Prise Dans Un Cercle Viceux 16

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Jacques se fait sodomiser.
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Récit n'a pas de balises

Partie 16 de la série de 17 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 12/11/2021
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Jacques ce fait sodomiser

Les voilà le lendemain, dans cette appartement qu'il connaît bien à présent, mais ou il doit de faire l'ignorant.

Ces dames se préparent en lui montrant toutes les tenues qu'elles ont emmenées. Il n'y en a pas qu'une seule. Elles décident de changer de vêtements à chaque-fois qu'elles décident de changer de partenaire.

On sonne à la porte.

Ces dames lui laissent ouvrir la porte afin de les accueillir. Une fois à l'intérieur, ils se présentent tous ainsi que le fameux Léon, pas très grand il est vrai.

Ces dames sont déjà dans le salon un verre à la main, prêtes à accueillir les hôtes. Nicole et sa copine de la plage sont vêtues d'une nuisette rose transparente, ultra courte et laissant apparaître poitrine et toison, le tout accompagné de chaussures à talon type salope... un vrai régal. Jacques tient son verre et il n'en croit pas ses yeux.

Sa Nicole accompagnée de sa copine se rapprochent de Léon, elles lui demandent de les prendre en photo souvenir. Léon est aux anges.

Arrive le moment ou ces dames décident de se changer pour aller taquiner leurs hôtes.

Tout le monde est détendu enfin pour l'instant et le rhum n'arrête pas de couler.

Au bout de dix minutes, ces dames reviennent.

La Nicole se rapproche immédiatement de Léon et le prend par la main en l'invitant à prendre place sur le canapé. Ces dames font pareilles de leurs côtés. Il n'y a que Jacques, seul un verre à la main.

Le Léon, ne perd pas de temps, en deux temps trois mouvements, il se retrouve en caleçon au côté de la Nicole. Ayant déplacé une de ses jambes sur celle de Léon, elle donne l'impression d'être ouverte aux désirs, Léon y porte immédiatement ses doigts, écarte le minuscule string pour faire apparaître son sexe rosé.

Léon commence à lui titiller son petit bouton, elle aime cela de toute évidence. Pas à un seul moment Nicole ne pose un regard vers son mari. Elle décide de jouer avec lui. À croire qu'il a en face de lui une inconnue.

Elle laisse Léon jouer avec ses doigts magiques. Il l'embrasse fougueusement, Jacques voit comme sa langue cherche celle de sa femme, une langue forte, bien baveuse. En moins de deux, elle se retrouve toute nue à ses côtés, il lui tripote ses seins d'une force, elle en prend un réel plaisir, bref, il n'est pas tendre avec elle et montre sa virilité d'homme.

Léon n'est pas grand, mais il soulève sa femme d'une facilité déconcertante pour l'emmener dans la petite chambre.

Jacques les suivit et il se met dans un coin de la chambre accroupi pour ne pas les gêner.

De son côté, sa femme a bien posé ses mains sur le torse de Léon. Il l'a dépose sur le lit et lui demande de se mettre à quatre pattes le temps pour lui de faire tomber son caleçon.

Un monstre, il en sort un monstre.

Jacques n'en revient pas. Une matraque de bien vingt-six centimètres et un bon six centimètres de diamètre. Léon est un vicieux, il sait que Jacques est son mari et il veut lui montrer le joli cul de sa femme et le gourdin qu'il va lui donner.

Cette image lui restera gravée à vie. Sa femme de son côté n'a encore rien vu, normal, elle est de dos. Jacques est au comble de son excitation.

Léon joue avec sa femme et surtout avec lui. Il le sait. Il prend son temps pour bien lui montrer que c'est sa grosse bite qui va s'enfiler dans le puits d'amour de sa femme.

C'est un sentiment étrange, entre gros plaisir et appréhension. Jacques bande à lui en faire mal...

Léon se place derrière elle, commence à lui lécher son minou à gros coups de langues, il lui bouffe littéralement la fente et cela, sans retenue.

Des gémissements commencent à se faire entendre. Il joue à ce petit jeu bien six minutes, sa moule est luisante, un mélange de salive et certainement de jouissance féminine.

C'est à ce moment qu'il décide de se mettre en position afin de présenter son gros calibre qui ne peut attendre plus.

La Nicole n'ayant toujours pas vu le moindre centimètre de cette queue gigantesque.

Pour Léon, elle est prête. Il avance son monstre vers l'entrée, joue avec les lèvres toutes humides afin de s'enduire le bout afin de lui faciliter le passage. Le voilà qui se présente... la Nicole penche son buste sur le lit par réflexe, Jacques voit les fesses de Léon qui se contractent, ses muscles fessiers poussent et voilà que la matraque se fait un chemin dans le sexe de sa femme.

Jacques voit les jambes de sa femme s'écarter, il pousse toujours, car la Nicole est certainement contractée, et d'un coup la totalité de son sexe rentre dans le puits d'amour de la femme....

Elle crie, elle râle, hurle, mais pas un hurlement de douleurs, plutôt roque, profond qui fait comprendre qu'elle vient de prendre en elle quelque-chose d'énorme.

Ce cochon se retourne vers Jacques et leurs regards se croisent. Il y a dans son regard un côté moqueur... il vient tout simplement de remplir le ventre de son épouse de son sexe énorme.

Ce vagin est logiquement que pour Jacques, mais depuis un certain temps, il est devenu celui d'autres visiteurs. Léon se met bien au fond dans le ventre de sa femme, il doit sentir sa chaleur. Jacques pense que comme elle est plutôt étroite il doit se sentir serré.

Pendant les dix premiers va et vient, Léon ne le quitte pas du regard. C'est à croire qu'il prend plus de plaisir à deviner son émotion, de voir son excitation, lui tout seul accroupi dans un coin de ce chambre.

Il prend son temps, le salaud, une fois lentement, une fois rapidement, il joue avec le sexe de sa femme, c'est une évidence. La plus belle image qui restera à Jacques, c'est la capacité de sa femme à engouffrer un sexe de cette taille, elle aime ça la salope.

Cela faisait bien dix bonnes minutes qu'il bourre Nicole, Jacques se déplace autour du lit pour voir le visage de sa femme ravagé par le plaisir, Léon le suit du regard.

À plusieurs reprises, il voit les yeux de sa femme se révulser, elle ne le voit pas, elle ne l'entend pas. Ses râles remplissent la pièce tout entière.

Après cette étreinte, il reste quelques instants bien au fond de son vagin, certainement pour calmer la femme, elle se remet sur ses avant-bras et là Jacques a compris qu'elle en veut pour encore.

Léon n'attend pas plus longtemps. Il se lance dans un va-et-vient mélangeant force et douceur. Il ne faut pas plus de deux allers-retours pour entendre sortir de la bouche de la femme des râles de plaisirs. Jacques voit également les premières traces de liquides blanchâtres se positionner autour du sexe de Léon.

Ce sexe noir au départ est à présent recouvert d'une crème blanche tellement il l'a fait jouir. Et cela dure, dure.

Jacques prend son sexe dans sa main, il se met à se masturber au même rythme que Léon, mais il part en vrille alors que Léon continuait à labourer le cul de sa femme. Après une forte accélération, il se retire et plusieurs jets puissants sont allés directement sur le dos de sa femme, il aurait pu en remplir un demi-verre à moutarde.

Sa femme retombe de tout son poids sur le lit, épuisée, sa fleur d'amour est d'un rouge intense elle est grosse, très ouverte.

Lorsque Léon quitte la chambre, sa copine de plage arrive et lui demande de continuer le jeu, il faut qu'elle change de vêtements, car un autre martiniquais veut également la prendre.

Elle ne met qu'un collant noir ouvert entre les jambes, elle n'a pas vraiment toute la force pour se lancer dans un relookage complet.

Un autre black avec une queue un peu bizarre, grosse, pas aussi grosse que celle de Léon, mais difforme avec un penchant vers la droite. Il prend Nicole par l'épaule, il lui donne l'ordre de se coucher sur le dos.

Une fois chose faite, il enjambe le corps de la nicole et se place assis au niveau de son ventre.

À ce moment précis, elle voit son membre. À son regard, Jacques comprend qu'elle est étonnée, presque effrayée. Même en rêve, on pense qu'elle n'imagine pas cela.

Il présente immédiatement son sexe et la force pour qu'elle le prenne en bouche, ce qu'elle fait bien entendu. De l'autre main, il s'approche du puits d'amour de Nicole, joue avec quelques instants puis lui enfonça trois doigts dans le puits, elle est encore toute mouillée et il n'a aucun mal.

Il bouge activement sa main dans le puits de la femme, des gémissements commencent à se faire entendre. Il traite de blanche salope à blacks, qu'il va la faire gueuler et que tout le quartier va l'entendre.

Il récupère à côté de lui un flacon de lubrifiant, il en applique largement sur sa main et le sexe de la Nicole. Jacques ne voit pas bien ou il veut en venir, il l'excite avec sa main en lui appliquant de grandes secousses.

La copine de la plage rentre à nouveau dans la chambre, elle se rapprocha de Jacques. - Alors tu aimes voir ta femme se faire prendre par ces blacks? Lui tu vois, il aime deux choses ; la sodomie et le fisting. Je crois que ta femme va goûter aux deux et en plus il sait faire les deux en même temps! Regarde bien.

Jacques vient de comprendre son jeu.

Il n'arrête pas de lubrifier la fente avec ses doigts et de sa main, sa femme semble plutôt apprécier.

Seul son pouce reste pour l'instant à l'extérieur de la fente de la Nicole, mais il la travaille au corps, il écarte ses doigts, bouge dans tous les sens et le voilà qui essaye au bout d'une bonne dizaine de minutes de rentrer son pouce? Nicole se tend et voila, il a rentré sa main jusqu'au poignet. La femme est tendue, il y a de quoi, elle a accepté la main entière dans son puits d'amour.

À présent, il la ramone d'une main de fer, on passe du gémissement au râle profond. Elle essaye de répondre son souffle, mais il maintient sa queue dans sa bouche.

C'est un barbare et il prend un sacré plaisir le dominateur. Jacques est stupéfait par la vigueur de sa femme. Il voit son puits d'amour totalement dilaté, l'autre fouille sa femme comme s'il cherchait un trousseau de clé dans un sac, il en ressort sa main, joue avec son clitoris et replonge dans son vagin et à chaque fois, sa femme se cambre de plaisir.

À bout d'un moment, il prend une autre position en se mettant cette fois ci entre les jambes de la femme, il la sent, la renifle. La Nicole est encore toute haletante.

Jacques voit ses grosses lèvres se rapprocher non pas du sexe de sa femme, mais de son anus. Il commence à lui couvrir son trou de balle avec sa langue bien baveuse.

Nicole prend ses jambes avec ses mains afin de bien écarter son entre-jambe. Encore une position qu'elle apprécie... Que Jacques découvre, car jamais il s'est lancé dans ce type d'exercice. Encore une leçon...

Sa langue de l'autre est puissante, il la lui fourre dans son petit jardin secret. De temps en temps, un petit, non un gros doigt vient également jouer avec sa fleur largement épanouie.

Jacques se dit sur le moment, que si ce morceau doit fouiller l'anus de sa femme, il va falloir que l'autre y mette de la patience et du doigté.

Nicole est vraiment devenue son objet, son jouet et elle se laisse totalement faire, la tête dans les coussins et pas un seul regard vers son mari. Il n'existe plus.

L'autre prend réellement son temps, l'anus de la femme est reluisant, couvert d'un mélange de bave et de lubrifiant. Il colle ses grosses lèvres dessus et l'aspire très fortement.

À présent, il y plonge deux doigts, puis vient un troisième... Il la fouille, fait tourner ses doigts dans le jardin secret de la femme.

Il se place derrière la femme, elle, le cul bien en l'air, offert à de nouveaux jeux. Il approche sa queue tout doucement, jouant avec l'anus de Nicole, il joue avec, enduit son sexe avec le mélange salive et de lubrifiant qui est tout autour de la petite entrée de ses reins. Il approche son gland, l'applique sur l'entrée convoitée. Jacques voit sa femme descendre son buste sur les draps et serrer dans ses mains les draps du lit, elle doit se préparer psychologiquement.

La pression est de plus en plus importante, Jacques voit son anus se dilater et la première moitié du gland plonger dans l'inconnu.

Lorsque son gland est totalement absorbé, la femme a un geste vers l'avant, Jacques pense que ses muscles viennent de se détendre, car la queue s'enfile tout naturellement sans rencontrer la moindre résistance. Le chemin est à présent fait. Toute sa queue est à présent rentrée jusqu'à la garde.

Les mains de la femme serrent fortement les draps, parce que l'autre part dans un va-et-vient énergique. Jacques n'entend pas le même type de râle que précédemment. Cela ne doit pas être le même type de jouissance. En s'approchant du lit, il peut voir le visage de sa femme, les yeux fermés, la bouche grande ouverte avec un large filet de bave mouillant le drap.

L'autre n'arrête pas de la pilonner. Il se penche sur le dos de la femme et commence à toucher sa fleur avec ses mains. La femme lâche immédiatement les draps de ses mains pour les porter sur les mains de son baiseur. Certainement pour calmer son amant ou peut-être protéger son puits déjà largement rougi par ses précédents assauts.

D'ailleurs il ne va pas plus loin dans son délire. Jacques pense à une sodomie plus un fisting mais il a compris que sa femme reprend le sens de son plaisir, elle n'est pas prête là, à cet instant à accepter une main entière en plus dans son puits d'amour. Elle veut reprendre les commandes tout en se faisant pilonner l'arrière-train.

L'autre remarque son refus. Il soulève la femme en la prenant par les épaules, sans sortir son sexe, bascule avec elle sur son dos. Il désire à présent voir son cul monter et descendre sur son calibre.

C'est à ce moment que Jacques voit le sexe de la femme bien rouge et enflé, il comprend son précédent refus. Son sexe doit être hyper sensible.

C'est à présent elle qui s'active sur ce bâton de berger et elle aime cela profondément.

Après quelques mouvements, il l'a renverse sur le côté et la prend à nouveau profondément.

Jacques réalise soudain que son sentiment dominant est une intense excitation à la vue de ce spectacle insolite, de la voir ainsi pénétrée par un autre l'excite au plus haut point. Son sexe lui fait mal à force d'avoir été privé d'une éjaculation, c'est presque sans le réaliser que sa main l'a libéré de son pantalon et a commencé une lente masturbation, suivant malgré lui le rythme de Léon dans l'anus de Nicole.

Un bruit dans son dos le fait se retourner. La copine vient de revenir. Dans son état de rut proche de la folie, Jacques la trouve effroyablement sexy. Elle s'avance lentement vers lui, elle saisit son sexe vibrant dans ses mains en fixant ses yeux dans les siens. Doucement, elle le retourne vers le lit pour qu'il puisse à nouveau contempler le spectacle de sa femme qui, savoure toujours la sodomie effrénée de Léon.

Sa main par contre n'a pas abandonné son sexe, il savoure cette délicate masturbation dont le rythme calque assez précisément celui de Léon dans les fesses de Nicole.

-Vous voyez, hein, murmura-t-elle à son oreille, les fesses de votre femme avec une verge qui ne vous appartient pas... Ça vous excite n'est-ce pas?

- Oui... Oui... Ça me fait plaisir de la voir se faire bourrer le cul par un autre mec, ma Nicole... Continue de me branler, ça m'excite...

Le fait même de prononcer ces phrases l'excite, Jacques a envie de continuer pour augmenter encore son plaisir, de renchérir. Mais il sent l'autre main de la copine se glisser à nouveau dans son pantalon, plongeant cette fois-ci vers ses fesses. Elle a bientôt l'entière possession de l'intérieur de son caleçon, il sent ses mains s'alterner entre son sexe, ses bourses et la raie de ses fesses. L'une de ses mains s'y attarde, il sent bientôt l'un de ses doigts se présenter avec insistance à l'entrée de son anus.

Jacques n'a jamais eu de relation anale, il a déjà ressenti ce genre de caresse avec Nicole. Cependant, la situation est tellement irréelle, son excitation tellement intense, que l'idée lui semble à présent très désirable. Jacques cambre presque malgré lui ses fesses en arrière, il sent un spasme de douleur lorsque le doigt s'est enfoncé en lui, suivi presque aussitôt d'une étrange chaleur. Le doigt commence un lent va-et-vient dans son anus, accompagnant les mouvements de la main qui n'a cessé de le masturber. Jacques sent bientôt une sensation vraiment agréable qui lui vient semble t-il de la base de son sexe. Il a l'impression que la masturbation se prolonge sous sa peau, comblant les moindres récepteurs de son sexe d'une façon inégalée jusqu'à présent. Jacques pousse une sorte de soupir à mi-chemin avec un gémissement, il s'est lentement penché en avant pour permettre un meilleur accès à la copine de plage.

Devant lui, Nicole et Léon continuent leur lent ballet. Jacques entend vaguement la Nicole supplier Léon d'accélérer et ses moindres couinements amplifient encore son excitation. Une nouvelle douleur à son rectum l'informe qu'un second doigt vient de rejoindre le premier. Jacques est à présent penché en avant, dans une position qui commence à ressembler à celle de sa femme, il sent son bassin bouger pour accompagner les mouvements que sa voisine impose au gré de sa sodomie.

-Tu aimes ça, toi aussi, hein? Tu n'as jamais été enculé, hein? Lui souffle-t-elle.

-Non, non vas-y à fond, grogne Jacques... - Encule moi? Hein, Oui, encule moi, comme ma femme se fait enculer, là...

Jacques pousse un soupir de plaisir en sentant un nouveau doigt s'insérer dans son corps. Les mains de sa voisine sont fines et délicates, mais malgré tout une sourde douleur commence à monter de son rectum qui accueille de plus en plus de doigts. Mais ceci n'est rien face à l'immense plaisir que lui communique tout son sexe, les doigts dans son anus prolonge la masturbation que son sexe subit à l'extérieur. Jacques commence à ruer pour mieux enfoncer ce qui est peut-être la main tout entière de sa voisine en lui, essayant en même temps de profiter au maximum de la masturbation.

Jacques est désormais quasiment à quatre pattes, s'appuyant sur le chambranle de la porte et se cambrant autant que possible pour faciliter le travail de sa tortionnaire. En laissant pendre sa tête, il peut voir sa main traire doucement son sexe, tandis qu'il devine son avant-bras qui semble bel et bien enfoncé jusqu'au poignet en lui.

Regardant à nouveau devant lui, il peut se délecter du spectacle de sa Nicole, qui est à présent allongée par terre, les fesses relevées, ses jolies jambes galbées se tendent de leur mieux pour offrir un accès idéal au sexe de Léon. Jacques entend Nicole gémir presque en continu à présent, accompagnant de son bassin les mouvements de son amant dans son petit trou. Jacques l'entend aussi lui parler, d'une voix stridente d'excitation, mais il n'arrive plus à comprendre ce qu'elle dit. Lui-même balbutie des mots sans suite, implorant sa partenaire de continuer, d'aller plus loin, plus profond en lui, qu'il aime ça...

La copine a à présent abandonné son sexe, se consacrant uniquement à son anus et ses bourses. Jacques se sent se tendre infiniment, jusqu'à ce qu'enfin son plaisir se décharge dans un unique jet, qui semble ne jamais devoir s'arrêter. La tête en feu, il regarde sa femme se trémousser, visiblement en proie à un orgasme, elle aussi.

Jacques reste comme écrasé, à genoux sans force, après cet orgasme tant attendu. Il ne sait pas précisément combien de temps s'est écoulé, ni même ce qui s'est passé autour de lui.

Comme Jacques est de dos, une main inconnue se pose sur son épaule. C'est un autre black qui vient de rentrer dans la chambre.

Il lui fait signe de venir vers lui apparemment il a quelque chose à lui dire. Il approche sa bouche de son oreille et lui dit :

- Alors! Elle est bonne cette blanche? Jacques a du mal à le comprendre d'ailleurs, il empeste le rhum à plein nez.

Celui qui baise sa femme se retourne et lui dit qu'il faut qu'il lubrifie sa queue, car sa femme est du type cul serré.

Jacques vient de comprendre que c'est lui qui va se faire la femme dans un second temps. L'autre hoche de la tête et sans aucun tabou, il lui présente son sexe devant sa bouche tout en lui tenant la tête. Jacques ne comprend pas tout de suite son intention? Cela ne dure pas longtemps. Il veut qu'il le suce.

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