Secret de Voisin Ch. 01

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Elle partage un secret avec le voisin sans même parler
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Elle savait qu'il la regardait comme il l'avait fait tous les jours depuis qu'elle était arrivée dans cette ville. Dès le premier soir où il s'était posté à sa fenêtre pour laisser ses instincts de voyeurs se libérer, elle l'avait vu et pour tout dire c'était un peu un jeu qu'elle jouait avec son jeune voisin.

À vrai dire, il n'était pas si jeune que ça; à peu près de son âge, il prenait le même autobus qu'elle. À chaque matins il la regardait intensément lorsqu'elle montait à bord. Il la déshabillait carrément du regard pour tout dire et ça aussi elle le savait et elle aimait ça.

Tous les soirs depuis huit mois c'était la même chose. Au début elle ne lui prêtait pas grande attention, croyant qu'il perdrait vite goût à ce passe-temps et ignorant elle-même tous les plaisirs que cela lui apportait, elle ne faisait rien pour l'encourager, se déshabillant simplement comme à l'ordinaire. Puis, à mesure que le temps passait, elle avait commencé à se placer à sa fenêtre de façon à ce qu'il la voie un peu pour finir par se mettre carrément et délibérément à la vue de son jeune voisin.

Si tout cela n'était au début qu'une affaire d'effeuillage, Véronique y avait vite trouvé un plaisir certain. Elle avait découvert les vertus de la fraîche brise du soir sur ses seins blancs, en effet, elle allait tous les soirs se poster à sa fenêtre après avoir terminé son petit numéro pour (selon elle) prendre une bonne bouffée d'air frais, mais en faits elle ne l'avouerait pas mais ce bain d'air pur n'était que la finale parfaite à son numéro quotidien.

À tout cela s'était ensuite ajouté une petite chose. Véronique, non contente du spectacle de valeur qu'elle donnait à chaque soir, s'allongeait ensuite sur son lit pour offrir au jeune voisin une vue sur ses plaisirs intimes. Tous les soirs elle glissait doucement ses doigts le long de sa fente lustré par son jus. Elle caressait doucement son clitoris et l'ensemble de son sexe et, pour intensifier l'effet sur le voyeur, il lui arrivait parfois de glisser son index à l'intérieur. Elle terminait le tout par une petite visite à la fenêtre pour montrer au jeune voisin qu'elle savait très bien qu'il était là.

Et tous les jours ils se voyaient mais une sorte d'entente muette les liait, ils faisaient mine de ne pas se connaître et il en était ainsi car, à l'exception de ces soirées, ils ne s'étaient jamais adressé la parole. Jusqu'au jour où…

Véronique était revenue de l'école depuis 15 minutes quand elle entendit sa mère l'appeler. -Véronique ma chérie, nous recevons à souper. Dimanche soir, il nous a apparut de bon ton d'inviter les voisins. Ce sont des gens adorables tu vas voir! Je compte sur toi pour être des nôtres.

La jeune fille passa par toutes les émotions : comment allait-elle faire, qu'allait-il se passer? Il n'y eut pas d'effeuillage ce soir là et pour la première fois le voyeur de son côté n'était pas au poste car il avait appris la nouvelle également.

Le fameux dimanche soir arriva donc, Véronique avait porté un soin spécial à son apparence. Elle portait ses longs cheveux bruns remontés dans un simple chignon d'où dépassaient quelques mèches qui venaient caresser sa nuque. Elle avait mis une jupe noire qui lui tombait sur le genou et un gilet sans manche noir également. Ses talons lui donnaient une jambe vertigineuse qui dépassait sensuellement de la fente de sa jupe à l'avant.

Lorsque la sonnette de la porte retenti elle alla ouvrir aux invités et salua poliment les deux adultes en leur indiquant le salon. Elle se retrouva donc seule avec leur jeune fils. Véronique humecta ses lèvres en tentant de trouver le courage de dire un mot, il la devança : -Alors pourquoi ne pas rejoindre nos parents au salon?

Toute la soirée se passa comme sur un fil d'où Véronique croyait à tous moment tomber. Le jeune homme avait un je-ne-sais-quoi dans la voix qui lui chatouillait au creux des reins. Elle le lui rendait bien en laissant doucement ses doigts glisser le long de sa coupe de vin ou bien en effleurant sa fourchette des lèvres en mangeant. La tension était vive et tout ce manège dura jusqu'à l'apéritif où les deux jeunes se retrouvèrent à l'étage pendant que leurs aînés discutaient bruyamment au salon.

Sans même discuter, le jeune voisin prit Véronique dans ses bras pour l'embrasser vigoureusement. - Et maintenant, laisse-moi te déshabiller moi-même pour une fois! Sur ce, il glissa son chandail par dessus la tête de Véronique et fit tomber sa jupe sur le sol. Les souliers allèrent voler autre part et la jeune fille se retrouva toute nue dans les bras du jeune homme encore tout habillé. Elle sentait qu'elle était à sa merci, et elle aimait cela. De plus il avait tout son consentement.

Elle se pencha alors pour prendre son sexe dans sa bouche. Tenant le membre d'une main, elle prit son gland entre ses lèvres en appliquant une légère succion sur ce dernier. En caressant de plus en plus intensément son sexe d'une main elle le prit de nouveau dans sa bouche, mais cette fois en le regardant droit dans les yeux. Elle retira sa main et le prit cette fois-ci entièrement.

Il lui retira son sexe pour déboutonner sa chemise et retirer sa ceinture. Il plaqua Véronique sur le lit et plongea son visage dans son decolleté. Son soutient-gorge était en dentelle noire et remontait les seins de manière à les rapprocher dans un décolleté plongeant. Véronique ouvrit tout grand ses jambes au garçon et lui fit signe de la prendre sur le moment. Il retira ses pantalons et attira la jeune fille vers lui. -Comment tu veux que je te prenne? -As you wish sir! Il la fit mettre sur les genoux dos à lui et serra sa taille d'une main en se servant de l'autre pour tenir ses seins. C'est ainsi qu'il la pris, par l'arrière en sentant à chaque coups de reins ces fesses rondes à elle qui le lovaient contre son corps. Il la pénétrait encore et encore, elle tomba alors vers l'avant pour lui offrir une fantastique vue sur ses fesses. Il prit ses reins à deux mains pour intensifier et accélérer le mouvement de va et vient. Tout se faisait de plus en plus rapidement et tous les deux perdaient le sens de l'orientation et c'est dans un éclat des cris étouffés de leurs orgasmes conjugués que s'acheva la pénétration.

Juste à ce moment un cri retenti du rez-de-chaussée, le jeune voisin s'habilla dans un éclair et descendit presque instantanément retrouver ses parents. Tous se dirent au revoir et promirent de répéter l'expérience de ce charmant dîner.

Ce soir-là le jeune voisin se dépêcha de monter à sa fenêtre, c'est qu'il ne voulait pas manquer sa voisine qui ce soir était déjà nue, étendue sur son lit défait.

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