Sandra et le Proprio Ch. 02

Informations sur Récit
Le cocufiage du marie continue.
8k mots
3.9
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1

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/06/2018
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trouchard
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Voici un petit texte trouvé sur le site d'un bloggeur "chez André 112" qui, depuis des années, publie certains récits anciens trouvés sur le net. Il m'a autorisé à reprendre certaines histoires. Je ne peux que vous conseiller de visiter son blog qui est une mine de photos, vidéos, et récits. L'humour de ce bloggeur pour légender ce qu'il propose est exceptionnel. Vous pouvez retrouver son blog an tapant "André 112" dans la barre de recherche Google.

Ce récit est bien sûr une pure fiction.

******

La semaine a passé très vite et nous avons fait et refait l'amour en nous excitant de tout.... Samedi matin Serge est venu et nous avons bu un café avant de prendre la route.... Serge a précisé le contexte de notre séjour ...

- Sandra sera ma femme ... et toi Alain, tu seras sera son frère, dès que nous aurons franchis la porte ... ce sera le jeu. Vous êtes d'accord?

- Oui répondit, Sandra

- Oui, moi aussi, dis-je

Nous avons pris la route. Je vis le panneau barré, nous sortions de notre petite commune du Val d'Oise. Sandra était devant avec Serge et j'étais à l'arrière.

Sandra avait un mini robe légère, décolletée, lui serrant ses seins volumineux et la taille, et légèrement évasée à partir de la taille. Ses cuisses étaient largement découvertes. Ses seins gonflés sortaient à moitié. Je la savais nue en dessous.

Qu'elle était belle ... légèrement bronzée. Sa jeunesse était resplendissante.

Serge conduisait, une main sur la cuisse gauche de Sandra, comme pour marquer sa possession.

Nous sommes enfin arrivés, après un voyage très agréable et sympathique. Nous avons passés ces quelques jours dans une ambiance amicale et extrêmement érotique. Serge et Sandra étaient ... un couple et moi le frère et beau-frère.

Les connaissances de Serge le complimentèrent pour la beauté de sa jeune épouse. Ils dormaient ensemble, bien sûr, et moi dans la chambre d'amis.

Durant tout le séjour, je n'ai eu aucune attention particulière de Sandra. Elle était toute à son jeu d'épouse de Serge. Je me masturbais tous les jours d'entendre leurs jouissances dans leur chambre.

La journée, ils étaient toujours nus et étaient très amoureux.

Serge nous a laissé devant notre maison.

- Quelles merveilleuses vacances, dit Sandra

- Une expérience très bizarre et excitante à la fois

- C'est vrai, je me suis comportée comme sa femme à lui en t'abandonnant complètement à ton rôle, tu as dû en souffrir

- Non, j'étais moi aussi dans ce jeu, j'en ai profité au-delà de ce que je pouvais imaginais, c'était terriblement excitant

- Tant mieux je me faisais quelques reproches

- Tu étais parfaite, mon amour

- Viens laissons les bagages et allons dans la chambre ...

Je la suivi. Elle s'allongea sur le lit, nue... Je la léchais de partout, ses seins, sa chatte et son cul, longtemps.... Mes doigts pénétraient ses orifices que je constatais ouverts.... Elle m'attira et j'entrais en elle... Je découvris combien elle était ouverte et disponible.

- Alain, je ne sens plus ta petite bite ... c'est fou.

- Pour moi c'est toujours aussi bon, tu sais, je me sens encore plus cocu, par le fait de constater que tu es si large de lui, ouverte par lui. Je me dit qu'il a formé ton vagin à sa queue et c'est follement excitant

- Tu as raison, moi aussi, j'ai l'impression de lui appartenir en constatant que tu ne me fais plus aucun effet sexuel, sa queue me manque et ça m'excite de te savoir cocu à ce point

- Et ton cul?

- Il m'a enculée, je crois, presque autant qu'il m'a baisée, alors maintenant il m'encule avec autant de facilité ..

Je fis pénétrer un doigt dans son cul et constatais effectivement son ouverture et sa souplesse.

- Ah oui, tu es bien ouverte

Je la baisais avec passion et amour, excitation et tendresse, rage et désespoir ...

- Tu aimes que je sois salope et pute?

- Oui, je te le demande

- Tu aimes que je me donne à Serge?

- Oui, mon amour

- Tu aimes que je lui appartienne?

- Oh oui, chérie

- Tu voudrais que je sois sa femme autant que la tienne, sinon plus?

- Oui, oui, j'aimerais que tu sois sa femme, rien qu'a lui

- Rien qu'à lui?

- Oui je voudrais vivre cette expérience terrible

- C'est ce que tu veux, vraiment?

- Je le veux

J'étais sur le point d'éclater ma jouissance, mais je me retenais autant que possible.

- Alors je vais lui dire que c'est d'accord

- Quoi?

- Serge veux que je vienne chez lui tous les vendredi soir jusqu'au dimanche soir et les jours fériés et toutes les vacances

- Oui, chérie oui c'est super

- Oui, mais il exige aussi que je ne fasses plus l'amour avec toi

- Pourquoi, pourquoi ... Ohhhh que c'est bon, je t'aime

- Ben ... parce qu'il veut que je sois enceinte de lui ...

- Oooooohhhhhh oui, oui, oui, ma chérie, oui je le veux aussi, enceinte, oui, de lui, oui Ohhhhh, jeeee jjjjooooouiiiiiiis Ahhhhhh

J'éjaculais en elle.... Quelques minutes plus tard, elle me dit:

- Tu as bien saisi ce que je t'ai dit

- Tu veux dire que Serge veut que tu sois sa femme t qu'il veut que tu sois enceinte de lui?

- Oui

- Oui j'ai bien compris et si tu le veux alors, je le veux

- Oui je le veux

- Et que tu ne me touches plus?

- Je jouerais le jeu

- Alors soit, on commence dès aujourd'hui, tu sais ... j'attends mes règles demain et vendredi je serais avec Serge

- Je suis d'accord, mais au fait, pourquoi pas en semaine ...

- C'est moi qui ai dit qu'il fallait que je sois aussi avec toi ...

- Ah bon!

- Pourquoi, tu voudrais que je vive avec lui-même en semaine ... Donc tout le temps?

- Au moins jusqu'à ce que tu sois enceinte

- Et tu le supporterais?

- J'ai très envie de vivre cette situation de cocu, de cocu content et la vivre pleinement en souffrant

- Mais ça peut durer longtemps, car il veut aussi me pervertir avant que je sois enceinte et aussi pendant et après

- Je ne comprends pas..

- On va faire une chose : Pendant un certain temps on va faire comme ça, je serais ici en semaine et après on verra ... Selon notre désir de telle ou telle situation, d'accord?

- D'accord...

La semaine passa et le vendredi soir, Sandra me dit :

- Bon je vais chez .... Mon mari, à dimanche

Elle m'embrassa et partie.

Le dimanche soir, elle revint et je voulu la prendre.

- Non, Alain, pas question, j'ai promis et je respecte la promesse faite à mon mari

- Mais j'ai envie de toi, chérie

- Non, tu dois accepter ... J'appartiens dorénavant à Serge, plus à toi ...

- C'est vrai mais c'est dur

- Tu le savais et ça ne fait que commencer, alors contrôle toi

- Je suis dans un état d'excitation en pensant à ce qu'il a pu te faire ....

- Oh Oui ... et tu ne peux même pas imaginer ... Il est infatigable, il me fait l'amour en continue. Je dis bien l'amour. Il me fait voir les étoiles, lui .... Il me prend au moins 4 fois par jour, de tous les côtés. Je suis son vide couilles. Il veut que je sois nue toujours. Je suis toujours à poil, même quand il reçoit, tu te rends compte ...

- Sandra ... comment quand il reçoit?

- Oui, il reçoit des amis et je dois être nue devant eux. Tiens justement, hier, le voisin, d'ailleurs nous le connaissons, c'est le boucher de xxxx, est venue, il a été très surpris, il m'a bien regardé, puis il a souri

- Oh là là

- Et encore ce n'est pas tout ... hier il a pris des photos de moi, nue et il les a mises sur Internet dans son site amateur voyeur. Je ne sais plus l'adresse mais je vais lui demander et je te la donnerais. Eh oui ... je suis aussi sur Internet

Je finis par m'endormir .... Cette semaine j'ai enfin trouvé un travail intéressant. J'ai signé mon contrat. Sandra est heureuse. Je lui ai donc dit qu'elle pouvait tout arrêter ...

- Ah non, ce n'est plus une question d'argent, c'est notre vie maintenant ... Moi je veux continuer ... Et toi aussi d'ailleurs

- Moi je suis d'accord avec toi ...

Ce vendredi soir là, Sandra quitta la maison avec encore plus de joie...

Moi aussi j'étais beaucoup mieux, lundi j'allais travailler

Nous voici début septembre .... L'automne. J'ai attendu patiemment ma femme .... Tout le week-end.... Elle est rentrée à 23 h 30.

Elle n'était pas comme d'habitude, je le remarquais aussitôt. Elle se mit à pleurer

- Que se passe-t-il, chérie?

- Rien, rien ... ça va passer ...

- Mais enfin, tu pleures ... explique moi, je suis inquiet

- C'est pas grave ... mais je suis dépassée

- Comment cela?

- Tout ce qui s'est passé pendant ce week-end, j'ai honte de te le dire

- Ah bon

- Oui et jusqu'à ce soir, si tu veux savoir

- Oui ... j'aimerais bien savoir

- Mais il est tard et demain nous travaillons et toi surtout c'est ton premier jour dans ton nouveau travail

- Le sommeil est moins important que toi, que tes pleurs et que nous

- Tu sais ...

Sandra était hésitante.

- Parle, dis-moi tout

- Ok, vendredi soir, je suis arrivée chez Serge. Tout s'est passé formidablement bien, il m'a baisée 2 fois en me faisant très bien l'amour et nous avons bien dormi. Puis le samedi matin, vers 9 heures, je me suis réveillée et quand j'ai ouvert les yeux, dans la pénombre de la chambre, j'ai vu 2 hommes. J'ai eu peur, mais j'ai alors entendu la voix de Serge qui me disait de ne pas avoir peur, qu'il était là. Puis mes yeux se sont habitués et j'ai reconnu les 2 hommes. Il y avait, notre boucher et l'autre ... (Sandra hésitait) c'était ... mon patron. Tu te rends compte, notre boucher et mon patron

- Mince, ça alors, il exagère, et alors?

- Alors, j'ai dit non ... J'ai supplié Serge de les faire sortir, mais il a dit que je devais obéir, sinon il ne voudrait plus de moi. Tu comprends, je ne peux plus me passer de lui, maintenant. Alors, mon patron s'est avancé et il m'a caressé la cuisse, le boucher lui est venu me caresser les seins ... et j'ai sombré dans le désir. Puis ils m'ont fait sucer leur bite, puis ils m'ont prise chacun leur tour. Serge prenait des photos. Ils m'ont fait jouir, les 2 salauds. Puis ils sont partis

- Tu as dû être blessée dans ton amour propre, ma chérie?

- Avant oui, mais après, j'étais juste une femme qui se faisait prendre par des hommes. Mais ensuite, je me suis posée beaucoup de questions, mais nous en reparlerons ... à la fin de mon histoire du week-end

- Ok chérie

- J'en ai parlé avec Serge et il m'a rappelé qu'il m'avait prévenue qu'il allait me pervertir et que ce matin, c'était seulement un avant-goût. Alors, il m'a allongée à plat ventre sur la table de la salle à manger et il m'a enculée longtemps et j'ai encore jouis. Le soir, il m'a dit que nous attendions de la visite, et vers 22 heures, on sonnait au portail. Serge m'a dit d'aller ouvrir, nue. J'ai traversé je jardin de devant et j'ai ouvert le portillon. Je me suis retrouvée en face de plusieurs hommes. J'ai immédiatement reconnu le premier et je me suis cachée derrière le portillon. Ils sont entrés. J'ai fermé le portillon et tous me regardaient... Il y avait, tiens-toi bien ... Jean, le fils de carrossier, Robert ... oui, Robert l'employé de Mairie, Albert, le garde-chasse, Romain ... le comptable de ma boite, Xavier le pompier et surtout et aussi ... notre banquier, le salopard.

- C'est pas possible ... tous

- Oui ils étaient là tous les 6 et Serge les a fait passer dans le jardin de derrière et leur a dit de se foutre à poil que la salope était impatiente de les satisfaire. Jusqu'au petit matin ça a duré. Je ne te raconte pas, car j'en suis incapable, qui m'a fait quoi et comment mais je suis certaine qu'ils m'ont tous baisée et enculée chacun leur tour et que tous ont éjaculé dans ma bouche. Serge a pris d'autres photos et a même filmé. Je peux te dire aussi qu'ils riaient et parlaient de nous et de toi.

- Ils disaient quoi?

- Tu veux savoir?

- Ma foi, oui

- Bon. Je ne sais pas qui exactement, mais j'entendais :

- A la salope, je n'aurais jamais espéré me faire Sandra, cette belle petite de 19 ans.... Putain qu'elle est belle.... Je ne savais pas que s'était une pute, la femme à Alain... Alain, merde alors, il est cocu grave.... Eh les mecs, j'encule la femme d'Alain... Eh les cops, elle avale mon sperme la femme d'Alain... Je jouis dans la chatte du cocu Alain ...

Et j'en passe et des meilleures. J'étais pleine et couverte de sperme. Je me suis endormie sur la balancelle ... et je me suis réveillée vers 13 heures. Serge était aux petits soins et m'avait préparé un déjeuner copieux

- J'en suis tout catastrophé ... Donc presque toutes nos connaissances savent?

- Oui, mais attend la suite ...

- Quoi ... encore?

- Tu sais d'où je sors là, il y a 30 mn?

- Ben, non

- J'étais à 100 m de la maison, chez Marcel R....

- Chez Marcel? Mais pourquoi?

- Serge m'y a amenée vers 18 heures. Marcel avait préparé un buffet campagnard. Mais curieusement, nous n'étions que tous les 3. Marcel m'a détaillé des pieds à la tête et m'a dit que depuis longtemps il rêvait de moi et que de savoir que j'étais une salope, il n'en revenait pas. Jamais il n'aurait pensé que la femme d'Alain était une pute. Puis il m'a touché les seins en disant que j'avais la paire de nichons la plus belle qu'il n'est jamais vu. Serge a enlevé ma robe et j'étais à nouveau nue. Marcel bavait ... Tu le connais cet obsédé sexuel, ce vieux pervers ... Il m'a fait mettre à genoux, il a sorti sa queue de dessous son gros ventre et il me la collée dans la bouche. Il a éjaculé en 30 secondes en me maintenant la tête pour que j'avale son sperme, ce vieux dégoûtant.

- Donc ... même Marcel?

- Marcel, oui ... Marcel et les autres ...

- Quels autres?

- Je continue .... Et Serge a téléphoné, il a dit à son interlocuteur qu'il pouvait envoyer les suivants .... Alors il m'a dit d'aller m'allonger sur la table basse du salon sur laquelle il y avait un tapis d'ailleurs. Puis Marcel est venu, m'a écarté les cuisses et il m'a sucé la chatte pendant 5 mn. Je commençais à jouir quand il s'est arrêté et a rejoint Serge. Moins de 2 mn après, quelqu'un est entré. J'ai entendu Marcel lui dire de se foutre à poil, que j'étais disponible pour lui dans le salon. Je n'étais même plus inquiète, mais curieuse de savoir qui c'était. Il est entré et j'ai reconnu Daniel B... Lui aussi a semblé surpris, mais il a dit que Serge n'avait pas menti, que c'était bien Sandra, la belle Sandra qui se trouvait là devant lui, offerte. Il ne cessait de répéter ... c'est pas possible, Sandra ... Il s'est jeté entre mes cuisses et il m'a pénétré d'un seul coup. Il m'a baisée à sa guise et il a joui. Il s'est relevé et il est venu m'embrasser à pleine bouche puis il est sorti du salon.

- Daniel B... Merde!

- Je n'ai même pas joui, tant il a été rapide, ce con

- Et après?

- Après il y a eu le défilé, Serge a choisi toutes nos connaissances, dont je me souviens parfaitement ... Je commence, dans l'ordre :

Kamel, le jardinier arabe, lui il m'a baisé la bouche et il a joui, planté au fond de ma gorge... Jean, notre voisin de la maison en face, lui il m'a baisée normalement... René, notre voisin, le mari de Laure, il m'a baisée aussi et j'ai joui une première fois... Serge, l'autre, le patron du café tabac, qui m'a baisée avec sa petite queue... Yann, le jeune qui travaille à la station. Lui il m'a enculée... Roland G... qui m'a aussi enculée... David, le frère de Jany, il s'est branlé et il m'a arrosée de son sperme... Franck, le chef de la bande de jeune qui sont souvent sur la place, qui m'a enculée... Et enfin le meilleur pour la fin, mon oncle ... Jean Yves ... Il a simplement dit que jamais il n'avait osé espérer baiser sa nièce. Il m'a baisée.... Et je peux te dire que là encore les commentaires qu'ils faisaient, soit quand ils étaient seuls avec moi ou quand ils étaient entre eux dans la salle à manger, étaient du même genre que les autres de la veille. Mais celui de mon oncle c'était le pire. Il a dit qu'il viendrait souvent chez sa nièce pour faire te faire cocu dans ton propre lit. Enfin Serge m'a dit de rentrer. En passant devant tout le monde, ils m'ont encore touché les seins et les fesses et certains m'ont embrassée avec leur langue baveuse. Ils m'ont dit d'aller te dire qu'ils venaient de prendre ta pute de femme. Et me voilà.

Je ne parlais plus, je ne savais pas quoi dire... Alors, Sandra enleva sa robe et je vis son corps si beau, je vis les traces de sperme sur elle et celui qui coulait entre ses cuisses. Elle comprit mon désir. Elle vint sur moi, enjamba mon visage et plaqua sa chatte sur ma bouche.

- Bois le sperme bien chaud de mes amants qui viennent de se vider dans moi, bois cocu

J'avais la bouche remplie du foutre qui coulait et je m'en régalais. Elle se leva, je voulu l'attraper ...

- Ah non ... pas toi. Serge ne veut pas. Il me pervertit pour lui, pas pour toi. Je lui appartiens et je fais ce qu'il me dit de faire avec qui il veut. Je vais être gentille avec toi, je vais branler ta petite queue

Elle prit mon sexe dans sa main et me masturba et je jouis en 1 mn, tant j'étais plein d'excitation.

- C'était bon, chérie d'amour?

- Oui, surtout après ce que tu viens de me raconter, presque tous ceux qui te regardaient en te désirant t'ont eue. Tous ceux qui me jalousaient ma merveilleuse épouse l'ont baisée ou enculée

- Et ça te plait d'être cocu à ce point?

- C'est excitant, très excitant de savoir que sa femme est une salope, la pute du village, la femme publique, en quelque sorte, mais au fait, pourquoi pleurais-tu

- Je me fais beaucoup de soucis, je me suis avilie avec tous ces hommes, et maintenant je ne sais pas ce qui va se passer, et en plus, il y a mon patron et mon oncle. Et il y a Serge .... Dont je ne peux plus me passer, il me rend folle, je crois ... que je l'aime .... Différemment de toi, mais je l'aime. Je suis désolé de te l'avouer, Alain. Tu vois, même en ce moment, je voudrais être avec lui, dans ses bras. Voilà pourquoi je pleurais.

- Je comprends, chérie, je comprends.

- Tu comprends quoi?

- Je comprends pourquoi tu pleurais

- Ah ... et est-ce que tu comprends que nous sommes allés très loin, que nous avons dépassé le point de non-retour, que nous ignorons, toi et moi, ce qui va se passer demain, après demain, avec tous ceux qui m'ont prise. Ils vont se parler entre eux et en parler aux autres, ça ne va qu'empirer. J'espère que Serge dominera la situation

Lâchement, je ne répondis pas. Le matin nous nous sommes très peu parlé, nous sommes partis chacun de notre côté à notre travail respectif.

Le soir, je suis rentré avant elle à 19 heures. Elle est rentrée à 20 h 30.

En dînant elle m'a expliqué son arrivée tardive. Serge lui a téléphoné et lui a demandé de passer chez lui au sortir du bureau. Il lui a dit qu'elle n'avait rien à craindre de son patron, ni du comptable, ni d'aucun de ceux qui m'avaient prise, qu'il gérait la situation.

Il l'a informée que c'est lui qui provoquerait les situations qu'il voudrait et que je saurais que ça vient de lui... Je fus un peu rassuré.

Le mois passa très vite ... chaque jour Sandra avait une nouveauté à me raconter.

"... Un jour c'était untel qui l'appelait sur son portable en disant que Serge lui avait donné son n° de téléphone et lui disait de venir à tel endroit. Et bien sûr il la prenait. Elle se faisait baiser et/ou enculer ou elle devait sucer et avaler le sperme. Elle rentrait souvent après 22 heures...

... Un autre jour, c'était son patron ou le comptable qui après l'avoir convoquée la prenait dans leur bureau...

.... Elle me dit aussi qu'un soir, Kamel l'avait emmenée dans les bois. Il l'enculait lorsque 3 de ses copains arabes sont apparus et elle a dû les sucer et boire leur sperme à tour de rôle.

... Mais la chose la plus terrible pour elle, c'est que tous les week-ends, elle ne les passait plus avec Serge, mais avec son oncle qui ne se lassait plus de la prendre plusieurs fois par jour.

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