, sa maman l'a convaincue.

«Tu vas adorer» a-t-elle promis. Maintenant, 6 mois après, elle allait le découvrir.

Manon grogna en s'étirant, se gratta le dos. Cela n'avait rien de spécial aujourd'hui, ça ressemblait à son existence désordonnée. Sa mère l'avait obligée à s'inscrire au programme. Elle ne pouvait pas être en désaccord avec maman.

«Hé, Manon, je te pique un soutien-gorge.» Manon se retourna vers sa petite sœur, Elsa. Elsa avait quelques années de moins que Manon, mais était injustement beaucoup plus jolie. Elle était également beaucoup plus confiante, et sociable. Son corps était plus développé et plus sexy. La jalousie de Manon la poussait à penser que sa petite sœur ressemblait à une star du porno. Manon était fière, et ça lui faisait vraiment mal de voir à quel point, elle était meilleure que sa petite sœur Elsa.

Elsa était totalement nue, montrant ses fesses et ses seins toniques. Son ventre ferme était bronzé, et son pubis soigneusement épilé. Totalement différente de Manon, au corps pâle et flasque, aux fesses plates, aux seins minuscules. Elsa farfouillait dans le tiroir de Manon sans vergogne, choisissant un soutien-gorge, l'essaya, s'admira dans le miroir. Bien. Au moins maintenant, Manon ne verra plus le balancement effronté de ses seins.

«C'est un petit peu juste pour moi, mais ça ira. Merci chérie!» Elsa souriait, ses nichons débordaient de la lingerie, et elle partit en chantonnant. Manon se sentait encore plus affreuse. Ses soutiens-gorge étaient en fait un peu grands pour elle. Mélancolique, elle s'habilla sans mettre de soutien-gorge sur ses petites bosses.

Habillée comme l'as de pique, Manon est descendue prendre son petit déjeuner. Sa mère et sa sœur étaient blotties contre Abdoul. Ils étaient tous les trois assis à la table du petit-déjeuner, et chahutaient en riant. Abdoul était presque nu, juste vêtu d'un boxer qui avait du mal à contenir sa grande canne. À l'autre bout de la table, seul dans son coin, le papa de Manon déjeunait silencieusement.

Manon s'est dirigée vers la table, les yeux baissés. Elle essayait juste de ne pas regarder la grosse poitrine velue d'Abdoul, ou le long serpent qui glissait presque hors de son boxer. En mangeant, elle a dû se concentrer pour ne pas écouter les commentaires de maman et d'Elsa, qui trouvaient Abdoul adorable.

Après avoir mangé rapidement, elle a posé ses couverts dans l'évier, puis elle a mis ses chaussures. Elle a vérifié ses documents médicaux qu'elle a fourré dans son sac.

«Je vais au camp, maman! Je t'enverrai un texto quand j'aurai fini!»

«Oh, c'est aujourd'hui! Amuse-toi bien, chérie!» cria maman en retour, en frottant la grosse canne d'Abdoul de sa petite main blanche.

Manon soupira. Elle espérait vraiment qu'elle ne deviendrait pas comme sa mère ou à sa sœur, même si elle était jalouse d'elles. Elle espérait simplement que les réfugiés qu'elle devrait servir ne seraient pas non plus trop épais, trop impressionnants. Son pucelage, elle l'avait perdu dans une soirée étudiante, un garçon qui lui avait paru gentil, qui s'était révélé être un rustre, qui lui avait fait horriblement mal.

Elle marchait vite, parce qu'elle voulait en finir rapidement avec cette stupide prostitution du programme, pas parce que cela l'excitait. C'est ce qu'elle pensait, à ce moment-là.

Elle a traversé sans les voir les rues de la banlieue grise. Elle vivait dans un immeuble à loyer modéré. Les murs n'étaient guère épais. La nuit, les femmes exprimaient à haute voix leur satisfaction d'être livrées à des réfugiés virils et effrayants. Elle ne pouvait donc pas prétendre qu'elle ne savait pas vers quoi elle marchait.

Le camp de réfugiés se trouvait juste à la sortie de l'agglomération, dans un grand champ, à quelques kilomètres de sa maison. Rempli de grandes tentes kaki de l'armée, quelques cabanes en planche, les allées en gravier tracées au cordeau. Ce n'était pas un endroit de villégiature. Mais toutes les femmes blanches venaient là avec le sourire.

Sitôt franchi le mur d'enceinte, on pénétrait dans un autre monde. Les gens qui vivaient là s'y promenaient, comme si tout était normal, mais pour Manon, c'était incroyable.

Une tente ouverte, un couple au sol, la femme blanche sur le dos, les pattes en l'air, couverte par un immense noir, vêtu d'une djellaba. Le visage crispé, les yeux fermés, indiquaient tout aussi bien un immense plaisir qu'une intense douleur.

L'homme s'est soulevé sur ses bras tendus pour regarder jouir la femme qu'il possédait. Elle a levé une jambe bien haut, pour lui faciliter la tâche. Il s'est retiré d'un coup avec un pop sonore. Il était énorme, et sa bite trempée des jus de la femme se balançait doucement dans l'air frais du matin.

La femme ne portait qu'une chemise kaki des volontaires du camp. Débraillée, ses tétons durcis pointaient sur ses seins flasques. Elle était si menue, si fragile sous le grand gaillard qui la besognaient. Elle a émit un grognement d'impatience. Il a aligné son énorme bite en face de la petite chatte désireuse. Il l'a pénétrée d'un coup. D'une seule poussée, à fond. Le ventre de la femme s'est gonflé, elle s'est libérée d'un grand cri. De joie? De douleur?

Manon était bouche bée. Elle pensait que ce n'était pas convenable. Pas concevable. Qu'elle avait toujours été une fille sage. Mais d'un autre côté, elle voulait connaître le plaisir qu'elle lisait sur le visage de cette femme.

«Hé, toi là, tu vas où? Tu as l'air perdue?» une magnifique blonde, les seins débordants d'un t-shirt kaki très révélateur, frappé du logo «infirmière», se dirigeait vers Manon.

Manon rougit et referma rapidement la bouche. Était-ce vraiment si évident qu'elle était confuse? Elle était si facilement exploitable. «Heu ... Je m'appelle Manon Samson, je suis là pour mon ... test d'aptitude ... pour ...»

«Oh, ne t'inquiètes pas» dit la femme en riant «Tu viens pour le programme de satisfaction sexuelle des réfugiés, n'est-ce pas? Toutes les nouvelles sont super excitées et super anxieuses pour ça»

Elle mettait fortement l'accent sur les «super». Elle gloussa en la dévisageant de la tête aux pieds «mais tu es une jolie petite femme, pas de raison d'être nerveuse, tu vas plaire. Et tu ne vas regretter non plus. Allez, viens, commençons.»

«Euh, d'accord» dit Manon, anxieuse, en suivant l'infirmière dans une tente médicale.

«Je suis le Dr Grâce, je travaille ici » dit-elle. Elle a enfilé une blouse blanche. «Avant, je travaillais à l'hôpital, mais j'ai trouvé ma vocation ici. Crois-moi, c'est le meilleur travail au monde.» Elle souriaient à pleines dents.

«Comment... euh... c'est bien?» Demanda Manon, perplexe.

«Tu veux voir?» Demanda le Dr Grâce, souriante. Manon hocha la tête. Elle se pencha et prit une petite lampe de poche. «C'est une lumière noire» dit-elle, «tu sais comment apparaît le sperme sous une lumière noire?»

«Oui» répondit Manon «ça brille, non?»

«Effectivement» Grâce ouvrit grand la bouche en tirant la langue «Ah». La lumière noire fit briller sa bouche d'un bleu vif.

Les yeux de Manon s'écarquillèrent. Toujours souriante, le Dr Grâce a fait briller la lumière noire partout sur elle, montrant ses vêtements tachés de résidus de sperme.

«Je ne savais pas que j'aimais autant le sperme avant de travailler ici» dit-elle. Elle en bavait presque.

«Le sperme des africains est beaucoup plus parfumé que celui de nos pauvres petits garçons blancs» elle souriait, cruelle, en ajoutant : «mon mari, enfin, mon ex maintenant, était contrarié quand je rentrais à la maison en sentant fort le sperme. J'ai dû choisir. Il ne pouvait rien faire, il a dû partir.»

«Crois-moi, tu vas y prendre goût. Tu voudras vivre tout le temps ici, y manger et y dormir, c'est tellement bon. Mais assez de baratin. J'ai encore du travail à faire avec toi, ma chérie.»

Manon était sans voix. C'était irréel. «Ouais, l'examen médical!»

«Exactement» l'infirmière reprenait son ton professionnel. Fini le sourire et les confidences.

«Très bien, Mme Samson, avez-vous apporté les certificats relatifs à votre dossier?»

Un peu embarrassée d'être appelée Madame (et d'être apparentée à toutes ces salopes qui humiliaient leurs maris), Manon a sorti son dossier de son sac fourre-tout, un peu froissé, et lui a tendu.

«Très bien» ronronna le Dr Grâce en examinant les documents. «Pas de MST, pas de grossesse, pas d'antécédents médicaux dans votre famille. Vous avez l'air en bonne santé, même si vous faites un peu maigrichonne, Mme Samson.»

«Merci, madame»

«Aucun problème, ma chérie. Maintenant, saute sur la table, pour l'examen gynécologique!»

Manon obéit, glissant son jeans sur ses jambes maigres, mais garda sa culotte, à cause de la tache d'humidité entre ses jambes. Elle s'assit sur le rembourrage froid, en serrant les cuisses, les jambes tremblantes de honte. Elle ne voulait pas que l'infirmière voit sa culotte tachée et découvre qu'elle avait affaire à une petite vicieuse hypocrite.

Le Dr Grâce lui avait gaillardement montré pourquoi elle était là. Tout comme sa mère, et les autres petites filles blanches, elle venait ici faire ce pour quoi elle était faite. Elle était faite pour servir les réfugiés africains en épongeant leurs bites gigantesques.

Le Dr Grâce posa ses mains gantées en latex sur les genoux de Manon.

«Très bien, Manon, tu vas devoir ôter ta culotte et écarter tes jambes.»

Manon cligna des yeux. Effrayée et choquée par le ton brusquement autoritaire de l'infirmière, accompagné de la pression des mains sur l'intérieur de ses genoux, la petite chatte dans le besoin a suinté davantage. La tache d'humidité a brusquement augmenté, et Manon se sentait trempée.

«Et quitte ta chemise aussi, que j'examine ta poitrine. Allez, je sais que ce n'est pas agréable, mais c'est le protocole. Je dois m'assurer que tu es apte pour l'accouplement. La plupart des africains sont bien dotés, pas comme les gamins blancs que tu as l'habitude de fréquenter.»

Putain, avait-elle besoin de lui parler ainsi? Elle aurait voulu lui dire qu'elle n'avait pas plein de petits copains qui lui grimpaient dessus, qu'elle n'était pas une vulgaire salope venue se faire baiser par de gros sexes, qu'elle n'était qu'une jeune fille timide et mal dans sa peau, mais sa chatte continuait de pulser devant les exigences de l'infirmière.

Et puis, surtout, un doute la hantait. Serait-elle assez bonne? Même si sa chatte suintante semblait d'accord pour tout accepter, elle se souvenait avec hantise de l'affreux gamin qui l'avait dépucelée brutalement. Alors, en voyant la taille des sexes des africains ...

Manon déglutit péniblement. L'infirmière s'impatientait. Elle en avait vu des craintives, mais celle-là ... Pourquoi hésiter? Elle réalisait qu'elle le voulait vraiment. Elle voulait que ce soit bon. Elle voulait être heureuse, crier de plaisir. Tout le monde l'encourageait à le faire. Alors pourquoi hésiter?

Manon ferma les yeux. Elle s'est allongée sur le dos, vaincue, en soulevant son bassin, pour aider l'infirmière à lui ôter sa culotte pendant qu'elle déboutonnait sa chemise.

Tremblante d'appréhension, elle imaginait des bites énormes, des virilités épaisses, désireuses, pointées devant des hommes prêts à l'agresser. Affamés de chair fraîche. Toutes ses amies avaient cédé.

De quoi avait-elle peur? De ne pas être à la hauteur? Vraiment? De n'être tout simplement pas assez bonne pour eux? De rentrer à la maison en annonçant à sa mère et à sa sœur qu'elle n'avait pas été sélectionnée? Humiliée, obligée de rester sur la touche, pendant que les autres se font défoncer et prennent leur pied?

Pourquoi avoir peur du gros sexe d'un réfugié? Les femmes sont faites pour ça. Pour enfanter, la chatte s'élargit. D'accord, le processus est lent. Mais si le premier est patient, pas comme l'autre abruti qui l'avait déflorée?

Elle pensa au couple qu'elle avait vu forniquer en arrivant. Comment son énorme bite noire poussait dans le ventre de la femme. Était-elle assez bonne pour ça?

Elle gardait les yeux fermés. Hermétiquement clos. Elle pensait. Elle se concentrait pour oublier les doigts de l'infirmière qui s'insinuaient en elle. Qui s'agitaient en elle.

Perplexe, elle rouvrit les yeux. Le Dr Grâce, avec un sourire chaleureux, était penché sur elle, ses doigts ... Oh, putain, ses doigts qui s'agitaient en elle!

«Ne t'inquiète pas, bébé, prends ton temps. Les filles sont toujours nerveuses la première fois. Quand tu seras plus émoustillée, j'appellerai ton premier client. Tu vas voir, tu vas adorer!»

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5 Commentaires
AnicetteAnicetteil y a environ 1 an

Et depuis 6 ans tu n'a pas eu envie de descendre ta culotte?

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

j'adore à 42 ans je trompe mon mari depuis 6 ans et j'aime aussi donner du réconfort aux migrantssurtout en buccale

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Qu’Allah vous guide

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Magnifique j'ai adoré c'est très bien écrit et très original. J'espère qu'il y a une suite.

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Nul

Raciste et surfant sur des préjugés aucun intérêt

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