Réeducation d'une Épouse Infidèle

Horrifié, Pierre Bourbon-Dumas regardais les photos qu'il avait entre les mains. N'arrivant toujours pas a y croire. Et pourtant, les preuves étaient indiscutables. Mr Perez, le détective qu'il avais engagé il y a de ça trois mois pour surveiller sa femme, était debout devant son bureau, attendant qu'il ai terminé de regarder ces maudites photos. On y voyait distinctement, Marylis, son épouse depuis plus de 25 ans, rejoindre son amant, monter avec lui dans une chambre d'hôtel et se faire baiser comme une chienne par cet homme dont, il viens de l'apprendre par Mr Perez, qu'il s'agit d'un de ses employés!!!

Pierre Bourbon-Dumas, Président Directeur Général d'un grand groupe de la finance. Riche, très riche. Sa femme, Marylis, est une épouse oisive, elle ne travaille pas. Ils habitent dans une ville huppé de la région parisienne. Marylis a 51 ans, blonde, un corps fin, pas très grande elle met souvent des talons aiguilles et des jupes courtes. Son mari pensais que c'était pour lui faire plaisir....Du coup, il doute....

Bourbon-Dumas repose sur le bureau les trois dernières photos ou l'on voit sa femme faire une fellation à cet homme, se faire prendre en levrette et la dernière se faire sodomiser...

- Que comptez vous faire, Monsieur Bourbon-Dumas?

La voix du détective le fait sursauter le ramenant sur terre.

Il a un rire ironique....

- Ce que je compte faire!! Demandez le divorce bien sur!! Avec votre excellent travail Monsieur Perez, cette salope va avoir tous les tords....Quand à l'autre, il sera virer des demain, je vous le garantie!!

La douleur a fait place à la haine ....

Monsieur Perez prit un fauteuil et s'assit d'autorité devant lui. Il est tellement effondré que il ne ne réagit pas . Il aurait pu baiser sa femme devant lui, qu'il n'aurais pas réagit de toute façon.

Perez se penche vers le PDG, un sourire aux lèvres.

- Puis je vous suggérez une autre solution?

- Laquelle?

- Une vengeance....

Le mari cocu a un haut le corps...

- Vous ne voulez tout de même pas pas que....Que je vous donne de l'ordre de.....D'abattre cet homme qui....

Perez lève la main en éclatant de rire....

- Mon Dieu non!!! Je pensais à une autre vengeance....

- Je ne comprends pas....

- J'ai une autre activité après celle de détective privé.

- Vraiment? Laquelle?

- J'ai autour de moi une équipe d'hommes et de femmes qui s'occupe, si le mari co....Heu trompé le désire, et moyennant finance bien sur, de.... comment dire.... rééduquer votre épouse.

- La rééduquer?

- La rendre docile et soumise envers vous afin qu'elle ne vous trompe plus jamais...

Il reste songeur devant cette proposition inattendue. En même temps, imaginer Marylis étant totalement soumise et à ses ordres l'excitait prodigieusement.

- Vous etes sérieux?

- Absolument. Je compte la confier à une amie à moi, Maitresse Kara, une dominatrice, pour la formation. Elle tiend une boutique de lingerie en centre-ville mais ce n'est pas sa principale activitée.

Toutes les bourgeoises qui sont passées entre ses mains sont devenues de véritables petites salopes obéissantes pour leurs maris.

Interloqué, il demande :

- Mais...Mais je devrais assister à cette....Heu, formation?

Perez fit la grimace.

- Nous le déconseillons. La rééducation peut comporter des moments comment dire...Penible à regarder...

- Et combien de temps...?

- Quelques semaines pas plus. Kara est très douée...

Il n'en doutais pas.....

Il hésite un moment regardant monsieur Perez. Puis il lançe

- d 'accord.....

Marylis Bourbon-Dumas déambulait dans les rues de la ville très bourgeoise de la région parisienne ou elle réside depuis plusieurs années. Elle est une notable de la ville. Enfin son mari l'est...Et du coup , tous les autres notables son à ses genoux et elle trouve cela très agréable. Le Maire l'invite régulièrement à divers réceptions et elle est très amie avec son épouse. Elle passa devant un chantier et elle entendit plusieurs sifflets. Elle se retourna et lança un oeil noir aux ouvriers. Se sentant flattée tout de même. Madame Bourbon-Dumas est habillée d'une jupe noire s'arretant aux dessus du genoux dévoilant des jambes gainées de bas fumés. Ses jambes sont allongées par la hauteur des talons aiguilles de ses escarpins couleur noire. Il fait froid et elle porte un manteau de fourrure qui a du couter à son mari l'equivalent de plusieurs mois de salaire des ouvriers qui viennent de la siffler..

Marylis décida d'entrer dans cette nouvelle boutique de lingerie en plein centre-ville dont elle a recu il n'y a pas longtemps une invitation lui promettant des réductions. La vendeuse, une grande black d'une vingtaine d'années , très belle, vetue d'une minijupe en cuir noir s'avança vers elle.

Madame, vous desirez?

Je regarde, merci.

Madame Bourbon-Dumas commence a regarder les présentoirs exposant divers lingeries fines. Portes-jarretelles, guèpiêre, soutien-gorges, bas et collant....

Sans qu'elle s'en appercoive, la vendeuse a discrétement fermé la boutique l'enfermant avec elle....

Marylis hésite entre une guépiêre blanche ou rouge quand la vendeuse s'approche d'elle, tellement prêt qu'elle peut sentire son parfum. Elle lui sussure dans l'oreille :

- Alors? Qu'elle couleur vous tenterais?

- J'avoue que j'hésite...

Sourire ironique de la vendeuse....

- Eh bien ca depent...mari ou amant?

Madame Bourbon-Dumas a un haut le corps, choquée par la remarque déplacée de la vendeuse.

Comment!!! Mais comment osez vous ...

Mais la vendeuse continue comme si elle n'entendait pas les protestations de Madame.

La blanche c'est pour le mari, la rouge c'est plus pour l'amant quand madame se transforme en chienne en chaleur

Rouge de colère , Marylis proteste.

Soudain, le visage de la vendeuse se transforme, son regard devient dur, elle lui empoigne les cheveux et lui tire la tête en arrière faisant crier madame Bourbon-Dumas. Celle ci se débat tentant d'echapper à la poigne de fer de la black. Elle réussit a mettre a genoux Marylis.

Nettoie moi les chaussures salope! Lui hurle t'elle.

Terrorisée, Madame tente de se relever. La vendeuse arrive a lui enlever son manteau de fourrure qu'elle balance par terre. Elle parvient non sans mal a retrousser la jupe de Marylis qui se retrouve a quattre pattes , jupe tirebouchonnée autour de la taille. La vendeuse lui asséne plusieurs claques biens sentie sur les fesses la faisant couiner.

Alors!! Tu lèches, oui!!

Madame Bourbon-Dumas sort timidement sa langue et se penche la posant sur le cuir des escarpins rouges vifs de la vendeuse avec une moue dégoutée. Elle donne des coups de langue pendant que la vendeuse continue de lui frapper le cul.

La tirant par les cheveux, la vendeuse redressa Marylis. Elle lui mis sous le nez des clichés la représentant avec son amant. Marylis blêmit en se reconnaissant sur les photos.

- Alors, tu vois bien que t'es une chienne en chaleur quand tu veux : Vas y, tu va me montrer comment tu te comportes quand t'es une chienne.

La vendeuse retroussa sa minijupe en cuir. Dessous , elle ne porte aucun sous-vêtements.

Elle obligea madame a approcher son visage de sa vulve.

- Leche moi salope, leche moi...

Horrifiée, Marylis commence a donner des coups de langue sur la vulve degoulinante de la vendeuse. Lui bouffant la chatte. Pendant ce temps, la black a baissée le collant et le string de la distinguée notable, lui enfonçant dans sa fente son index et son majeur et les faisant coulisser rapidement provoquant des clapotis. Elle jubile en entendant madame gémir....

Tu prends ton pied salope hein!!! Dis le!!

Essouflée, de la mouille plein le visage, madame Bourbon-Dumas halète. Elle répond rouge de honte :

- Oui, Oui , j'aime ça...

- Maitresse!! Oui j'aime ca Maitresse. Pour toi, je suis Maitresse Kara espece de salope de bourgeoise.

Kara lui appuie sur la tête collant son visage sur sa vulve, Elle donne des coups de reins pour mieux sentir sa langue.

Elle halète a son tour. Madame Bourbon-Dumas lui leche sa fente avec entrain maintenant tout en poussant des gémissements plaintifs en sentant les doigts de Kara qui plonge dans sa chatte et tout en criant quand celle ci lui donne une claque sur ses fesses.

Kara repoussa Marylis qui s'affala par terre. Elle la positionne a quattre pattes sur son manteau de fourrure, le cul et la fente bien exposés. Elle lui ordonne d'attendre un peu et madame Bourbon-Dumas, tremblante, obeit.La vendeuse sadique revient. Madame entend un bruit de moteur ce qui l'intrigue. L'instant d'après elle pousse un long gemissement et elle s'applatit sur son manteau. Maitresse Kara a posé un vibromasseur sur le clitoris de Marylis, le ronronnement de l'appareil est couvert par les cris et les gemissement de madame qui se tord de jouissance sur le sol. Kara avec un sourire sadique, introduit un gode dans la chatte de madame et le fait coulisser rapidement tout en continuant d'asticoter le clitoris de Marylis qui pouse des hurlements de démente dans la boutique de lingerie . Maitrsse Kara agite rapidement le gode dans la chatte de madame. Marylis pousse des gémissments plaintifs, les cheveux dans les yeux. Elle sent le gode coulisser dans sa chatte. Elle poussa soudain un feulement rauque jouissant sans retenue.

Kara sourit en filmant avec son portable Madame Marylis Bourbon-Dumas, à quatre pattes sur le sol, baillonnée avec une boule en latex enfoncée dans la bouche. Une laisse ,acrochée au collier qu'elle a autour du cou ,pendant entre ses seins. Madame la regarde les yeux exorbitées gargouillant des mots inintelligibles dans son baillon, des filets de bave tombe sur ses seins jaillissant de son soutient-gorges en dentelle. Seins ou Maitresse Kara a accrocher des pinces. Kara, arnachées d 'un gode-ceinture autour de la taille, fit le tour et positionna le gland en latex sur la chatte de l'épouse respectable de monsieur Bourbon-Dumas, qui n'a plus rien de distinguée, et elle s'enfonca dedans d'une traite faisant couiner Marylis. L'agrippant aux hanches, Maitrese Kara commence a s'agiter donnant des coups de reins, s'enfonçant dans la chatte de madame. Celle ci pousse un gargouilli. Elle bave sur la boule sous les coups de reins violents de Kara qui, la tenant par la laisse, la pilonne brutalement faisant gigoter ses seins......

Monsieur Perez avec son passe entra dans la boutique de lingerie et referma soigneusement la porte derrière lui. Il entend des cris étouffés, des gémissements et les insultes de Kara.

- T'aime ca salope, que je te défonce. Petite pute, si ton mari te voyait....

Perez entre et avance dans la boutique et découvre la respectable madame Bourbon-Dumas a quatre pattes, les seins rouges, en sueur, décoiffée, grognant sous les coups de reins de Kara qui la défonce comme une chienne. Perez sortit son portable et commença a filmer pour montrer a son client la déchéance de son épouse.

Marylis subit les assauts de Kara en gémissant derrière son baillon.Elle se demande qui est cet homme qui la filme en gros plan avec son portable. Elle n'en peux plus d'etre baiser par cette femme qu'elle ne connaissait pas et qu'elle aurait méprisé il n' y a pas encore une heure. Une heure qu'elle se fait bourrer comme une chienne, une heure qu'elle n'arrete pas de jouir et d'avoir des orgasmes sous les coups de pines de maitresse Kara. Elle sent la cyprine couler de sa fente, elle mouille comme une fontaine. Elle sentit la main de Kara s'emparer de son sein droit et tirer sur la pince et cela la fit jouir encore plus fort....

Monsieur Perez sentent une érection impréssionnante former une bosse dans son pantalon, il sortit son sexe gonflé et s'approcha le promenant sur la visage ravagée de madame Bourbon-Dumas. Il baissa la boule en latex et Marylis prit une énorme goulée d'air. Il força le barrage de ses lèvres rouges et s'enfonça dans la bouche de l'épouse de son client qui l'avala sans rechigner. Il agrippe ses cheveux blond et les torsade faisant coulisser sa bite entre ses lèvres , allant le plus loin possible, l'etouffant à moitiè. Il jubile en voyant madame Bourbon-Dumas lui pomper le dard, lui léchant les couilles, salivant sur la hampe, lui titillant le gland avec la langue pendant que derrière elle, agrippée à ses hanches, maitresse Kara continue de la pilonner......

Marylis se retrouve debout, en équilibre sur ses talons aiguilles, le collant en lambeaux, au milieu de la boutique, les mains posées sur un meuble, pilonner par monsieur Perez qui la baise sans ménagements sous le regard ironique de Kara qui filme la scène. Madame bien sur ignore que c'est pour son mari ce petit film, elle n'a pas à le savoir ,du moins pas tout de suite. Monsieur Perez ravage la chatte de madame qui pousse des cris à chaques coups de boutoirs du détective. Son ventre vient claquer contre ses fesses. Il se retira et pointa son gland sur l'ouverture des reins de Marylis qui tourna la tête et lui supplia de lui épargner cette nouvelle humiliation. Mais le détective n'en a cure de ses supplications, il s'enfourne dans le cul de la respectable bourgeoise qui pousse un hurlement déchirant étouffée par Kara qui lui enfonce un string roulée en boule dans la bouche. La tenant solidement aux hanches, il la pénètre lui élargissant le trou du cul. Madame se fait enculer et madame gémit sous les coups de reins de monsieur Perez.

On entend plus dans la boutique que les cris de madame mélangée aux cris de jouisance de Kara. Elle a contrainte Marylis a lui lecher la chatte pendant que Perez continue de lui dechirer le cul.

Il se retira et se positionnant devant le visage de Marylis Bourbon-Dumas, il éjacula en grognant libérant son foutre qui vient s'ecraser sur les lèvres de Marylis qui s'effondre par terre....

Maitresse Kara et monsieur Perez ont contraint Marylis a enfiler une guèpière, la rouge, ou sont accrochées des bas résille à un porte-jarretelles rouge également. Les escarpins noirs vernis avec des talons en acier lui donne l'air d'une pute de bas étage , elle, la notable respectée.

Elle enfile son manteau de fourrure et ils sortent tous les trois de la boutique de lingerie. La nuit est tombée. Kara tient en laisse Marylis qui a conservé son collier autour du cou. Elle sent un frisson désagréable lui parcourir l'échine quand elle réalise qu'ils se dirigent vers le chantier ou les ouvriers l'ont sifflé tout à l'heure...

C'est monsieur Perez qui a négocié. Négocié le prix pendant que Kara exhibe la marchandise en ouvrant le manteau de fourrure. Madame Bourbon-Dumas rouge de honte se laisse montrer comme un vulgaire morceau de viande. Les ouvriers bavent deja d'envie devant ce morceau de choix.

On trouve un accord, tout les ouvriers payant pour pouvoir profiter de cette bourgeoise qui fait la pute. Puis c'est la curie....

Madame Marylis Bourbon-Dumas se retrouve a genoux, sur le gravier, pompant plusieurs bites en même temps, salivant dessus. On se dispute le droit de lui enfoncer sa queue dans sa bouche. Elle hoquète, s'étouffe , recrachant une bite, en prenant une autre....Kara filme toute la scene avec son portable. Puis on la baise a quatre pattes. Un black la défonce avec son enorme bite pendant qu'elle suce la queue d'un Turc qui la tenant par les cheveux lui enfonce son membre dans la bouche.

Empalée sur la bite d'un dénommé Brahim, elle se fait enculer par un certrain Mokhtar pendant que le Turc et un roumain lui enfonce leurs queues dans la bouche. Ses seins sont malaxées sans douceur par des dizaines de mains avides. Elle subies de multiples pénétrations, elle se fait enculer un nombre incalculable de fois, elle suces des bites à la chaine. La respectable bourgeoise est devenue la dernière des putains.....

Pierre Bourbon-Dumas visionne sur son ordinateur la vidéo que monsieur Perez lui a fait parvenir. La deuxième. On y voit son épouse se faire defoncer dans les caves d'une citée ou l'on emmenée Perez et Kara. La c'etait encore plus bandant que celle du chantier. De voir son épouse habillée d'une jupe en cuir noir ultra courte dévoillant des bas noirs a couture accrochés à un porte-jarretelles, se faire prendre par des dizaines de blacks. S'étouffant à sucer des bites, les larmes au yeux, empalée sur une queue, enculer par une autre, le visage et les seins couverts de foutres, gueulant sous les coups de boutoirs.... Il baissa les yeux vers sa femme accroupis à ses pieds en train de lui sucer la bite avec application. Lui titillant le gland, lui lechant les couilles.....

- Ma chérie, j'ai oublié de te dire que demain j'organise un diner d'affaire ici. Un contrat très important. Je compte sur toi pour distraire les invitès....

Marylis Bourbon-Dumas fait la grimace. Elle sait que la condition siné qua non pour que le contrat soit signer ce sera elle. Donner en patûre par son mari aux hommes et femmes qui seront présent à ce diner...