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BÊTA PUBLIQUE

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Tandis qu'elle reste allongée, les hommes en profitent pour déplacer leurs mains noires et rugueuses sur son petit corps blanc. Il la caresse, tripotent ses seins et sa chatte. Leurs mains montent et descendent le long de ses jambes et sur son ventre.

- Tu as trouvé une belle petite salope, Léon. On peut encore la baiser?

Le clochard hoche la tête et répond :

- Ouais. Tu peux la baiser autant que tu veux. Comme je l'ai dit, fais ce que tu veux d'elle. Ma chienne aime ça.

Carla les entend parler d'elle comme si elle n'était pas là. Cela aurait dû la mettre en colère que M. Carter la donne à ses amis pour qu'ils l'utilisent comme une vulgaire pute. Et elle aurait dû être encore plus énervée qu'il leur dise qu'elle ferait tout ce qu'ils voudraient. Mais pour une raison quelconque, être traitée de chienne, de salope ou de pute l'excite énormément et fait durcir ses tétons. Elle se dit que oui, elle ferait tout ce que ces vieux clodos noirs et puants voudraient.

Après une heure, les hommes étaient reposés et prêts à recommencer. Une fois de plus, Carla se retrouve avec trois bites bien dures en elle en même temps. Ils la baisent sans se soucier de son confort ou de son plaisir. Elle hurle alors qu'ils attaquent brutalement sa bouche son cul et sa chatte avec leur bite. Ils giflent son cul et ses seins tout en pilonnant ses trous. Ils la baisent pendant un bon moment, puis ils changent de trous et recommencent. Ils l'utilisent pendant près d'une heure avant de jouir dans ses orifices. A ce moment, Carla est dans un été d'hébétude complet. Elle a été baisée plus longuement et plus fort que jamais auparavant. Elle a joui encore et encore. Bien sûr, les hommes l'obligent à nettoyer leurs bites avec sa langue, puis Will dit :

-Ça m'a donné une faim de loup. Il faut aller chercher à manger.

Les hommes se lèvent et regardent la salope blanche. Léon demande :

- T'as de l'argent pour de la bouffe, salope?

Le cerveau de Clara est embrumé mais elle comprend et répond!

- Oui! Dans la poche de mon short!

Will fouille le vêtement et sort deux gros billets qu'il met dans sa poche. Puis il dit :

- Je vais aller nous chercher à manger!

- Pendant que tu vas chercher à bouffer, je vais baiser le visage de ma salope. j'aurais fini quand tu reviendras! Dit Léon.

Tom et Will partent ensemble alors que Léon se dirige vers Carla et lui enfonce sa bite dans la bouche. Bien qu'elle soit épuisée, couverte de sueur et pas encore remise de la séance de baise précédente, elle accepte avec empressement cette grosse bite noire. Elle le suce jusqu'à ce qu'il jouisse. Il se vide dans sa gorge puis range sa bite dans son pantalon. Il sourit en regardant sa salope blanche. Il n'aurait jamais cru pouvoir baiser une femme aussi sexy. Et pas seulement la baiser, mais la posséder. Il se dit qu'il doit vérifier cette dernière assertion, alors il demande :

- Dis-moi ce que tu es?

- Mmmm? Gémit-elle en léchant le pourtour de ses lèvres pour s'assurer qu'il ne reste pas de sperme.

- Je t'ai dit de me dire ce que tu es?

Elle lui sourit et répond :

- Je suis votre salope M. Carter. Vous possédez ma chatte, mon cul et ma bouche. Je vous appartiens Monsieur.

Léon sourit. Il aime qu'elle l'appelle « Monsieur ». Ça lui montre que cette chienne connaît sa place dans leur relation.

- Oui, tu m'appartiens, salope. Tu n'es rien d'autre qu'une pute pour bites noires, n'est-ce pas?

Elle hoche rapidement de la tête.

- Ok! Maintenant salope, lève-toi, habille-toi et dégage!

Elle se lève en tremblant et enfile lentement son short et son haut taché. Elle voit que Will lui a laissé ses clés de voiture, mais a pris tout son argent. Elle s'en moque. Elle aurait payé bien plus pour la séance qu'ils lui ont donné cet après-midi. Léon l'aide à sortir de la tente puis lui serre les fesses en disant :

- A plus tard, salope! Reviens quand tu voudras te faire baiser de nouveau comme une pute!

- Oui je le ferai. Vous pouvez compter sur moi M. Carter! Répond-elle.

Il lui faut beaucoup de temps pour arriver à sa voiture. Ses jambes tremblent et elle est vraiment épuisée. Elle sait que du sperme coule le long de ses jambes et tache le devant de son short, mis elle s'en fiche. Elle n'a pas le temps de passer chez elle avant d'aller chercher sa fille, alors elle va directement à l'école. Quand Tracy monte dans al voiture, elle dit :

- Maman, tu pues!

- Je sais ma chérie. Je travaillais dans le jardin et je n'ai pas eu le temps de prendre une douche avant de venir te chercher.

Tracy acquiesce et tourne la tête pour regarder par la fenêtre.

Arrivées à la maison, Carla dit à sa fille de regarder la télé pendant qu'elle prend une douche. Elle se sent beaucoup mieux après, mais elle est encore fatiguée. Elle a l'impression de marcher bizarrement tellement son cul et sa chatte lui font mal après avoir été utilisés tout l'après-midi.

Cette nuit-là, allongée dans son lit, elle revit cette journée où elle s'est faite utilisée par trois vieilles bites en même temps. Elle sait qu'elle est sur une pente glissante et qu'elle devient dépendante de grosses bites noires qui sentent mauvais. Mais elle apprécie leurs goûts et leurs odeurs. Ils sont une expérience merveilleuse pour sa chatte te e son cul. Ça l'excite vraiment d'être complètement dominée par ces hommes que la société a mis de côté. Elle comprend qu'elle ne peut pas arrêter et elle commence à planifier sa prochaine incursion dans le parc.

Il s'avère qu'elle n'a pas à attendre très longtemps. Trois jours plus tard, Nick lui dit qu'il doit se rendre à Atlanta pour toute la semaine suivante. Comme ses parents vivent là-bas, il emmène Tracy avec lui pour qu'elle voit ses grands-parents. Au début il pensait que Carla allait être réticente, mais il fut agréablement surpris qu'elle accepte. Ils doivent partir du lundi matin au samedi après-midi.

Le vendredi, pendant que Tracy est à l'école, Carla rend visite à M. Carter. Elle passe une heure à lécher et sucer sa queue et ses couilles. Elle met chacune des boules dans sa bouche et elle essaie de prendre les deux en même temps. Il baise son visage et gicle sur sa figure. Puis il l'oblige à tout récupérer et à tout avaler. Heureusement rien que de le sucer la faite jouir, car il lui dit qu'il n'a pas envie de mettre sa bite noire dans une pute blanche aujourd'hui. Quand ils ont fini, Carla dit :

- Léon, je me demandais...

CLAC! Il lui donne une grande gifle qui laisse la marque de sa main sur son visage.

- Qu'est-ce... Qu'est-ce que j'ai fait? Demande-t-elle, surprise.

Il la regarde fixement et dit :

- Tu ne m'appelles pas Léon, grosse salope. Ça voudrait dire que nous sommes égaux. Comment une pute blanche doit-elle m'appeler?

Carla baisse la tête puis la relève lentement. Elle regarde le clochard et répond :

- Je suis désolée Monsieur. Je dois être respectueuse envers vous. Je dois vous appeler M. Carter.

Il a un sourire vicieux. Même si elle ne le sait pas, elle lui appartient maintenant. Mais comme il aime l'entendre, il demande :

- Dis-moi ce que tu es?

Sans hésitation, elle dit :

- Je suis une salope à bites noires. Je suis votre salope. Je vous appartiens. Je ferai tout ce que vous me direz de faire Monsieur.

- C'est ça, salope. Maintenant que voulais-tu me dire?

- M. Carter, je voulais vous demander si vous aimeriez rester avec moi à la maison la semaine prochaine. Mon mari et ma fille s'en vont pendant une semaine. .

Le clochard n'en croit pas ses oreilles. Dormir dans un lit douillet, manger de la cuisine maison, prendre un bain, ce sont des bonus après pouvoir baiser cette femme blanche et sexy tous les jours.

- Tu veux que je reste avec toi la semaine prochaine, salope?

- Oh oui! Oui s'il vous plaît M. Carter. Je cuisinerai pour vous et je laverai vos vêtements. Vous pourrez me baiser quand vous voudrez comme vous voudrez. s'il vous plaît, dites oui!

Léon fait semblant de réfléchir comme s'il avait autre chose à faire. Finalement il dit :

- Eh bien, je suppose que je peux passer du temps avec toi la semaine prochaine.

Carla avait déjà pensé à ce qu'elle allait dire ensuite :

- M. Carter, je pourrais peut-être venir vous chercher vers 8 heures lundi matin. Je vous emmènerai chez moi et je vous préparerai un petit-déjeuner. Pendant que vous mangerez, je sucerai votre belle bite. Je la sucerai tous les matins pendant que vous prendrez votre petit-déjeuner si vous le souhaitez.

- Ça m'a l'air d'être un bon programme, salope. J'aime les bons petit-déjeuner de temps en temps. Et peut-être qu'on pourra inviter Franck, Will et Tom un jour pour qu'ils puissent te baiser à nouveau. Ils auraient probablement besoin d'un bain et d'un bon repas aussi.

- Oh oui Monsieur. Tout ce que vous voulez. Je serai heureuse de cuisiner pour vous. Et vous savez que je serai heureuse d'être votre pute pour la semaine.

Carla se lève et ajoute :

- Je dois aller faire des courses pour le voyage de mon mari et ma fille. Je vous retrouve à 8 heures lundi matin sur la parking du parc. d'accord Monsieur?

Léon hoche la tête et lui donne une claque sur son cul sexy alors qu'elle se tourne pour s'éloigner. Elle se retourne, lui fait un sourire séduisant, se déhanche et lui demande :

- Pourquoi avez-vous fait ça?

- Tu es à moi, donc je peux faire ce que je veux.

Carla hoche la tête et dit :

- Vous avez raison. On se voit lundi.

Léon rentre dans sa cabane et pense : « Putain que je suis chanceux. Jusqu'à peu, je n'avais jamais baisé une femme blanche et aussi chaude. Et je n'ai jamais eu une femme qui se soumettait complètement. Maintenant, elle va cuisiner pour moi et je vais rester chez elle une semaine. Putain de merde, c'est génial! »

Lorsque que Carla vient chercher Léon le lundi matin, elle porte une robe d'été très courte qui lui arrive juste à quelques centimètres de la chatte et qui est complètement déboutonnée. Après s'être approchée d'elle, le clochard ouvre sa robe, exposant son corps nu à la vue de toute personne passant par là. Il caresse ses seins et tord ses mamelons durs pendant tout le trajet jusqu'à la maison.

Dès qu'ils ont passé la porte d'entrée, Clara fait glisser sa robe de ses épaules et la fait tomber au sol. Elle se retourne, lui fait un sourire séducteur et s'avance vers lui. Elle met ses bras autour de son cou et l'embrasse longuement en enfonçant bien sa langue dans sa bouche. Les mains de Léon se promènent librement sur son corps. Puis il rompt le baiser, la tourne, lui donne une claque sur les fesses et lui dit :

- Maintenant, si tu me préparais un petit-déjeuner, salope!

Carla se précipite à la cuisine et prépare pour son amant noir, des œufs, des toasts, du jus d'orange et du café. Alors qu'il est assis à table, il baisse son pantalon jusqu'aux genoux quand elle pose l'assiette sur la table. Elle s'agenouille et comme d'habitude elle est écœurée par l'horrible odeur émanant de l'entrejambe du clochard. Elle commence à sucer et lécher sa grosse bite noire ainsi que ses grosses boues. Léon engloutit sa nourriture comme s'il n'avait jamais rien mangé d'aussi bon. Elle continue de sucer sa bite jusqu'à ce qu'il ait fini.

- Apporte-moi un autre café, salope! Ensuite je vais t'apprendre quelque chose de nouveau.

Elle se lève d'un bond et remplit sa tasse. Puis elle tombe de nouveau à genoux et pose ses mains sur son énorme queue. Léon tire une chaise de chaque côté de la sienne, puis il lève les pieds et les pose sur ses chaises. Carla se dit que ça va lui donner un accès plus facile à sa bite et ses couilles. Mais l'homme se penche en arrière de façon que son poids soit supporté par le bas de son dos, plutôt que son cul. Elle branle doucement sa bite tout en le regardant quand il demande :

- Dis-moi ce que tu es!

- Mmmm... je suis votre salope, M. Carter. Je ferai tout pour vous. Mon corps vous appartient.

Il affiche un sourire vicieux et dit :

- Lèche mon trou du cul, salope!

- Qu... Quoi?

Il s'assoit rapidement et attrape ses cheveux. Il rapproche son visage du sien et la regarde fixement. Ses yeux lancent des flammes. Il serre les dents et dit :

- Tu ne viens pas de dire que tu ferais n'importe quoi pour moi, espèce de grosse pute blanche sans valeur?

La voix de Carla tremble quand elle hoche la tête et dit :

- Ou... Oui Monsieur.

Il lui crache au visage et crie :

- Alors lèche-moi le cul et enfonce ta langue dans mon trou du cul. Compris, salope?

- Ou... Oui Monsieur. Dit-elle doucement.

- Penche-toi et ouvre ta bouche de salope!

Carla obéit immédiatement et ouvre la bouche en grand. Léon se penche sur elle, se gratte la gorge et crache un énorme mollard dans sa bouche.

- Avale ça, salope, et ensuite lèche-moi le cul!

Carla avale rapidement son crachat puis se baisse entre ses jambes. Il a repris sa position et elle lui lèche les couilles. Puis elle passe lentement sa langue jusqu'à son trou du cul malodorant. Elle lèche tout autour et se retient de vomir à cause de l'odeur. Chaque fois qu'elle reprend son souffle, elle lève ses yeux vers lui et le voit boire son café tout en lisant le journal. Il ne fait même pas attention à sa déchéance.

Carla continue à lécher jusqu'à ce qu'il lui donne une claque sur la tête et lui ordonne :

- Mets ta langue dans mon trou du cul, sale pute. Mon café est presque froid et j'aurai besoin d'une autre tasse quand tu auras fini.

Elle lèche légèrement une nouvelle fois le pourtour de son cul, puis elle introduit timidement sa langue dans le petit trou. Elle sent qu'il bouge son corps alors elle enfonce sa langue plus profondément. Lentement, elle baise son cul avec sa langue pendant qu'il continue de boire son café. Puis il dit :

- Prends ma queue pendant que tu lèches mon cul, salope!

Elle lève la main et branle sa bite tout en sondant son cul avec sa langue. Il ne lui faut que quelques minutes avant qu'elle ne commence à apprécier cette nouvelle forme de dégradation. Elle attaque son cul avec ardeur tout en branlant sa queue jusqu'à ce qu'il dise :

- Je vais jouir. Mets ta bouche de pute sur ma bite!

Elle retire sa langue de son cul et engouffre la bite dans sa bouche. Immédiatement elle sent qu'il gicle son foutre. La plus grande partie descend dans sa gorge, mais quelques gouttes tombent sur le sol de la cuisine. Quand elle a fini d'avaler, elle met ses mains sur ses cuisses et le regarde :

- C'était bien Monsieur?

- C'était bien, mais il faut que tu apprennes à mieux le faire. Maintenant lèche ce qui est tombé sur le sol!

Elle baisse les yeux et voit que quelques gouttes de foutre sur le sol. Sans réfléchir, elle baisse la tête et les lèche. Quand elle relève la tête elle voit qu'il lui tend la tasse.

- Plus de café! Dit-il.

Elle remplit sa tasse et s'assoit à ses pieds, la tête sur sa cuisse. Elle dit alors :

- M. Carter, je n'ai jamais fait ça auparavant. Je ne pensais pas que j'aimerais ça. Mais une fois que j'ai commencé, je ne pensais qu'à vous donner du plaisir.

Léon regarde sa salope blanche et dit :

- Tu dois toujours penser à ça, salope!

Il sent qu'elle embrasse sa cuisse en gémissant doucement.

Pendant que Léon prend un bain, Carla se rend dans un magasin voisin et lui achète de nouveaux vêtements. Quand elle revient, il lui dit de se déshabiller et de s'allonger sur le lit. Comme il vient déjà de jouir, il pilonne sa chatte et son cul pendant quarante minutes avant de se vider dans son ventre et s'effondrer sur le lit, couvert de sueur et complètement épuisé. Bien satisfaite aussi, Carla se penche sur lui pour lécher la sueur sur sa poitrine.

Ils passent le reste du lundi et toute la journée du mardi à manger, boire, baiser et regarder la télévision. Quand la bite de Léon a besoin d'une pause, il utilise ses jouets sur elle, la rendant folle de plaisir. Le mardi soir, alors que Carla est ivre, elle poursuit à quatre pattes le clochard dans la maison en le suppliant de la baiser et de lui laisser lécher sa queue et son trou du cul. Léon se demande pourquoi il n'a pas rencontré une telle salope quand il avait son âge.

Finalement il lui laisse lécher son cul pendant près de trente minutes. Il aime l'entendre gémir alors que sa langue est enfoncée dans son cul. Après l'avoir baisé encore et encore et s'être vidé plusieurs fois en elle, il se dit qu'il a besoin de renforts pour le reste de la semaine.

Le lendemain matin, il dit à Carla qu'elle va le reconduire à sa cabane pour qu'il puisse demander à Will, Tom et Franck s'ils ne veulent pas les rejoindre pendant un moment. La jeune femme a des papillons dans l'estomac quand elle se rappelle de sa dernière expérience avec ces clochards. Elle sait qu'elle ne pourra peut-être pas tenir très longtemps, mais elle a hâte de passer un après-midi à se faire labourer par eux tous.

Léon trouve ses amis, ils s'entassent dans sa voiture et arrivent chez elle. Ils prennent chacun une bouteille dans le bar. Léon s'assoit et regarde ses amis baiser la femme blanche mariée. Les clochards ne la déçoivent pas.

La robe de Clara est arrachée et elle est brutalement mise à genoux. Trois bites bien raides, noires et puantes se présentent à son visage. Elle les suce jusqu'à ce que Franck dise :

- Je veux baiser cette salope!

En quelques secondes, elle a une bite dans chacun de ses trous et en quelques minutes ils sont remplis de foutre.

Pendant que les hommes se relaient pour se doucher, les autres boivent son vin et jouent avec son corps. Ils la baisent tout l'après-midi et toute la soirée. Puis ils descendent dans la salle de jeu où ils pilonnent leur pute jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse. Ils regardent la salope blanche mariée et ils se moquent d'elle. Puis ils remontent, boivent encore plus de vin , puis vont se coucher.

Carla se réveille vers deux heures du matin. Elle se sent bizarre et quand elle regarde vers le bas, elle voit deux queues de billard qui sortent de son corps. Elle en a une dans sa chatte et une dans son cul. Elle a des pinces de classeur en métal sur ses mamelons et elle voit que l'on a écrit quelque chose sur son ventre. Elle enlève les pinces et retire les queues de billard. En se redressant elle lit « Pute à Bites Noires » écrit sur son ventre. Même si ses tétons et sa chatte lui font mal, elle sourit, car elle sait que l'expression est vraie. Elle est vraiment devenue une pute pour des bites de noirs.

Carla se rend dans la salle de bain du bas et se regarde dans le miroir. En face d'elle, elle a une salope qui a été bien utilisée. Elle se lave la figure, passe une brosse dans ses cheveux et met un tee-shirt de son mari. Elle monte les marches, s'effondre sur le canapé et s'endort. Cette fois elle est réveillée par Léon qui est penché sur elle. Quand elle ouvre les yeux, il dit :

- Enlève ce tee-shirt et prépare-moi un petit-déjeuner!

Carla se lève lentement et fait passer le tee-shirt au-dessus de sa tête. Léon sourit quand il voit que l'inscription est toujours sur son ventre. Carla prépare des crêpes, des œufs et des saucisses pour le petit-déjeuner. Peu de temps après, ses quatre invités sont attablés et mangent tandis qu'elle est sous la table pour passer d'une bite à l'autre.

Le jeudi se déroule comme le jour précédent. Le corps bien blanc de Carla est baisé et maltraité toute la journée. Elle jouit encore et encore et s'évanouit plusieurs fois. Elle perd le compte du nombre de fois où elle avale du sperme ou qu'elle doit le récupérer dans sa chatte et son cul puis l'avaler. Les hommes s'amusent encore avec les queues de billard sur elle. Ils réussissent même à enfoncer une bouteille de vin dans sa chatte.

Ils la traitent de tous les noms orduriers qu'ils puissent trouver et ils lui font répéter. Elle n'aurait jamais pu croire qu'un jour elle se traiterait de chatte sans valeur ou de viande à baiser, mais elle le fait. Les clochards arrivent à mettre deux bites dans sa chatte, une dans son cul et une dans sa bouche. Puis plus tard, c'est deux bites dans son cul, une dans sa chatte et une dans sa bouche. Bien sûr ils font des pauses pour manger. Une fois de plus, les hommes la laissent inconsciente quand ils vont se coucher.