Pris au Piège

Julie a 5 ans de plus que moi, elle d'un teint blond et d'un corps mince et tracé, athlétique et fin avec des jambes envoutées. Elle est d'un caractère très imposant et téméraire, ce qui pose déjà les bases de sa personnalité.

Elle était ma collègue directe à l'époque où je travaillais avec elle, dans cette société de courtier en assurances, nous avions passé la période estivale à deux uniquement au bureau, tandis que les supérieurs étaient partis en congés, de par son ancienneté, elle avait plus de responsabilités que moi et agissait donc en tant que ma supérieure durant l'absence du Directeur.

Ayant un physique musclé et viril, j'ai toujours fantasmé sur le fait qu'une femme, avec un physique plus faible que le mien et donc une condition physique en dessous de moi puisse inverser les rapports de force et par ailleurs me soumettre totalement sous sa pleine domination, au-delà de l'aspect physique, le fait d'avoir beaucoup de responsabilités et une force au dessus des autres vous fait parfois ressentir ce besoin de lâcher prise et d'être totalement contrôlé. C'est ce qui me travaillait depuis des mois lorsque j'observais avec voyeurisme, le corps charment et fatale de Julie, en fantasmant sur mes pensés les plus sombres et refoulés.

Lors des dernières heures de travail, j'avais pour habitude de chercher sur Internet des récits de domination féminine sur des hommes à l'aide mots-clés "BDSM Story, Femdom domination, Ballbusting fiction, soumission" à l'aide du PC d'entreprise en prenant à chaque fois la peine d'activer la navigation privée pour éviter de laisser toute trace. En consultant ces récits chaque soir à quelques quarts d'heure de la fin de mon poste, je ressentais des pulsions sexuelles de plus en plus prenante que je devais au mieux dissimulé pour ne pas paraître suspect aux yeux de Julie.

Le soir-même, elle me propose de me déposer devant chez-moi en voiture car je n'avais ce jour-là aucun moyen de rentrer chez-moi pour cause de révision technique de mon véhicule au garage, dont je devais aller récupérer le lendemain. J'acceptai donc la demande de Julie, et sur la route elle me préviens qu'elle part faire un détour pour aller récupérer ses courses au drive, par acte de galanterie je lui propose alors de d'abord déposer ses courses chez-elle avant de me déposer, afin de lui aider à tout charger chez-elle. Elle accepta et j'imaginai à ce moment-là pouvoir enfin passer aux choses sérieuses, mais hélas j'étais loin de m'imaginer l'humiliation qui allait m'attendre. Elle poussa donc sa porte d'entrée et nous fîmes charger toutes les courses à sa cuisine, une fois le tout rangé avant de passer sa porte d'entrée pour sortir dans sa cour, elle ferme sa porte à clé et m'attrapa par la cravate.

Julie dit alors : "J'ai découvert ton jeu sordide, et l'activité passionnante que tu passes à faire chaque soir, il serait vraiment très embêtant qu'on découvre ton petit secret, tu trouves pas?" je fis alors semblant de ne pas savoir de quoi elle parlait, elle me frappa directement et monta le ton d'un air sévère et menaçant "Ne joue pas au con avec moi, sinon tu vas vite le regretter et me supplier d'arrêter ce qui va suivre" je m'excuse donc alors à ses pieds pour exécuter son ordre sous la menace pesante d'être humilié et mis à genoux à ses pieds pour implorer sa pitié "tu as vite intérêt à me noyer de louanges avant que je t'écrase les couilles" elle effectua en effet une pression avec le poids pesant de son pied sur mon entrejambe, ce qui me fit mal et m'obligea à m'exécuter : "Par pitié Maîtresse Julie, je reconnais votre supériorité sur moi et admet ma faiblesse, je ne suis rien à vos pieds et implore votre pitié" je rougis alors sous le poids pesant de cette lourde humiliation qu'elle était en train de m'infliger, elle rigola d'un air très moqueur et blessant avant d'enchaîner : "C'est d'un ridicule, tu devrais avoir honte qu'un homme comme toi se soumette sans aucune difficulté à la supériorité d'une femme et se soumet aussi facilement, tu es si faible et pathétique, je pense que tu ne mérite que de souffrir et de ramper à mes pieds tel un esclave.

Julie me frappa alors avec son pied, écrasant par ailleurs mon entrejambe à plusieurs reprises, je commença à ressentir la douleur pesante et me tordis de douleur au sol, elle m'attrapa ensuite par la chevelure, me dominant ainsi puis me jeta au sol et m'ordonna immédiatement de me relever. Une fois debout, elle s'empressa de me frapper avec des coups de pieds et des poings, du haut de mes 1m90 et 95kg de muscles solides, j'encaissai tous ces coups mais pris un plaisir à me laisser battre pour admettre avec splendeur ma soumission et dévotion totale.

Une fois à terre, elle me piétina ensuite le visage et força à embrasser ses divins pieds, j'ai alors eu le privilège de respirer son doux parfum charnel, et pris un plaisir à lécher ses pieds, ce qui est d'autant plus humiliant et rabaissant. Elle se mit alors à s'arrêter tout mouvement et me laissa dans un sentiment de frustration, je me mis alors à genoux en me frottant à ses somptueuses cuisses tracés, et la supplia de continuer à me rabaisser à me traiter de la façon la plus dégradante et humiliante.

Julie continua alors en m'étouffant entre ses fesses, j'étais alors étourdit par ce doux parfum qui pénétrait mon corps et ressentait une sensation de chaleur, de protection et de réconfort entre son fessier serré contre mon visage, cette pression constante provoqua une sensation d'endormissement et commençait à me fatiguer au point de tomber inconscient au sol. Elle continua de marquer cette supériorité sur moi, en sachant que j'étais entièrement nu, exposant par ailleurs cette force physique mais cette grande faiblesse physiologique dont elle su tirer parti.

Une fois totalement défait et soumis à terre, elle me murmura les mots suivants : "A partir de maintenant, je t'ai soumis à volonté car tu es un sage garçon, faible et fébrile pour la moindre intention, tu es désormais mon esclave et va le rester jusqu'à la fin de tes misérables jours". Elle me piétina ensuite mes couilles qui entretemps prirent une allure bleue à cause de la douleur, et quitta la pièce où je me trouvais, laissant mon corps détruit, gisant au sol de douleur.