Prise Dans Un Cercle Viceux 14

Informations sur Récit
Nicole devient chienne.
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Partie 14 de la série de 17 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 12/11/2021
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Nous retrouvons notre Nicole dans la chambre de son amant sur le matelas. Elle reste inerte, allongée, une jambe fléchie, un bras lui couvrant les yeux, les cheveux ébouriffés, haletante. Elle tente de reprendre pied, elle a besoin de récupérer.

- Hé bien, ce qu'on t'as mis ! Es-tu morte?

Nicole essoufflée peine à répondre :

- Ah la vache, j'en peux plus!

- Va falloir t'en remettre parce qu'on n'a pas fini la soirée.

- Mais j'ai la tête qui tourne, vous allez me tuer!

Jacques l'interpelle.

- Ça t'as plu à ce que je vois, elles sont bonnes nos bites?

Elle a toujours les yeux fermés.

- C'est trop bon, je ne crois pas avoir déjà joui autant comme ça.

Max renchérit.

- C'est une bonne soirée hein ? Tu es une bonne chienne qu'aime la bite toi. Tu es servie ce soir hein ?

- Tu m'étonnes, j'en peux plus, mais c'est trop bien. Jacques intervient :

- Je pensais que tu étais une épouse sage, je me suis bien trompé.

- Je le pensais aussi, cependant c'est récent tu sais.

- On dirait que tu es une vraie pro. Nicole sourit les yeux toujours fermés.

- C'est Karim qui m'a dévergondée, il m'a fait goûter à sa grosse bite et depuis je ne peux plus m'en passer. Mais aujourd'hui je ne sais pas ce que j'ai, mais j'ai le feu au cul, j'ai envie encore envie de me faire baiser? Dis-moi ce qu'il y a dans ton truc demande Nicole.

Karim en rajoute une couche.

- J'ai mis du Bois Bandé dans ta boisson ça donne de la vigueur aux hommes et aux femmes l'envie de faire l'amour pour que l'on puisse te baiser toute la soirée! Jacques n'était pas prévu. Mais je crois qu'il aime te voir te faire baiser. Faut dire aussi que tu adores ça, hein?

Nicole se sent mieux, elle s'est calmée, son esprit s'est éclairé. Elle se tourne sur le côté leur faisant face. D'un grand sourire, elle assume :

- C'est vrai mon chéri? Tu apprécies voir me faire baiser par d'autres? Je me ferais baiser par tout ce que tu veux. Moi, j'adore ça désormais!

Devant son aplomb et son sourire, les trois mecs se mettent à rire, Nicole entraînée rit aussi de bon cœur. Max plaisante.

- Et t'adores quoi? Sucer? Dans le cul? Dans la chatte? Elle ne se démonte pas.

- C'est la bite et le sperme que j'adore donc peu importe où on me la mets, j'adore tout, j'avale tout.

- Et là t'en veux encore?

- Là maintenant? Oui! Attendez un peu! Mais vous êtes encore capables de bander?

- Ça, c'est ton job de nous faire bander, si ça ne marche pas, c'est que tu es nulle!

- Bon allez salope! Bouge ton cul, on est chaud là! Bois ça pour te requinquer un peu, je te l'ai réservé exprès!

Jacques lui tend le verre de foutre refroidissant, mais elle a encore la tête qui tourne après le dernier assaut.

- Encore une minute, s'il te plaît mon chéri...

- Allez salope! Écoute ton Mari! Bois ta boisson énergétique et viens nous sucer, tu nous as promis une triple, il faut nous mettre en condition là!

Sûr, elle ne peut pas refuser une bonne dose de foutre, mais là ils l'ont vraiment secouée. Courbaturée, le cul en feu, les épaules endolories par les clés de bras, elle tente de se relever, mais sa tête tourne et elle retombe instantanément sur son cul. Elle se ressaisit, remet ses cheveux derrière les épaules, comme un réflexe, elle se dirige à quatre pattes, comme une bonne chienne, vers ses mâles en rut.

Elle ne remballe pas ses seins afin de rester dans son rôle de la bonne femelle. Elle arrive vers la table basse et s'empare du verre de sperme. Enfin, elle s'assoit en bonne geisha, les fesses sur les talons et d'un regard gourmand vers les trois mâles de sa soirée, elle déglutit le liquide visqueux avec envie. Cette consistance, l'odeur âpre associée avec le sexe intense de ces dernières heures, tout lui plaît comme elle vient de leur dire.

Le spectacle de cette salope est suffisant pour redonner la forme à son mari, mais il en faut beaucoup plus pour exciter ses deux autres amants. Il lui vient une idée en observant les longues canettes de bière. Elle en attrape une pleine, elle la lèche avec une perversité insoupçonnée jusqu'alors, même par elle. Elle la dépose sur le bord de la table basse juste en face de ses spectateurs, puis de nouveau à quatre pattes, elle fait le tour du meuble bas son regard fixé dans celui des hommes. Une fois en face d'eux, elle leur fait face, assise à même le sol, les jambes écartées. Elle appuie la paume de ses mains sur la bordure de la table, le sourire coquin en coin, elle se relève, la canette apparaît maintenant entre ses jambes.

-Vous voulez bander de nouveau? Est-ce que ça va vous faire durcir les gars ?

Elle attrape ses lobes fessiers, les écarte et pousse pour rouvrir ses sphincters toujours endoloris par la friction des sodomies précédentes. Le contact froid de la canette humide sur sa pastille ouverte lui procure un frisson incroyable sur tout le corps, jusqu'à la pointe de ses seins de nouveau durcis. Elle s'assoit, se force à s'empaler sur l'objet cylindrique, elle relève la tête, ferme ses yeux, se mord la lèvre inférieure.

-OUUUUFF... VAAACHEE! C'est large, RROUUFF!

La fraîcheur de la canette n'arrange rien, son anus se rétracte et les frottements réveillent les douleurs périphériques de son petit puits d'amour. - Putain ça fait trop mal! Mais si je ne peux pas prendre ça je ne pourrai pas vous prendre tous les trois!

Endurant la douleur, elle crache dans sa main et étale le mollard sur les flancs froids du cylindre d'aluminium. La lubrification l'aide, elle peut s'empaler sur la canette.

Elle s'assoit alors sur la tranche de la table, tend son ventre pour avancer son bassin, puis commence à se branler l'anus dans un simulacre de jouissance. Elle ne ressent rien si ce n'est que le froid métallique, mais ça fait son petit effet, les trois bites se redressent et leurs propriétaires commencent à s'astiquer le manche toujours le même sourire pervers sur les lèvres. Karim se lève, lui caresse presque tendrement la joue gauche, puis l'attrape par les cheveux pour l'allonger à plat dos en travers de la table. Elle râle de surprise, la bouche ouverte faisant face à l'entrejambe de son amant.

- Maintenant salope, tu me suces et tu lèves tes putains de guibolles.

Elle gobe le morceau de chair oscillant entre les cuisses de son tortionnaire et lui tend

ses jambes. Il l'attrape par les mollets pour les écarter face à Jacques et son cousin. Il s'active dans la bouche charnue et interpelle ses compères :

- Allez-y les mecs préparez la bien !

Chacun leur tour, Jacques et Max prennent place devant l'anus bien assoupli de leur petite salope, pour l'enculer en double avec la canette, pendant que Karim reprend de la vigueur au fond de sa gorge. Max se penche sur Nicole, lui attrape les pieds et les passe au-dessus de ses épaules. Elle est écrasée sous le poids de son ventre alors que ce dernier la pistonne comme un sauvage. Karim aperçoit ensuite Jacques se positionner à la place de Max et il sent Nicole paniquer autour de sa queue.

- Putain, mais vous allez la faire entrer entièrement à force de m'enculer si fort!

Enhardi par cette vision, Karim se remet à bander très dur, il a cruellement envie de lui baiser la gorge, avant de s'attaquer à son cul. Même si elle supporte tout ce qu'ils lui mettent depuis des heures, il doute qu'elle puisse endurer plus que la triple, du moins pour ce soir. Il s'attelle alors, il enserre ses seins d'une poigne ferme et lui pilonne sauvagement la gorge.

-Tu aimes la bite, ma salope, hein ? Alors prends ça ! HAN! HAN! HAN!

Nouvelle échange, Jacques laisse de nouveau place à Max. Elle a l'anus en feu, la gorge obstruée.

Karim ne lui laisse que de brefs instants pour qu'elle reprenne sa respiration, elle ouvre la bouche au maximum dans un gargouillis à la recherche du moindre souffle d'air. Elle en oublie presque les deux bites qui s'affairent chacune leur tour à lui enfoncer la canette dans le boyau à chaque nouveau coup de bite.

Ce qui devait arriver, arriva, la canette est complètement entrée dans son ventre. Si Max se retire, ses sphincters vont se refermer et emprisonner la canette dans son conduit anal. Alors qu'elle panique à l'idée de se retrouver avec un objet coincé dans son dos, elle sent Karim se retirer de sa gorge.

-ARRGGHHH! OUF! OUF!! OUUUFFF!

Karim, chaud comme la braise, se retire de la gorge chaude la queue couverte de salive, il veut lui éclater la rondelle avant qu'elle ne défaille. Il repousse brutalement son cousin qui se désolidarise dans un ploc malsain, la canette reste en place retenue par le rectum de Nicole qui s'est légèrement resserrée. Loin de se préoccuper de ce détail, Karim attrape la Nicole par les cheveux pour la traîner vers le matelas.

-Allez ma belle salope expulse-moi ça vite fait, qu'on en finisse!

Déboussolée, elle met du temps à réaliser où elle se trouve et ce qu'il attend d'elle. Puis son esprit recolle les morceaux et elle prend conscience que la canette est entrée entièrement en elle.

- Ne fais pas ta midinette, c'est comme pour chier ! Tu pousses, ça sort!

Honteuse, ébouriffée, les cheveux dans tous les sens, de la bave sur le menton et la poitrine, il lui retire les dernières traces de dignité qui pourraient lui rester en la contraignant à "chier" la canette devant eux. Karim continue d'astiquer son sexe, se régalant du spectacle.

Nicole s'accroupit devant eux, elle pousse pour extraire le corps étranger qui ressort petit à petit des muqueuses rougies, pour tomber à terre dans un bruit de métal sordide.

Karim, satisfait, s'allonge sur le matelas l'appelant à lui :

-Allez viens faire un câlin à ton mec! Se moquant ouvertement des sévices que lui a infligés son mari durant toute la soirée.

Elle ne se fera pas sauter sans sa dignité, elle adore le sexe, elle aime se faire sauter par tous ces mâles, c'est sa vraie nature, Karim ne lui enlèvera pas ce plaisir. Avec toute l'élégance qu'elle peut encore afficher, elle se recompose une posture, attrape ses cheveux qu'elle rassemble en une queue de cheval, réajuste ses seins dans sa guêpière et s'avance, féline, vers Karim et son gros sexe. Elle lui fait face, l'enjambe, s'agenouille sur son ventre pour s'allonger de tout son long dans une sorte de câlin disgracieux. PAF! Il lui claque le fessier et lui écarte le cul, elle connaît bien ce rituel maintenant et n'est pas surprise de l'entendre lui ordonner :

- C'est ça ma salope, empale-toi bien sur le pivot de la joie!

Elle tourne machinalement la tête vers son cul et attrape le braquemart bien dur pour le présenter contre sa rondelle.

-OOOH! Putain! AOUCH!

Karim n'en peut plus, à peine est-il en contact avec l'anus dilaté, qu'il le pénètre d'une seule poussée brutale. Elle se cambre sous la douloureuse jouissance de cette pénétration comme lui seul sait l'en gratifier. C'est alors qu'elle sent une nouvelle paire de main lui appuyer sur les fesses pour lui écarter le cul, suivi d'un ventre qui s'écrase sur ses reins. Puis c'est le contact avec le gland démesuré de Max, enfin la poussée qui écarte les chairs pourtant détendues.

Elle ne contrôle plus les spasmes de plaisir et de douleur alternés qui se propagent le long de ses jambes jusqu'au bout de ses orteils. Ses mains se crispent sur les bras musclés de Karim. Max derrière elle se penche encore en avant dans une intrusion bien profonde, l'écrasant contre son cousin Karim dans un sandwich bien serré.

Enfin, entre ses deux queues, Jacques vient immiscer son érection en se calant derrière Max et posséder sa femme avec ses compagnons d'un soir. Il pousse, sent son sexe tendu se faire une place entre les deux bites déjà bien serrées dans leur gangue de chair. Elle sent son cul, déjà étiré au maximum, être encore un peu plus sollicité. Elle panique, ses muscles anaux ne tiendront pas, ils vont la déchirer.

-Stop ! Putain pitié! Aïe ça fait trop mal! Les supplie-telle en criant, les larmes aux yeux.

Nicole hurle de douleur, elle frappe le bras de Karim de toutes ses forces. Devant la panique soudaine de la salope, son mari hésite à poursuivre sa poussée. Karim la gifle et l'attrape par les cheveux fermement la regardant méchamment dans les yeux.

- Allez-toi, bourre-moi cette pute! Ça va rentrer dans son cul de grosse salope! Et toi tu fermes ta gueule OK?

-Putain non, je ne vais pas y arriver.

Elle sanglote autant de douleur que de peur. Son mari reprend sa poussée, il force, mais les sphincters bloquent. Il serre les dents, attrape sa femme par les hanches et lui gueule dessus.

- Allez putain, tu es un vrai garage à bites, pousse comme t'as chié la canette et ça va le faire !

Elle humiliée et vaincue rend les armes, ils ne vont pas changer d'avis. C'est son seul salut. Elle halète en douleur :

- OK! On y va PPFFFFF... En même temps ... RRRCHH ... Je pousse et tu rentres ...

Dans un effort surhumain, elle suit le conseil de son mari en criant. Son Jacques pousse de toutes ses forces sous les encouragements de ses amants.

- AÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏEEEEEEEEEEEEEE!

- Va-y! Vas-y!

- AAAAARRRFFFF!

Après quelques secondes, le cul de Nicole s'ouvre légèrement, le gland de Jacques progresse. Elle souffre et pousse un cri continu qui l'aide à supporter la douleur et à continuer son effort pour détendre ses sphincters. Les mains crispées maltraitant les bras de Karim. En sueur, La petite salope reprend confiance en sentant son homme progresser. Le gland est passé et d'un coup le reste de la queue est comme aspiré.

Les trois hommes crient leur joie. Elle n'y croit pas, elle a réussi. Elle a trois bites dans le cul? Elle souffre le martyr, mais regarde Karim d'un sourire grimaçant.

-T'as vu, tu m'en fait faire des choses toi, hein? Là, c'est énorme quand même!

Jacques, qui n'a encore jamais participer à une telle débauche, commence à bouger. Il a pris goût à enculer sa salope de femme. Il entraîne dans son mouvement Max, tous deux commencent à sortir de l'anus dilaté.

-AIIIE! Stop! Stop! Vous allez me déchirer, moins vite s'il vous plaît!

Nicole à l'impression que son boyau est collé à leurs queues et que son intestin est en train de lui sortir du cul. Le mouvement des bites en elle lui donne des impressions bizarres, comme si un animal vivant progressait en elle. Karim n'a quant à lui pas beaucoup de place pour remuer, il essaye de suivre le mouvement, mais avec peu d'amplitude. Le manque de synchronisation donne une impression encore plus bizarre à la femme qui encaisse cette triple anale dans la douleur.

Jacques et Max trouve leur rythme est commencent à la pistonner avec un peu plus de vigueur.

Jacques ressent de nouvelles choses avec sa queue prise en sandwich entre celles des deux autres, il s'agrippe aux cuisses de sa femme et suit la cadence de son compagnon.

-Putain de salope, qu'est-ce que tu prends ma femme!

Elle, accepte son rôle, malgré la douleur intense, elle est très fière de sa capacité à recevoir trois bites dans le cul. Elle crie, elle gémit sous les coups de butoir, elle halète, se détend au maximum. Elle veut que ses mâles prennent du plaisir à la maltraiter de la sorte. Mais Karim est frustré, il ne peut pas l'enculer comme il le souhaite, il n'aurait pas dû se mettre dessous, ça limite trop ses mouvements. Il gueule sur les deux autres :

- Bon dégagez, on se la fini à l'ancienne !

Alors qu'ils avaient trouvé leur rythme, les deux autres libère Nicole. Karim se roule sur le côté, il la fait mettre en levrette au pied du canapé. Il se retire à son tour et guide sa bite dans son puits d'amour. Il lui écarte les cuisses et la pénètre en une seule poussée brutale, tapant contre le fond de la donzelle, réveillant les sens de Nicole, qui gémit d'un long râle de plaisir.

-AAAAAARRGGU ... Ça! Oui, c'est bon...

Il s'active comme une brute dans la moule brûlante de désir.

- La salope elle en a encore sous le manteau!

Jacques est surpris des ressources de sa femme, il veut en profiter aussi et présente sa bite à sa bouche gourmande. Max fait de même, elle se retrouve à les sucer chacun leur tour. Après quelques minutes de pilonnage en règle, Karim se retire :

- Allez au suivant!

Il présente à son tour sa queue brillante à la Nicole, alors que Max la ramone à son tour. Ils alternent ainsi leur position entre la grotte et la bouche de la femme. Le premier à décharger est Karim suivit de Max.

Elle est penchée sur la verge de son époux qui vient de quitter son vagin, lorsqu'elle sent soudain une langue râpeuse passer et repasser sur sa fente. - C'est qui? Impossible qu'un homme ait une telle longueur de langue? Ce dit elle. Elle jette machinalement un coup d'œil par-dessus son épaule et voit que c'est Brutus qui est occupé à lui lécher la moule, il lape le trop plein de liquide qui s'en écoule.

- OOH! Brutus ... Bon chien... MMMMMMMMM!

Elle apprécie la langue de Brutus qui lui lèche son entre jambes souillé de sperme et de sécrétion. Elle ne se rend pas compte que Brutus s'excite en lui léchant ses parties génitales.

Soudain elle sent le poitrail velu de Brutus se coucher sur son dos, aussitôt ses deux pattes de devant, lui enserrèrent la taille, elle est prise comme dans un étau. - Eh! Ho! STOP! Non pas de ça! Je ne suis pas d'accord!

Elle n'a pas le temps de se relever, déjà Max et Karim l'immobilisent. Jacques c'est pris au jeu, il veut, lui aussi, voir Brutus souiller sa chienne de femme. Il lui dit.

- Oh là! Ma belle! Tout doux! Max t'offre un mâle plus performant! Tu ne vas pas faire ta mijaurée? Comme tu es devenue une vraie chienne, avec toutes les bites que tu te prends. Celle là, tu vas nous en dire des nouvelles! Tu t'en rappelleras toute ta vie, crois-moi!

Brutus a une force peu commune, Nicole est complètement immobilisée contre lui. Bien campée sur ses pattes arrière, elle sent soudain des coups de pistons contre son périnée. Dans des mouvements désordonnés, Brutus cherche à la pénétrer. Max lui vient certainement en aide car, subitement, une barre brûlante se présente à l'entrée de son vagin heureusement bien lubrifié. Sentant l'ouverture, d'un formidable coup de rein, Brutus propulse sa verge au fond de son puits d'amour, frappant violemment la paroi de l'utérus, ce qui lui fait pousser un cri de douleur.

Dans cette position, bien arrimée sur son dos, Brutus possède une grande mobilité du bassin. Il entreprend alors de rapides et puissants va-et-vient qui à chaque fois amènent sa monstrueuse rigidité au fond de son vagin, lui faisant pousser des petits râles de douleurs.

Le sexe de Brutus gonfle, gonfle. Il lui remplit désormais toute la cavité vaginale, même plus puisqu'il lui dilate l'organe en en repoussant les parois. Puis une boule vient lui frapper la fente, sa grosseur en bloque la pénétration. C'est alors qu'elle sent Brutus prendre du recul avec ses reins et se propulser avec une violence inouïe au fond de ses entrailles. Tout est rentré. La boule se met à gonfler, gonfler, formant rapidement un frein qui interdit désormais toute sortie de son organe. Nicole prend peur devant la grosseur de cette excroissance, va-t-elle la déchirer. Puis durant quelques secondes tout se calme. Contre toute attente, ses organes commencent à s'habituer à cette gigantesque intromission.

Brutus sur son dos halète, la langue pendante, des filets de bave s'écoulent sur sa peau. Son corps de femme est trop heureux de cette fantastique découverte, quelle explosion de ses sens quand ce mâle, puissant, endurant, a pénétré au plus profond de son vagin d'amour. Tout à coup, l'énorme turgescence est comme animée d'une vie propre, elle se met à vibrer, lui envoyant des ondes dans la colonne vertébrale jusqu'à son cerveau, son bas-ventre est agité de spasmes, ses organes génitaux s'enflamment et Brutus commence à lui envoyer des torrents de liquide dans son vagin déjà complètement plus que rempli. Il se dilate encore plus, il repousse les organes voisins, elle sent son bas-ventre gonfler, gonfler. Soudain, une formidable chaleur lui envahit tous les organes.

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