Premier Rendez-vous

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Une première rencontre grâce au minitel rose...
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C'était l'époque du minitel. Rose. Ce petit terminal dit « passif » mais qui donnait accès à tant d'activités... Pour la première fois, de chez-soi, sans aucune souscription (le coût était porté sur la facture de téléphone!), il était possible d'entrer en contact avec d'autres, d'échanger des messages érotiques ou pas et, surtout, de prendre des rendez-vous.

Je me décrivais généralement comme « Homme ni moche, ni bête ni (exagérément) obsédé, cherche contact avec femme pour RV et dîner sympathique ». Tout était à peu près vrai à part l'obsession -- je ne pensais qu'à coucher avec celles qui me répondraient mais sur messagerie elles s'en doutaient bien entendu

Après avoir sélectionné uniquement la liste des femmes dans la région parisienne, je lançais quelques message d'approche, généralement non agressifs pour rester cohérent avec mon pseudo.

Et donc je dis « Bonsoir » à « JF01 »...

- Bonsoir. Pourquoi ce pseudo?

- Bonsoir. J'habite dans le 1er .

- Ah ok moi dans le 12ème.

Et la conversation s'engagea. Comme je cherchais à obtenir un RV et pas à me branler, je restais courtois et évitais de demander plus de détails sur le physique. En plus, je m'en moquais un peu du physique : à l'exception de quelques raretés, toutes les femmes m'attirent, je n'ai pas de fétichisme ou de critères. ont des seins à caresser, la quantité est secondaire, et une chatte à baiser.

Il s'avéra que JF13 était plutôt timide, probablement quelqu'un de simple. Elle semblait solitaire et lorsque je lui proposais de dîner ensemble le lendemain, elle accepta sans se faire prier et rendez-vous fut pris dans un café de la place Saint Michel. J'arrivais en avance, comme toujours dans ces cas là, et m'installais avec un bouquin, comme convenu. A l'heure dite, je vis entrer une petite brune, visage ovale, cheveux longs noués en queue de cheval, silhouette difficile à définir sous un manteau d'hiver. Nous avions échangé nos prénoms et quand je la vis rester immobile à l'entrée du café, regardant autour d'elle, je m'approchais. « Marie? Je suis Pierre. ». Elle sourit timidement, me serra la main sans trop de pression et m'accompagna à ma table. Je sentis qu'elle était presque gênée, peu habituée certainement à des rendez-vous avec des hommes.

Nous sommes allé dîner dans une boîte à jazz -- visiblement une première pour elle -- et, même si je n'en rajoutais pas, je la sentais impressionnée par mon aisance. Nous étions assis côte à côte et, le plus naturellement possible, je commençais à la toucher ci et là, à appuyer ma cuisse contre la sienne. Elle n'était pas très grande, un corps charnu sans être gras, attirante et je testais si elle acceptait des gestes un peu intimes. Quand elle eût fini de boire, j'essuyais ses lèvres de mon doigt. Elle rit, un peu déconcertée, mais ne protesta pas. Je sentais qu'elle était novice dans le rapport avec un type qui la draguait mais intéressée en même temps.

Quand j'embrassais légèrement ses lèvres, elle ne protesta pas et me rendit mon baiser avec une douce pression qui me surprit et me convainquit que je la baiserai le soir même. Je glissai ma langue dans sa bouche et, loin de la refuser elle la suça gentiment. Ma bite gonflait dans mon slip et je la serrai contre moi, profitant de l'obscurité pour lui caresser les cuisses -- hélas sur ses collants. Elle se laissait faire mais serra un peu les jambes lorsque je commençais à toucher son ventre. Je n'insistais pas et continuais à lui pétrir doucement les cuisses, ce qu'elle semblait apprécier et me rendait en me donnant à son tour sa langue chaude à sucer. Bientôt nos deux langues se léchaient et tournaient l'une autour de l'autre dans un ballet sensuel et excitant. Ma queue était de plus en plus demanderesse...

Nous sortîmes enlacés pour nous réfugier dans un porche, tels les traditionnels amoureux parisiens, pour nous embrasser. Je lui dit que j'avais envie d'elle. J'avais choisi bien sur un restaurant près de chez elle... Elle commença par dire non mais je sentais qu'elle ne résisterait pas longtemps. « J'ai envie de ta peau, tu est belle et sexy, j'ai envie de toi » . Elle hésitait toujours mais se laissait maintenant masser la chatte à travers son collant, la jupe troussée. Je me pressais contre elle, elle sentait la barre dure de mon sexe. Et finalement quand je lui dit « Allons tu as envie de faire l'amour autant que moi », elle céda et m'emmena chez elle.

C'était une petite chambre avec un coin cuisine, pas chic ni décorée mais la seule chose qui m'intéressait, c'était le lit pour la coucher et la baiser. Très vite nous avons été nus. Comme je l'avais deviné elle avait un corps un peu massif, la taille peu marquée, le ventre bombée par la forte cambrure des reins, des seins assez gros et lourds. Pas un corps de mannequin, mais plein de chair douce pour les mains. Je la sentais dépassée par ce qui lui arrivait, peu experte et simplement offerte à ce que je voudrais faire avec elle.

Ses gros seins m'attiraient et je commençais à les sucer en glissant ma main entre ses cuisses maintenant bien ouvertes et je trouvais sa chatte disponible et déjà juteuse. Elle se laissait faire, plutôt passive, acceptant mes caresses en gémissant doucement, sans trop me les rendre. Mais peu importait, rien qu'à la caresser et à la sentir complètement abandonnée et disponible, j'avais la bite bien raide et prête à baiser.

Comme j'aime bien le sexe oral, je glissais de ses tétons, bien gros et durs maintenant qu'ils avaient été copieusement sucés, pour lécher son ventre, fourrer mon visage entre ses cuisse et commencer à lui lécher la chatte. Visiblement, elle n'avait jamais été sucée et cria lorsque je pris son clitoris. Ma langue parcourait ses lèvres que j'avais largement ouvertes. Je commençait en bas de sa chatte, tout près de son anus, montais pour la pénétrer rapidement de ma langue puis léchais lentement en faisant vibrer ma langue pour terminer par son clitoris que je suçais, mordillais doucement, pinçait entre mes lèvres, léchais avec force. Je goutais son jus salé, preuve de son excitation.

Et ce n'était pas la seule preuve. Je la sentais se tendre lorsque j'étais à sucer son clito et je faisais exprès de ne pas rester trop longtemps pour la faire attendre, lui donner encore plus envie de jouir. Elle protestait doucement lorsque je lâchais son clito pour redescendre lui lécher l'entrée de la chatte. Visiblement elle voulait que je m'occupe sérieusement de son petit bouton -- plus si petit que ça après avoir été sucé, il était tout gonflé, raide comme une petite bite. Et elle finit par prendre l'initiative : lorsque je revins pour lui manger son petit pénis, elle me pris la tête dans ses mains pour me bloquer. Je suçais de plus en plus fort, la gardant longuement entre mes lèvres, ma langue excitant l'extrémité charnue qui saillait dans ma bouche. Soudain elle poussa un gémissement et se contracta, ses jambes serrèrent mon visage et elle agrippa les draps en se tordant de plaisir, jouissant longuement , peinant à reprendre son souffle tant le plaisir la paralysait. Puis elle s'affaissa en geignant maintenant tout doucement.

Lentement je remontais sur elle. Elle avait une expression un peu affolée, sans doute surprise par l'intensité de ce qu'elle ressentait, et me regardait visiblement comme une apparition, quelque chose d'extraordinaire, inattendu, qui comble plus que ce que vous pouviez avoir comme désirs. Je devinais qu'elle n'avait pas été baisé de puis longtemps et que les mecs qui l'avaient fourrée n'avaient pas pris grand soin d'elle, se contentant de se vider les couilles. Je la trouvais très baisable, probablement assez disponible et soumise et ne regrettais pas le temps passé à la faire jouir. Certes j'avais envie de me frotter le queue et de vider mes bourses bien remontées, collées à ma verge mais il faut parfois voir plus loin que le bout de sa bite et en prenant le temps de la faire jouir comme jamais, visiblement, je la rendais en quelque sorte dépendante.

« Tu as envie de la queue? » « Oui, elle est belle » dit-elle en la touchant timidement. « Fourre ma bite dans ta chatte alors ». Elle me regarda, étonnée sans doute du vocabulaire direct que j'employais mais obéit -- bonne fille -- et ouvrant large ses cuisses présenta l'entrée inondée de son sexe. Doucement j'appuyais et sentis mon gland forcer l'entrée pour se loger dans un étui bien serré. Wahou! Elle était étroite en plus! Pas vierge mais visiblement son con n'avait pas souvent été ramoné! Je commençais à pousser, à me retirer, initiant un lent mouvement de va et vient frottant doucement son con étroit. Elle commença à accompagner mes mouvements, poussant vers moi lorsque je m'enfonçais. Soudainement, j'eus envie d'un peu de brutalité et enfonçait d'un coup puissant toute la longueur de mon engin, percutant le fond de son vagin. Elle poussa un cri et se cambra mais déjà je commençais à la pistonner de toutes mes forces. Depuis le dîner au restaurant et nos baisers, j'avais envie de jouir et décidais de ne plus attendre trop longtemps pour me satisfaire, quitte à la baiser mieux ensuite.

Mais je me faisais du souci pour rien : après quelques coups de piston alors que je commençais seulement à sentir une vibration dans mes couilles, elle se cambra et jouis à nouveau, cramponnée à mes épaules, la bouche ouverte dans un cri silencieux. Son vagin se serra encore plus autour de ma queue et je commençais à juter, des jets puissants, le plaisir total de la jouissance quand on a la bite serrée dans une chatte inondée déjà et qu'on la remplit de son foutre? Dieu qu'elle était bonne à baiser, son fourreau frottait ma queue si fortement, les spasmes de ses contractions ajoutaient encore à la sensation. Hm, quel bon coup. Elle ne payait pas vraiment de mine, pas la fille avec qui j'aurais été fier de me montrer mais elle avait une chatte formidable, active serrée, jouissive.

Je retombais sur elle, l'embrassant goulûment, suçant sa bouche, sa langue ses lèvres, léchant et mordillant son visage, ses joues, son cou et, sur son épaule ronde et charnue je suçais plus fort pour la laisser marquée. Elle était encore secouée par des spasmes de plaisir et ne réalisa probablement pas que je venais de lui faire un suçon bien violet. Surprise pour le miroir demain!

Nous avons bavardé brièvement : je ne souhaitais pas prolonger exagérément après la baise. Elle m'avoua prendre la pilule depuis quelques semaines, depuis en fait qu'elle s'était inscrite sur le site de rencontre. Quand je lui demandais son numéro de téléphone, elle me le donna, promesse évidemment de se laisser encore baiser, mais je ne proposais pas le mien et elle ne me le demanda pas ; Elle avait visiblement accepté une manière de domination de ma part, ce qui m'allait tout à fait : c'était juste une fille parfaite pour baiser gentiment (je ne suis pas un dominateur méchant au pieu) mais pas quelqu'un qui pouvait faire partie de ma vie autrement.

Nous verrons par la suite comment ça a tourné avec elle.

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Anonymous
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2 Commentaires
ParisBangkokParisBangkokil y a presque 7 ansAuteur
Merci !

Content que vous ayez apprécié. Je concocte la suite !

PB

AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans
Encore !

Dans l'attente de la suite...

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