Sandra et le Proprio Ch. 01

Informations sur Récit
Comment devenir cocu.
4.9k mots
4.44
44.2k
2
0

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/06/2018
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
trouchard
trouchard
186 Admirateurs

Voici un petit texte trouvé sur le site d'un bloggeur "chez André 112" qui, depuis des années, publie certains récits anciens trouvés sur le net. Il m'a autorisé à reprendre certaines histoires. Je ne peux que vous conseiller de visiter son blog qui est une mine de photos, vidéos, et récits. L'humour de ce bloggeur pour légender ce qu'il propose est exceptionnel. Vous pouvez retrouver son blog an tapant "André 112" dans la barre de recherche Google.

Ce récit est bien sûr une pure fiction.

******

Vint le jour fatidique de cette violente dispute.

Pourtant depuis un an que nous étions mariés, pas un nuage n'avait obscurci notre vie. Ce vendredi de fin juin où je me suis laissé emporter pour un rien, mit fin à cette vie de couple simple.

J'avais de gros soucis financiers et je venais d'être licencié depuis une semaine. Sandra travaillait, elle est secrétaire dans une boite de moyenne importance. Moi je suis informaticien... au chômage.

J'ai vingt-huit ans et ma femme en a dix-neuf. Cette dispute est venue du fait qu'elle venait de s'acheter quelques vêtements sexy. Le matin je ne l'avais pas vue, j'étais resté au lit. Elle revenait de son travail et je fus surpris de ces nouveaux habits.

Une minijupe à mi-cuisses, en cuir bleu et un haut en soie bleu clair, presque transparent. Sandra est une très belle jeune femme. Grande, un mètre septante-sept, mince avec un joli fessier magnifique et des seins à faire damner un Saint, 95 D, larges, ronds et lourds.

Ses cheveux blonds et ses grands yeux verts, la rendent très attirante. Mais là, habillée ainsi, elle était vraiment... trop... splendide. Je lui en fis le reproche et lui reprochant aussi de ne pas m'avoir montré ses fringues ce matin. Elle me sourit... bêtement en me disant qu'elle avait aussi acheté deux autres tenues tout aussi sexy pour l'été.

Alors, je lui demandais combien avait coûté le tout ...

- Six cents Euros" me dit-elle naturellement et elle ajouta, sans compter les chaussures et les sacs, sinon neuf cent nonante Euros en tout.

Je crus défaillir. Mille Euros de fringues, alors que je suis viré et que les traites vont être impayées, sans compter le loyer. J'entrais dans une colère folle et la dispute commença.

Et tout y passa... Mon boulot, mes finances, mon caractère depuis quelques temps, mon abstinence sexuelle, etc... etc... Et aussi, sa désinvolture, sa non solidarité, ses tenues, ses dépenses, son look de pute, etc... Et encore, tout ce que nous ne pensions probablement ni l'un ni l'autre, mais que la colère et l'orgueil nous faisait dire.

Bien trente minutes plus tard, nous nous sommes calmés, pour repartir de plus belle, lorsque je m'aperçus qu'elle était nue sous ses vêtements. Alors, elle remit les mêmes vêtements, me regarda dans les yeux et me dit :

- Alain, tu sais, tu n'es qu'un pauvre con!

Elle sortit et claqua la porte de la maison. Quelques heures plus tard, je l'appelais sur son portable, mais il était éteint. Sans cesse j'appelais mais sans résultat. Elle rentra tard dans la nuit. Le dimanche matin, elle me dit :

- Alain, ne recommence plus jamais cela, je te préviens, jamais!

Je m'excusais et lui promis de ne plus recommencer. Mais de ce jour, Sandra changea totalement. De presque soumise elle devint non pas autoritaire mais c'est elle qui décidait.

Elle était maintenant toujours habillée sexy. Un mois passa et arriva le mois d'août. Elle était en congé. Inutile de dire que nous ne pouvions partir en vacances.

Nous n'avions pas payé le loyer de juillet et le propriétaire avait été aimable d'attendre. Le 5 août, alors que nous étions dans le jardin à faire la sieste, le propriétaire vint. Sandra était les seins nus avec un string.

Je le fis entrer dans la maison et lui expliquais que mes indemnités de chômage ne me seraient payées que début septembre. Il ne voulut rien savoir et exigea un paiement immédiat et argua qu'il était, en plus, très inquiet d'apprendre que j'étais licencié.

Je réussis à le faire patienter jusqu'au lendemain. Affolé, nous ne pouvions obtenir de crédit du banquier qui voyait nos prélèvements de crédit et connaissait notre endettement. Je pris donc la voiture et partis chez mes parents pour essayer de leur emprunter de l'argent.

Mais arrivé chez eux, j'appris par les voisins qu'ils étaient partis quelques jours. Je rentrais bredouille et avec Sandra, nous étions très stressés, nous ne savions comment faire. Sandra dit :

- Il ne faut pas qu'il te trouve ici, je lui dirai, justement, que tu es parti chez tes parents pour leur demander de l'argent et comme ils habitent loin, tu ne seras de retour que dimanche soir.

Je fus ravi de cette idée. Le samedi matin, vers onze heures, nous étions dans le salon, en tenue d'été, elle en robe légère et moi en caleçon, quand il sonna au portillon et je me dissimulais vite dans le bureau.

Elle le fit asseoir dans le salon et lui expliqua exactement ce qui était prévu. Mais il entra dans une colère telle que les voisins durent entendre. Il me traita de tous les noms et de fainéant.

Demandant à Sandra ce qu'elle faisait avec un idiot pareil. Il sortit son téléphone portable et dit qu'il allait appeler son ami huissier pour pratiquer une saisie conservatoire et l'exécuter dans le même temps.

Sandra le supplia de n'en rien faire, qu'elle ferait ce qu'il voudrait pourvu qu'il ne lui inflige pas pareil déshonneur. C'est alors, qu'il dit froidement :

- Ecoute petite, si tu es d'accord, on peut s'arranger, tu es jolie et tu me fais sacrément bander, alors si veux faire tout ce que je veux... pas de problème, je suis prêt à tirer un trait sur les deux mois de loyer à certaines conditions...

- Lesquelles, dit Sandra apeurée?

- Simple... tu acceptes de baiser avec moi ces deux jours, en attendant ton con de mari et tu ne me dois plus rien!

- Mais...

- Il n'y a pas de mais, c'est cela ou l'huissier dans une heure!

Je pestais, je voulais sortir et lui casser la figure, mais il était grand et fort. La cinquantaine, il semblait un colosse, c'est vrai qu'il était ex-militaire.

Sandra faisant celle qui réfléchissait vit la porte du bureau entre-baillée. Elle me devina plutôt qu'elle me vit. Elle me regarda, froidement, puis se retourna.

- Je n'ai pas d'autre choix, j'accepte...

- C'est un bon choix, jeunette, allez, alors déshabille-toi, fais-moi voir ce que je viens d'acheter!

Sandra obtempéra et se trouva nue devant l'homme.

- Va m'attendre dans le jardin!

- Nue?

- Oui nue, salope!

Elle sortit et le propriétaire enleva aussi tous ces habits. Il était nu et bandait à moitié. Je voyais tout et sa queue me parut énorme. Probablement le double de la mienne tant en longueur qu'en épaisseur.

Ses couilles étaient grosses comme des oranges. Il caressa son appareil génital et sortit dans le jardin. J'ouvris doucement la porte et j'allai les épier derrière un rideau.

Il avait déjà pris Sandra dans ses bras et l'embrassait à pleine bouche, ses mains la caressaient sur tout le corps, les fesses et les seins. Puis il s'allongea à même le gazon et dit :

- Viens me sucer, petite.

Hésitante, Sandra s'y résolut mais dit :

- Les voisins, ils peuvent nous voir...

- Je me fiche des voisins et s'ils voient, tant mieux, ils sauront...

Alors Sandra s'agenouilla entre ses cuisses, regarda le sexe de l'homme et dit :

- Mais il est énorme, il est trop gros!

- Ah cela te change de celui de ton mari, n'est-ce pas?

Elle ne répondit pas. Elle prit l'engin dans sa main gauche et emboucha un bout de la bite tendue. De sa main droite elle malaxa les couilles. Elle suçait la queue avec avidité, je m'en rendis compte.

Je pleurais doucement, je voyais ma femme se vendre pour payer le loyer... Je regardais ma femme sucer une queue qui n'était pas la mienne. Trois minutes durant elle s'activa... et je me rendis compte que je bandais en contemplant le spectacle, je me caressais sur le caleçon.

Le propriétaire fit mettre Sandra sur le dos, écarta ses cuisses et lui enfonça un doigt dans la chatte...

- Mais c'est qu'elle mouille la salope, elle est toute excitée de m'avoir sucé la bite!

Il retira son doigt et sans autre préparation positionna son gland sur la vulve de Sandra. Il poussa et le gland pénétra le vagin, Sandra poussa un cri étouffé, il poussa encore et entra totalement jusqu'aux couilles, Sandra cria cette fois franchement.

Ma femme était prise, ouverte par la queue énorme de son amant. Sa tête allait de gauche à droite et ses râles étaient bruyants. L'homme se retira et commença de la baiser de toute sa puissance. Je voyais très bien le sexe entrer et sortir. Il était vraiment énorme et Sandra ne tarda pas à jouir fortement.

- Ah la petite pute, elle jouit comme une jeune salope!

Il la prit longuement ainsi, la faisant jouir trois fois avant de s'enfoncer en elle pour libérer son sperme au plus profond de ma femme. Ils restèrent soudés l'un à l'autre puis Sandra le repoussa et s'enfuit.

J'eus juste le temps de regagner mon bureau sans qu'elle me voie. Le sexe à l'air, je me branlais et je jouis dans un mouchoir. Je devinais qu'elle se lavait. L'homme entra dans le salon et appela Sandra :

- Viens ne t'habille pas, reste nue et sers-nous des boissons.

Ils discutèrent dans le salon.

- Alors, jeune Sandra, tu vois, ce n'était pas la mer à boire, et c'était bon non? Ah au fait je m'appelle Serge.

Sandra le regarda en fronçant les sourcils et avec une mimique de la bouche.

- Quoi, tu as pris ton pied trois ou quatre fois, tu rigoles...

Sandra ne parlait toujours pas.

- Alors, c'était comment?

- C'était bien!

- Bien seulement?

- C'était bon!

- Tu regrettes?

- Non, mais j'espère que vous tiendrez parole!

Il se leva, fouilla dans sa sacoche et sortit les quittances des loyers qu'il remit à Sandra.

- Non seulement, je tiens parole mais je te fais confiance, j'espère que toi aussi tu tiendras parole jusqu'à demain soir...

- Et si mon mari rentre avant?

- Tu te débrouilles pour qu'il ne rentre que dimanche soir...

Sandra apporta les boissons, elle se promenait nue comme naturellement devant ce quinquagénaire qui aurait pu être son père. Après un moment, il dit :

- Viens me sucer, chérie!

Sans rien dire Sandra le leva et s'agenouilla entre ses jambes, elle le suça immédiatement... Elle y mettait du cœur et de la volonté. J'en fus étonné et même jaloux.

Il l'arrêta et la fit asseoir sur le fauteuil, il était face à elle, la queue à bonne hauteur de sa bouche. Il y introduisit son sexe démesuré. Elle prenait ses couilles dans ses mains.

Il baisait sa bouche et s'y enfonçait régulièrement au plus profond, manquant de l'étouffer. Soudain, il stoppa et ne laissa que quelques centimètres de sa bite dans la bouche de ma femme.

- Je décharge, salope, je jouis, j'éjacule dans ta bouche de pute... avale mon sperme, avale tout!

Il râla et Sandra reçut toute la quantité de sperme. Elle suça la bite en se retirant et avala d'un seul coup. Puis elle reprit le sexe en bouche et le suça encore. La salope, elle en redemandait...

Elle qui avait toujours refusé que je jouisse dans sa bouche, elle avait permis à cet homme de le faire et avait même avalé son sperme. J'enrageais, je ne comprenais plus rien.

- Formidable ma jeune amante, tu suces très bien et tu te comportes comme une vraie professionnelle. Ton mari est un homme heureux!

- Mon mari n'a jamais eu droit à cela!

J'en restais scié, pourquoi disait-elle ces mots?

- Ah bon... et alors, pourquoi, moi?

- J'en avais envie, c'est tout!

- Parfait, parfait, je suis donc privilégié et en avance sur ton cocu de mari...

- Oui, on peut voir les choses ainsi...

Je les voyais entrer et sortir de la maison pour le jardin et vice et versa. Ils discutaient de choses et d'autres et semblaient bien s'entendre. Je crevais de jalousie et m'impatientais de questionner Sandra. Mais je savais que je devais rester planté dans mon bureau...

Le soir, ils mangèrent dans le jardin et j'entendais leurs rires. Sandra se rendit plusieurs fois à la cuisine mais n'eut aucun regard vers la porte du bureau. Toujours nue, elle vaquait...

Enfin ils rentrèrent, lui derrière elle, la serrant contre lui, lui pelotant les seins. Dans ses bras, elle semblait une petite poupée fragile. Elle le guida vers notre chambre...

J'attendis un moment et j'osais ouvrir délicatement la porte du bureau, je m'avançais dans le couloir qui mène aux chambres, il y en a trois...

La porte était largement entrouverte. Par chance la lumière du couloir n'était pas allumée, mais la veilleuse de la chambre oui. J'attendis ainsi quelques minutes et aussitôt que je compris qu'ils étaient en action, je me risquais dans la chambre d'amis juste en face de la notre, dont je laissais la porte entre-baillée.

J'avais une vue complète sur le lit. La tête dans les coussins, Sandra était possédée par notre propriétaire qui la prenait en levrette : il la prenait fortement à grands coups de reins. Les mains sur les hanches de ma femme, il la prenait. Sandra râlait en permanence et criait ses jouissances continues, cela dura ainsi au moins trente minutes.

L'homme s'arrêta et suça le cul de Sandra un long moment. Puis il la prit de nouveau, la faisant encore jouir. Je voyais qu'il enfonçait son pouce dans le cul de Sandra. Il s'arrêta de nouveau et guida son sexe sur l'anus offert.

- Non cria Sandra, non pas par-là!

Je fus rassuré de cette dénégation.

- Tu es à moi pour ce week-end et tu ne dois rien me refuser...

- Mais je ne savais pas que...

- Il n'y a pas de limite, tu m'appartiens, ton corps m'appartiens...

- Je vous en prie, non pas cela, je ne l'ai jamais fait, pas même avec...

- Avec qui? Ton con de mari, cela ne m'étonne pas, mais tu vas y passer...

Il tenait Sandra fermement d'une main et de l'autre il guidait sa bite. Il appuya fortement et l'anus bien préparé s'ouvrit non sans mal pour Sandra. Le bout était dans le cul. Sandra le suppliait d'arrêter.

Mais, lui pressait doucement, il savait qu'il avait gagné. Il s'enfonçait sans écouter les gémissements de l'enculée. Quand il fut bien à fond, il demeura ainsi sans bouger.

Sandra pleurait, mais le bougre savait y faire, il fit un retour de moitié de s'enfonça de nouveau très lentement. Il sortit totalement et pénétra la chatte toute mouillée, puis il l'encula à nouveau et cette fois pour y rester.

En quelques minutes seulement, il avait réussi à enculer ma femme avec son sexe énorme alors que j'avais toujours été refusé avec mon petit sexe. Doucement il permettait au cul de Sandra de s'adapter à son enculage et à la grosseur de sa bite, tant et si bien que j'entendis des soupirs de plaisirs sortir de la bouche de Sandra.

C'est elle d'ailleurs qui parla la première.

- Oh! Serge, je n'aurais jamais cru... c'est bon, c'est si bon, continue, oui, encule-moi, encule-moi comme une putain, comme la pute que je suis!

- Dis que tu aimes ma bite, salope.

- Oh! Oui, oui, je l'aime ta bite dans mon cul, dans ma chatte et dans ma bouche!

- Tu ne pourras plus t'en passer, je viendrai te prendre souvent, si tu veux.

- Oh! Oui, tout le temps, tout le temps, Serge...

- Et ton mari?

- Mon mari sera cocu par toi, continue, encule-moi!

Il l'encula encore longtemps avant de crier :

- Je vais jouir dans ton cul ma chérie, je vais t'inonder le cul!

- Oui, viens, viens dans mon cul!

Ils crièrent ensemble, Sandra jouit encore de se faire enculer et il envoya tout son sperme dans le cul de celle qui était, il y a encore quelques heures, ma fidèle épouse. Je regagnais vite mon bureau...

Le lendemain, ils petit déjeunèrent dans le jardin, ils étaient toujours nus. Je remarquais que Sandra était tout à son aise. Elle l'embrassait d'elle-même et attrapait souvent sa bite au passage. Je l'entendis même dire :

- Qu'est-ce que tu m'as mis ce matin, j'ai la chatte ouverte, et ton sperme colle mes poils.

- Et c'est pas fini...

- Oui, oui, j'en prendrais bien encore.

Effectivement, après une sieste réparatrice, il la prit dans le jardin, puis l'encula encore une fois. Cela dura encore plus longtemps que la veille, il l'enculait sans ménagement, il avait enduit son cul de beurre et il pouvait pénétrer sans problème.

Sandra se déchaînait et implorait son enculeur de se retenir de jouir. Mais il jouit. Il se planta au fond de ses entrailles pour y déverser son sperme. Sandra hoquetait de plaisir :

- Serge, Serge, je suis à toi, tu m'as révélée, je ne pourrai plus me passer de toi, maintenant!

- Je viendrai souvent t'en mettre un coup, rassure-toi!

- Oui, Oui...

Vers dix-sept heures, Sandra attira son amant dans la salle de bain. Elle savait que je devais arriver. Je sortis donc de ma cache et à dix-huit heures j'entrais. Ils étaient au salon, nus. Je pris mon air le plus étonné, le plus offusqué :

- Mais enfin qu'est-ce que cela signifie?

- Eh bien cela signifie, pauvre idiot, que ta femme a payé les loyers que tu es incapable de payer, voilà ce que cela signifie!

- Comment, je ne comprends pas...

- Explique nos accords à ton mari...

- Alain, Serge a accepté d'annuler les loyers dus, j'ai d'ailleurs les quittances, contre un week-end avec moi!

- Avec toi?

- Oui, nous avons eu des rapports sexuels contre les loyers, tu vois, dit-elle agacée.

- Mais enfin et moi dans tout cela?

- Toi tu économises les loyers, Sandra a fait ce qu'elle pensait devoir faire et moi je suis satisfait de m'être envoyé une si jolie jeune femme. Tout le monde est content!

- Content, content, vous en avez de bonnes, vous, c'est de ma femme qu'il s'agit!

- Oui et donc tu es cocu et content!

- Alain, il faut bien reconnaître que Serge a été un gentleman et pour tout te dire, j'y ai pris beaucoup de plaisir!

- Quoi?

- Ta femme te dit qu'elle a aimé que je la baise!

- Ah bon, elle a aimé?

- Oui, Alain, j'ai aimé et si tu veux savoir, j'ai joui plus qu'avec toi, Serge a une queue énorme, et il faut aussi que tu saches que je lui ai tout donné de moi.

- Qu'est-ce que cela veut dire?

- Je l'ai sucé, j'ai avalé son sperme et il m'a enculée!

- Qu'est-ce que tu dis, il...

- Oui tu as bien entendu...

Je m'effondrai dans un fauteuil et fis semblant d'être atterré.

- Maintenant que...

- Maintenant je rentre chez moi et tu n'as plus de problème de loyer...

Il remit ses vêtements et partit.

Seuls, avec Sandra nous avions beaucoup à nous dire.

Sandra et moi nous étions sans un mot, assez désemparés, il faut bien le dire. Je comprenais qu'il fallait dire quelque chose pour débloquer la situation.

- Je suis confus, enfin tout mon esprit et confus et je ne sais plus que penser, tout est allé tellement trop vite

- Trop vite, oui c'est ça, trop vite

- Je crois que tu devrais parler, expliquer ton état, maintenant, comme chez le psy, en quelque sorte

- Non je préfère que tu parles le premier, toi aussi tu dois avoir à dire

- C'est vrai mais je suis coincé, comme paralysé ... Je ne sais pas par où commencer ... Tout est si confus en moi. En fait c'est comme si j'avais rêvé, tu es là devant moi et je ne sais plus si c'est réellement arrivé. J'ai vu ma femme se donner à un autre homme pour résoudre une situation financière difficile, mais j'ai aussi observé qu'elle y avait pris beaucoup de plaisir et j'ai aussi été très excité de la voir ainsi prise par cet homme.

- C'est vrai, au début j'étais dans une sorte de dégoût envers toi et moi, puis le sexe a pris le dessus et je n'ai plus pensé qu'au sexe. Mais je ne savais pas que toi aussi, tu aimais.

- Et tu es allé très loin, tu lui as donné plus que tu ne m'a jamais accordé ...

- C'est vrai aussi, je ne sais pas pourquoi mais je n'étais plus moi-même, je vivais ces moments de sexe, il faisait de moi ce qu'il voulait

trouchard
trouchard
186 Admirateurs
12