Révolte 02: Diana et Nicole

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Diana est réveillée par la porte qui s'ouvre. Les autres filles sont de retour. Dans un sale état. Le pire c'est Cindy, deux femmes sont obligée de la porter. Elles la couche sur le ventre. Diana s'approche d'elles. Diana les reconnaît, ce sont deux jeune américaine de vingt ans, Tina et Lucy. La jeune femme voit avec épouvante l'état de Cindy. Son anus, ensanglanté, dégorge de sperme.

- Qu'est-ce qui lui arrive?

- Elle a eut une crise de nerfs, quand un cinquième soldat s'est approché pour la sodomiser. Ils l'ont battu, tous l'ont enculé à la suite. Deux cents soldats. Puis ils l'ont fister, avant de la violer par le même chemin avec une batte.

Les deux filles s'éloignent. Avec un vieux linge humide, Diana entreprend de mouiller le visage de Cindy, elle est brûlante de fièvre. Mais déjà des soldats et des insurgés entrent dans le baraquement. Ils se jettent sur les filles qu'ils violent immédiatement. Diana n'y échappe pas. Un jeune se couche sur elle et lui pénètre le vagin. Elle n'oubliera jamais le hurlement atroce que pousse Cindy quand un gros soldat se couche sur elle et l'encule. Le hurlement le plus terrible qu'elle n'est jamais entendu. Et depuis le début de la révolte, Diana peut dire qu'elle en a entendue des centaines...

Nicole croie devenir folle quand elle sent des gargouillis dans son ventre. Elle se fait violer et va avoir un orgasme en même temps. Ce n'est pas possible, elle déteste ce que ce monstre lui fait. Il la défonce de plus en plus fort, se demandant si la nuisette enroulée autour des reins de la belle va tenir. Il voit les lèvres du sexe de sa proie adhérer à sa bite à chaque fois qu'il ressort de son ventre. Il ne va pas tarder à jouir, il la massacre de sa bite comme une machine-outil. Nicole ne crie plus depuis quelques minutes. Mais à la grande surprise de Madou, cette dernière se met à haleter au rythme de son viol immonde. Mais pas que de douleur. Il sent les parois vaginale de la blonde commencer à palpiter contre son pieu. Cette chienne blanche prend donc du plaisir à ce qu'il lui fait. Tout en la besognant à un rythme fou, il ralentit un peu la cadence de ses coups de reins. Il veut faire jouir cette pute. Lui montrer qu'elle n'est qu'un trou à bites aimant ce qu'on lui fait.

Pendant des heures et des heures, ils se succèdent sur elle et ses codétenues. Il y a de tout. Des soldats, des adolescents d'à peine quinze ans, des policiers, des fermiers, des prisonniers, des gardiens de prisons, même des mendiants. Des hommes en costumes, en uniformes, en haillons. On lui viole la chatte, l'anus, la bouche. Seul ou à plusieurs, ses trois orifices, ses trois trous à bites étant forcés simultanément. Des fois même deux bites pour un seul orifices. On les violent sans préservatifs, jouissant en elles ou sur elles. Diana ne sait pas combien lui sont passé dessus, au moins une centaine. Cela a duré des heures et des heures. Elle voit du coin de l'œil que ses copines de détentions subissent le même sort. Même la pauvre Cindy, pourtant dans un piteux états. Il semble à Diana que la pauvresse est seulement enculée. Ses hurlements si horrible au début, se sont peu à peu tarit. Pour devenir cris, grognements, puis geignements. Maintenant la pauvre Cindy les subit en silence. Finalement, la foule des violeurs s'arrête. On ne les a pas seulement forcées sexuellement. Elle ont été battues, mordues, fouettées. Il faudra de longues minutes à Diana pour pouvoir bouger. Sa chatte, son anus, tout son corps n'est plus que douleur. Elle gémit sans arrêt tellement elle a mal. Les autres font pareil. Elle trouve la force de tourner la tête, toutes sont dans le même piteux états qu'elle. Seule Cindy est silencieuse. Finalement, Diana sombre dans l'inconscience.

Nicole gémit de plus en plus fort. Son cerveau refuse ce que son corps ressent. Ce n'est pas un véritable orgasme qui arrive, la blonde ne ressent aucun bien-être, aucun amour. Non c'est juste une réaction de son corps. Mais ça, Nicole ne le sait pas. Pour elle, il lui arrive ce qu'elle refuse de toute son âme, elle va jouir sous la bite de ce monstre. De son bourreau, de son violeur. Nicole entend Madou soupirer de plaisir, elle sait qu'il ne va pas tarder à jouir, mais son léger ralentissement prouve aussi qu'il veut laisser l'orgasme naissant de la blonde, éclater. Et pour tout dire, il y arrive très bien. Nicole sent avec horreur une douce torpeur lui envahir le ventre. Puis des centaines de petits picotements bien agréable se manifeste. Elle se bat de toute son âme, suppliant dieu et son corps de ne pas la faire jouir. Mais rien n'y fais. Les parois de son vagin, palpitent comme des folles contre l'immense engin en elle. La blonde pulpeuse se met à haleter de plus en plus fort. Son vagin se mouille de plus en plus, trempant le sexe qui la viole. Puis petit à petit, un long cri sort de sa gorge. Madou sent son braquemart englobé complètement par le vagin forcé. Nicole lâche un meuglement de jouissance, quand son orgasme traverse son corps, lui électrifiant le clitoris, les mamelons, le cerveau. Son véritable hurlement de plaisir fait éjaculer Madou abondamment dans le ventre de la femelle. Déclenchant un second orgasme au corps de Nicole, alors que le premier n'est pas encore fini. Son hurlement de plaisir s'entend des pièces contiguës. La femme en bave de plaisir, s'urine dessus tellement l'éjaculation du black qui lui frappe l'utérus lui fais ressentir un orgasme d'une puissance jamais connue. Bien plus forte que ceux donné par son défunt mari, pourtant expert en la matière. Madou aussi est traversé par le plaisir. Si intensément, qu'une fois finis, il se retire du corps de sa proie, dans un grand plop, tant le vagin de Nicole fait ventouse avec sa bite. Le black recule de quelques pas, pour s'appuyer contre la table d'interrogatoire, tant ses jambes le tienne à peine. Tandis que Nicole, comme au ralentit, tombe à genoux sur le sol. La semence de son adjoint lui inondant les cuisses. Puis elle se couche sur le sol, le corps encore parcourut de spasmes, geignant encore de jouissance, son orgasme achevant de la traverser.

Diana ne sait pas combien de temps elle est restée inconsciente. Quand elle revient à elle, la pénombre règne. Mais elle y voit assez pour remarquer que les autres filles aussi, gisent soit dans l'inconscience, soit regarde fixement le plafond, profondément choquée par ce qu'elles vivent. Seule Cindy est restée dans la position où son dernier violeur l'a prise. Couchée sur le ventre, fesse redressée par une petite caisse en bois. La jeune femme semble offrir ses orifices femelle au prochain qui voudra d'elle. Une position pervers, dégradante. Surtout avec le sperme et le sang qui macule l'anus encore béant de la pauvresse. Diana, tant bien que mal, s'approche de son amie.

- Cindy, réveille-toi. Cindy... Cindy...

Elle appelle la jeune femme en chuchotant, pour ne pas faire venir les gardes. Mais elle ne répond pas. Alors elle pose sa main sur l'épaule de la fille et Diana la secoue. Mais rapidement, elle arrête son geste. Cindy est glacée. Elle retourne la fille. Ses yeux vitreux sont grand ouvert, son visage restant bloqué dans une grimace horrible de douleur immense. En larmes, Diana referme les yeux de la fille. Elle prend son corps glacé dans les bras, la berçant contre elle. Un véritable hurlement d'horreur sort de sa gorge. Diana comprend que toutes risquent de vivre la même chose que Cindy. Mais au fond d'elle même, la jeune femme se demande si ce n'est pas mieux...

Madou est assis sur une chaise. Il regarde Nicole, sur le sol, qui reprend haleine. Elle est horrifiée par ce qu'elle vient de vivre. Répétant comme une litanie :

- Mon dieu, j'ai jouis, je suis une pute, j'ai jouis.

Madou que les paroles de la fille font rebander savoure ce spectacle. Cette pute est vraiment une salope. Il en rajoute d'ailleurs :

- Alors la pute, on prends du plaisir à se faire soit-disant violer?

- Je n'ai pas pris de plaisir...

- Je te repasse la bande si tu veux, tout est enregistré!

Nicole ne relève pas. Madou se lève, la nuisette de la fille est toujours autour de sa taille. Il la lui arrache, puis la met debout en tirant sur ses longs cheveux blonds. Il la plaque contre le mur. Il se colle à elle et l'encule. Cette fois le meuglement qui sort de sa bouche est tout sauf du plaisir.

Quatre soldats sont rentrés pour voir pourquoi une putain blanche hurle de la sorte. Quand ils voient Diana tenir le corps de Cindy, ils comprennent. Ils sont obligés de battre Diana pour lui faire lâcher prise. Ils soulèvent le corps de la malheureuse. Elle ira rejoindre une fosse, où les victimes étrangère du coup d'état sont jetés. Ils sont obligés d'attacher Diana, victime d'une crise de nerf. Ils la menottes par les poignets et les chevilles à des fers situés à cet effet sur le mur. Puis ils sortent, laissant tout ce beau monde choqué.

Nicole ne comprend rien. Alors que longtemps elle a hurlée sous le viol anal que lui fais subir Madou, quand ce dernier est proche de la jouissance, alors que ses coups de reins sont de plus en plus puissant, Nicole halète de nouveau. C'est un cauchemar, ce n'est pas possible, elle ne peut pas ressentir du plaisir par là! Pourtant quand le sperme du black jaillit dans ses entrailles, la quinquagénaire crie un nouvel orgasme. Pour la première fois de sa vie, elle vient de jouir par le cul. Quand il a fini, Madou la lâche et va s'asseoir. Tandis que Nicole glisse lentement au sol.

- Viens me sucer!

Morte de honte, détruite autant physiquement que psychologiquement, Nicole obéit immédiatement. Elle se dirige vers son ancien adjoint à quatre pattes. Arriver à destination, elle ouvre la bouche et gobe le sexe flasque. Elle ira au bout de sa fellation. Avalant toute la semence de son bourreau. Enfin repus, ayant accomplit son fantasme de se faire la chienne blonde qui lui faisait office de chef, Madou se rhabille. Quand il sort, deux soldats se mettent au garde-à-vous.

- Avec sa copine la brune, faites-les partir pour le village de Zumiba, le chef m'a demandé deux putes blanches.

- Bien monsieur.

Mais avant, vous pouvez vous vider avec celle-ci. Autant que vous avez envie, avant d'aller chercher l'autre.

Ils la baiseront deux fois, ensemble. L'un dans la chatte, l'autre dans le cul. Puis ils s'échangeront les orifices. Cette fois autant vous dire qu'elle ne jouira pas.

Diana est torée de son évanouissement quand on la détache. Enfin, surtout quand elle s'écrase sur le sol. Nicole est là aussi. Quatre gardes avec elle. Les hommes les conduisent en dehors du baraquement. On les laissent nues, sans les laver. Elles doivent monter dans une jeep, avec les quatre soldats. Ils quittent le camp, sans savoir où elles vont. L'une comme l'autre, détruite, reste dans le plus grand mutisme, ne posant aucune question aux soldats. Elles ne reverront plus leurs consœurs d'infortune, tout du moins celles qu'elles quittent.

China, jeune Anglefricaine de vingt ans, a crut avoir la chance de sa vie, quand elle à épousé, il y a deux ans de cela, ce riche allemand de soixante ans. C'est lui qui l'a dépucelée, mais il n'a jamais montré des signes de perversité. Ne lui demandant que quelques fellations, mais jamais son anus. Un faible prix à payer pour se sortir de l'enfer de la pauvreté. Mais voilà, tout à une fin. Là, elle est à quatre pattes, à côté de son mari abattus. Elle hurle de douleur, tandis qu'un soldat la sodomise. Elle les a compté, c'est le centième à la prendre par là. Et vu la queue, c'est le cas de le dire, de soldats qui attendent, elle se doute que ce n'est pas le dernier. Alors China fais la seule chose qu'elle puisse faire, elle hurle. Tout comme Ingrid, trente ans, la fille de son mari, qui elle, subit autant d'hommes, mais dans le vagin.

La jeep à roulé longtemps. Outre les nombreux attouchements, les doigtés anaux et vaginaux, qu'elles ont subis, la voiture à fais de nombreux arrêt. Pour que les soldats, se vident dans leurs culs, leurs chattes ou leurs bouches. Rajoutant encore à l'horreur qu'elles subissent. La jeep mettra plus de onze heures pour faire les quatre cents kilomètres pour rallier Bodia au village de Zumiba. Six arrêts viols furent aussi nécessaire pour bien vider les couilles des quatre soldats. Sans oublier ceux des vingt soldat au check-point de Zonia, à cent kilomètres de Zumiba.

Zumiba est un petit village isolé de cinq milles âmes. Contrairement au reste de l'Anglefrique, ici, la majorité de la population est masculine, soixante-dix pour-cent pour être exact. Aussi à l'annonce du général Abdou, le maire de ce village, l'a contacté pour qu'on lui envoie au moins deux femmes pour chaque hommes. De préférence des prisonnières étrangères. Zumiba, étant le premier village à se rallier à Abdou lorsque il a concerté les élus pour savoir il serait soutenu, entraînant dans son sillage la majorité des ville et villages de moins de vingt mille âmes. En effet, le maire de Zumiba est le représentant au parlement de toutes ces petites villes. En remerciement, Abdou accepta sa requête. Mais il faudra au moins deux semaines encore avant qu'un convoi transportant sept mille jolie filles blanche, et blonde, n'arrivent à Zumiba. Aussi, Abdou a-t-il appelé Madou pour qu'il envoi quelques femelles pour faire patienter les villageois. Ce dernier, a décidé de n'envoyer que Nicole et Diana dans un premier temps. Il enverra deux jours plus tard, un contingent de cinq cents filles. En attendant, Madou se vengera de ces deux putains en les offrants seul, à trois mille cinq cent hommes fou de stupre. Le nombre étant celui de tout les mâle de Zumiba apte à baiser. Même si cela doit signifier la mort pour les deux chiennes.

Quand la jeep arrive, après avoir roulé toute la nuit, les guetteurs siffle. Signifiant l'arrivée de nouvelles femmes. Aussitôt la foule s'amasse sur la grande place du village. Bien entendu, ils sont déçus, en ne voyant seulement que deux femmes. Un des soldats prends la parole avec un méga-phone.

- Messieurs, dans un jour et demi maintenant, un contingent de cinq cents demoiselle arrivera. Dans dix jours environs, une autre livraison de sept mille femelles prisonnières. En attendant, nous vous offrons ses deux putains. Amusez-vous avec autant que vous le souhaitez. Deux putes pour trois mille cinq cent guerriers comme vous, c'est peu, mais elle vous apporterons tout le nécessaire pour vous vider en attendant les cinq cents autres!

Nicole et Diana deviennent folle en entendant le chiffre de trois mille cinq cent hommes à vider. Elles ne survivront pas au tiers. Le maire en est bien conscient. Aussi décide-t-il de plutôt offrir un spectacle à ses électeurs. Il prends le méga-phone à son tour.

- Messieurs, vous être trop nombreux pour tous baiser ces putes. Elles ne survivraient pas. Je vous propose que à la place, ces deux chiennes nous offrent un spectacle. Après tout, une fille pour sept hommes, c'est mieux que deux pour trois-mille cinq cents. Attendons deux jours, faisons les nous divertir, et après nous pourrons nous vider avec les cinq cent premières putain.

Une clameur fend la foule. Un spectacle organisé par le maire, est toujours sympathique. Surtout si il est de cul. Ce dernier étant connu pour sa perversité. Puis ce sont des guerriers, ils peuvent attendre l'arrivée des autres putains qui elles les videront. Nicole et Diana ne sont qu'à moitié soulagée d'éviter le viol de tout le village. Mais elles se demandent néanmoins ce qui les attends.

On les fais se mettre à quatre pattes au milieu de la grande place du village. Place assez grande pour accueillir toutes la ville, et même plus. D'ailleurs la place est noire de monde. Des écran géants ont été mis, pour que tout le monde puisse voir. Écran pillé au centre de recherche international voisin. Des fer ont été planté dans le sol. Diana et Nicole doivent y passer chevilles et poignets. On leur passe aussi un collier de cuir autour du front, qui relié aux poignets, leurs maintien la tête immobile. Les deux femmes se retrouvent donc emprisonné. Le sable chaud de la place leurs brûlent les parties de leurs corps qui y sont exposés. Bizarrement ont leurs donne à boire. Un litre d'eau chacune, qu'elles boivent d'une traite, tant elles sont assoiffées. Puis on glisse sous chacune d'elle un petit tabouret. Ainsi, elles seront forcées de maintenir la position. Un murmure parcoure la foule. Diana et Nicole se demande bien pourquoi.

Puis un silence glacial règne. Les regards des gens en face sont fixés avec étonnement sur un point dans leurs dos. Elles voudraient se retourner pour voir, mais elles ne le peuvent pas. Puis elles entendent marcher derrière elles. Un pas bizarre, comme si les hommes avaient des griffes. Il y a aussi un halètement qui se fait entendre. D'un coup, Nicole hurle. Diana n'a pas le temps de se demander pourquoi, qu'elle aussi lâche un hurlement. Un chien vient de monter sur son dos, plantant ses griffes dans les seins de la malheureuse brune. Inutile de vous dire que la blonde à subit le même sort. De fines rigole de sang coulent alors des plaies infligés par les deux chiens.

Les deux filles hurlent de concert avec ce chien sur le dos. L'animal qui est sur Diana, comme celui de Nicole, donne des coups de reins rapide tout en essayant de trouver un trou à prendre. Deux jeune femmes du village, âgée de trente ans tiennent les chiens en laisse. Avec un plaisir non dissimulé, elles prennent chacune un sexe canin, et l'enfonce dans le vagin de la fille devant elle. Simultanément Diana et Nicole hurle comme des folles, tandis que leur violeur canin commence à les pistonner. Ce sont deux dogues allemand qui leurs massacrent seins et vagins. Les deux villageoise savoure le spectacle. Pendant six ans, elles ont été les putains forcées de magnat de l'industrie. Des blancs avides de sexe, qui en plus de les violer, les ont fait copuler avec tout les animaux possible et inimaginable. Avant de les libérer à l'âge de vingt-cinq ans, les jugeant trop larges. Pouvoir se venger sur deux blanches est pour elles comme une libération.

En plus de la douleur infligés à leurs vagins par les sexe animaux, la violence psychologique d'un viol animal est indescriptible. Une horreur sans nom s'abat sur elles. Puis leurs hurlements décuple quand la boule située à la base des pénis des animaux rentrent dans leurs corps. Aussitôt suivit de l'éjaculation énorme des deux dogues. On laisse les animaux sur elles. Puis au bout de cinq minutes, les deux filles tirent les animaux. Faisant hurler les deux putains blanches, manquant leurs arracher le vagin, quand les boules encore gonflées sortent de force des chattes massacrées. Un flot impressionnant de spermes s'échappent de leurs orifices grand ouvert. Trente fois plus que pour une éjaculation humaine. Diana et Nicole aux bords de la crise de nerfs, peine à reprendre leurs souffle.

Mais déjà les deux filles Anglefricaine amènent deux nouveaux dogues. Cette fois, c'est leurs anus qui seront forcés par les chiens. Leurs hurlements sont encore plus puissant, plus horrible, plus jouissif pour la foule de spectateurs. Certains écœuré s'en vont. Mais la plupart assiste à cette vengeance sur les tourmenteurs étrangers. Une fois de plus la boule canine pénètre en elle, écartelant leurs fesses aux maximum de leurs possibilités. Aussitôt suivit d'une éjaculation énorme qui fait gonfler leurs ventres.

Une fois les chiens retirés de leurs corps, Diana et Nicole, qui ne peuvent marcher seules, sont portées sur deux chevaux d'arçon. On les attachent. Les deux femelles se demandent quel horreur leurs sont encore destinés. Quand les deux filles arrivent avec chacune un zèbre, Diana et Nicole comprennent immédiatement quel sort horrible leur est destiné. Elles hurlent, supplient, tentent de se détacher, en vain. Les deux énormes pénis des zèbres pénètrent les chairs délicates et fragiles, mais déjà tant massacrées, de leurs vulves. Les hurlements, comme les ruades des deux filles sont inhumain. Il en sera de même, voir plus, quand après avoir jouit plus d'un litre de semence en elles, deux nouveaux zèbres s'occuperont de leurs anus. Diana et Nicole n'espéreront plus qu'une chose, mourir le plus rapidement possible. Mais hélas pour elle, cette libération n'arrivera pas.