Rose Ch. 01

Je sortais depuis plusieurs mois avec Rose. C'était sans doute la plus jolie fille de l'Université, grande, brune aux yeux verts, elle attirait les regards de la gente masculine et les jalousies féminines. Je me sentais fier à son bras. Nous nous étions embrassé plusieurs fois mais ça n'avait pas été plus loin et je commençais à trouver le temps long.

Aussi, je fus surpris quand elle m'invita chez sa mère pour dîner. C'était grande femme hautaine de 55 ans qui avait du être aussi belle que sa fille dans ses jeunes années mais qui avait pris un peu d'embonpoint. Son mari était mort quatre ans plus tôt et elle restait seule depuis.

J'ai oublié de vous dire que Rose était noble et faisait partie d'une des plus anciennes famille de la région. Madame de la Vallière mère tenait parfaitement son rôle de Comtesse et insistait sur son origine.

Je fus accueilli un peu fraîchement. Madame la Comtesse me jaugea du regard comme on regarde un cheval qu'on va acheter. Rose était inexistante face à sa mère et je me sentis mal à l'aise durant tout le dîner un peu guindé.

À la fin du repas, Madame de la Vallière me fit venir dans sa chambre.

« Mon petit Pascal, il y a une coutume dans cette famille: Les filles arrivent vierges le jour de leur noce! »

J'étais stupéfait de l'entendre parler ainsi et je m'offusquai.

« Madame, je vous promet que Rose et moi... »

Elle m'interrompit autoritairement.

« Ta.ra.ta.ta, vous êtes tous les mêmes les jeunes aujourd'hui...Retirez votre pantalon »

« Quoi? »

« Retirez votre pantalon! »

J'aurais du me révolter contre cet ordre insensé et partir en claquant la porte. Mais je ne le fis pas et commençais à défaire ma ceinture.

Pendant que je retirais mes vêtements, elle ne s'occupait pas de moi en farfouillait dans le tiroir d'une commode. Je me sentais ridicule à moitié nu devant cette femme et j'avais inconsciemment mis les mains dans le dos.

Elle me tendit une boîte en carton.

« Tenez, mettez ça »

Dans la boîte, il y avait un objet que je reconnus tout de suite en blanchissant. C'était un tube épais en grillage d'acier, et une menotte du même métal et je sus que c'était une cage de chasteté masculine.

Difficilement, en rougissant autant à cause de l'effort que de la honte, je fixais la menotte derrière mes couilles et passait mon membre dans l'étroite grille d'acier.

Pour ajouter encore à ma honte, ce fut elle qui fixa le tout avec un cadenas de laiton.

« Bon, vous voilà muselé »

Voyant ma mine déconfite, elle éclata de rire.

« Ne faites pas cette tête la, on peut satisfaire une femme d'une autre façon »

Je n'avais jamais envisagé d'épouser Rose et ce truc qui m'emprisonnait le sexe me mettait mal à l'aise. Je remontais ma culotte et mon pantalon et suivi Madame de Vallière dans le salon. Rose nous y attendait assise à table. Je me demandais si elle savait ce qui s'était passé dans la chambre. Le métal froid et lourd me tirait sur le sexe et j'avais l'impression que tout le monde pouvait s'en rendre compte.

J'étais estomaqué, non seulement je m'étais déshabillé devant cette inconnue, mais je l'avais laissé me mettre ce truc sans protester. Je me sentais bizarre quand je m'assis face à Rose. Elle me fixa l'air ingénu

« Qu'est ce que maman avait à te dire? »

Ce fut Madame de la Vallière qui intervint.

« Rien, je lui donnais juste quelques conseils sur la vie de couple »

Rose regarda sa mère avec stupéfaction.

« Mais Pascal et moi sommes ensemble depuis trois mois et nous n'avons jamais envisagé de vivre ensemble »

« Je sais ma fille, mais mieux vaut prévenir que guérir »

Rose me regardait sans comprendre et je me sentais de plus en plus mal à l'aise.

Nous rentrâmes silencieusement, perdus dans nos pensées. Rose creva l'abcès.

« Qu'est ce que tu as été dire à maman »

« Rien, je te promet »

« Elle a semblé dire qu'on allait se marier, on a même jamais fait l'amour »

« Et ça ne risque pas d'arriver! »

Je n'avais pu me retenir. Elle me fixa avec colère.

« Je ne te plais pas? »

« Non, c'est pas ça...Ta mère m'a mis une cage de chasteté »

Son regard se changea en stupéfaction

« Une quoi? »

« Une cage de chasteté »

« Qu'est ce que c'est que ça? »

« C'est un truc qu'elle m'a mit sur le sexe, il parait que les filles de votre famille arrive vierge au mariage »

Elle éclata de rire.

« Sacrée maman, toujours du siècle dernier...Montre moi »

« Quoi? »

« Montre moi! »

Je dégrafais mon pantalon pour montrer à Rose la cage d'acier que sa mère m'avait posée. Elle fut effaré

« Et tu t'es laissé faire? »

« Oui »

« Pourquoi? »

Je la regardais sérieusement

« Parce que je t'aime »

Elle se redressa et relevant sa jupe, fit coulisser sa culotte sur ses jambes.

« Viens me sucer »

Je ne me fis pas prier, retirant précipitamment mon pantalon et me mettant à genoux, approchais de son sexe. Elle était poilue et avait une odeur animale et musquée. Je passais la langue sur sa chatte, goûtant pour la première fois la saveur visqueuse de sa mouille.

Je la léchais longtemps. Elle m'avait pris par les cheveux et dirigeait la manoeuvre. Rose mouillait beaucoup et j'avais la bouche engluée de la cyprine que j'avalais. J'avais une douleur intolérable dans le sexe comprimé dans sa cage. C'était à la fois un rêve et un cauchemar.

Rose finit par jouir en m'écrasant sur sa chatte et en poussant une sorte de feulement rauque. Quand elle me relâcha, je retombais en arrière, le visage enduit de mouille, avec un mucus épais sur le palais.

C'était le premier contact sexuel que nous avions et, malgré la douleur, j'en étais enchanté, me sentant complètement imprégné de Rose, de son odeur, de son goût.