Révolte 07: Un An Déjà! La Suite.

BÊTA PUBLIQUE

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Quelques instants de silence suivent les mots de Jess et Marius. C'est la jeune majeur qui reprend la parole. - Je me déshabille ici? - Oui, c'est aussi bien. - D'accord... - Je vous dirais comment vous mettre lors des photos. Ce ne sera pas amusant, mais c'est vraiment nécessaire pour prouver au jury que jamais vous n'avez jamais été consentante. - Je comprends, j'ai confiance en vous. La jeune fille qui ne s'est toujours pas arrêter de pleure doucement, se lève de sa chaise. Elle retire son chemisier. Le docteur le prend, le met dans un sac plastique. Ses cheveux long cachent sa poitrine. Marius prend son appareil. - Je vais vous prendre en photo, enlevez vos cheveux. Le docteur prend un élastique dans sa poche, il le tend à la jeune fille. - Attachez-les, ce sera mieux. Jess se fait une queue de cheval, cela lui va bien, la rendant encore plus magnifique, sa beauté est presque hypnotique.

Tous voient les seins fabuleux de Jess. Ils sont énorme, au moins du 85D. Ferme, en poire, avec de petites aréoles rose foncé et de long tétons. On distingue nettement la blancheur des seins de la fille, faisant une marque si érotique comparée au bronzage du reste de sa peau. Mais ce qui fait bander les trois hommes, se sont les traces de doigts sur la poitrine de la jeune victime. Il y a aussi de nombreuses traces de morsures. Sans compter les petites marques circulaires rondes qui l'ornemente, et qui constelle aussi son ventre. Démontrant sans le moindre doute les tortures qu'elle a subit. En outre son ventre est couvert de bleus. Ils voient aussi que son vagin est totalement glabre, elle s'épile. Là aussi la blancheur de la peau contrastée au bronzage de son corps les rends fou. - Écartez les jambes. Jess obéit. Marius prends encore des photos. L'intérieur des cuisses est totalement violette. A force d'être tenue, écartées de forces, a cause aussi du frottement violent des corps de ses violeurs entre les jambes de la fille. Il y a du sperme mélangés à du sang, séché sur tout l'intérieur de ses cuisses, ça descend jusque à ses chevilles. - Bien, montrez votre sexe. Je suis désolé, mais c'est nécessaires. Avec ses doigts, Jess dévoile son vagin. Les lèvres sont boursouflées, gonflées. - Bien asseyez-vous sur le bureau. En grimaçant de douleur, Jess s'exécute. Ça la gêne de faire cela devant eux, mais elle comprend parfaitement qu'ils n'ont pas le choix. Marius la prend en photo encore une fois. De nouveau il lui fait d'abord écarté les cuisses, puis le sexe. De nouvelles photos sont prises. - Bien, relevez-vous, et mettez-vous de dos. La jeune victime obéit. Son cul est splendide. Bombé, mince, avec une chute de reins vertigineuse. Marius est certain qu'il pourrait y poser dessus un gobelet de café.

Son dos et ses fesses portes des marques de brûlures de clopes. Mais aussi de coup de ceinture. La pauvre fille a vraiment pris cher. Il y a également des marques bleuis de doigts sur les fesses de la fille, ainsi que des traces de morsures. La encore, il y a des traces de spermes sous les fesses, descendant jusque au chevilles. Elle a dut recevoir des litres de semence. Marius la mitraille de photos. - Penchez-vous en avant, s'il-vous-plaît. Sans se poser de questions, Jess s'exécute. On voient son anus encore ouvert. Ils voient mal, alors Marius lui donne de nouveaux ordres. - Mettez-vous torse contre la table, pliée en deux, pieds au sol. Jess s'exécute une nouvelle fois. - Bien, écartez-les fesses. Décidément cet américaine est bien obéissante pense Marius. Cela ne le satisfait pas, alors il lui place les mains lui-même. Jess sursaute, elle est encore terrorisée. Dans cette position, il a une vue parfaite sur le vagin massacrée de la fille. Ainsi que sur son trou du cul. La petite étoile plissée, ressemble à un morceau de chou-fleur, tant elle à été détruite par des bites violentes. Il y a du sperme et du sang séché dans la raie des fesses de la femelle. - Docteur, venez, vous avez vu ça?

Le toubib s'approche, il sourit à Marius qui défait les boutons de sa braguette en silence. - Je ne sais pas, de quoi vous parlez? Jess tourne la tête, inquiète. Mais dans sa position, elle ne peut rien voir. - Il y a un problème? Le docteur lui répond. - Non, ne vous en faîtes pas. Une blessure que je n'avais pas vu. Je vais ausculter cela rapidement pour être certain. Mais à priori rien de grave. - Ah, d'accord docteur. Lobo et le docteur se mettent de chaque côté de l'américaine. Tandis que Marius met son engin à hauteur de la vulve de la fille.

Le docteur plaque sa main dans le dos de la fille qui sursaute. - Du calme, c'est pour vous tenir, cela risque de faire un tout petit peu mal, mais c'est nécessaire. - Bien docteur. Le toubib fait signe à Marius. Ce dernier se propulse en avant, écartant les lèvres tuméfiées de la vulve de la fille. Pénétrant dans ses chairs tendres et fragiles de toutes sa longueur. Son sexe est encore remplis de sperme, mais il s'en moque, cela lubrifie les lieux. Il heurte le col de l'utérus de sa victime, y faisant rentrer le gland.

Sous la douleur vive, Jess cabre de tout son corps en hurlant comme une démente. Elle essaie de se débattre, mais Lobo et le docteur lui plaque les bras contre le corps, tout en la plaquant contre la table. Jess supplie tandis que Marius reste immobile dans l'antre étroite, et ce malgré les nombreux viols qu'elle a subit. - Sortez! Je vous en supplie, sortez! - Non, je suis trop bien dedans. - Par pitié, pas encore... Ne me violez pas encore... - Mais c'est la première fois que je te viole. Puis après toutes les bites que tu as prises, tu n'es pas à deux ou trois près! - Mon dieu... Jess gémit quand le flic pose ses mains sur ses hanches fines. Gémissement qui deviennent cri quand il commence à coulisser dans sa fleur détruite.

Lobo continue son histoire, sous l'oreille attentive de ses compères de beuverie. La fête de la commémoration bat son plein. - On l'a tous baiser, sodomiser, puis on s'est tous fait sucer. On la violée plusieurs jours. Tout le commissariat se l'est faites, même les gens qui étaient aux arrêts. Ils se la sont faîtes juste après leurs libération. C'était les ordres, a part les meurtriers d'anglefricains, tout les autres étaient libre. Lobo, boit une gorgée. - D'ailleurs, Jess est toujours là-bas. Comme fille de confort soit pour les policiers, soit pour les gens aux arrêts. Mais on en est pas resté là. On a retrouvées toutes les autres victimes. Que des canons super bien foutus, âgées entre dix-huit et trente ans. Il n'y a pas à dire, ces voyous ont du goûts. D'ailleurs on les a retrouvés aussi, ils avaient enlevés une prof de trente ans juste avant la révolution. On l'a violée avec eux, vu que ils n'avaient agressés que des étrangères, ils ne seraient pas poursuivis. D'ailleurs, maintenant ils sont tous flics, dans le commissariat où je suis. Ils s'occupent de la traque des étrangers en fuite. Quand à leurs autres victimes, comme Jess, elles sont filles de conforts pour flic et prisonniers dans mon commissariat. Un des convives le regarde. - C'est quoi une fille de confort? - C'est une femme qui est là pour vider les couilles des flics et des gens que l'on arrêtent. Je peux te dire que depuis, le boulot se passe mieux. Et les prisonniers sont beaucoup plus calme. Quand aux enfants qu'elles ont, on les remets au gouvernement qui les prends en charge.

Le dernier gars à raconter son histoire, car il se fait tard, et que tous sont plus que saoul, est un ancien prisonnier qui se prénomme Sony. Il avait prit trente ans pour le viol et le meurtre d'une blanche de cinquante ans. Il fait partie des détenus libéré de la prison de haute-sécurité de Anabia. Ils viennent tous d'arriver à Anabia. La ville n'est pas encore tombée, seul les premiers immeubles du quartier étranger sont pris d'assaut par les prisonniers. Sony se trouve dans un grand cinq pièces, au premier étages, avec quarante-cinq autres prisonniers. Le mari gît sans vie dans l'entrée. Sa femme de quarante ans et sa fille de vingt sont en train de se faire sauvagement violer par les premiers prisonniers.

Sony se dit qu'il va falloir du temps avant que ce soit son tour. Il regarde par la fenêtre. Il voit deux femmes passer dans la petite ruelle sombre en bas. L'une, blonde la quarantaine, l'autre rousse la vingtaine, probablement la mère et la fille. Les deux portent des robes légères, très courte. La plus jeune à de beau gros seins, tandis que ceux de la plus vieille sont beaucoup plus menus. En tout cas se sont deux jolies bombasses. Il se dit qu'il se les feraient bien, mais le temps de descendre elles seront loin. Tant pis c'est d'autres qui les auront. La ruelle est sombre, heureusement que les appartements sont insonorisés, sinon les deux femmes auraient été au courant que des trucs pas normaux se passent. A entendre hurler les deux donzelles, elles n'auraient pas fait de vieux os.

Sony va pour se retourner, quand il voit la plus vieille prendre la plus jeune par la main. Et lui rouler une pelle. La main de la vieille va sur un des seins de la jeune. Merde, ces connes sont des lesbiennes. La ruelle est à l'abri des regards de la rue principale. Alors la plus jeune s'agenouille devant la plus vieille, lui descend son string et commence à la lécher. Sony capte qu'il à le temps d'aller les rejoindre. Il regarde autour de lui, prévient certains de ses codétenus. Ils sortent de l'appartement en courant. En tout ils sont neuf.

Ils avancent en silence, surtout ne pas les prévenir avec des bruits de pas. Il veut les surprendre en plein ébats. Les violer, les faire redevenir hétéro. L'homme est un animal, un monstre venu d'une autre époque, qui pense qu'une bite peut changer une lesbienne en hétéro. En tout cas quand ils arrivent, la jeune plaque la tête de la plus vieille contre son bas-ventre, un voile d'extase sur son visage. Cette dernière la lèche goulûment.

Les neuf hommes sont dans la ruelles. Ils sont tous armés, cadeaux du général Abdou qui a fait armé tout les hommes participant à sa révolution. Dissimulé par la pénombre, ils observent les deux femmes. La plus vieille crie alors son orgasme. La jeune se relève alors et l'embrasse, la cyprine de son amante plein la bouche. C'est à ce moment que les hommes font leurs apparition.

Sony, qui fait office de chef, et ses amis entourent les deux donzelles. Ils les braquent de leurs armes. La terreur apparaît sur leur visages en voyant les malfrats arriver. - Les mains en l'air! La plus jeune s'éloigne de sa maîtresse, levant les bras tout comme son amante. Cette dernière à toujours sa culotte aux chevilles, la jupe relevée, laissant voir son mont-de-vénus totalement glabre. C'est elle qui parle, à priori, la plus jeune est trop terrorisée pour le faire. - Nos sacs sont par terre, prenez tout l'argent que l'on a, mais ne nous tuez pas! - Je vous promets de ne pas vous tuez tant que vous coopéreraient.

Sony fait un signe de tête, un de ses gars va vers les sacs-à-mains, ils les lui ramènent. Sony range son arme dans son pantalon. - Je peux remonter ma culotte? - Non. La femme ne répond pas. Elle ne mourra pas si ils se rincent un peu l'œil. Il siffle, il doit y avoir cinq mille euros dans le sac de l'un et deux mille dans celui de l'autre. - Vous avez beaucoup d'argents dedans! - Oui, on est riche. Prenez-tout... - Je vais le faire. C'est quoi votre métier? - Je suis la propriétaire d'un centre d'esthétique. - Et elle? - C'est ma directrice. - Je vois promotion canapé. Aucune des deux ne répond.

Sony continue de fouiller dans les sacs-à-mains. Il en sort deux passeports. Il prend une clope dans l'un d'entre eux, il l'allume. Il lit les passeports à haute voix. « Lisa Gardner, trente-huit ans, anglaise. » et « Ann teecher, vingt ans, américaine. ». - Vous savez qui on est? - Non. Des membres d'un gang? - Non, nous sommes des révolutionnaires. Le pays est sous notre contrôle. Bien entendu Sony extrapole à cette heure. - Tout les étrangers ayant pillé l'Anglefrique sont en état d'arrestation. Et nous avons tout loisirs sur eux! Un bruit d'urine les interrompt. C'est Ann qui s'urine dessus. L'urine traverse sa culotte, coulant à flot le long de ses jambes. Certains hommes rigolent, tous pensent que cette conne est tellement émotive que cela va être un plaisir incroyable de jouer avec elle. Quand elle a fini de se pisser dessus de terreur, Lisa prends dans ses bras Anne, la plaquant contre elle. Une main dans son dos qu'elle caresse doucement. Lui murmurant un petit « chut, ça va aller. ». Sony revient à la conversation qu'il a avec Lisa.

- Nous pouvons tout vous faire. Y compris vous exécuter sommairement si nous le désirons. Lisa devient encore plus blanche. - Co... comment ça? - Que si je vous exécutent toutes les deux, aucune question ne me sera posé... - Mon dieu... - Mais si vous nous sucer, on vous laissent la vie sauve. - Vous nous laisserez partir? - Non. Je ne vous tuerais pas, c'est tout. - On est lesbiennes... - Je sais. Dîtes-vous, que d'une manière ou d'une autre on vous fera ce que l'on veux. Alors autant que cela soit fait avec le moins de violence possible. Lisa ne répond pas. Quand à la jeune Ann, qui sanglote contre le torse de son amante, personne ne sait si elle a entendue. Lisa qui est entourée par les neuf hommes, sait qu'elle n'a aucune chance de fuite. Alors autant leur donner ce qu'ils veulent. Avec un peu de chance, ils s'arrêteront là.

- Allez, à poils. La vieille, déshabille ton amie, je ne pense pas qu'elle soit en état de le faire. Lisa qui à son tour fond en larmes, regardent les hommes. Ce qu'elle va dire est dégueulasse, mais elle espère qu'ainsi elle s'évitera pour elle-même le maximum de fellation. - Moi j'ai déjà eus des hommes. Je suis bisexuelle. Mais mon amie est vierge, complètement vierge. Par pitié, laissez-moi être la seule à vous sucer... Sony lui sourit. - Tu crois que l'on va se priver de faire goûter à une lesbienne vierge le bon goût d'une bite? Lisa ne répond pas. À sa grande honte, son plan à marcher, c'est Ann qui subira le maximum de viol buccaux. - Elle n'est pas en état, alors la vieille déshabille ta petite copine! Aussitôt Lisa s'exécute. Elle repousse doucement Ann, lui fait descendre les bretelles de sa robe. Elle ne porte qu'un string en dessous. Ann doit faire du 85 D, sa poitrine, en goutte d'eau est lourde, avec de petites aréoles roses claires et de petits tétons. Sa peau joliment constellée de taches de rousseur, et d'un teint de porcelaine. Lisa descend la culotte de la jeune femme, qui se laisse faire en sanglotant. La culotte est trempée d'urine, une petite flaque c'est d'ailleurs formée au pied de Ann. Un étroit filet de poils roux ornent le bas-ventre de la jeune femme, prouvant au passage que c'est une vraie rousse. - Elle peut garder ses chaussures, mets-là à genoux. Ann se laisse faire quand Lisa appuie doucement sur ses épaules. Se laissant tomber, ses genoux atterrissant dans la flaque formée par son urine. Sony s'approche alors d'elle, il lui fait ouvrir la bouche et s'enfonce en entier dans la cavité buccale de la fille. Lui violant la gorge. La première pine qui entre dans son corps. Comme un automate, Ann referme ses lèvres douce sur l'engin de Sony. Ne sachant comment placer sa langue, elle prodigue involontairement de douces caresses linguale à son violeur. Alors Sony, se met à aller-et-venir dans la bouche de la femelle.

Tout en coulissant entre les lèvres de Ann, il pointe Lisa de son arme. - Mets-toi nue, mes amis doivent aussi se faire sucer! Alors Lisa se penche en avant, retirant la culotte qui se trouve à ses chevilles. Elle fait ensuite glisser sa robe. Dévoilant de petits seins en cônes, avec des aréoles enflées, et des tétons gros comme les boutons d'une télécommande. Elle se met à genoux et ouvre la bouche. Ayant déjà sucée quelques hommes, elle commence à prodiguer son savoir sur la première pine qui se met en elle.

Une heure plus tard, elle ont les cheveux et le visage couvert de spermes. Trois ont été sucé par Lisa, six par Ann. Le plan de Lisa à bien fonctionné. Elle n'a dut avaler la semence que d'un seul homme, tandis que trois ont jouis dans la bouche de Ann. Mais Lisa comprends que ce n'est pas finis pour elles. Les hommes sont encore dure, ils ne vont pas en rester là. Alors qu'un des prisonniers se remets dans la bouche de Ann, Lisa fait un signe à Sony. Ce dernier s'approche d'elle, interrogatif sur ce qu'elle lui veut. Sûrement parlementer pour ne pas que les choses aillent plus loin pense l'ancien prisonnier.

- Oui? - J'ai une proposition à vous faire. Sony est intrigué. Surtout que Lisa chuchote. - Laquelle? - On peut aller plus loin? - OK, mais si tu essaies de t'échapper, je t'abats comme une chienne! Il secoue son pistolet devant elle, pour bien lui faire comprendre qu'il ne rigole pas. - Nue, je n'irais pas loin. - OK. Sony se retourne vers ses gars. - Continuez à vous faire sucer, mais pas touche à sa chatte et à son cul, je veux être le premier à lui passer dessus! Aucun des hommes n'aura le courage de ne pas écouter Sony, sa réputation de tueurs parlant pour lui.

Ils s'enfoncent dans la ruelle. - Vas-y, je t'écoutes. - Vous n'allez pas seulement vous faire tous seulement sucer par nous? - Tu es perspicaces, vos chattes et vos culs seront à nous. - J'ai un marché à te proposer. - Vas-y toujours. - Comme tu sais, nous, les lesbiennes, si ne nous sommes protégées par votre gouvernement, sommes souvent victimes d'agressions. - Le gouvernement punis pourtant de la peine de mort tout anglefricains agressant une étrangère. - Oui, mais pas si c'est des blancs qui nous agressent. Et 97 pour-cent des agressions de lesbiennes, sont des viols commis par l'entourage. - Je ne savais pas. - Un petit groupe d'entre-nous, des véritables gouines, des jeunes lesbiennes pure et dure... - Pure et dure? C'est quoi ça? - Des filles comme Ann, qui ne veulent que rien n'entrent dans leurs corps, ni un pénis masculin, ni un pénis de plastique, ou même des doigts de femmes. Des filles totalement vierges. - OK, continue. - Elles ont donc monté un réseau de planques pour aidée et soignée les filles victimes d'agressions sexuelles ou pas. Il y a en permanence une quinzaine de victimes minimum qui s'y trouvent, venant du monde entier. - Tant de lesbiennes sont violées? - Oui, beaucoup de pères, d'oncles ou de frères pensent qu'en leurs faisant connaître un sexe masculin, ils les soigneront. Des gros cons archaïque, ce n'est pas une maladie. - Je sais, je te rassure j'ai rien contre les gouines. C'est juste que vous êtes bien serrées. Bref, je ne vois pas où est ta proposition. Elles doivent déjà toutes êtres en mains.

- Non, c'est bien planqué, dans des anciens abri-antiatomique. Un peu éloigné des villes. - Je vois, si je te laisse tranquille toi et ta copine, tu nous dis où c'est? - Non, ce n'est pas ça le deal. Sony regarde Lisa interloquée. Elle reprend : - Si j'ai détesté sucer tes potes, j'ai eus deux orgasmes en voyant Ann se faire violer la bouche. Je n'ose imaginer ce que cela sera quand vous la violerez. Puis si c'est pas vous, ce sera sûrement d'autres, alors autant se faire plaisir. - Je vois tu es une perverse-sadique. - Sûrement, je ne le savais juste pas. - Donc si on ne te touche pas, mais que l'on viole Ann devant toi, tu nous dis tout. - Laisse-moi parler. Je ne suis pas con, une fois là-bas, ou une fois que je t'aurais dis où c'est, rien ne me garantis que tu tiendras parole. - J'ai beaucoup de défaut, mais je suis de parole. - Toi tu le sais, pas moi. Voilà ce que je te propose. Même si je n'aimerez pas, toi tu seras le seul à me violer. En échange de ta protection je te dis où c'est. - Bien ça me va. - Je n'ai pas fini.

D'un signe de tête, Sony lui montre qu'elle peut continuer. - Il y a trente planques, en plus de celle d'ici, disséminées dans tout le pays, avec entre vingt et cinquante filles dedans. Personne ne peut les trouver sauf par hasard. - Je vois, des dizaines de petites vierges, et de jolies lesbiennes fraîchement violées. - Voilà, je connais toutes les planques, je suis l'instigatrice de ces cachettes. - Oui, mais il y a un risque que l'un de ceux que l'on attaque prévienne les autres... - Non, aucun n'a de contact avec les autres. C'est une sécurité, chaque planque ignore tout des autres. Je suis la seule à pouvoir communiquer avec elles. - Et tu veux quoi pour me les donner? - Tu me gardes avec toi, tu me baises autant que tu veux. Par devant ou derrière, en sachant que je suis pucelle de l'anus. En échange, tu me laisses violer les filles. - Les violer? Comment-tu feras? - Ben des relations lesbiennes forcées, puis surtout j'ai un beau gode ceinture chez moi, et des tas d'autres jouets amusant. On passe le prendre après en avoir fini avec Ann, ou tu envoies quelqu'un les chercher. C'est aussi un des points du deal, on la garde avec nous. Quand il y en auras d'autres, elle ne devra être que baisée par toi ou moi. Sony sourit, il vient de trouver la femme parfaite. - Merde, t'es une drôle de meuf toi. C'est OK sur tout les points. - Parfait, on fait quoi? Tu me baise de suite ou tu te fais d'abord Ann? - Ann, toi, je vais avoir tout le loisir de te baiser dans les prochaines années! Le duo retourne alors vers Ann et les autres prisonniers.