Sabrina: Un Concert Qui Tourne Mal

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
gophil72
gophil72
16 Admirateurs

Sabrina dut lui saisir les épaules pour ne pas perdre l'équilibre! il la fit monter et descendre sur sa cuisse, sollicitant sa chatte qui devenait presque le seul point d'appui de Sabrina! Il ne put cependant aller plus loin : le barbu avait trouvé un disque de ska, et il changea brutalement de musique, passant d'un rythme plutôt langoureux au rythme effréné des cuivres, et Sabrina se détacha soudainement de son partenaire pour danser comme une folle au milieu du salon! le tatoué était déçu, mais il n'avait pas dit son dernier mot. En attendant, il alla se servir un verre au bar, pendant que j'accompagnais Sabrina dans sa danse endiablée!

De son côté, le barbu, également étonné de ne pas voir revenir les bouteilles de rouge, descendit lui aussi à la cave, et je me dis qu'elles allaient prendre encore plus de retard!

J'avais suffisamment maté, à moi de profiter un peu de ma conquête : je me frottais langoureusement contre elle, laissant mes mains parcourir les globes fermes de ses fesses, glisser le long de son ventre plat, remonter le long de son dos musclé. Sabrina vint se plaquer à moi, de dos, ondulant contre moi : ses fesses venaient me masser le sexe, et il fallut peu de temps pour que j'ai une belle érection! Sabrina ne pouvait pas ne pas la sentir à travers sa robe, mais elle continuait de se frotter contre moi! Je lui saisis la taille à deux mains, et remontai le long de son torse. Comme elle l'avait fait avec le tatoué, et elle étendit les bras au-dessus de la tête pour danser, libérant l'approche de ses seins, que je vins empalmer doucement! j'étais aux anges, la soirée s'orientait encore mieux que ce que j'aurais pu espérer : mon sexe prenait connaissance de son cul, et mes mains massaient sa poitrine magnifique! Le tatoué nous observait, son verre à la main, en train de se masser l'entre-jambe. J'hésitais encore entre arrêter maintenant et ramener Sabrina chez elle avant que l'irréparable ne se produise, et voir jusqu'où on pouvait aller avec elle! La chaleur de son corps contre le mien et son état de désinhibition me firent basculer du côté obscur!

Prenant Sabrina par le bras, je l'accompagnai au bar, et pendant que le tatoué reprenait la main et lui pelotait le cul, ce qui lui faisait pousser des petits rires et se trémousser, je lui servis un grand verre de rhum -- coca, nettement plus chargé en rhum qu'en coca! Sabrina était assoiffée, et elle vida son verre à une vitesse hallucinante! la soirée dérapait complètement pour elle!

Prétextant une envie pressante, je m'éclipsai, laissant Sabrina aux mains (baladeuses) du tatoué. J'en profitai pour faire une visite à la cave : Agnès était bien en mains, le barbu avait pris la place du grand, qui de son côté se faisait sucer tout en buvant directement à la bouteille. Agnès était juste habillée de ses sandales (!), sa robe gisait maintenant sur la terre battue à ses pieds.

Remontant dans le salon, je le trouvai vide. Je parcourus la maison, regardant dans toutes les pièces, mais il n'y avait plus de traces de Sabrina et du tatoué. Etonné, revenant au salon, je remarquai alors la porte-fenêtre entrebâillée. Je sortis dehors : la température était douce, une légère brise agitait les buissons, et la lune presque pleine éclairait le jardin. Je laissai mes yeux s'habituer quelques minutes, puis commençai à me déplacer sans bruit; faisant le tour de la maison, je distinguai tout à coup la tache claire de la robe blanche de Sabrina derrière un bosquet. Faisant un détour, je m'approchai sans bruit, camouflé par les arbustes. Progressivement, j'entendais de plus en plus distinctement des soupirs de plaisir. Me relevant derrière les buissons, je découvris alors Sabrina, appuyée et penchée en avant contre un arbre, les cuisses écartées, et derrière elle, à genoux, le biker qui avait relevé sa robe sur ses reins, et était en train de lui bouffer le cul!

J'étais scotché par cette vision, que je m'empressai de prendre en photo discrètement. Me déplacement souplement, je passai de l'autre côté de l'arbre sur lequel était appuyée Sabrina. Me plaquant à l'arbre pour ne pas être vu, j'avais cependant suffisamment d'allonge pour venir lui peloter les seins! Ses gémissements augmentèrent d'intensité comme je lui malaxais la poitrine, venant pincer ses tétons qui pointaient maintenant. Le biker devait croire qu'il lui faisait de plus en plus d'effet, puisqu'il ne pouvait me voir! Sabrina haletait de plus en plus fort, je décidai de pimenter un peu leurs ébats, et je lui pinçai cette fois-ci brutalement le téton droit! Elle cria de douleur, essayant de repousser ma main, mais sa position n'était pas très stable, et je continuais de broyer son téton érigé entre mes doigts! Elle finit par se redresser pour repousser les mains qui la torturaient, ce qui n'arrangea pas le biker. Je me cachai à nouveau derrière l'arbre, pendant que le tatoué se relevait :

- tu me chauffes vraiment trop la bite, toi!

- laissez-moi, je crois que je vais rentrer chez moi, souffla Sabrina en essayant de s'éloigner en titubant.

Le biker la rattrapa par le bras :

- tu ne vas t'en aller comme ça, on s'amuse bien tous les deux!

Et il la plaqua contre l'arbre, et essaya de l'embrasser sur la bouche. Sabrina essayait de le repousser :

- arrêtez ou je crie!

- tu peux crier, ça fera venir mes potes!

Et il lui bloqua les bras le long du corps pour réussir à l'embrasser! Ce faisant, il la maintenait toujours contre l'arbre derrière lequel j'étais caché, une jambe glissée entre celles de Sabrina : elle avait donc les jambes légèrement écartées! j'en profitai pour me baisser, et depuis ma position invisible, je remontai une main entre ses jambes sous sa jupe, et je lui doigtai sa chatte humide! Sabrina se débattait pour échapper à la fois au biker qui l'embrassait et à la main qui la pelotait, mais le tatoué la maintenait trop fermement! Délaissant son minou trempé suite au broutage qu'elle venait de subir, je laissai mon majeur remonter dans le sillon de ses fesses, jusqu'à venir le poser sur son petit trou. A ce contact, elle essaya soudainement de ruer, sans succès, et je me mis à lui masser l'œillet par petits mouvements tournants. Je me doutais que le tatoué n'allait pas passer des heures à l'embrasser, du coup, sans prévenir, je forçai mon majeur dans son cul le plus loin que je pus! Sa réaction ne se fit pas attendre : elle se cambra brutalement sous la douleur et la surprise, ce qui projeta le biker en arrière.

- laissez-moi tranquille! haleta-t-elle

Mais le biker avait vite repris son équilibre

- tu n'aimes pas les bisous, tu veux passer à autre chose?

Sabrina essaya de lui donner un coup de genou dans les couilles, mais dans son état d'ébriété, elle avait mal évaluée la distance, et le tatoué était déjà presque contre elle : il ne reçut que sa cuisse dans les parties, ce qui eut plus l'effet de le mettre en colère plutôt que de le mettre hors de combat!

Sabrina essaya de s'enfuir dans le jardin, mais saoule comme elle l'était et en talons, il la rattrapa en 2 enjambées, la retourna et lui envoya une gifle monumentale qui l'envoya valdinguer au sol :

- Ah, tu veux jouer à la plus maline!

Sabrina, toujours au sol, essayait de s'éloigner à quatre pattes, mais le biker la suivait, et il lui allongea une grande claque sur les fesses :

- ça aurait pu se passer amicalement entre nous, tu m'obliges à utiliser la force!

Sabrina sanglotait et rampait toujours devant lui

- je vais m'occuper de toi, tu me supplieras de te faire jouir dans peu de temps!

Saisissant Sabrina par les cheveux, il la releva, et la tira sans ménagement jusque à une table de jardin en pierre, sous un kiosque. Sabrina n'appréciait guère ce traitement, essayant de suivre pour ne pas se faire arracher les cheveux en gémissant de douleur. Le tatoué n'en avait cure, et il la bascula sur la pierre froide, lui maintenant la tête d'une main, pendant qu'il relevait à nouveau sa robe de l'autre.

- je vais te péter la rondelle, petite salope! éructa-t-il.

Sabrina le suppliait d'arrêter, essayant de lui griffer la main qui lui tenait le cou, et tentant de redescendre de l'autre sa robe sur ses fesses.

- reste tranquille, grogna-t-il en lui serrant un peu plus le cou, pendant qu'il sortait sa bite de son autre main. Je vais casser ton cul de petite bourgeoise!

À moitié étouffée, Sabrina essayait de repousser le tatoué, mais son état d'ébriété et sa position l'empêchait de faire quoi que ce soit d'efficace! il avait maintenant sorti son braquemart,et se branlait en matant le cul nu de Sabrina. Crachant dans sa main, il vint lubrifier son gland, et lui écartant brutalement les jambes, il se positionna face à son cul sans défense;

- je vais t'ouvrir en deux, tu vas aimer ça! rugit-il

- Nooon! laissez-moi, je n'ai jamais fait ça! lâchez-moi! essayait de crier Sabrina, remuant pour échapper au viol qui se préparait.

Mais le biker était beaucoup trop fort pour elle, et maintenant beaucoup trop excité pour s'arrêter! Maintenant toujours Sabrina par le cou, il plaqua son gland contre son bouton de rose vierge, et se mit à pousser pour lui forcer le cul. Sabrina serrait les fesses tant qu'elle pouvait, ce qui gênait considérablement le biker car elle les avait très musclées avec la danse.

Voyant cela, le tatoué serra un peu plus le cou de Sabrina. De ma position, je voyais les veines de son cou se gonfler, et elle commençait à se débattre désespérément pour respirer. Dans sa lutte pour aspirer de l'air, alors qu'elle était proche de l'évanouissement, elle finit par relâcher son fessier, et le sexe du tatoué, qui s'arcboutait pour la pénétrer, brisa la résistance de ses sphincters et pénétra ses entrailles! Sabrina tenta de hurler de douleur, mais l'étranglement qu'elle subissait l'empêchait de produire le moindre son. Je vis sa bouche s'ouvrir dans un cri silencieux, ses yeux écarquillés remplis de larmes reflétant sa souffrance et son désarroi!

- tu vois que ça fini par rentrer, grogna le biker, relâchant son cou pour lui permettre de respirer.

Sabrina aspira frénétiquement une goulée d'air, et le tatoué en profita pour donner un soudain coup de bassin, embrochant un peu plus Sabrina qui hurla cette fois de douleur!

- t'es étroite comme une pucelle, on va bien s'entendre! et il continua de s'enfoncer dans son fondement par saccades violentes, arrachant à Sabrina des cris de douleur à chaque fois que son sexe progressait dans ses muqueuses tendres, jusqu'à finir par l'empaler complètement sur son sexe!

- t'es vraiment trop chaude et serrée du cul, je vais te défoncer comme jamais! rugit-il, et il commença à la sodomiser sauvagement, lui bourrant le cul sans ménagement, l'écrasant à chaque poussée sur la table de pierre. Sabrina couinait et sanglotait, son pauvre cul défoncé à sec la brûlait!

Le biker lui saisit les hanches, et se mit à l'empaler par à-coups : il se retirait doucement, puis se renfonçait d'une seule poussée au plus profond de ses tendres muqueuses, coupant le souffle de Sabrina à chaque fois, et il recommença ainsi un temps qui parut infiniment long à sa proie. Finalement, sentant sans doute venir les prémices d'une jouissance, il saisit à nouveau le cou de Sabrina à deux mains, serrant progressivement, et recommença à la sodomiser sans ménagement! L'étranglement coupait à la fois la respiration de sa victime, et empêchait également le sang d'atteindre son cerveau : Sabrina ne savait plus où elle était, son cerveau s'obscurcissait par le manque d'oxygène, elle avait un mal fou à respirer, et ses muqueuses anales lui renvoyaient des sensations équivoques! Le tatoué sentait une vague de plaisir monter dans ses reins, il accéléra encore le rythme, serrant encore plus le cou de Sabrina, qui était au bord de l'évanouissement, essayant d'arracher les mains qui l'étranglait. J'avais peur qu'il n'aille trop loin, et je m'apprêtais à intervenir, quand il jouit brutalement dans son cul, l'inondant de foutre chaud.

Au même moment il relâcha soudainement la gorge de Sabrina, et l'afflux combiné de l'air dans ses poumons, du sang dans son cerveau et du sperme dans son cul provoqua malgré elle un orgasme incontrôlé! Elle poussa un long hurlement de jouissance, se cabrant sur la table de pierre, tous les membres tétanisés, puis perdit connaissance et s'affala de tout son long! le tatoué mit encore deux -- trois coups de bite dans son cul, pour la forme, puis s'essuya le sexe sur sa robe et remballa la marchandise.

- t'es vraiment le meilleur coup depuis très longtemps!

Et il lui envoya un claque retentissante sur les fesses, ce qui ne fit même pas tressaillir Sabrina dans son état second.

Puis il s'éloigna en titubant lui aussi en direction de la maison.

J'étais scotché par l'orgasme dévastateur que Sabrina venait de subir! le tatoué savait y faire pour faire jouir une femme, dans la douleur, c'est vrai, mais avec un résultat époustouflant! le biker étant retourné à la maison, je m'approchai de Sabrina, qui ne bougeait toujours pas : j'étais comme hypnotisé par son cul éclairé par la lune. Je commençai à lui caresser la chatte, qui était trempée de cyprine! ma bite bandée me faisait mal, je dégraphai rapidement mon pantalon, sortant mon braquemard, et me positionnai contre sa fentine.

Elle commençeait à reprendre pied, gémissant doucement. Je ne lui laissai pas de répit, et ayant placé mon gland à l'entrée de son con, je m'enfonçai d'un seul coup de bassin au plus profond de sa caverne d'amour! Elle se cambra en poussant un profond soupir, je ne la laissai pas reprendre son souffle et me mis à la sauter à grands coups réguliers, me retirant presque de sa chatte pour y replonger avec délice jusqu'à la garde! L'orgasme qu'elle venait de subir après s'être fait violer le cul semblait avoir déconnecté le cerveau de Sabrina : elle gémissait de plaisir, les deux mains posées sur la table, et essayait d'aller à la rencontre de ma bite! me penchant sur elle, je lui saisis les seins à travers sa robe, les malaxant, excitant les tétons dressés : Sabrina était dans un état second, son corps complètement abandonné au plaisir, alors que son cul devait la lancer d'une force après ce qu'elle avait subi!

Accélérant le rythme, je lui martelais le con à grands coups de bassin, et ses cris de plaisir devenaient de plus en plus aigus! j'en profitai pour lui enfoncer mon pouce dans le cul, lui massant le colon par l'intérieur. Sabrina ne réagissait pas à cette intromission, son cul devait être anésthésié par ce qu'il avait subi.

Du coin de l'oeil, j'aperçus les 3 bikers qui sortaient de la maison : ils avaient été plus vite que prévu! J'augmentai encore ma fréquence, sentant une vague de lave monter dans mes reins, et je déchargeai tout mon foutre dans sa cramouille affamée, lui arrachant un nouvel orgasme. Je me retirai rapidement et m'éclipsai avant que les bikers n'aient pu m'apercevoir en train de m'occuper de Sabrina, retournant me dissimuler derrière un bosquet.

Le tatoué amena ses deux compères jusqu'au kiosque et leur présenta le cul de Sabrina qui relevait lentement la tête :

- voilà le plus beau cul que je n'ai jamais niqué!

Attrapant Sabrina par les cheveux, il la releva avec brutalité, et la présenta tel un trophée à ses collègues.

- je pense qu'on peut en faire ce qu'on veut, son copain a disparu!

Et il la poussa dans les bras du petit barbu.

Celui-ci la rattrapa, et la retournant dos à lui, il attrapa la fermeture éclair de sa robe dans son dos, et la descendit d'un seul coup jusqu'à ses reins! chopant la robe aux épaules, il dénuda la torse de Sabrina d'un seul mouvement, faisant apparaître sa poitrine moulée dans un soutien-gorge couleur chair.

- je veux voir tes miches, rugit-il

Et sans essayer d'enlever l'agrafe, il lui rabattit le soutien-gorge sur la taille, faisant jaillir sa poitrine sous le nez du grand!

Sabrina essayait de se défendre, de se débattre, mais les trois étaient trop forts pour elle, et ils commencèrent à se l'envoyer, profitant de l'avoir dans les bras pour la peloter : untel lui pinçait un sein, un autre lui fourrait deux doigts dans la chatte, le troisième lui envoyant une claque avant de la projeter vers un autre de ses comparses; Sabrina gémissait sous les coups, gémissements couverts par les rires gras du trio.

Jugeant qu'elle était entre de "bonnes" mains, je décidai d'aller voir où en était Agnès. Je m'éclipsai discrètement en direction de la maison. Le salon était sens dessus dessous, mais il n'y avait pas de trace d'Agnès. Pareil à la cave, personne à la cuisine. Je montai à l'étage, et finit par la trouver dans sa chambre : elle était allongée sur le lit, endormie (par l'alcool, sans doute!), à plat ventre, entièrement nue. Des zèbrures sur ses fesses laissaient penser qu'elle avait pris des coups de ceinturon. Sa chatte dégoulinait de foutre, foutre qui collait aussi ses cheveux.

M'approchant du lit, je glissai une main entre ses cuisses, lui caressant la chatte, puis remontant le long de la raie de ses fesses jusqu'à son fion. Etonnamment, il semblait qu'elle ne s'était pas fait sodomiser : c'était peut-être dans les plans initiaux, mais l'arrivée du tatoué avait peut-être repoussé l'échéance. Je décidai de remédier à cela!

Saisissant un foulard, je commençai par lui bander les yeux. Puis, avec la ceinture de la robe de chambre posée sur une chaise, je lui attachai les poignets dans le dos : je la voulais totalement à ma merci! une fois préparée, lui saisissant les deux chevilles, je la tirai sans ménagement au bord du lit, pour qu'elle se retrouve avec les deux genoux au sol, les cuisses écartées et le cul en position! Cette garce avait vraiment un cul de toute beauté!

Je lui caressai le cul, ne provoquant aucune réaction, puis la poitrine qu'elle avait aussi magnifique : cela eu pour effet de me redonner une belle trique! sortant ma bite, je la lubrifiai en crachant dans ma main, puis, lui écartant les fesses d'une main je positionnai mon gland sur son anus et poussai pour le faire pénétrer. Mm par mm, mon sexe s'immisçait dans son fondement, et le gland était maintenant engagé à moitié, suffisamment pour ce que je voulais faire ensuite : saisissant ses hanches des deux mains, je gainai mes abdos, et d'un brutal coup de rein, je l'empalai de toute ma longueur!

Agnès se réveilla dans un hurlement, ses muqueuses défoncées sans préliminaires! Ne lui laissant pas le temps de reprendre son souffle, je me retirai presque complètement et la pénétrai à nouveau sèchement! Elle hurla de nouveau, essayant de se débattre pour échapper à son pal!

- t'es vraiment étroite du cul, tu n'as pas du souvent te faire sodomiser, lui grognai-je

Et je lui en remis un coup dans le fion.

- arrêtez, vous me faites mal, criait-t-elle, sanglotant de douleur

- j'arrêterai quand j'aurai inondé ton cul de foutre!

Et je la sodomisai sauvagement! lâchant ses hanches, je saisis ses seins à pleines mains, les malaxant sans douceur, pinçant les tétons, et je la redressai vers moi : Agnès se retrouvait cambrée, son fondement martyrisé et ses seins pelotés, haletant et sanglotant sous mes assauts!

Revenons quelques minutes en arrière à l'extérieur : les 3 bikers continuaient de désorienter Sabrina, qui ne savait plus du tout où elle en était, bringuebalée entre leurs mains, les seins pincés, les joues en feu à force de recevoir des claques, sa robe ne tenant plus que sur sa taille! Finalement, le tatoué l'arrêta par les épaules :

- il est temps de passer aux choses sérieuses! Enlève ta robe!

Sabrina était saoule, mais pas au point d'obéir à ce genre d'ordres :

- ça ne va pas, non! laissez-moi partir!

Le tatoué lui allongea alors une violente baffe, qui l'envoya rouler au sol. Le grand l'attrapa alors par les cheveux, et la releva sans ménagement! Le tatoué repris :

- c'était le premier avertissement! Maintenant, enlève ta robe!

Sabrina voulut encore résister :

gophil72
gophil72
16 Admirateurs