Qui suis-je vraiment? 04

BÊTA PUBLIQUE

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Telle une gamine qui a fait une bêtise je partais aux toilettes laissant à mon hôte mon string et mon manteau. Dés mes premiers pas, je compris le calvaire que j'allais vivre pour sortir de ce cinéma. La piqure des pinces avait vite disparu, mais la piqure morale d'entendre cette clochette et mes pieds faire « floc » dans mes escarpins soulignait ma nouvelle condition de fille facile.

Je remettais ma robe qui en fait ne cachait rien de mon anatomie. Au contraire elle la laissait deviner voire la soulignait de manière érotique. J'avais le choix, marcher vite ce qui entrainerait des bruits gênants, ou lentement mais dans ce cas je m'exposer au risque d'être découverte dans une telle tenue. Cette réflexion me fît rougir et trembloter. Que faire, je n'allais pas rester toute ma vie dans ces WC et puis on m'attendait dehors.

Je me lançais donc vers la sortie. Sortir de la salle fût aisé car les deux spectateurs restant étaient absorbé par le film en cours, mais dans les couloirs j'entendis des gens arriver. Je voulus alors faire demi-tour mais la porte coupe-feu se referma définitivement. Je pris alors la décision de marcher comme si de rein n'était mais mon cœur devait faire 200 pulsations par minute et mon visage était en feu. J'avançais le regard baissé telle un animal soumis.

Deux jeune adolescents passèrent à mes côté tournant la tête avec un regard interrogateur et se mirent à rigoler une fois devant. J'étais humiliée, heureusement j'arrivais dehors. Mais point d'homme avec mon manteau, non il ne pouvait me faire cela, surtout que j'avais naïvement laissé mon portefeuille dans la poche de mon manteau. Je me cachai dans un renfort du bâtiment en attendant qu'il se montre, c'est alors qu'une personne me siffla d'un taxi. Je compris que c'était pour moi. L'œil du taxi en profita pour me déshabiller du regard ce qui n'était pas trop difficile avec la transparence du tissu.

On n'est jamais mieux servi que par soi-même:

Une fois assise, je dû indiquer l'adresse au taxi. Toujours équipée de mes lunettes je n'osais tourner ma tête vers l'homme à mes côtés. De ses gestes il me fît comprendre d'écarter mes jambes, puis doucement il se mît à remonter la robe dévoilant au conducteur très attentif aux événements qu'il apercevait dans le rétroviseur mes jambes, suivi de mes cuisses.

J'en avais des gouttes de sueur, il n'allait quand même pas montrer ma chatte à cette personne. Toutefois je n'osais arrêter cette main perverse. C'est alors qu'il me prît ma main qui remplaça la sienne. Il réitéra une claque sur mes cuisses indiquant que c'était à moi de poursuivre. J'étais rouge comme une pivoine, car désormais je n'avais plus l'excuse de rester passive, je devais agir. Le test était diabolique soit je ne remontais pas plus soit je dévoilais mon intimité, révélant ce que j'étais devenue. Ce n'était pas la main qui était donc pervers mais l'homme qui venait de me mettre en face de ma déchéance.

Tremblante, je repris la montée du vêtement pour finir au dessus de mon sexe. Mon tortionnaire se mit alors à me doigter doucement devant le conducteur ébahi et heureux de l'action qui se tramait dans son taxi. J'étais chauffée à blanc par cette masturbation, quand le propriétaire du dictaphone sortit ses doigts de mon vagin pour me les faire sucer. Je me jetais dessus et les nettoyais du mieux que je pouvais. Le goût de mes sécrétions tranchait avec le sperme qui s'y trouvait peu avant.

Malgré la lenteur de notre taxi, nous étions arrivés, et au moment de payer le chauffeur nous offrit la course en regard du spectacle offert.

Après l'avoir remercié, je me retrouvais avec l'inconnu dans l'entrée de l'immeuble. Il sortit alors son magnétophone.

- Dictaphone : Enlève tout de suite et ici ta robe salope, ensuite tu monteras pas l'escalier chez toi.

Sans réfléchir, j'enlevais la robe et pris les clés pour ouvrir la porte d'entrée. Nue et lisse je marchais rapidement et avec appréhension jusqu'à l'escalier de secours. Je commencer à monter dans l'escalier toujours avec le tintement de la clochette que l'homme me claqua les fesses et mît en marche le magnéto.

- Dictaphone : Tu n'as pas honte de te balader ainsi, et de te faire doigter en public. Dis à voix haute ce que tu es.

- Moi : Je suis une salope mais j'ai tellement envie de sexe. J'aime quand vous me rabaissez, vous m'ordonnez d'être votre chose.

Il me claqua les fesses plusieurs fois. L'excitation m'empêcha d'ouvrir rapidement la porte risquant d'apparaître dans le plus simple appareil auprès de mes voisins. Heureusement mon enfant était chez des copains à lui, c'est donc le cœur battant mais soulagée que je rentrais avec mon persécuteur.

Je partis en direction des toilettes car tout ces évènements m'avaient donné envie d'uriner. Mais je fus stoppée par ... mon amant. Il venait de parler sans passer par le magnétophone. Ce n'était donc pas son ami mais lui. Cela me soulagea et me réjouis car je venais de lui prouver ma servitude à ses désirs directs ou indirects (les ordres que je croyais venir de son ami).

- Inconnu: Que fais-tu?

- Moi : J'allais aux WC car j'ai envie de faire pipi.

- Alors tu vas faire devant moi.

- Mais???

- Qu'est ce que j'entends, tu souhaites te rebeller???

- Non non.

- Alors va pisser.

C'est donc sous ses yeux que je m'assis, enlevais la clochette et me mis à uriner. Toujours avec les lunettes sur la tête, il me dit de les enlever et je me retrouvais face à un homme masqué de sa cagoule. Maintenant tu vas te nettoyer car tu es sale. Il me prit par la main et me fît rentrer dans la baignoire. Sans attendre il ouvrît la douche uniquement avec de l'eau froide. Je fus saisie par ce froid.

- Inconnu: Pour calmer les filles en chaleur il faut les asperger d'eau froide.

- Moi : L'eau est gelée Monsieur.

- Appelle-moi Nietzche s'il te plait.

Je compris après quelques secondes que mon maître chanteur n'était autre que mon amant virtuel du net, Nietzche.

- Nietzche: Accroupies toi et penches toi pour avoir ton sexe au niveau de ton robinet.

Sans comprendre, je fis comme il le désirait. Il me prît alors par les épaules et me poussa légèrement entrainant l'introduction du robinet dans mon vagin. La surprise passée, il me tira pour faire ressortir l'objet.

- Nietzche: Fais le toute seule comme une garce que tu es.

J'exécutais alors les mouvements de mon propre chef. La grosseur de l'objet métallique emplissait mon vagin. Mais cela ne devait pas suffire car mon amant transféra l'eau du pommeau vers le robinet.

L'eau glacée s'insinuait dans tous les recoins de mon intimité, et sous les ordres de Nietzche je poursuivais la masturbation. Un sexe se retrouva vite en face de ma bouche. Le message était clair, j'avalais le membre et eu vite fait d'accorder les allés et venus dans ma bouche avec celle dans mon vagin.

Je ne pus réprimer après cinq minutes d'un tel service un cri de jouissance. Mais, lui n'avait pas encore jouis. Sans aucun mot, il me fît me relever et m'appuyer contre le mur de la salle de bain. Il trimbala son sexe entre mon minou et la raie de mes fesses, puis le fixa sur ma rondelle. Le vibromasseur et toutes les péripéties de cette fin de journée rendirent la pénétration plus aisée mais aussi moins douloureuse. Je devais m'habituer semble t'il. En tout cas, il fît coulisser sa tige aisément dans mon conduit.

Ces mouvements étaient amples mais rapides et ses pénétrations se concluaient par un choc de ses hanches sur mes fesses rebondies de par ma position. Pour accentuer mon excitation il me claqua les fesses, me faisant répondre par des cris de plaisirs. Je me faisais enculer et j'aimais cela, certes moins qu'une pénétration classique mais j'aimais.

Son aptitude à faire deux choses en même temps se prolongea par l'introduction de quatre de ses doigts dans ma chatte. Les « flocs » engendrés par la masturbation allaient de paire avec les « clacs ». Le traitement fût fructueux puisque j'eus à nouveau un orgasme puissant, qui se suivit de l'éjaculation de mon homme dans mon intestin.

Deux minutes plus tard il m'ordonna de conserver « son cadeau » au fond de moi pour la nuit, puis il partît m'indiquant que « c'était à moi de le rappeler car j'aurais vite fait d'être en manque J ».

Le lendemain, mon lit portait la trace de son cadeau mais j'avais au moins respecté tous ses ordres.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans
Merci...

La scène dans le photomaton a fait courir mon cœur pour Laurence, et la scène dans le cinéma m’a excité. J’ai été soulagé de découvrir l’identité de l’étranger. Merci pour l’aventure, jusqu’à maintenant.

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