Qui suis-je vraiment? 05

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Toujours plus soumise Laurence decouvre sa vraie nature.
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Partie 5 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 06/26/2013
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Chatte échaudée aime l'eau froide:

Pendant plusieurs jours je n'eus aucune nouvelle de mon amant. J'en étais folle, j'avais vraiment envie de lui et des turpitudes qu'il m'obligeait à faire.

Seul un SMS vînt trancher ce silence pour m'indiquer qu'en son absence je pouvais en profiter pour parfaire ma garde robe de tenues sexy voire de salope. Comme à l'accoutumé je suivis les ordres et fît des emplettes répondant à ces exigences. En clair j'achetais entre autres des strings bien transparents dont deux ficelles, deux nouveaux porte-jarretelles ainsi que des bas, blanc, couleur chaire et noir, mais aussi une guêpière. Quant aux vêtements « cachant » ces dessous, j'agrémentais mon vestiaire d'une robe ultra moulante grise en laine, qui mettrait en valeur le moindre de mes dessous ; d'une jupe écossaise avec des boutons sur le devant ; et pour finir j'achetais deux chemisiers très échancrés et légèrement transparent ainsi qu'un T-shirt dont la large ouverture des manches permettait de voir mes seins ou mon soutien-gorge dés que je levais le bras.

Tous ces achats m'avaient excitée et je n'avais qu'une envie, m'exhiber devant Nietzsche avec ces tenues. Les jours passèrent sans nouvelles de lui, j'appelais même pour savoir s'il était là mais rien, mais c'est sans réponse de lui que je partis donc en séminaire pour mon travail.

Je ne sais pas en tout cas si c'est mon changement d'habits ou ma façon d'être mais j'eus droit à bon nombre d'attentions notamment de mon supérieur hiérarchique qui de manière discrète me fît la cour. J'aimais cela mais je lui fis comprendre que je n'étais plus seule. Même si ses yeux continuaient de me désirer il en resta là. Heureusement qu'il ne savait pas quelle salope j'étais devenue dans ma vie privée car son attitude à mon encontre aurait été toute autre.

Au retour de mon voyage, mon amant me manquait plus que jamais. Il fallu que j'attende deux jours supplémentaires pour avoir de ses nouvelles enfin. Au son de sa voix je crus défaillir, mais j'étais heureuse de l'entendre.

- Nietzsche: Bonjour Laurence comment vas-tu?

- Moi : Nietzsche ...... je suis contente de vous entendre.

- Moi aussi ma petite salope, moi aussi. Alors ces nouveaux habits comment sont-ils?

- Ils m'habillent un peu et en montrent beaucoup.

- C'est bien de toute façon tu adores cela t'exhiber mais surtout être baisée par des inconnus. Bon veux tu me rencontrer à visage découvert?

- Oh oui je voudrais bien.

- Alors tu vas pouvoir découvrir mon visage. Mais cela signifie que tu acceptes de te soumettre à moi. Tu en es bien consciente?

- Oui je le suis. Que voulez vous que je fasse?

- Je veux que tu ailles nager mais cette fois-ci tu porteras l'autre maillot de bain ... celui qui fait une taille de moins. Tu vois de quel maillot je parle?

- Le maillot une pièce blanc.

- Oui celui là même. Et pour que tu révèles à tous les nageurs ta vraie nature, je veux que tu ôtes le film de coton qui protège ton pubis. Comme cela tout le monde pourra admirer ton sexe épilé.

J'imaginais déjà la vue que j'allais offrir. Ce maillot que j'avais acheté à sa demande ne dévoile rien du corps si le Lycra en quoi il est constitué n'est pas étiré. Mais je dus acheter une taille en dessous, sans oublier que l'eau sur le blanc renforcera la transparence. Alors découper le tissu de coton au niveau de mon sexe s'était m'offrir à tous les hommes de la piscine. J'en rougissais mais ne pensais aucunement me défiler. J'avais franchi le cap.

- D'accord Monsieur Nietzsche.

- Ta soirée ne sera pas finie, j'ai une autre surprise avant que je te montre mon visage. Mais je te rappellerais pour te dire quoi mettre. Aller, bonne baignade ce soir, mais n'oublie pas de t'habiller aussi comme une salope pour aller au bureau.

- Comment voulez vous que je m'habille?

- Jupe moulante et porte- jarretelles, et interdiction de croiser les jambes pour manger afin que tes collègues puissent profiter de ton intimité.

Il avait raccroché et je mouillais après ses paroles. J'étais bien une salope comme il le soulignait. Alors que j'étais prête à partir au bureau, je repartis dans ma garde-robe pour ajuster ma tenue aux attentes de mon maître. Pour le haut je mettais donc un petit débardeur moulant afin de mettre en relief mes seins.

Le résultat fût rapide puisqu'au bureau je pouvais voir des regards masculins se retourner à mon passage. C'est en allant aux toilettes que je compris mieux pourquoi. La jupe était remontée au fur et à mesure de mes pas ce qui dévoilait la limite de mes bas, et l'effet moulant révélait automatiquement que je portais un string ficelle et un porte-jarretelles. J'étais cramoisie, pourvu que mon chef ne voit pas cela sinon il penserait automatiquement que je suis une allumeuse qui refuse ses avances.

Il en fût autrement puisque mon responsable me demanda dans son bureau. Ces yeux semblèrent ne pas y croire, mais passé l'étonnement il joua avec moi et je passai toute l'après-midi à travailler avec lui dévoilant de si de là le haut de mes cuisses ou la base de mes seins.

Ayant interdiction de croiser les jambes il put même voire la nudité du haut de mes cuisses, ce qui dût le satisfaire, car à la fin de la journée il me demanda « de garder la même ligne de conduite en termes vestimentaires ». En même temps qu'il me dit cela, ses yeux fixaient ma croupe.

J'avais honte car ma nouvelle condition commençait à être connue dans le cadre de mon travail.

Je partis donc rapidement pour ma deuxième humiliation de la journée ... la piscine.

Il ne fallut pas longtemps pour que comprendre ce qui allait advenir. En effet en mettant les bretelles du maillot trop serré celui-ci s'enficha dans mon sexe. Avec la main je décidais d'extraire le maillot de mon sexe mais cette fois-ci ce sont mes seins qui sortirent.

Comment faire? Je ne pouvais pas refuser la demande de mon amant. Je décidais donc de protéger avant tout mes seins et d'utiliser ma serviette pour cacher aux gens ma chatte.

J'entamais donc mon départ vers les bassins, mais je sentis rapidement le lycra s'insérer entre mes lèvres. Le frottement fît le reste. Je commençais à mouiller et mon clitoris se gonflait, faisant monter mon plaisir éclipsant par là-même la gène de m'exhiber ainsi.

Je me jetais alors sous la douche pour cacher mon excitation. Mais de blanc mon maillot devînt transparent, même au niveau de mon pubis. Plus personne d'attentionné ne pouvait manquer le fait que mon sexe était lisse et que le maillot rentrait entre mes lèvres.

Pour éviter néanmoins d'être l'attrait de la journée dans ce lieu public, je me précipitais vers les bassins et me jetais dans l'eau bien froide à mon goût. Je me mis alors à nager et contrairement à la première fois je portais des lunettes afin de pouvoir refroidir quelques les ardeurs de quelques voyeurs timorés.

Toutefois, avec la brasse je fis profiter de mon entrejambe et de mes lèvres. Mais que faire quand vous ne savez pas faire plus de 50 mètres en crawl. Je voyais bien que cela ne laissait pas de froid quelques nageurs devenus en l'occasion voyeurs. Je pouvais même constater que certains avaient déployés leurs « quilles » naturelles pour ne pas dériver et rester dans la même voie d'eau que moi.

Je faisais comme si de rien n'était, mais mon maillot tellement étroit frictionnait beaucoup trop mon clitoris. Si cela continuait j'allais jouir dans la piscine, aussi de manière discrète je retirais le maillot incrusté dans ma chatte, ce qui automatiquement fît déborder mes tétons du haut.

Je préférais poursuivre ma séance de sport ainsi, et voir en face à face les voyeurs. Et si heureusement ils y'en avaient qui n'osaient pas affronter mon regard, d'autres ne se gênaient point de me faire face m'obligeant à détourner ma vue de leurs yeux excités. Mon caractère de soumise reprenait inconsciemment le pouvoir sur mon être.

En tout cas le spectacle fût apprécié car lorsque je sortis de la piscine, ma ligne d'eau comptait deux fois plus de nageurs que les autres lignes. Cela me fît sourire et oublier que je dévoilais ostensiblement la majeure partie de mon sexe épilé.

Une fois sortie de l'enceinte de sport, mon téléphone se mît à sonner.

- Nietzsche: C'est bien Laurence, tu es vraiment la salope soumise que je cherche.

- Moi : Merci Monsieur.

- Mais je t'ai dis que ce n'est pas fini. Tu vas rentrer chez toi et te préparer. Ok?

- Oui, oui. Que voulez vous que je porte?

- Tu vas porter la robe droite avec les boutons devant. Dessous, je te veux en porte-jarretelles et bas couleur chaire. Pour la culotte n'importe quel string fera l'affaire mais auparavant tu t'introduiras le plug, et pour le soutien gorge tu prendras un en dentelles.

- Et pour les chaussures?

- Merci, tu mettras des chaussures à haut talon. Pour finir je te veux avec un maquillage soutenu mettant en avant tes lèvres de suceuse et tes yeux de soumise. Bon va te préparer tu as deux heures pour cela. Je te rappellerai pour te dire le lieu de notre rendez-vous.

Apprêtée selon les indications, il me rappela pour m'informer du lieu de notre rencontre. L'endroit, en fait, je le connaissais déjà puisqu'il s'agissait du restaurant où j'avais dû m'exhiber quelques jours auparavant.

Tout d'un coup, je repensais au serveur qui avait profité de mes atours de façon soutenu. En revenant dans ce lieu, cela indiquait que j'étais prête à ce qu'il m'observe et me touche à nouveau. De manière plus crue, si je revenais c'est que j'étais une petite salope qui aimait cela.

J'avais certes franchi des caps dans mes péripéties sexuelles, mais l'obstacle à franchir était grand. D'un autre côté, j'allais enfin connaître Nietzsche, et puis je suis sûre qu'il me protègerait des exubérances du serveur. Le cœur battant donc, je prenais le taxi. Le plug bien fiché dans l'anus générait quant à lui une intense et diffuse chaleur dans mon bas-ventre, entraînant l'humidification abondante du mince tissu de ma culotte.

Au cours du trajet je n'arrêtais pas de penser à ce serveur. Comment réagir s'il me relevait la jupe? Comment faire s'il me palpait les seins? Le repousser brutalement au risque qu'il me traite, à juste raison, d'hypocrite et d'allumeuse aux vues et sus de tous les clients présents. Non j'aurais trop honte.

Le repousser doucement mais dans ce cas là, il pourrait penser que c'est juste un refus de façade. Ou bien le laisser faire et lui donner libre accès à mon corps, au risque qu'il exige l'impensable : M'exhiber devant ses collègues, me faire sauter par lui dans les toilettes, j'avais en fait plein d'idées pour quelque chose de soi-disant impensable.

Ca y'est j'étais arrivée. C'est alors qu'un SMS réveilla mon portable. C'était Nietzsche qui me donnait ses derniers « conseils » pour la soirée :

« Ton serveur préféré est là, alors pour le remercier tu ne vas garder que cinq boutons sur les dix de ta robe ... Bon choix!!! »

La solution face à cette équation fût rapide à résoudre. Les deux boutons du bas tout d'abord car bien qu'ils rendent perceptibles la présence de bas au lieu de collants, la robe en me serrant un peu la taille laissait de toute façon deviner mon porte-jarretelles. Quant aux autres boutons, je m'empressai de défaire les deux du haut pour offrir une vue plongeante sur mes seins. Restait le dernier ; je choisissais celui placé entre mon nombril et mon pubis. Pourquoi me direz-vous? Tout simplement, parce qu'en marchant les deux parties de la robe restaient plaquées sur mon corps, et cachaient ainsi ma peau nue. Le hic, c'est qu'en étant assise, les deux pans s'ouvriraient suffisamment pour montrer une bonne partie de mes sous-vêtements.

Lorsque j'arrivais devant la porte d'entrée, j'eus une bouffée de chaleur car j'étais attendue. Avec un large sourire, le serveur que je redoutais tant m'ouvrît. Je sentais mes jambes trembler, quand tout d'un coup sa main se plaqua sur mes fesses et appuya afin de me faire avancer. Je sursautai, mais ne me retournai pas de peur d'exposer mon visage en feu.

Contrairement à ce que je croyais, il m'emmena dans une zone plus discrète du restaurant, et non la « tribune » lors de ma première visite. Il me fît asseoir et m'indiqua qu'il serait bien de rester ainsi pendant tout le repas avec un large sourire. Je baissais les yeux pour constater que l'absence du bouton du milieu laisser bailler ma robe, offrant ainsi une magnifique représentation de mon porte-jarretelles et de mon string. Sans plus attendre, il me proposait un apéritif en attendant la venue de mon convive. Confuse par ce qui venait de se passer, je commandais un whisky ce qui était fort imprudent puisqu'à jeun.

Il revînt quelques minutes après avec mon apéritif. Seule pendant cinq minutes je sirotais mon verre embrumant mon esprit un peu plus. J'imaginais mon amant et ce qu'il allait bien pouvoir me dire ou me demander.

Sur ces entre faits, je reçus un nouveau texto m'indiquant qu'il était désolé pour ce retard mais qu'en attendant je devais aller aux toilettes pour hommes et proposer au premier qui rentrerait de lui tailler une pipe.

J'étais mortifiée, il fallait désormais que je me rabaisse à supplier un inconnu de le sucer. Quel avilissement! Demander à quelqu'un de me faire plaisir à ce que je lui procure du plaisir.

D'un autre côté, si j'étais ici c'était que j'aimais aussi cela me soumettre à ses demandes. Les inhibitions en partie éteintes avec l'effet de l'alcool je me levais et me dirigeais vers les toilettes.

Une fois dans la pièce exiguë, je m'appuyais sur le lavabo attendant avec anxiété l'heureux élu. Ma patience ne fût néanmoins pas trop éprouvée et quelques instants après, un homme heureusement séduisant apparût. Etonné de ma présence il me regarda avec insistance me faisant baisser les yeux. Tétanisée par ce que j'avais à réaliser, j'entamais la discussion en bafouillant.

- Moi : Bonsoir.

- Inconnu : Bonsoir Madame, me serais-je trompé de toilettes?

- Non, euh en fait c'est moi qui ne suis pas au bon endroit.

- Je préfère ... alors bonne soirée.

Ce faisant il fermait la porte des WC. J'attendis alors qu'il rouvre, honteuse de mon attitude. La porte s'ouvrît, et il me fît face avec un regard plutôt ombrageux, réduisant le peu de courage qui me restait.

- Inconnu : Excusez moi mais qu'attendez vous ici Madame?

- Moi : Euh, ...... en fait euh ......j'ai envie de vous ... ... de vous .......de vous sucer, voilà.

- Quoi? j'ai du mal comprendre?

- J'ai envie de vous faire une gâterie car vous me plaisez.

- Mais vous allez bien madame?

- S'il vous plaît laisser moi vous procurer ce plaisir?

- Mais vous êtes une vraie nymphomane!!!

- En partie, c'est un pari que j'ai perdu et c'est mon gage que je dois faire à présent..

- C'est bien ma veine ... une allumée!!! Si c'est ça alors je vous veux à poil pour me sucer.

Son regard s'était transformé. Il était désormais le chasseur en face de sa proie ne pouvant fuir. Humiliée par ce que je venais de dire et ce que j'allais faire, j'ôtais les quelques boutons pour me mettre nue, et m'agenouillais en face de la fermeture éclair de son jean.

- Inconnu : Et en plus on met de dessous de pute pour tailler des pipes. C'est vraiment mon jour de chance. Dis moi, t'aime cela sucer les inconnus?

- Moi : Euh, en fait pour vous dire la vérité, c'est mon amant qui me l'a demandé ...... et je souhaite lui faire plaisir.

- En clair j'ai droit à une chienne soumise à son maître et non une allumée. Cela devient encore plus intéressant, il va falloir que tu me le présentes... Bon, avant que tu me suces je veux que tu me montres ta chatte et ton cul.

Je me relevais et écartais les jambes pour lui exposer mon entrejambe. Il ordonna alors que j'écarte mon string pour dévoiler mon minou.

- Inconnu : j'aurais dû m'en douter elle a le minou tout lisse. Tu vas te doigter et après tu vas lécher tes doigts de salope. Car tu en es une, non?

En accord avec sa requête, je commençais à me caresser et me déhancher devant lui. L'excitation procurée par ses paroles accélérait la moiteur de mon vagin. Mes doigts se faufilèrent aisément dans mon intimité. Je me mis alors à répondre à sa question tout en remontant ma main vers ma bouche.

- Moi : Oui je suis une salope qui prend plaisir à me dépraver.

- C'est bien, lèches tes doigts, tu vas, juste après, me sucer ; mais tu resteras debout pour que je profite de ton cul de salope avec mes mains. Au boulot!!!

Je sortis les doigts de ma bouche pour les apposer sur la braguette de son pantalon. Le pantalon ouvert, le caleçon déboutonné, son sexe jaillît sur moi. Sans plus attendre j'avalais son membre telle une boulimique du sexe. De son côté l'inconnu entreprît de me caresser les fesses puis de s'aventurer entre mes deux globes. Un grognement de sa part me fît comprendre qu'il venait de découvrir le plug installé dans mon anus. Il commença alors à jouer avec en le faisant sortir puis rentrer entièrement dans mon rectum.

Il plaça ensuite sa deuxième main sur mon clitoris qu'il frotta vigoureusement. Je sentais le plaisir monter en raison des sévices qu'il me faisait subir. D'un coup il arrêta cette masturbation extérieure pour insinuer trois de ses doigts dans mon vagin. Une fois à l'intérieur il les écarta au maximum afin de faire pression sur les parois. C'est alors qu'il se mit à faire des mouvements circulaires. Je n'en pouvais plus et c'est avec un bâillon vivant que je me mis à jouir.

Son tour vînt ensuite, et pour assurer que je ne renâcle pas à avaler, il prit ma tête des deux mains pour qu'elle avale bien la majeure partie de son attribut. Son sexe se mît à avoir des secousses et déversa son chaud liquide dans ma gorge. J'avalai alors sa semence avec délectation malgré son goût légèrement acre.

Nos esprits retrouvés il se rajusta puis repartit comme si de rien était, quant à moi je mis un peu plus de temps et fît de même. Mais point de Nietzsche à l'horizon. Déçue je m'asseyais espérant ne plus être seule trop longtemps.

L'inconnu que je venais de « gâter » s'approcha de ma table et sans demander s'assît en face de moi.

- Inconnu : Maintenant que nous nous connaissons un peu mieux cela vous fait quoi de vous rabaisser aux idées les plus perverses et dégradantes de votre amant.

- Moi : Euh je ne sais pas.

- Pas de simagrées avec moi Madame. Quand on est prête à se faire défoncer par le premier venu on doit être capable de répondre.

Le coup me fît mal mais il avait le mérite d'être véridique. Je me mis alors à répondre :

- Au début je me sens vile, j'ai terriblement honte mais dans le feu de l'action cela décuple ma jouissance et me donne envie de recommencer.

- C'est bien ce que je pensais tu es une femme qui aime être humiliée et rabaissée. Et bien soit, nous allons faire selon tes désirs.

- Mais ... ... mon amant va arriver ......et .......

- Et quoi? Seul lui a le droit à te donner des ordres!!!

- Euh .......oui. C'est ça.

- Alors, Laurence cela tombe très bien, ...

- Mais ... Pourquoi vous dîtes cela?

- Bon, je me présente : Nietzsche pour les intimes. Et comme je crois que tu en fais partie tu peux m'appeler Nietzsche ou maître voire Monsieur.

J'étais sans voix. Je n'avais même pas reconnu le son de la sienne alors que je l'avais entendue à de multiples reprises. Et je venais de déclarer ma soumission en sa personne sans le savoir. De toute façon il devait bien s'en douter aux vues de ce que j'avais fait dans le passé.

- Nietzsche : Bon ne perdons pas de temps. Appelle le serveur pour passer commande. Tiens profites en aussi pour enlever ton string.

- Moi : Mais je ne peux pas repartir aux toilettes et appeler le serveur.

- Ne joue pas à l'idiote, tu vas ôter ta culotte ici juste après avoir fiat signe au maître d'hôtel de venir.

Ce que je venais de faire j'aurais due ne pas être trop gênée par cette demande, néanmoins mon corps exprima le contraire et mon visage s'empourpra. Après avoir signifié au serveur de s'approcher de notre table, je commençais à gesticuler afin de descendre mon string.

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