Self Domination Fin

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Nous nous installons dans notre nouvelle vie.
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- Elle est au courant?

- Pas encore (Louise sourit à Françoise, complicité de femmes sadiques à mon endroit)

- Mmmhhh tu es vraiment perverse!

- C'est ce qu'elle aime, je veux tout faire pour la rendre pleinement heureuse!

Les deux femmes rient, tandis que je tremble me demandant ce qui va m'arriver. Je sais que cela va être terrible, mais je suis incapable de penser quoi. Incapable même de penser, juste trois heures que je suis ligotée sur cette chaise gynécologique, la fuck machine rentrant et sortant le plus gros de nos godes, sans jamais se fatiguer. Je suis ligotée, les bras étirés par-dessus la tête, les jambes bien écartées, offrant une vue parfaite sur les mouvements du gode, heureusement lubrifié automatiquement. Madame et Maîtresse se sont trouvée de nombreuses perversions sadiques en commun, la dilatation étant l'un d'elle. Louise veut me voir me faire monter par un étalon, et je n'en suis plus très loin, la profondeur prés. Mais cela se calibre parait-il. J'avoue que cela m'humiliera profondément, mais que l'image provoque des orgasmes ravageurs sur moi et sur elle!

Mais ce n'est pas un étalon qui est prévu aujourd'hui. Une drôle de machine est installée depuis ce matin dans notre chambre et cela ne me dit rien qui vaille. Notre chambre est en fait l'ancien salon de la maison que Madame nous loue à Neuilly pour la modique somme de 1 000 € le mois, ce qui à mon avis paie à peine la taxe poubelle! C'est bien trop grand pour nous, totalement démesuré, mais au calme, sans vis-à-vis, je peux hurler sans que personne ne soit dérangé. Nous avons préféré mélanger notre chambre avec notre salle de pratique, trouvant cela bizarre de devoir descendre à la cave pour cela : Louise a des envies à n'importe quel moment, et nous préférons passer le plus clair de notre temps dans cette pièce qui fait près de 4 fois notre dernier appartement! Madame vient parfois à l'improviste, mais plus souvent c'est planifié. Il y a un garage discret, qui lui permet de venir incognito. Je n'ai plus le compte ni le souvenir de toutes ses visites, dans je vis dans un état d'hébétude permanent. Je ne contrôle vraiment rien, je ne suis jamais en position de détente et Louise passe un temps incroyable à s'occuper de moi, malgré son travail prenant.

Elle me voulait dévouée, je crois que j'ai dépassé ce stade depuis longtemps. Je la guette à chaque instant, je connais tout de ses expressions, ses mimiques, ses interrogations. Je la préempte si souvent maintenant, c'est comme un ballet mille fois répété. Notre complicité est toujours là, malgré tout, et je lui en sais gré. J'ai toujours la crainte qu'elle se lasse, qu'elle soit au bout de ses envies, qu'un jour je la dégoute, qu'elle tombe amoureuse d'un client. Ces craintes sont bien plus douloureuses que ce qu'elle peut me faire subir qui au contraire me rassure et me rapproche. Elle ne cesse de me rassurer, mais c'est peine perdu.

C'est magique pour moi de la voir avec Françoise, elles sont amoureuses, cela ne fait pas de doute, malgré la différence d'âge, de statut, je sens ma Maîtresse si détendue, si heureuse en sa présence. Un peu comme si elle avait trouvé la mère qui lui a toujours manqué. C'est aussi pour cela que je ne peux être jalouse, sinon que j'aimerais moi aussi me lover dans ces bras maternels qui ne sont que source de souffrance et d'humiliation pour moi. Et Françoise est incroyablement dure avec moi. Elle n'a jamais un geste tendre, un mot pour adoucir, au contraire, comme si elle vidait toute sa violence et son contrôle sur moi.

Ce soir je ne sais ce qui se trame, mais les deux femmes sont très excitées, se caressent, s'embrassent à me regarder me faire défoncer. Mes seins pointent maintenant toujours à la verticale : Louise a fait réaliser des bracelets épais en acier qui les enserrent à l base du sein, les projetant en avant. Nous avons plusieurs artisans qui fabriquent pour nous des jouets extraordinaires. Il est plein de passionnés de sm, et cela leur plaît de travailler pour des plaisirs extrêmes. Maîtresse voudrait resserrer les bracelets progressivement, pas trop vite pour ne pas couper la circulation. La difficulté c'est que les rares sorties pour moi deviennent très compliquées. J'ai une silhouette improbable un fois couverte d'un manteau. Combien d'hommes se sont pris des poteaux, et combien de coups de freins de dernière minute! S'ils savaient!

L'heure est venue, je tremble, pas seulement du pieu qui rentre et sort avec une lenteur exaspérante qui me rend folle.

- Tu es très jolie ma chienne, cela fait longtemps que je le pense. Même enfant je te trouvais tellement plus belle.

- Tu es plus belle qu'elle ma chérie

- Aujourd'hui oui, mais il y a des choses que je veux faire évoluer. Te souviens tu du jour de ta soutenance?

- (Je fais oui de la tête, les larmes aux yeux, en totale panique)

- Je veux que tu me fasses ainsi confiance, que tu comprennes pleinement ce que nous allons faire, aujourd'hui et puis plus tard encore. Je t'ai promis d'aller chaque fois plus loin. Bien entendu, ce ne sera pas possible indéfiniment, mais je sais exactement où je veux t'emmener, ce que je veux faire de toi. Et Françoise est là pour m'y aider, m'accompagner.

- (Je regarde les deux femmes, ne comprenant pas où elle veut en venir, mais me remplissant du son de sa voix)

- Aujourd'hui je trouve ta chevelure blonde absolument insupportable, une chienne ne devrait pas être aussi femme et féminine que tu l'es. Quoique tu fasses, tu es comme un éclair dans l'espace, on ne voit que toi, tous les regards sont pour toi. Je ne peux le tolérer.

Oh mon Dieu, Louise prend une tondeuse que je n'avais pas vue et me la montre, m'expliquant qu'elle va me raser la tête, qu'elle n e veut plus que j'ai de cheveux, qu'elle me veut lisse, pour pouvoir me travestir comme elle veut avec les perruques qu'elle choisira. Mes cheveux! Je réalise que c'est ce à quoi je tiens le plus au monde. Je ne vais plus ressembler à rien sans ma belle chevelure fauve. Je regarde Maîtresse les yeux plein de larmes, elle sait ce qu'elle fait. Mes joues sont inondées, je repense à ce jour terrible de ma soutenance, et malgré tout mon esprit, je hoche la tête en signe d'assentiment. Pourtant je ne veux que fuir. Et ce sacré gode qui n'en finit jamais de me transpercer.

Sans plus hésiter, Louise trave un large sillon en plein milieu de ma tête. Je vois les mèches tomber de part et d'autre. Madame est affalée, les cuisses ouvertes, se faisant jouir de ce spectacle, de ma déchéance terrible. Je ne peux retenir mes pleurs, ce qui réjouit encore plus les deux complices.

Ma Déesse prend son temps, une main se caressant en écartant les pans de sa jupe écossaise si courte qu'elle met même pour travailler. Doucement elle trace un sillon, puis un autre. S'arrête prendre des photos pour notre blog, reprends progressivement. Cela n'a peut-être duré que quelques minutes, une éternité pour moi. Elle passe la main sur mon crâne, sensation étrange, je sens l'air de la pièce. Je ne suis pas parfaitement rasée, mais presque. Je crois être allée au bout de mon martyre.

Elle saisit mon menton, redresse mon visage et passe la tondeuse sur chacun de mes sourcils. J'ai les yeux fermés pour ne pas en recevoir. Je suis hébétée. J'entends Françoise jouir encore, et proposer à ma Reine de me couper les cils aussi. Mais c'est trop dangereux avec les yeux, mais j'ai eu peur. Je me sens morte, je n'ose pas les regarder, elles commentent mon crâne qui leur semble très beau et harmonieux. Avec sadisme elle me force à me contempler longuement dans un miroir. Mes pleurs reprennent, je repense à ce que Louise m'a dit, je voudrais lui confier tout mon amour, lui dire merci malgré la souffrance intolérable. Elle le lit dans mes yeux, et je me sens alors profondément apaisée.

Je me regarde, je ne me reconnais pas, on dirait un mannequin dans un magasin. Ma peau est lisse, sans aucune imperfection. Une femme entre, en blouse blanche, elle va à la machine qu'elle approche de moi. Me rassure, me dit que je ne vais pas sentir grand-chose sinon beaucoup de froid. Elle passe un laser sur tout mon crâne, même dans le cou, autour des oreilles, puis sur mes sourcils. Cela brûle un peu quand même. Elle reviendra dans un mois, il faut compter cinq séances et les poils ne repousseront plus. Les tatouages devront attendre la fin du traitement. Les tatouages? Personne ne semble s'intéresser à mes interrogations. Maîtresse me rend définitivement chauve. Ce n'est même pas pour une période, mais définitif. Je coule en moi, je cherche mes trésors d'amour pour comprendre, recevoir son geste. Je sais que je n'attendais rien d'autre, mais c'est insoutenable.

Louise s'approche, défait mon bâillon, nous ne nous disons rien, nous nous embrassons passionnément, je la désire tellement, c'est hyper violent. Je la remercie, je la supplie de me battre comme jamais, elle me sourit, me remercie. C'est Madame qui va commencer. Et Louise m'annonce que ce soir Madame va réaliser son fantasme ultime, qu'elle n'a jamais même exprimer avant. Elle marque une pause, puis m'annonce qu'elle veut m'utiliser comme WC complète cette nuit, qu'elle s'est préparée pour. J'ai le ventre qui se dérobe, je regarde Maîtresse paniquée, craignant de ne pas réussir. Elle me calme d'un seul sourire.

***

Je suis allongée sur le lit, les yeux grands ouverts, tournés vers ma Propriétaire qui dort paisiblement. Après une année passée à la servir, je suis chaque jour encore plus en manque d'elle, dans une dépendance vitale et profonde. Elle fait tout pour, tenant ses promesses et même plus. Chaque jour elle va plus loin dans sa domination, son écrasement et ma dévotion. Et jamais elle ne me laisse tranquille, me tourmentant dans mes chairs et mon esprit.

Cette nuit, comme toutes les autres nuits, je dormirai peu ou pas. Elle me veut toujours épuisée, incapable de penser, de prendre le moindre recul. Mais aussi capable de m'endormir à chaque instant, lovée à ses pieds, comme n'importe quel animal domestique. Aussi chaque nuit elle m'installe pour être certaine que je me remplirai d'elle sans dévier, que ma dévotion soit plus d'une folie. Et elle y arrive si bien!

Je suis enfermée dans un corset très rigide qui descend sur mes fesses, serré à me couper le souffle. J'ai du perdre déjà plus de 10 centimètres de tour de taille, et je sais qu'elle veut bien plus, qu'elle a des idées pour cela. Mes bras sont retournés dans mon dos, attachés coude à coude, étirant douloureusement mes épaules, les avant-bras attachés par de multiples lanières l'un à l'autre. Tout comme mes jambes, je ne peux bouger d'un millimètre, totalement immobilisée sur le lit, écrasant mes bras, le regard tourné vers elle. Mes seins sont bondés à leur base par le bracelet en métal, les faisant saillir et non s'écraser de part et d'autre de mon torse. Faisant pointer fièrement mes tétons lourdement annelés. Après les avoir percés à nouveau avec une aiguille très épaisse portée au rouge, pour goûter ma souffrance et mon offrande, le diamètre a été considérablement élargi. Les anneaux sont épais comme mon petit doigt et pèsent très lourds.

Ils sont visibles sous tout vêtement, d'autant que Louise a décidé de me poser deux barrettes verticales à l'arrière du téton, pour les projeter encore plus. L'effet est tellement humiliant, même avec un pull ils sont visibles. Et j'en suis tellement fière. Avec les poids que je porte régulièrement, mes tétons se sont fortement développés, et si sensible. Quand ma Maîtresse les mord avec l'anneau, la douleur est tellement intense, je m'évanouis hélas trop souvent!

Mes pensées sautent au gré des pulsions qui viennent de mes orifices. Pour la bouche, rien de méchant, un bâillon boule que je porte tout le temps, qui fait presque partie de moi maintenant. Parfois je sors même avec, vêtue d'un foulard et d'un masque chirurgical. C'est tellement humiliant de ne pouvoir pas même parler ou exprimer quoi que ce soit. Et avec ma poitrine projetée en avant, je suis d'une totale indécence.

Pour mon sexe, cette nuit, c'est autre chose. Elle peut l'ouvrir quand elle le souhaite, pour y glisser la dernière invention de son choix et des artisans qu'elle stimule. L'avant dernière fois cela a été un fromage de chèvre entier que j'ai du porter trois semaines, émettant une odeur absolument épouvantable, et provoquant des démangeaisons horrible. Françoise s'est délectée de me voir le manger ensuite, cela a été bien pire que tout.

Mais ce soir elle a mis un œuf géant en métal, qui me dilate le vagin, aux vibrations imprévisibles et délicieuses. J'ai déjà du avoir 5 orgasmes et j'en suis hébétée. Pourtant mon clitoris n'est pas stimulé, juste étiré par le poids de ses anneaux qui le rendent chaque jour plus sensible, et moi plus folle de désir. L'œuf est si gros qu'il appuie sur toutes mes parois, mes différents points sensibles, et ses vibrations me rendent folle à chaque fois. C'est nerveusement épuisant, et je découvre qu'il peut être très douloureux de jouir sans cesse! J'ai le bassin épuisé.

Mais ce qui m'empêchera de dormir est le plug électrique enfoncé en moi. Les décharges qu'il envoi sont très violentes, il est branché sur du 220 volts, et en plus il est articulé, se mettant alors à remuer mon ventre dans tous les sens, me rendant haletante, défoncée et excitée. Une idée de ma Déesse. Je ne suis pas seule de la nuit, toute occupée à gérer les émotions et sensations qu'elle a décidées pour moi.

Je ne saurais dire si j'aime cette vie, c'est la mienne et cela a toujours été la mienne. Quel bonheur de me remplir de Louise ainsi, de lui obéir et de subir les pires outrages de sa part. Je me sens ainsi vivre. Même le dernier outrage, hier soir, qui m'a laissé en pleurs inconsolable en perdant ma chevelure. J'ai mesuré qu'il lui restait encore à prendre de mon âme, et cela a comblé mon masochisme que nous soyons encore loin du bout.

Mais elles avaient raison, je songe cette nuit en regardant Louise, ainsi je fais encore plus esclave, et j'ai perdu mon attrait si fort des cheveux blonds, quand les deux femmes sont brunes. Cette idée me fait jouir, avec l'aide de l'œuf en moi. Pourtant je sais que le pire est à venir. Ma Propriétaire a eu l'idée de me faire faire bientôt une petite opération chirurgicale, pour modifier mon nez et gonfler mes lèvres, étirer un peu mes yeux. Pas de recherche esthétique à ses yeux, elle veut que je ne me reconnaisse plus dans la glace. Quand j'ai mesuré la violence de son orgasme à cette idée, je sais que cela ne va pas tarder à être mis en œuvre. Je ne suis plus que son animal domestique, sans aucune vie personnelle, ni plus d'égo. J'en frissonne.

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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Encore ! ! !

Rudy

liviolheureliviolheureil y a 12 mois

Fin un peu abrupt, mais qui n'enlève rien à la qualité de l'histoire. Du très bon meo75 comme d'habitude oserais je dire. Je ne sais pas comment tu fais, je ne suis toujours pas fan du genre, mais de tes textes, oui. Et ça c'est une belle réussite, bravo.

AnonymousAnonymeil y a 12 mois

Ben ça s'arrête comme ça ? Il n'y a même pas le mot FIN, à la fin du texte. Je suis déçu

ebanestalebanestalil y a 12 mois

J'adore

Comme toujours d'ailleurs...

Juste un peu déçu de ne pas avoir une vue plus complète sur l'avenir

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