Rencontres Libertines

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Mes aventures dans une boîte de travestis.
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Par une belle journée d'été, mon téléphone sonne.

C'est Steve, le patron d'une boîte de travestis qui m'appelle.

- Allô Sandra, j'ai quatre nouvelles amies qui t'attendent au club.

- Merci d'avoir pensé à moi, j'arrive tout de suite, lui dis-je en raccrochant.

Je suis heureuse de son appel car je fais toujours de belles rencontres chez lui.

Dans ces étreintes sans lendemain, je peux vivre mes fantasmes les plus intimes en ayant comme seule idée en tête de prendre et de donner du plaisir.

Toute à mes pensées, je m'assois devant mon boudoir pour me maquiller et mettre mes faux cils avant de me coiffer d'une perruque blonde coupée au carré.

Avec fébrilité, j'enfile ma lingerie devant la glace.

Quel plaisir! Ce temps consacré au seul bonheur de se faire belle en devenant femme.

Je ne peux plus me passer de ces moments de volupté que je vis plusieurs fois par semaine chez moi ou lors de mes déplacements à l' hôtel.

J'agrafe ma guêpière avant de garnir mes balconnets 105/D de généreuses prothèses en silicone.

Je glisse sur mes hanches une adorable culotte ouverte qui me laisse prête à faire l'amour en toute circonstance.

Je ne me lasse pas de contempler cet ensemble de satin et de dentelle qui met en valeur ma chatte, la raie de mes fesses et ma queue épilés au laser.

Puis, je déroule mes luxueux bas cervin sur mes jambes en accrochant mes jarretelles par dessus ma culotte fendue.

Je suis consternée par toutes ces femmes qui font l'inverse en voulant éviter de détacher leurs jarretelles aux toilettes pour gagner du temps.

Elles perdent ainsi toute l'élégance et la charge érotique de cet accessoire si glamour.

Je fais quelques pas dans ma chambre en frottant mes cuisses l'une contre l'autre pour entendre le crissement de mes bas.

Le miroir me renvoie l'image d'une fille crédible et attirante que j'ai acquise lors de mes nombreuses années de féminisation.

Puis, je sors d'un tiroir mon préservatif féminin (fémidom).

Je retire le petit anneau se trouvant à l'intérieur pour pouvoir l'utiliser en anal.

Allongée sur mon lit, je l'enfonce dans ma grotte en plaquant l'anneau le plus large contre mon périnée.

Cette protection est magique car je peux la garder toute la journée.

Lorsqu'une pulsion irrésistible nous emporte mon ami et moi, je n'ai qu'à retrousser ma robe pour être prise car je porte une culotte fendue.

J'évite de perdre du temps à lui mettre un préservatif et à enlever mon dernier rempart de chasteté en courant le risque qu'il débande comme cela est déjà arrivé.

Il peut ainsi me baiser discrètement et au plus fort de son désir sous une porte cochère, dans un parc, une cage d'escalier, une cabine d'essayage...

Achevant de me préparer, je fais remonter mes bourses dans mon canal inguinal (tucking) et je cache ma queue entre mes cuisses en la fixant avec un ruban adhésif.

Comme beaucoup de travestis, ma rosette a perdu sa forme en étoile lors de mes nombreuses sodomies.

Elle s'est transformée en une fente verticale légèrement gonflée sur les bords s'apparentant à de véritables lèvres vaginales.

Puis, j'accroche à ma taille une jupe portefeuille très courte qui laisse entrevoir ma culotte fendue.

J'adore la porter car son tissu souple épouse mes fesses en amplifiant leurs balancements quand je marche.

Puis, comme le font les femmes, j'ajuste mon corsage en passant mes mains sous ma jupe pour le tendre et faire ressortir mes seins.

Pendant quelques minutes, je m'exerce devant la glace à prendre les poses et attitudes féminines.

Pressentant une journée mouvementée, j'avale un comprimé de viagra avec un verre d'eau avant de partir.

Enfin prête, je quitte mon appartement impatiente de me retrouver dans l'ambiance interlope du club.

Je descends l'escalier quatre à quatre en sentant l'excitante tension de mes jarretelles sur mes cuisses.

C'est par une belle journée ensoleillée que je me rends chez Steve.

Mon corsage échancré découvre mes seins lourds et fermes qui se balancent au rythme cadencé de mes talons aiguilles sur l'asphalte.

Il me vient l'envie de provoquer les hommes quand je les croise.

Je serre les fesses en croisant les jambes et en marchant à petits pas pour avoir une démarche féminine plus fluide et un meilleur équilibre sur mes escarpins.

J'accentue le balancement de mes fesses engendré par mes talons aiguilles en faisant virevolter ma jupe pour laisser entrevoir mes jarretelles.

Le vent chaud qui s'engouffre entre mes cuisses me fait ressentir des sensations que les femmes connaissent bien...

Afin d'attirer l'attention des passants, je m'arrête devant une boutique de mode en relevant ma jupe pour ajuster mes bas.

Lorsque je retends mes jarretelles sur mes cuisses gainées de nylon, je ne peux m'empêcher de sourire en voyant le visage plein de désirs d'un de mes admirateurs se refléter dans la vitrine.

Je prolonge plus que nécessaire ce pur moment de bonheur.

Une femme m'observe quelques mètres plus loin.

Ayant pressentie ma vraie sexualité, elle me considère d'emblée comme une dangereuse rivale.

Je lui adresse un sourire pour lui montrer que je ne suis pas indifférente à son charme.

Déstabilisée et troublée, elle ne sait plus quelle attitude adopter.

J'arrive enfin chez Steve qui m'attend à la porte de son club.

- Tu es bandante dans cette tenue, s'exclame-t-il en glissant sournoisement sa main sous ma jupe.

- Je suis déjà en retard, je m'occuperai de toi plus tard, lui dis-je d'un regard prometteur.

Mais mon corps trahit mes paroles en s'offrant à ses irrésistibles caresses.

- Viens, tu en as autant envie que moi, me dit-t-il en m'entraînant de force dans son salon.

A peine a-t-il refermé la porte qu'il fait jaillir son sexe de son pantalon.

- J'ai une folle envie de te sauter, me dit-il rouge d'excitation.

- Laisses-moi faire, lui dis-je en m'approchant de lui les seins dressés et le bassin en avant.

Pressée par le temps, je le pousse sur son divan en m'asseyant à califourchon sur son ventre.

Puis, je retrousse ma jupe en lui dévoilant ma guêpière et mes bas ornés de jarretières.

Il a ses yeux brillant d'excitation et son sexe dressée, ce qui me donne l'envie de combler ce grand vide que j'ai entre les cuisses.

Steve plonge sa main dans mes dessous pour retirer mon fémidom.

- Je ne veux pas que tu utilises de préservatif avec moi, me dit-t-il.

Très impatiente de rencontrer mes nouvelles amies, je lui accorde ce privilège tout en étant très excitée à l'idée d'être fécondée...

Je commence par le masturber en caressant la zone très sensible de son périnée.

Sans le quitter des yeux, j'écarte la fente de ma culotte pour m'empaler lentement jusqu'à la racine de son sexe.

Le visage congestionné, Steve regarde fixement sa queue disparaître dans mon ventre...

Je me sers du poids de mon corps en initiant de lents et puissants va et vient tout en contractant avec perversité mes sphincters sur sa verge pour le faire jouir rapidement.

Je l'entends gémir de plaisir lorsque j'entame des bascules du bassin d'avant en arrière qui provoquent de fortes tensions sur son frein.

Très excitée de le voir en mon pouvoir, je suis attentivement la montée de son désir pour trouver le bon rythme et l'achever.

Puis, j'entoure la racine de sa queue avec l'un de mes bas en guise d'anneau pénien.

Lorsque je sens sa verge tressauter en moi, je sais qu'il va jouir et que le moment est venu de lui porter le coup de grâce.

Les yeux rivés sur lui, je serre sa queue avec mon bas pour qu'il bande plus fort en tournant mes fesses sur son bâton de chair tout en lui malaxant les bourses.

Le souffle court, il se vide longuement en moi dans une succession de spasmes qui me désarçonne à moitié.

A mon tour, je laisse échapper un râle de plaisir en sentant sa source de vie fuser dans mon ventre.

Lorsque je me lève, je lui montre l'épaisse coulée de sève qui s'échappe de mes fesses et à l'intérieur de mes cuisses.

- Tu m'as mis la dose, lui dis-je en m'épongeant l'entrejambe.

Mes bas ayant filés lors de nos jeux, je sors une nouvelle paire de mon sac à main en les enfilant sous le regard brûlant de Steve.

Prise par le temps, je le laisse allongé à moitié nu sur son divan en lui demandant de m'envoyer sa première protégée dans la chambre «chevalier d'éon»

En montant l'escalier quatre à quatre, j'ai à peine le temps de m'allonger sur le lit que Christelle apparaît dans l'embrasure de la porte.

C'est une charmante blonde aux traits fins.

Elle porte une nuisette transparente ainsi qu'un collant qui fait ressortir sa queue dans les moindres détails.

Les frottements du nylon sur son gland décalotté ont provoqué son érection.

Son maquillage excessif et son rouge à lèvres outrancier témoignent à l'évidence de son manque d'expérience en la rendant provocante malgré elle...

Je prends conscience qu'il va me falloir jouer le rôle d'initiatrice lors de cette rencontre.

- Approche toi ma belle, lui dis-je d'une voix douce.

Pendant qu'elle s'avance d'un pas hésitant, j'enlève mon corsage en dévoilant mes seins comprimés dans ma guêpière.

J'ai à peine le temps de dégrafer ma jupe avant qu'elle n'atteigne mon lit.

Voulant me sentir vraiment femme, j'ai gardé ma culotte fendue pour dissimuler ma queue lovée entre mes cuisses.

Christelle est maintenant immobile devant moi.

C'est une jeune transsexuelle hormonée dont les seins commencent à pointer dans son soutien gorge.

Abaissant son collant, je la masturbe lentement en sentant sa queue épilée et lisse se raidir entre mes mains.

Je lui mordille doucement les bourses en m'arrêtant dés que les premières gouttes de liqueur séminale apparaissent à la surface de son gland.

Puis, je m'allonge sur le dos en écartant les cuisses pour lui offrir mon œillet déjà humide de désir.

Christelle reste un moment indécise en tentant de résister à ses pulsions.

- Viens, j'ai envie de toi, lui dis-je d'une voix pressante en ouvrant la fente de ma culotte satinée.

Aiguillonnée par mes paroles, elle se jette sur moi comme un chien fou en me laissant à peine le temps de saisir son sexe pour le guider dans ma grotte.

Pendant qu'elle s'active avec fougue dans mes reins, une pensée surréaliste me vient à l'esprit.

Je repense aux milliers de va et vient qui m'ont labouré le ventre ces dernières décennies.

Mis bout à bout, je me dis que j'ai du prendre des kilomètres de queues dans ma chatte.

Les gémissements de plus en plus rapprochés de Christelle balayent cette image.

Je sens qu'elle est sur le point de jouir.

- Oh non pas si vite, a-t-elle le temps de me dire en m'inondant le ventre de toute la sève de ses vingt ans.

Je serre sa taille dans l'étau de mes cuisses pour l'immobiliser et finir de lui vider les bourses.

Ce n'est qu'après avoir pompé ses dernières gouttes de sève que je desserre mon étreinte.

Terrassée par l'orgasme, elle s'effondre sur moi en m'écrasant les seins.

Nous restons un long moment enlacées et soudées l'une à l'autre.

Quelques instants plus tard, Christelle m'enlève ma culotte en découvrant ma queue soigneusement épilée.

- Je vais la faire grandir, me murmure-t-elle à l'oreille.

Elle décalotte mon gland en tirant sur mes testicules pour provoquer une tension sur mon frein tout en exerçant des pressions sur la racine de mon sexe.

Puis, ses lèvres remontent le long de ma hampe en se refermant sur mon gland.

Je vois ses joues se creuser lorsqu'elle me pompe divinement la queue avec un savoir faire étonnant pour son âge.

Dans le même temps, sa main remonte à la lisière de mes bas en me fouillant l'intérieur des cuisses.

- J'ai envie que tu me prennes, me dit-t-elle fascinée par ma queue qui se dresse maintenant devant ses yeux.

Allongée sur le dos, elle lève les jambes en les écartant sans pudeur pour s'offrir à moi.

Le contraste entre son visage juvénile et son attitude dépravée me met dans tous mes états.

Ne pouvant résister plus longtemps à son appel, je la pénètre doucement pour qu'elle s'habitue au diamètre de ma verge car sa chatte est bien serrée.

Je la masturbe en même temps sur des rythmes lents et rapides.

Quelques minutes plus tard, je sens son anus se contracter sur ma verge juste avant que sa sève ne fuse entre mes doigts.

Puis, je l'entends me dire:

- Reste dans mes fesses, je vais t'achever...

Croisant ses jambes dans mon dos pour m'immobiliser, elle se trémousse avec une rare perversité sur ma queue jusqu'à ce que je jouisse à mon tour.

Je sors à regret de ses reins en m'exclamant:

- Tu as un tempérament de feu Christelle!

- Je souhaite te revoir pour te faire découvrir d'autres jeux.

Je la câline un moment avant de la laisser partir.

J'ai à peine le temps de me rhabiller, qu'une superbe rousse fait irruption dans ma chambre.

Elle porte un corset rouge et noir et des cuissardes assorties qui affichent clairement ses penchants de dominatrice.

Claudia s'approche de mon lit d'un pas assuré.

Je rentre dans son jeu en rabattant craintivement ma jupe sur mes cuisses.

- N'aie pas peur, me dit-t-elle d'une voix moqueuse en voyant ma mine effarouchée.

Puis, elle soulève ma jupe en me troussant sans scrupule.

Elle est surprise par la taille de mon clito.

- On dirait que je te fais de l'effet, s'exclame-t-elle ravie.

Profitant de son emprise sur moi, elle m'entraîne dans son lit en m'allongeant sur le ventre.

Sortant sa queue massive de son slip brésilien, elle vient se glisser entre mes cuisses.

D'un doigt inquisiteur, elle explore l'entrée de ma grotte en s'immobilisant sur l'anneau en latex de mon fémidom.

- Retire cela immédiatement, me dit-t-elle d'un ton sans réplique.

- Je l'ai mis pour toi car ses reliefs internes vont majorer ton plaisir.

La voyant hésiter, je la masturbe pour la faire fléchir.

- Tu peux le garder, finit-t-elle par me dire.

Sans perdre de temps, elle s'allonge entre mes cuisses en appuyant son gland turgescent contre mon anneau.

- Pousse dès que je commence à t'enfiler, me dit-t-elle avec une pointe d'excitation dans la voix.

Mes sphincters finissent par céder et je sens son sexe s'enfoncer brutalement en moi jusqu'à la garde.

Ma douleur s'estompe quand elle se met à pilonner mon point G avec une précision diabolique.

J'ai la respiration coupée lorsqu'elle me baise à grands coups de reins.

J'éprouve des sensations très féminines en sentant monter lentement mon plaisir du fond de mes entrailles.

Dans le silence de la chambre, j'entends les claquements réguliers de son ventre contre mes fesses et les frottements de sa queue dans mon préservatif féminin.

Je la fais jouir en tortillant ma croupe contre son ventre.

Quelques instants plus tard, elle se rhabille sans dire un mot et sort de ma chambre en me laissant dans un état d'excitation intense.

Heureusement, deux jolies brunettes lui succèdent dans l'encadrement de la porte.

Natacha et Sabrina portent la même adorable guêpière gris perle ornée de dentelle rose.

Je les regarde s'approcher de moi en étant toujours tenaillée par le désir.

Elles sont craquantes avec leurs jambes interminables et leurs cuisses fuselées.

Sans pouvoir détacher leurs regards de mon sexe en érection, elles me demandent de réaliser leur fantasme.

Les sens mis en ébullition par Claudia, j'accepte leur proposition en commençant par les masturber toutes les deux en même temps.

Natacha est la première à me montrer ses attentes.

- Allonge toi sur le lit, lui dis-je avec excitation.

Lui tournant le dos, je m'empale à califourchon sur sa verge en interpellant Sabrina.

- C'est le moment de réaliser ton fantasme.lui dis-je en m'étendant sur le corps de son amie qui s'active dans mes reins.

Puis, j'écarte les cuisses pour faciliter cette double sodomie.

Fascinée par le sexe de Natacha qui va et vient en moi, elle reste un moment immobile.

Puis, elle me prend dans sa bouche en s'enfonçant dans ma chatte.

Avec une synchronisation parfaite, elle plonge sa queue dans mes fesses quand celle de Natacha en sort.

Doublement sodomisée et pompée, je jouis longuement dans la gorge de Sabrina.

Enfin calmée, je me concentre sur Natacha.

- Je vais te finir, lui dis-je en lui lançant un regard torride.

Attentive à la montée de son orgasme, je me trémousse de plus belle sur son sexe.

Tremblante de la tête au pied, elle gémit de plaisir en se vidant en moi.

Excitée par ce spectacle, Sabrina m'embroche à nouveau en voyant le sperme de son amie sortir de ma chatte et couler sur sa queue.

Calant ses épaules dans le creux de mes genoux, elle s'enfonce jusqu'à la racine de son sexe.

- J'adore te baiser dans cette position, s'exclame-t-elle!

Reprenant l'initiative, je la bascule sur moi en éperonnant sa croupe avec mes talons aiguilles.

Telle une mante religieuse qui immobilise sa proie, je serre sa taille entre mes cuisses pour l'empêcher de bouger.

Lorsque Sabrina est sur le point de jouir, je sors sournoisement mon gode de dessous l'oreiller pour l'enfoncer dans ses fesses.

Surprise, elle se cabre en tentant d'échapper à ce pal qui la fouille avec insistance.

- Non pas maintenant, c'est trop tôt, a-t-elle le temps de me dire avant d'exploser en moi dans une série de spasmes.

Restée seule, je m'empresse de remettre de l'ordre dans ma lingerie.

J'ajuste ma perruque en me donnant un coup de peigne sans oublier de retoucher le contour de mes lèvres.

J'enfile rapidement ma jupette pour ratt****r mon retard car j'ai rendez-vous avec Mirella qui est une amie de longue date.

En redescendant dans le hall d'entrée, mon attention est attirée par une jeune étudiante assise dans un fauteuil.

Elle porte une queue de cheval et une jupe plissée ultra courte.

Lorsque nos regards se croisent, elle écarte les jambes en me laissant entrevoir sa culotte ivoire ornée de dentelle marron.

Avec surprise, j'aperçois entre ses cuisses une sangle centrale qui lui scie la chatte.

Je m'approche d'elle en lui demandant ce qu'elle cache sous sa jupe.

Nullement gênée par ma demande, elle la retrousse sur son ventre en exhibant un redoutable phallus de 8 cm de diamètre.

Je suis sidérée de l'entendre me murmurer à l'oreille quelques unes de ses spécialités qui ferait rougir une professionnelle du sexe.

L'excitation me gagne en voyant cette jolie adolescente presser entre ses cuisses cette énorme queue qui me fait envie.

- Viens dans mon donjon, tu ne le regretteras pas, insiste-t-elle en glissant sournoisement sa main sous ma jupe pour me caresser les bourses.

Étant en retard, je la quitte à regret en lui promettant de revenir la voir rapidement.

Chemin faisant, je me félicite de porter une culotte ouverte qui laisse vivre mon bijou anal dans ma chatte.

C'est un Niki XXL de chez Julian Snelling mesurant six centimètres de diamètre.

En le lubrifiant avec un gel silicone, je peux le garder toute la journée sans problème.

C'est différent d'un plug qui a une base plus large en laissant l'anus béant en permanence.

Marcher l'anus ouvert donne de fortes sensations mais également des envies fréquentes d'aller aux toilettes, ce qui n'est pas très pratique lors des sorties.

En poursuivant mon chemin, les 600gr de mon rosebud me provoquent d'excitantes tensions dans le bas ventre lorsque sa tige en laiton vient presser mon périnée et la racine de mon sexe.

L'envie me prend de m'arrêter devant une vitrine et d'écarter les jambes.

Entraîné par son poids, je sens mon bijou anal glisser de ma grotte.

La peur de le voir tomber sur le trottoir à la vue des piétons majore mon excitation.

Au dernier moment, je contracte fortement mes fesses pour éviter qu'il ne m'échappe.

Je frissonne de plaisir lorsqu'il remonte d'un coup en se plaquant contre ma prostate.

Je recommence plusieurs fois cet agréable massage sous le regard indifférent des passants.

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