Professeures Bizutées - 7/8

Informations sur Récit
Une année scolaire de quatre professeures bizutées.
7.6k mots
4.7
7.8k
4

Partie 7 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 10/01/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Cette histoire est complètement imaginaire, de l'ordre du fantasme. Les personnages sont fictifs et majeurs. Les violences faites aux femmes sont condamnées par l'auteur. Si vous n'aimez pas les situations de contrainte, d'humiliation, voire de viol, ne lisez pas.

QUELQUES PROTAGONISTES

/JULIE (anglais) la blonde

/AMELIE (français) la brune

/ELISABETH (physique) la grande

/JENNIFER (sport) = la rousse

/FRANCOIS professeur de latin

/DORON homme d'entretien

/THOMAS professeur d'histoire

/...

On approche de la fin d'année.

L'épilogue au prochain épisode.

DIMANCHE

/ROBERT

Robert n'avait vu Amélie ni vendredi ni samedi. Pourtant il la pistait tous les matins et tous les soirs. Sa femme l'avait quitté depuis quelques années déjà et les privations sexuelles qui s'en étaient suivies décuplaient ses pulsions. En ce dimanche matin, il avait une furieuse envie de défoncer l'anus étroit de sa voisine.

Jeudi dernier, lors du viol d'Amélie, il n'avait pas immédiatement saisi tous les bénéfices à tirer du devoir d'obéissance de la fille. Il se demandait même s'il n'avait pas rêvé.

LUNDI (3ième semaine /AVRIL)

JULIE /JENNIFER RASPET /FRANCOIS

François, le prof de latin proche de la retraite, s'étira lentement en baillant. Il venait de déjeuner et avait trente minutes à perdre avant de reprendre ses cours. Jennifer RASPET en fit de même. La grande rousse, 26 ans, mince, presque maigre, rangea sa gamelle dans un sac en plastic. Elle donnait les cours d'éducation physique, elle en avait le profil, sèche, musclée.

- C'est long le lundi, tu ne trouve pas François? Il faut faire un effort pour repartir s'occuper de gamins qui s'en moquent éperdument.

- Ouais, c'est vrai, répondit-il. Je vais quand même m'occuper un peu.

Il rédigea un message téléphonique sous le regard interrogatif de la fille.

Moins de cinq minute plus tard, Julie entra dans la salle des professeurs. Son cœur s'affola un peu plus quand elle vit Jennifer. Elle connaissait peu la rouquine. Elle la croisait de temps à autres car Jennifer enseignait en remplacement dans plusieurs établissements.

Le SMS avait transporté la blonde dans l'enfer de la peur : « Tout de suite, salle des profs, présentation, fellation ». Elle était sortie en vitesse de sa voiture dans laquelle elle mangeait pour éviter les salles communes et avait couru jusqu'au lieu de convocation.

Elle s'approcha tout de suite de François, se mit à genoux, prononça la maudite phrase de présentation en bafouillant.

- Moi... La bizute Julie, je me mets... à vos ordres monsieur François, mon... mon maître vénéré.

Il sembla l'ignorer en continuant à lire son journal. Julie fila sous la table, dégrafa le pantalon, sortit la queue déjà un peu raidie, la prit en bouche. Elle commença son travail avec révulsion.

Jennifer fut tout à fait étonnée. Elle avait évidemment entendu parler du bizutage des professeures mais ne l'imaginait pas à ce point, n'imaginait pas qu'il pût être autant sexuel. Elle ressentit une terrible peur, peur de devoir un jour se trouver dans la même situation que Julie la blonde. Au cours de ses études, elle avait pu éviter tout bizutage.

- C'est... c'est le bizutage, demanda-t-elle à François, j'ai entendu parler de ça?

- Et oui ma belle, on a décidé d'instaurer le bizutage des professeures, histoire de les aider à s'intégrer dans l'équipe. Julie a été la première. Elle progresse bien. Maintenant elle suce sans râler, bien profond dans sa gorge.

Pendant qu'il parlait, son sexe durcissait.

- Très bonne idée, répondit Jennifer à la grande surprise de Julie qui n'avait que la bouche obstruée, pas les oreilles. J'aimerais bien en profiter moi aussi. Je pourrais François?

- Ouais, bien sûr, faut bien apprendre, faut bien se soumettre, faut bien souffrir un peu, faut bien montrer son cul, faut bien sucer à fond... faut bien... ahhhhhhhhh

Il cracha son foutre dans la bouche de Julie.

- Putain, la pipe, c'est vraiment ce qu'il y a de mieux! Vous devez aimez ça vous les gonzesses.. Remarque on s'en fout que vous aimiez ou pas... Essuie bien Julie et fous le camp montrer tes fesses à tes élèves.

Lorsqu'elle sortit de sous la table, elle était rouge de honte et de dégout. Elle n'aimait pas du tout le goût du sperme, encore moins dans de telles conditions. Jennifer la fit venir à ses côtés.

- Tu n'aurais pas oublié de me saluer, bizute Julie? Il me semble bien que si.

La blonde se mit à genoux immédiatement et prononça sa phrase obligatoire à l'attention de la rousse qui aussitôt lui envoya une claque violente sur la joue droite.

- La prochaine fois, tu ne m'oublies pas sinon gare à tes fesses!

Elle appuya son ordre d'une seconde claque sur l'autre joue avant de laisser Julie sortir.

- Merci François de me laisser profiter du bizutage, j'adore. Bon je vais en cours. A bientôt.

Jennifer n'était pas fière de son comportement. Elle jura de parler à Julie au plus vite pour lui expliquer qu'elle avait tellement peur d'être victime qu'elle avait choisi de se placer en bourreau.

MARDI

/JULIE /AMELIE /ELISABETH /LE PROVISEUR /DORON

Elles se trouvaient toutes trois, debout, au garde-à-vous, alignées devant le bureau du proviseur. Le petit homme rond semblait les ignorer et travaillait ses dossiers avec les lunettes posées sur le bout du nez. De temps à autres, il levait la tête pour vérifier que toutes tenaient bien la position ordonnée. Elisabeth RAMPLANT vivait très mal cette situation qui touchait sa fierté ; les deux autres baissaient la tête, plus résignées. Cela dura bien un quart d'heure avant que le proviseur ne daigne se manifester.

- Mesdames... maintenant... écartez les pieds... vingt centimètres! Un peu plus RAMPLANT!... Maintenant... accroupies... oui, oui, tenez-vous accroupies... écartez les genoux.

Amélie, déjà entièrement nue, plia les jambes lentement. Julie en fit de même. Le proviseur admira les deux chattes qui semblaient s'ouvrir sous l'effet de la position. Elisabeth, à son tour, plia les jambes. Les boutons de la jupe cédèrent à la tension et tombèrent au sol. La touffe noire entre les jambes formait une boule touffue suspendue au corps.

- Parfait, reprit le proviseur. Nul doute que cette position va vous faire souffrir. Alors par mansuétude, j'accepte que vous vous releviez mais à une condition : avoir vidé votre vessie par terre, vidé complètement! Celle qui quittera sa position sans avoir pissé, qu'elle se relève ou chute, sera punie très sévèrement... punie devant les élèves. Est-ce clair mesdames?

Comme aucune ne répondit, il reposa sa question en criant. Elles répondirent.

Commença alors pour elle un long moment de douleur et de solitude. Le proviseur, qui avait sorti sa queue derrière son bureau, se demandait laquelle lâcherait la première, laquelle perdrait son équilibre la première.

Quand trois coups cognèrent à la porte, trois cœurs sursautèrent d'angoisse. DORON, l'homme chargé de l'entretien, fit son entrée après que le proviseur l'eut autorisé. Il ouvrit de grands yeux de surprise, éclata de rire et vint admirer le spectacle aux côtés du seigneur des lieux.

Amélie perdit sa fierté la première. Il faut dire qu'elle se sentait dans une sorte de léthargie sexuelle depuis qu'elle vivait toujours nue, au lycée sous son manteau, dans sa maison et même dans la rue pour entrer ou sortir de chez elle. Elle voulait en finir au plus vite aussi laissa-t-elle l'urine couler bruyamment sur le carrelage. Elle eut les jambes et les pieds éclaboussé par le jet puissant et abondant. Elle se releva aussitôt, les muscles douloureux.

- Oh putain, s'exclama DORON, elle pisse la salope! Eh, monsieur le proviseur, je m'occupe de l'entretien, d'accord, mais je ne vais pas ramasser toute cette pisse!

Julie suivit son exemple. Hélas pour elle, le jet fut abondant. Quant à Elisabeth, elle résistait, pleurait sa rage et sa douleur. Elle manqua de tomber en avant mais se retint in extrémis avec sa main au sol. Finalement, les deux hommes eurent le loisir de voir les poils noirs frisés s'humidifier, s'allonger, laisser couler quelques gouttes, puis un beau jet entre les jambes. Cela excita tant le tortionnaire qu'il éjacula sous le bureau en devenant rouge de plaisir.

Il reprit rapidement ses esprits en voyant les trois proies debout devant le bureau.

- Mesdames, vous n'êtes que des cochonnes! N'est-ce pas DORON qu'elles ne sont que des cochonnes?

- A coup sûr proviseur. Quel tableau! Et toute cette merde par terre. C'est pas moi qui vais la ramasser!

- Mesdames, vous avez entendu notre monsieur « propre »? Pas question de laisser cette soupe par terre. Vous allez nettoyer vos cochonnerie. Compris?

Seule Amélie répondit difficilement :

- Oui monsieur... le proviseur... Je vais chercher une serpillière.

- Reste là conasse. A genoux, toutes les trois! La serpillière, vous l'avez sur vous, c'est votre langue... Et oui, vous allez me laper toute votre pisse!... Allez au boulot... Celle qui en laissera donnera son prochain cours complètement à poil.

Résignées mais surtout affolées par la menace, trois têtes se penchèrent jusqu'au sol et trois langues commencèrent à lécher le carrelage. Leur dégout était incommensurable, tout autant que leur honte.

DORON vint se placer dos aux filles pour admirer les trois culs nus d'autant plus relevés que les bouches collaient le sol. La chatte de Julie s'ouvrait sur des poils blonds éparses ; celle d'Amélie, rasée, avait des lèvres épaisses ; celles d'Elisabeth se perdait dans la crinière noire. Il vint se placer à genoux derrière Amélie, empoigna les hanches et l'enfourna en une seule saillie. Elle cria mais continua à lécher au rythme des poussées de DORON. Julie et Elisabeth, respectivement à gauche et à droite de l'enculée, se sentirent percée analement par les majeurs de DORON.

JEUDI

JENNIFER RASPET /THOMAS /TROIS ELEVES

Jennifer RASPET venait de jouer au basket avec les élèves et avait besoin de se rafraichir. Les filles avaient quitté la salle de douches quand elle déposa ses vêtements sur un banc. Le lieu était réservé au sexe féminin, les garçons avaient leur propre salle avec des douches communes tandis que les filles avaient droit à cinq cabines individuelles devant quelques sièges. Elles ne s'y pressaient guère trop inquiètes de se faire mater par des garçons indélicats. Mais Jennifer ne le craignait pas car elle pouvait fermer à clé la porte de la salle.

Jennifer entra dans une des cinq petites cabines. Elle laissa couler l'eau chaude sur son corps mince, savourant ces instants de paix avec toutefois un léger trouble dû à cet endroit pas vraiment habituel. Elle savonna ses cheveux courts, ses aisselles. Elle frotta activement sa vulve épilée. Son copain, un jeune informaticien de 10 ans son cadet, adorait la douceur d'une chatte sans poils.

Depuis lundi, elle avait eu le temps de penser à son nouveau statut de bizuteuse, situation qu'elle n'avait jamais connue auparavant. Elle devait donner le change au vrais bizuteurs faute de quoi elle pourrait elle-même se trouver en danger. Aussi avait-elle décidé de gifler systématiquement Julie pour ne pas l'humilier sexuellement. Il fallait qu'elle la prévienne au plus tôt. Décontractée et forte de son plan d'action, elle sortit de la cabine de douche.

Elle eut un haut-le-cœur lorsqu'elle constata que la chaise sur laquelle elle avait posé ses vêtements était vide. Les bancs aussi qui s'alignaient le long des murs du vestiaire étaient vides de tout vêtement. Seul restait son téléphone sur une chaise. Elle jeta un œil dans le couloir et constata que la porte n'était plus fermée à clé. Quelqu'un l'avait donc ouverte, la portant ainsi au risque de tout élève ou professeur! Le long couloir était désert en cette fin de journée. Elle décida d'appeler à l'aide auprès du secrétariat du lycée.

- Allo? Madame RUFLE? Bonjour, c'est Jennifer. Excusez moi de vous déranger mais J'ai besoin de votre aide. Je suis à la salle de douche des filles et figurez-vous que l'on m'a volé mon sac de vêtements! Pourriez-vous me trouver un survêtement ou une robe? Je suis nue, je ne peux pas sortir comme ça.

La voix masculine qui répondit la cloua sur place. Dans son empressement, elle n'avait même pas attendu la réponse de madame RUFLE avant d'expliquer sa situation.

- Bienvenue chez les bizutes Jennifer RASPET. Comme tu as demandé toi-même à profiter du bizutage, nous avons accepté d'exhausser ton vœu.

- Mais... mais non, je voulais bizuter pas être bizutée! Tu n'as pas compris, Thomas. Je suis des vôtres, une ancienne. Rends-moi mes vêtements.

- Il n'en est pas question, Jennifer. Tu est devenue la bizute rousse. On avait une blonde aux gros seins, une brune au gros cul, une grande à la grosse touffe, on a maintenant une rousse. Ca manquait à notre cheptel. Toi tu seras la bizute rousse rasée. Ouais rasée. On ne veut plus voir un poils sur ta chatte et ton trou du cul.

- Pas question Thomas! Pas question! Tu me rends mes vêtements ou je dépose plainte, hurla-t-elle, furieuse et affolée.

- Comme tu veux, répondit Thomas mais avant d'aller à la police, dis-moi... quel âge a ton copain? Ouais, tu sais celui qui est en terminale au lycée privé? Le jeune blondinet... le très jeune blondinet, je dirais. Es-tu certaine qu'il soit majeur? Je ne voudrais pas que tu sois prise dans un cas de détournement de mineur. Surtout pour un prof, ce sont des circonstances aggravantes.

Elle accusa le choc par un long silence que Thomas interpréta comme un consentement pas encore formulé. Elle avait toujours su qu'elle prenait des risques à côtoyer un mineur, mais amour oblige, elle n'avait pas été capable de résister. Elle ne douta pas que Thomas et ses sbires n'hésiteraient pas un instant à la dénoncer. Elle tenta quand même :

- Thomas, tu ne peux pas me dénoncer! Pas toi, un collègue depuis trois ans. Ce serait vraiment dégoutant.

- Tu choisis, RASPET : soit tu deviens notre quatrième bizute, soit tu entres dans les mailles de la justice. Fais-moi confiance, nos mailles à nous sont bien plus sympas que celles des tribunaux. Si tu te plies à nos désirs, tu n'iras pas au trou pour détournement de mineur... disons que c'est nous qui irons au trou, mais au tien!

Il éclata de rire, sachant la partie gagnée. Il poursuivit avec un ton rude.

- Alors, ta décision? Je n'ai pas de temps à perdre.

- C'est... C'est d'accord, répondit-elle pour ne risquer ni sa carrière, ni l'avenir de son jeune amoureux.

Particulièrement satisfait de sa victoire, il voulut la terroriser plus encore.

- C'est un bon choix, Jennifer. Bien sûr, tu vas devoir nous obéir comme toute bonne bizute. On va t'élargir un peu ; c'est dur au début mais après tu en redemanderas. Ton petit copain pourra profiter de ton anus dilaté. Il faudra aussi que tu passes du temps à poil. Tu sais, la vraie tenue de bizute, c'est à poil pour montrer son obéissance à ses maîtres... A ce propos, il te faut désormais une tenue de soumise...

Il avait réussi son coup car elle pleurait en silence, épouvantée par ce sombre avenir.

- Viens me rejoindre au secrétariat, on va voir ça de près.

- Mais... mes vêtements... je... s'il te plaît?

- A poil RASPET! Tu viens à poil et tout de suite, répondit-il sur un ton brutal.

Elle n'avait même plus sa montre pour vérifier l'heure et savoir si les élèves avaient déjà quitté l'établissement. Elle passa une tête dans le couloir. Il était vide. Elle s'y engagea en courant. Au bout, même procédé pour le couloir suivant, encore vide. Au dernier couloir, elle vit que trois élèves, trois garçons, se trouvaient devant le secrétariat. Elle pensa attendre leur départ mais elle entendit des pas dans son dos. Faute de choix, elle se lança vers la cible, une main pour cacher son sexe, l'autre ses seins. Totalement honteuse, elle entra dans le bureau sous le regard pour le moins surpris des trois jeunes hommes.

- Te voila enfin, tonitrua Thomas, pose tes nichons sur le bureau, écarte les jambes et attends là. Je dois m'occuper des élèves d'abord.

Elle n'osa rien quémander, la partie était perdue. Si elle voulait sauver sa carrière et son amant, elle devait obéir. Elle l'entendit faire entrer les élèves.

- Mais, c'est mademoiselle RASPET, demanda l'un d'eux?

- En effet, répondit Thomas triomphant, c'est bien elle. Y en a un parmi vous qui veut l'essayer?... Toi? Parfait, te gêne pas, elle n'attend que ça. N'est-ce pas Bizute RASPET que tu aimes te faire enfiler? Réponds à tes maîtres!

Elle répondit en un soupir tout en sentant une verge se coller à sa chatte rasée.

- Réponds mieux que ça Bizute, plus fort!

- Oui, j'aime... je... j'aime me faire... enfiler.

Et c'est ce qui lui arriva quatre fois en quelques minutes. Les hommes étaient trop chauds pour tenir longtemps. Quand elle eut l'autorisation de se redresser, elle présenta son visage démaquillé et pleurant aux yeux des violeurs. Le chef d'orchestre prit la parole.

- Jennifer RASPET, c'était ta séance d'intromission au sein du team des bizutes du bahut. Il te faut maintenant une tenue. Voyons...

- A poils, Msieur, dit l'un des élèves, tout le temps à poil au lycée. Ce serait vachement bien

- Vos gueules, reprit Thomas. C'est moi le patron ici. Dégagez, vous m'énervez.

Ils sortirent tête basse tandis que Jennifer devait baisser la sienne pour engloutir la queue de Thomas qui reprenait de la vigueur. Elle tremblait en attendant la décision.

- Comme tu n'as pas de nichons, on va te faire porter des chemisiers transparents, vraiment transparents, il faut qu'on voit tes bouts.

La queue durcissait et le bassin de l'homme allait d'avant en arrière dans la bouche.

- Comme tu as des fesses de sportive, tu vas les montrer sous un petit short, un très petit short. Un truc en jean, bleu. Il faut qu'il ne couvre que la moitié de tes fesses, pas plus.

Il accéléra son mouvement et tint la tête de Jennifer bien empalée.

- Pas de culotte, j'veux pas de culotte... Putain, t'es une bonne suceuse... Mets-moi un doigt dans le cul... Ouais... Demain, avant tes cours, tu iras te présenter au proviseur... Te présenter comme bizute... oui continue... Ohhhhhhhhhhh.

VENDREDI

JENNIFER RASPET/PROVISEUR

La malheureuse Jennifer fit son apparition dans le lycée à 10h45 car son premier cours n'avait lieu qu'à 11h. Il y avait du monde, beaucoup de monde, les sifflets ne manquèrent pas ; nombreux comprirent que l'établissement comptait une nouvelle bizute.

- Entrez, Mademoiselle RASPET, entrez donc, dit le proviseur avec un ton de voix plus sirupeux que jamais. Oh, mais que vous arrive-t-il? Qu'est-ce que cette tenue! Vous êtes devenue exhibitionniste?

- Eh... non... je... je suis... bizute.

- Bizute! Oh, quel dommage pour vous, ma pauvre Jennifer. Je vous plains.

Elle pensa qu'il n'était pas informé des méthodes de ses pairs, aussi, debout devant son bureau, elle osa une requête.

- Aidez-moi, monsieur le proviseur, dites-leur d'arrêter ce jeu, je ne suis plus une nouvelle, vous comprenez. En plus c'est interdit par la loi.

- En effet, je comprends mais votre tenue, ça va... Tournez-vous.

Elle lui présenta son short taillé tellement haut sur les fesses.

- Devant, c'est acceptable mais derrière, c'est outrageant, dit-il sur un ton de réprobation. Vous n'avez pas honte de venir ici comme ça? Vous êtes une cochonne.

- Mais... mais je... je n'ai pas le choix, se défendit-elle en se tournant vers lui. Je suis obligée! C'est un ordre! Bizutée, vous comprenez ce que ça veut dire?

- Tournez-vous, je ne vous ai pas dit de changer de position!... Oui, vos fesses bronzées... Je ne peux pas intervenir mademoiselle RASPET. Je dois assurer la cohésion du corps enseignant et c'est certain, le vôtre, je veux dire, votre corps, va y contribuer. Je suis vraiment navré mais bizute vous êtes devenue et bizute vous resterez.

Abattue mais pas encore vaincue, elle allait faire face quand il intervint à nouveau.