Pour Sauver Son Mari 04

- Ta gueule morue, et fous toi à poil rapidement ou je leur dis à tous de t'enculer. Lui intime le gros sergent en décapsulant une bière.

Il s'assoit attendant qu'elle s'exécute.

- Qu'est-ce que tu nous fais salope?

A contrecœur, Vicky entame son strip-tease. Elle se demande pourquoi la police n'intervient pas. Ils l'avaient entendu dire qu'elle refusait de se plier à leur volonté, qu'avaient-ils besoin de plus?

Une fois son chandail enlevé, elle dégrafe son soutien-gorge et le laisse tomber au sol. Les agents dans la voiture garée à l'extérieur sentent leurs bites se tendre à la vue cette magnifique poitrine. Ils n'en croient pas leurs yeux, comment une poitrine si grosse peut-elle paraître si ferme? Ils se regardent les uns les autres ébahis. Puis l'un d'eux intervient :

- Wouah ce qu'elle est bandante. J'aimerai bien me la faire moi aussi.

Elle baisse la fermeture éclair de sa jupe et la laisse choir à son tour. Elle ne se trouve plus maintenant vêtue que de sa petite culotte de dentelle blanche. Ils grognent lorsqu'ils voient que cette mignonne jeune femme porte une culotte de grand-mère.

- Qu'est-ce que c'est que ça? Demande le gros porc.

- Ce sont des culottes de douairière! Vire-moi ces loques et montre-nous ton somptueux corps de putain!

Vicky se dépouille de sa culotte à l'ancienne et la jete au visage d'un des gardes en badinant. Il la saisit et prend le fond en bouche déclenchant les rires et les plaisanteries de ses partenaires. Puis elle surprend tout le monde en annonçant :

- Puisque vous m'obligez à me faire baiser par chacun d'entre vous, qui passe en premier? Je veux juste que vous sachiez tous que vous pouvez partir et me laisser tranquille. Ne vous sentez pas obligés de me violer!

Ils rient et le gros dit à Jimmy de démarrer la vidéo. Puis il dit à tous les hommes de se foutre à poil, et il dit au plus jeune de s'étendre sur le sol. Une fois le jeune homme allongé, il ordonne à Vicky de le chevaucher. Elle hésite, s'attendant à tout instant à ce que les flics envahissent la maison, mais, lorsqu'il lui hurle dessus, elle s'accroupit d'elle-même sur la juvénile bite dressée.

- Ça commence pas trop mal. Pense-t-elle.

Puis elle perd tout contrôle lorsqu'on la pousse sur le torse de son jeune agresseur. Paniquée elle sent qu'un des gardes lui graisse le trou du cul. Elle s'affole : « Mais où sont-ils? Que leur faut-il de plus? »

Empalée sur le jeune homme, sa poitrine frottant contre son buste, le trou du cul bien lubrifié, elle se sent agrippée par les hanches tandis qu'une épaisse queue se présente à l'entrée de son cul. Il la pénétre lentement. Elle se met à hurler appelant à l'aide tout en pleurnichant :

- Nonnnn... Je vous en prie, pas ça!

C'est alors qu'un troisième lui fourre un chiffon dans la bouche, étouffant ses cris, c'est l'immonde slip du gros porc. Cherchant à ne pas étouffer, elle tente de se contrôler. Il l'encule lentement, il ne l'a pas encore pénétrée de toute sa longueur. « Il doit être monstrueux » craint-elle fugitivement, « Quand m'aura-t-il tout mis? »

L'un d'eux lui enlève son bâillon et enfourne sa bite dans sa bouche rétive. Elle se fait violer et personne ne vient à son secours. Ils doivent pourtant avoir assez de preuves maintenant.

Qu'est-ce qui leur prend?

Elle sent la queue dans son cul arriver au fond de ses entrailles, et œuvrer de concert avec la bite dans sa chatte, allant et venant alternativement dans ses deux trous embrasés. Elle est sans défense totalement à leur merci.

L'homme dans son cul lui assène de terribles coups de boutoirs, alors que l'homme sur lequel elle est empalée s'arque sur les talons accentuant encore l'empalement. Lentement ils adoptent un rythme particulier, la pénétrant de concert et se retirant de concert. A chaque poussée, son bassin bouge violemment sous le terrible impact si douloureux. Puis ils reprennent un schéma plus classique s'enfonçant alternativement dans ses intimités plus du tout secrètes.

Le frottement de son clito contre un des pénis l'échauffe inéluctablement lui procurant un plaisir qui l'envahit petit à petit. Elle commence à jouir sauvagement poussant de longues plaintes provoquant l'éjaculation de son baiseur de bouche.

Elle déglutit et avale sa liqueur alors que déjà un autre homme prend place face à sa bouche. Elle le gobe et se met à le sucer servilement.

Un des gardes saisit sa main gauche, un autre sa main droite ce qui la force à s'empaler totalement sur le jeune homme allongé sous elle. Puis elle sent qu'on pose ses mains sur des hampes vigoureuses. On la force alors à refermer ses doigts sur ces bites frémissantes. Elle en a une dans la chatte, une dans le cul, une en bouche et en branle deux dernières et personne n'intervient pour venir à son secours.

La bite dans ses entrailles explose. Elle sent une chaude coulée envahir son boyau assoupli. Il projette ses salves au tréfonds de ses entrailles, puis il se relève et un nouveau candidat à l'enculage le remplace immédiatement. Il lui faut un petit moment pour s'adapter au rythme de la bite dans sa chatte, mais il y parvient et elle est à nouveau baisée par deux bites qui la labourent de concert.

Un à un, ils l'enfilent tous par ses trois trous, chatte, bouche, trou du cul. Entre chaque coup, ils s'assoient et mangent des pizzas en buvant de la bière, il est maintenant 23 heures.

Le gros porc dit à Vicky de se relever. Lentement elle obéit, du foutre goutte de ses cuisses, provenant de sa chatte et de son cul. Sa bouche est empâtée, empesée de foutre gluant qui s'accroche à sa luette, ses amygdales et sa langue. Le gros porc lui dit alors :

- Souris ma petite chérie, tu es filmée. Tu sais salope, je vais montrer cette vidéo dans toutes les cellules. Peut-être bien qu'on la mettra sur internet. Je dois avouer qu'entre toutes les femmes qu'on a violées, t'es la plus bandante et la plus baisable. Et laisse-moi te remercier pour ça, on aime te baiser jusqu'à l'os!

L'agent dans la camionnette parle dans son casque et dit :

- Nous en avons assez. Allez-y!

Tous les hommes assis bandent dur. Le plus vieux dit à un des plus jeunes :

- En rentrant ce soir j'espère bien que tu vas sauter ta femme. Oui, eh bien moi aussi! Ma vieille femme va avoir une sacrée surprise cette nuit!

Ils ouvrent brusquement les portes et entrent. Commotionnée, Vicky cherche ses vêtements et les enfile prestement. Ses tourmenteurs sont menottés, on leur lit leurs droits. Elle regarde tous les hommes présents et pousse un long cri, puis elle retourne se faire soigner à nouveau aux urgences.

Trois semaines plus tard, on me libère. Vicky m'attend sur le parking de la prison. Je vois son visage souriant lorsque j'approche de la voiture.

- Tu conduis? Me demande-t-elle.

- J'en ai marre d'être un numéro. Je ne veux plus qu'être ton amant et ton mari! Lui répondis-je à côté de la plaque.

Je note alors qu'elle s'est préparée pour moi. Elle est nue, complètement nue. Elle a les nichons bombés et les tétons dardés, la chatte rasée et nette. Elle affiche un sourire démoniaque comme pour dire :

- Je ferai tout ce que tu me demanderas, tu n'as qu'à demander.

- Je conduis. Me décidé-je alors.

- Boone sort dans deux semaines, il se rappelle à ton bon souvenir. Il m'a dit de te dire qu'il passerait prendre ce que tu lui as promis!

- D'accord. Cette fois encore, mais juste cette fois. Je veux t'appartenir le reste de ma vie! Dit Vicky.

- Juste à moi? J'aime ta façon de te vêtir. Je veux qu'il en soit toujours ainsi à l'avenir. J'ai faim. Arrêtons-nous quelque part pour manger. Je veux que tu gardes l'habitude de te promener nue, et de baiser avec d'autres hommes. Mais pas trop souvent!

Vicky sourit et dégrafe ma braguette, sort ma queue et embrasse le gland. Elle fait tout pour plaire à son mari, parce qu'elle le veut. Je démarre la voiture et prend le chemin de la maison. Penchée sur moi Vicky me fait une pipe, je suis soudain pressé de rentrer à la maison.

FIN