Rêve Contraint

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Un rêve de bondage.
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Elle ne faisait pas plus attention à moi qu'à une table ou plutôt un tapis.

J'étais à ses pieds dans tous les sens du terme.

Sur le dos.

Je ne pouvais pas bouger.

Seuls mes yeux étaient mobiles.

Depuis combien de temps étais je là, couché au sol? Des heures...

Elle s'absentait de temps en temps, me laissait là, seul dans cette pièce. Seule ma respiration rapide et saccadée résonnait dans mes oreilles. Je fixais alors le fauteuil vide dans lequel elle trônait quelques instants auparavant et espérais son retour. Je revivais avec angoisse maintenant le début de cette séance...

Mon corps entièrement recouvert de film noir devait ressembler à une grosse chenille informe. Je ne ressentais qu'un écrasement de tous mes membres, des orteils jusqu'au crane. Mes poumons emprisonnés comme dans un corset s'activaient de leur mieux pour me donner un peu d'oxygène que je rejetais par la bouche via un tube coincé entre mes mâchoires, sifflant à chaque inspiration. Hormis mes yeux et ce tube, mon corps avait disparu sous cette épaisse carapace noir collante.

Elle avait passé 4 ou 5 rouleaux entiers à m'embobiner sans fin. Elle avait contourné mon sexe et mes bourses, le reste était oublié, effacé sous le plastique. Mes bras coincés le long du corps n'existaient plus, mes doigts étaient fixés sur mes cuisses.

Elle avait placé une sorte de collier en mousse autour de mon cou, comme une sorte de minerve qui m'aurait préservé de l'étouffement, avant de lui faire subir le même sort.

Quand ma séance de domination chez cette maitresse renommée à commencé, j'étais nu et volontaire, le dos contre une barre d'acier reliée au plafond.

Cela me paraissait être il y a une éternité et je n'étais plus tant volontaire maintenant...

Quand je crus qu'elle avait fini de m'emballer comme une mouche prise dans une toile, elle ressortait un nouveau rouleau, enroulait le film et tirait de plus en plus fort de manière à resserrer encore l'étreinte. Le film remontait de la tête aux pieds puis redescendait à nouveau vers les pieds. .. Chaque tour était comme un tour de vis supplémentaire dans ce carcan. Mon corps, que je ne pouvais voir, devait ressembler à un sarcophage informe et raide.

Elle avait finalement décroché cette barre du plafond et m'avait laissé descendre au sol par un système de cordes. Ma vue s'était alors limitée au plafond au dessus de moi La barre plaquée dans mon dos me faisait un mal de chien. Ma tête n'avait plus aucun mouvement possible.

Toute ma concentration était axée sur ma respiration douloureuse et épuisante.

J'étais resté un long moment seul puis elle était revenue, s'était assise sur mon ventre. Je ne voyais que le dos de son chemisier rouge et sa queue de cheval d'un noir profond. J'étouffais sous son poids et essayais de protester à travers le tuyau. Mais mes mâchoires immobilisées et ma langue plaquée sous le tuyau intrusif ne provoqua qu'un étranglement avec ma salive. Elle avait alors tiré mes bourses pour les nouer de plus en plus serrées avec un lien. Je les sentais prêtes à exploser. Mon sexe subit le même sort. Je le sentais gonflé de sang comme jamais.

Elle était partie sans un mot, me laissant là, seul.

L'attente avait été longue, mon carcan m'opprimait, ma respiration était difficile, laborieuse.

Au bout d'un moment interminable, j'avais entendu à nouveau ses talons se rapprocher. Mon sexe s'était redressé immédiatement.

Elle s'était ensuite assise sur ce fauteuil qu'elle avait déplacé pour être dans mon champ de vision. J'avais alors levé les yeux vers mes sourcils pour admirer cette créature de mes fantasmes.

Elle allumait nonchalamment une cigarette sans se soucier de moi à ses pieds. De temps en temps un de ses escarpins noirs frôlait mon visage, elle s'amusait à jouer de son talon aiguille sur le tuyau de ma respiration. J'admirais sa cheville fine gainée de ses bas. En levant les yeux jusqu'à me faire mal, je suivais la courbe de ses jambes jusqu'au liseré de ses bas. Avec mes oreilles obturées et ce tuyau qui sifflait je ne pouvais qu'imaginer le crissement du nylon quand elle jouait à croiser et décroiser ses divines cuisses. Je ne pouvais voir plus haut ses jarretelles ou sa culotte que j'imaginais en soie.

Au début de notre séance j'avais pu admirer ses courbes de rêves dans sa jupe en cuir qui descendait jusqu'aux genoux lorsqu'elle tournait autour de moi pour m'immobiliser. J'avais braqué mon regard sur cette jupe moulante inaccessible et ses seins libres et lourds sous son chemisier rouge, mis en valeur par une très large ceinture de vinyle très serrée qui révélait ses courbes épanouie de femme mûre.

Son visage sévère me regardait à peine et se concentrait sur ce film en tournant inexorablement autour de moi. Ses cheveux long, noirs de jais étaient tirés en arrière en une queue de cheval strict, ses yeux noirs profonds et ses sourcils épais m'hypnotisaient, ses lèvres rouges incandescent m'enflammaient.

Elle avait passé une paire de gants courts en cuir rouge assortis à ses lèvres pour mieux tendre le film et m'emprisonner plus durement encore.

Désormais ses hanches et cette croupe généreuse, crissante de cuir ne m'apparaissaient que par bribe ou lorsqu'elle se levait pour me laisser seul.

Immobile à ses pieds, je sentais mon sexe se gonfler douloureusement quand ses escarpins magnifiques entraient dans mon champ de vision.

A plusieurs reprises elle s'était levée et avait marché lentement à côté de moi. Sa jupe trop moulante m'interdisait une vue sur ses dessous, mais ses courbes m'apparaissaient à travers le cuir. J'avais cru exploser d'envie. Je sentais mon sexe couler en abondance, mes couilles se durcir.

Elle avait plusieurs fois versé le contenu d'une bouteille dans le tuyau pour étancher ma soif. J'étouffais et crachais et me délectais à la fois de la vue de ses seins comprimés dans son corsage lorsqu'elle se penchait.

Elle se faisait aussi un plaisir de faire tomber régulièrement ses cendres dans mon tuyau de respiration de manière à passer dans mon champ de vision et m'exciter à la folie. Ma respiration s'accélérait, mon sexe tressautait, mes couilles devaient être bleues incandescentes!

Elle s'était absentée plusieurs fois et avait éteint la lumière dans cette pièce aveugle. A chaque fois je paniquais. Puis l'espoir renaissait à chacun de ses retours lorsque la lumière aveuglante revenait.

Et puis elle s'était levé lentement et avait fait le tour, ses escarpins appuyaient de temps à autre de leur talon sur mon corps avec quelques appuis prolongés sur mes couilles au passage. Elle tournait juste au dessus de moi et me frôlait surement, mais je ne sentais rien. Tout mon corps était centré sur cette superbe créature quand elle passait devant mes yeux.

Je n'en pouvais plus, ma respiration avait du mal à suivre, le tuyau sifflait de plus en plus fort.

Elle m'avait alors enjambé et placé ses escarpins de chaque côté de mes épaules et s'était lentement assise sur mon front. Je gémis de douleur : elle m'écrasait l'arrière du crane contre la barre métallique. Mais son divin fessier reposait sur mon front, ses cuisses écartées de chaque coté de mon corps.

Ma respiration s'affolait.

Elle m'attrapa alors le sexe et le branla frénétiquement. Plaisir ou douleur, je ne savais plus et essayais de reprendre ma respiration. Je l'entendais me parler, m'insulter mais je ne comprenais rien entre le film plastique, le cuir de sa jupe et le tuyau qui sifflait toujours plus fort! Le cuir de sa jupe m'obstruait complètement la vue et je ne pouvais qu'imaginer sa position, son sexe à quelques centimètres de ma bouche, ses cuisses ouvertes, sa jupe remontée, sa main qui s'acharnait sur ma bite violacée, secouant ses seins.

J'essayais de me retenir, de résister, mais l'excitation était trop forte, je me sentais prêt à exploser, le tuyau se bouchait quand j'aspirais trop, sa jupe devait obstruer l'orifice, ma vision se troublait...

Elle s'arrêta brutalement et se leva, se retourna, toujours au dessus de mon visage avec un escarpin de chaque coté de moi. Je vis qu'elle baissait la tête vers moi d'un regard qui en disait trop long.

Elle se tortilla pour remonter sa jupe et j'eus le privilège de recevoir sa culotte sur le visage. Ma respiration haletante faisait siffler le tuyau au dessous d'elle. Je fixais ses cuisses dévoilées et sa chatte lisse et désirable.

Elle se mit rapidement accroupie au dessus de mon visage et appuya son sexe sur mon tuyau qui s'obstrua.

Ses cuisses gainées de bas noirs encadraient mon visage, ses jarretelles s'étaient recourbées jusqu'à me frôle, ses gants prenaient appui sur mon front...

Je ne pouvais plus rien contrôler de mon corps.

Soudain un jet direct et chaud gicla dans le tuyau et engloutit ma gorge. Je tentais d'avaler goulument cette offrande et crachais. Mon corps se banda et mon sexe explosa d'un geyser douloureux.

C'est alors que je me réveillais, la tête coincée sous mon oreiller, les jambes emmêlées dans la couette et le sexe dressé comme un mât!

Le réveil est parfois difficile, même si les rêves sont merveilleux!!!

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