Pour Sauver Son Mari 02

Informations sur Récit
Soumise aux gardiens.
3k mots
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1

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/07/2017
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Ce récit est une histoire d'un dénommé Bedo, qui a été traduite il y a une dizaine d'année par Coulybaca qui ne l'a pas mise sur ce site.

Ce récit est une fiction axée sur la déchéance et la dégradation d'une jeune femme. Pour ceux qui n'aiment ce genre d'histoires, n'en lisez pas plus.

***************************

En entrant dans la salle des visites, je vois plusieurs gardes assis aux tables, regardant une personne étendue sur le plancher.

En m'approchant, je vois que c'est Vicky, elle est nue et a les yeux fermés, ses jambes sont largement écartées, son visage est gluant de sperme, il en déborde aussi de sa chatte.

Je m'approche me tenant tranquille.

- A qui le tour? Demande le gros sergent.

Un vieillard fait un pas en avant en disant :

- Moi.

Tous les hommes se mettent à psalmodier :

- Gramps.... Gramps... Gramps ...

Gramps relève ma femme et la dispose à quatre pattes.

- Je n'ai pas vu un si beau cul depuis la mort de ma femme! Anderson tu apprécies le beau cul de ta femme?

A ces mots, Vicky ouvre les yeux et à quatre pattes comme une chienne elle jette un coup d'œil circulaire et rencontre mon regard éperdu.

Elle me regarde fixement sans dire un mot, et quand elle voit que je ne peux lui être d'aucun secours, elle laisse tomber sa tête et écarte les jambes plus largement pour que Gramps puisse plus facilement s'imposer entre ses fesses.

Il lui fouille la chatte du doigt en extirpant quelques gouttes de foutre déposées par son prédécesseur. Il en enduit son trou du cul, puis il plante son doigt profondément dans son œillet anal et lui fait faire des petits cercles jusqu'au moment où Vicky décrispe ses sphincters.

Lorsqu'elle est bien relaxée, il enleve son doigt et remet plusieurs couches de foutre, puis il plonge deux doigts dans son trou du cul.

Vicky crie de douleur, cherchant à échapper à cette intrusion infâme dans ses reins.

D'autres hommes s'approchent et la tiennent tandis que le vieillard enfonce ses deux doigts joints dans son fondement. Un spectateur la gifle pour la faire tenir tranquille et lui colle dans la bouche un chiffon sale abandonné sur une table.

- Eh bien mon jeune ami, regarde bien comment on prépare le cul d'une meuf. Tout d'abord on lui met un doigt, qu'on agite lentement le temps qu'elle se calme. Puis deux, et on la laisse se calmer à nouveau. Tu peux ensuite planter ta bite dans son petit trou. Suivant les hommes, deux ou trois doigts ont à peu près la même taille qu'un gland. Si tu peux lui mettre deux doigts, alors tu peux lui mettre la bite.

Il rit alors, heureux de sa plaisanterie. Le vieillard continue à amadouer sa pastille en commentant.

- Il faut alors s'assurer qu'elle ne peut plus bouger. J'avais l'habitude de coucher ma femme le ventre sur un oreiller avant de l'enculer. Elle n'aimait pas ça mais elle savait qui était le maître de maison. Si tu veux être le maître chez toi il faut enculer ta femme au moins une fois par mois. Quand l'as-tu enculée pour la dernière fois?

Je secoue la tête en haussant les épaules.

- Jamais... Je ne l'ai jamais sodomisée...

Le visage fendu par un large sourire, le vieillard réplique alors :

- Mets-toi derrière elle et encule-la maintenant. Tu dois prendre charge de ta maison. Viens, agenouille toi dans son dos et fais ce que je te dis. C'est ta femme, C'est à toi de lui casser le cul!

Comme j'hésite, le gros sergent intervient :

- Ou tu encules ta femme mon garçon, ou bien c'est Boone qui t'encule, à toi de choisir!

Vicky me regarde longuement et dit d'une voix sourde

- Vas-y mon chéri, je t'aime.

Je m'agenouille derrière ma ravissante femme et pose mon gland à l'orée de son anus. J'hésite à nouveau, le vieillard m'encourage alors :

- Vas-y mon gars, fore ton chemin dans son intestin!

Je presse alors lentement mon brugnon contre son œillet pendant qu'elle pleurniche à gros sanglots. Mon gland franchit son sphincter, je m'enfouis lentement dans ses reins. Une main posée sur mon épaule le vieillard me pousse dans le dos me forçant à empaler ma femme. Il me pousse jusqu'au moment où mes couilles frappent son anus distendu. Elle crispe ses sphincters m'étranglant littéralement la hampe.

- Calme-toi! Plus tu te raidis, plus tu auras mal. Lui conseille le vieillard la dévisageant de près.

Je la sens se décontracter et j'entame d'amples vas et viens dans son étroit petit anneau dompté. Elle accepte son enculade en s'efforçant de se décontracter, aussi continuai-je à l'enculer langoureusement.

Le vieillard me conseille alors :

- Tu dois lui faire comprendre qui commande. Tu dois la baiser rudement qu'elle sache que tu feras ce que tu veux d'elle et de son corps. Elle t'appartient. Si tu lui fais mal, ne t'inquiète pas, elle en guérira. Et maintenant casse lui le cul bordel de merde!

Sentant ses sphincters anaux s'assouplir, j'accélère mon allure. Ses nichons se balancent au rythme de mes coups de boutoir. Ils frappent son torse puis repartent dans la direction opposée lui fouettant les épaules. J'avais bien souvent assisté à ce spectacle dans le miroir en pied en face de notre lit lorsque je lui faisais l'amour. Cela m'avait toujours prodigieusement excité. Le vieillard avait dû voir des scènes du même ordre dans le passé, ça excitait tous les spectateurs.

Je la chevauche rudement quelques minutes, après quoi, je fuse dans son intestin palpitant alors que le vieillard me félicite :

- Bon boulot mon gars! Continue. N'arrête pas tout de suite.

Je m'efforce de m'enfouir totalement dans son anneau distendu.

- Arrête, je t'en prie. Tu me fais mal. Pleurniche-t-elle sourdement.

Le vieillard me conseille rapidement :

- Continue à la bourrer, c'est le meilleur moyen de la mater. Dorénavant tu te serviras de son trou du cul selon tes désirs.

Je continue à la molester en dépit de ses protestations. Je finis de me vider dans ses entrailles, puis je m'extirpe de ses flancs pantelants.

Le vieillard prend ma place et d'un seul élan enfourne sa bite dans son trou du cul palpitant. Il ne tarde pas à la chevaucher sauvagement. Tout le monde est surpris de le voir éjaculer cinq minutes plus tard. Tout le temps de son enculade Vicky pleure doucement. Finalement, il jaillit à son tour dans ses profondeurs, son foutre se mélangeant au mien.

L'assistance regarde silencieusement Vicky bouger ses jambes ankylosées. Avant qu'elle en termine le dernier garde s'agenouille dans son dos, descend son pantalon et son caleçon sur ses genoux et pénètre vivement sa foufoune.

Fascinés, ils regardent tous le sperme s'écouler de son trou du cul lui engluant la hampe. Alors qu'il la pénètre, il introduit du foutre provenant de son cul dans sa chatte déjà engorgée. Ses nibards dansent, épousant le rythme de ses coups de boutoir. Il avait vu la ravissante jeune femme faire des pipes, se faire encorner et enculer, cela l'avait tant excité qu'il jaillit immédiatement.

- Eh bien Sanderson que penses-tu de tout ça? Aimes-tu voir d'autres hommes sauter ta femme? Je suppose que non! De toute manière on s'en fout. Elle viendra nous satisfaire chaque semaine jusqu'à ta libération. Si l'on n'est pas satisfait de ses services, Boone aura une nouvelle fiotte à enculer. Toi bien sûr.

Le gros sergent ordonne aux gardes de reprendre le travail et s'assoit alors que j'aide ma femme à se relever. Elle fond en larmes dans mes bras :

- J'ai mal, si mal. Pleurniche-t-elle à mon oreille.

- Je t'aime ma chérie.

Elle commence à se rhabiller lorsque le gros sergent l'arrête.

- Jimmy, où es-tu? Demande-t-il dans le combiné téléphonique.

- J'arrive. Répond Jimmy.

- Sanderson, je vais te demander un service. Depuis des années on se partage les faveurs des épouses de prisonniers. Il s'est toujours fait les meufs que je venais de baiser, et réciproquement. Il sera bientôt là. Maintenant qu'on est d'accord, il te protégera.

Je vois alors entrer Jimmy et Boone. Je regarde le gros sergent et je dis :

- Pas lui. C'est lui qui en a après moi.

- Ça t'étonne n'est-ce pas? Eh bien maintenant il va te protéger. Aussi longtemps que ta femme nous obéira sagement. Que veux-tu Boone? L'interroge le gros sergent en souriant à pleines dents.

Le colosse noir s'approche de la femelle blonde et s'assoit à mes côtés. Se tournant vers moi il m'avise :

- Je veux baiser ta femme! Jimmy m'a dit qu'il t'avait cassé le cul. T'as aimé ça Sanderson? Je parie que oui! Dit-il n'escomptant pas de réponse.

- Eh bien c'est mon tour maintenant! Je vais la baiser avec la plus grosse queue qu'elle ne verra jamais. Elle ne pourra plus jamais se satisfaire de ta chétive petite saucisse.

Se relevant, il se débarrasse de son pantalon.

- Viens ici salope! Dit-il lui attrapant les tétons.

- Bordel, ta poitrine est magnifique, n'est-ce pas Sanderson? Ouais tu sais bien comment sont ses nibards! Ses tétons sont érigés. Dit-il en les pinçant durement.

Elle recule cherchant à échapper à son emprise. Le colosse attire Vicky à lui, la traînant par les cheveux.

- Ne fais plus jamais ça salope. La menace-t-il rageusement.

Elle se met à trembler. Il saisit ses deux mamelons entre ses doigts et les pince vicieusement. Cette fois Vicky ferme les yeux, elle accuse la douleur. Il la pince jusqu'à ce qu'elle se mette à hurler et le supplie de cesser. Il lâche ses mamelons et pelote avidement ses seins.

- Ils sont vraiment magnifiques, je pourrai jouer avec pendant des heures. S'esclaffe Boone.

- Tu n'as qu'un quart d'heure avant qu'elle ne nous quitte. Elle revient la semaine prochaine. Le prévient alors le gros sergent.

Boone cesse son pelotage et la saisit par ses mèches blondes. Il s'étend sur le sol et l'attire sur lui. La tenant toujours par ses cheveux, il la force à s'accroupir et de se positionner au-dessus de sa bite. Elle tâtonne à la recherche de la monstruosité de Boone pendant qu'il la maintient contre lui, tirant douloureusement les cheveux.

Finalement, ayant trouvé son monstrueux gland, elle cherche à l'insérer dans son vagin. Tenant l'énorme bite à la racine elle essaie de l'enfouir dans sa chatte, encore et encore, mais n'y parvient pas, la différence de taille étant trop grande.

- Je n'y arrive pas. Dit-elle sourdement cessant toute tentative.

Boone lâche sa chevelure et elle s'assoit sur lui. Elle relève ses fesses et se positionne sur l'énorme gland qui presse le centre de sa féminité. Il est très long et très épais, jamais elle n'a vu une bite de cette taille hors norme.

Il se plaque contre son dos et la regarde tenter de lubrifier son gland en le frottant entre ses babines poisseuses. Elle y parvient en promenant son gland, puis sa hampe dans ses replis marécageux, elle se frotte de bas en haut sur toute la longueur de son gourdin, sans se faire pénétrer. Sa bite ne fait qu'effleurer l'ouverture de sa caverne.

Elle poursuit ce petit jeu pendant plusieurs minutes. Je circule autour d'eux et je vois sa moule secréter des flots de cyprine. Fasciné je regarde le spectacle de son petit cul nacré orné d'une blonde toison, se lever et s'abaisser le sur la grosse hampe noire. Je m'excite à la vue de ce spectacle obscène.

Vicky prend alors sa bite en main et la place à l'entrée de sa grotte inondée. Elle n'a pas encore sa bite en elle, elle l'excite sous nos yeux ébahis, elle l'excite au point de le faire gicler. Cela faisait des années qu'elle se livrait à ce petit jeu avec moi, et j'adorais ça.

Elle commence alors à pousser vers le bas. L'énorme bourgeon s'insère lentement entre ses babines alors qu'elle gémit sourdement. Elle s'abaisse encore sur sa bite, lui souriant de toutes ses dents. Elle l'excite cet homme qui me bat si cruellement depuis deux mois.

Je me penche pour mieux voir et voit la monstruosité noire disparaître peu à peu dans le vagin distendu de ma femme.

Elle arrête lorsqu'elle pense qu'elle ne peut pas aller plus loin et elle commence à le chevaucher comme elle l'aurait fait d'un étalon. Elle se défonce sur sa queue. J'adorai quand elle me faisait cela, toutefois, elle ne pourra pas s'empaler totalement sur cet énorme pieu noir.

Il la pelote pendant qu'elle le chevauche, lui massant ses gros nichons, lui pinçant tendrement les mamelons à chaque frôlement de sa poitrine.

Elle s'arque sur les talons et grommelle :

- Ooooohhhhhh!

Cet étranger la fait jouir. Elle se fait baiser par l'homme qui me frappe depuis des mois.

L'entendant jouir, Boone jouit à son tour. Il projette jet après jet son immonde jus au fin fond de son utérus, s'enfonçant jusqu'à heurter le col de son utérus. Il extirpe sa bite de sa chatte pantelante et lui interdit de bouger.

- Sanderson, viens ici et fais-toi sucer par ta femme qui vient de se faire prendre par un vrai mâle!

Je me lève et m'approche d'eux. Elle m'embouche alors qu'elle vient de se faire baiser par mon tourmenteur et qu'ils ont tous deux joui sous mes yeux. Et voilà qu'il veut me voir gicler dans la bouche de ma femme alors qu'il se presse encore tout contre sa chatte blonde. Le gros sergent intervient alors :

- Allez les gars, le spectacle est terminé, vous devez regagner vos cellules.

Boone lui jette un regard menaçant et dit :

- Mon nouvel ami doit d'abord jouir dans le bec de sa femme!

Il se sent proche de moi, je le sais. La bite de Boone est à nouveau érigée, Vicky s'assoit dessus. Je pense que cet homme vient d'utiliser mon innocente femme et d'en abuser en face de moi, et j'ai dû assister impuissant à son viol.

Alors que cette réalité s'impose à moi, je vomis des torrents de foutre dans sa gorge accueillante. Comme d'habitude elle avale tout. Je me vide les couilles dans sa bouche, puis je me retire.

Debout auprès d'elle, j'aide Vicky à se démancher de la grosse bite noire. Je dois tirer fort car elle est véritablement empalée sur lui, un plop sonore et elle est libérée.

Alors qu'elle se tient à ses côtés, chancelante, du foutre s'écoule lentement de sa chatte luisante sur la poitrine de l'homme. Je l'aide à se tenir droite, du foutre s'égouttant sur le sol. Il lui ordonne de lécher le sperme s'étalant sur sa poitrine. Elle s'abaisse et obéit léchant la flaque de foutre qui englue son torse.

Le gros sergent laisse retomber son pantalon sur ses chevilles et clopine vers elle haletant comme un chien. Elle ne l'a pas vu arriver dans son dos alors qu'elle s'apprête à lécher la flaque de foutre souillant le plancher.

Elle le sent lui saisir les hanches pour la pénétrer à nouveau. Après avoir enduré un sexe monstrueux, la bite de ce dernier ne lui fait ni froid ni chaud. Elle ignore cette intrusion dans son ventre se bornant à terminer le nettoyage du sol.

Le gros porc se met à trembler convulsivement et injecte une nouvelle dose de foutre dans l'utérus de ma femme asservie. Il ne reste que quelques secondes en elle, puis il se retire, se redresse et dit à Jimmy de nous ramener dans nos cellules respectives.

Vicky me prend dans ses bras et m'embrasse tendrement me disant qu'elle m'aime, puis elle se retourne et commence à se rhabiller.

- Et moi? N'aurai-je pas droit au baiser d'adieu? Réclame Boone.

A moitié vêtue, Vicky s'approche de lui. Elle veut lui donner un bisou sur la joue, mais il se retourne vers elle et l'enlace étroitement, puis il enfonce profondément sa langue dans sa bouche l'explorant jusqu'aux amygdales. Elle se tient les mains le long du corps et se laisse faire.

- On se reverra bientôt chérie. Lui dit-il alors que Jimmy nous emmène.

Boone me dit que désormais il sera mon protecteur, mais qu'il veut baiser ma femme chaque semaine en guise de remerciement.

- Ce sera toi ou ta femme. Je baiserai l'un de vous deux. Me prévient-il en regagnant sa cellule.

Jimmy, me ramenant en cellule, me confie à quel point il est heureux de s'être fait faire une cravate de notaire par ma femme. Il ajoute que de toutes les femmes de détenus qu'il a baisées, c'est la mienne qui a la plus belle poitrine, et comme je rentre dans ma cellule, il poursuit :

- La semaine prochaine je l'enculerai moi aussi! T'es d'accord Sanderson?

******************************

Le lendemain je discute avec quelques amis du viol de ma femme. Je suis surpris d'apprendre qu'ils s'en sont pris à la plupart des femmes de détenus toujours de la même façon.

Ils emploient toujours les mêmes procédés. Ils créent de toutes pièces un problème fictif et ils font chanter les femmes en mettant en balance la sécurité de leurs maris.

- Et personne n'a cherché à faire cesser ce manège? Quelqu'un veut-il vraiment faire cesser ces chantages? Questionné-je aigrement.

- Et que pourrions-nous faire? Demande l'un d'eux.

- Nous y avons bien pensé, nous avons cherché des solutions, se plaindre? Mais la vie de la prison repose sur eux. Aussi que penseraient les autorités de nos plaintes? Qui croiraient-ils? Et s'ils vont violer nos femmes dans nos maisons en représailles. Ils intimident tout le monde et savent comment s'y prendre pour nous éliminer.

- Ils sont déjà allés chez vous? Je ne le savais pas. Iront-ils chez moi? Demandé-je troublé.

- Tu peux le craindre! J'ai vu ta femme. Ils iront chez toi s'occuper d'elle. Réplique-t-il sombrement.

- Bordel! M'écrié-je. Il faut que je prévienne Vicky! Elle ne s'y attend pas. Je leur casserai la gueule. Je le jure.

- Tu n'as aucun moyen de la contacter avant demain. Et encore faudra-t-il que tu obtiennes l'autorisation de téléphoner! Répond mon ami rageusement et il ajoute :

- Et on ne t'a pas encore tout dit! Ils filmeront ta femme pendant qu'ils s'amuseront avec elle. Puis ils montreront le film aux amateurs de films pornos de la prison. Tout le monde pourra voir ta petite femme se faire baiser. Ils se branleront en regardant la cassette. Ta femme se fera violer et ces hommes se branleront à ce spectacle. Tout le monde est impatient de voir ta femme nue se faire violer.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

bon récit bien détaillé une suite devrait être fabuleuse( avec la femme d'utre prisionnier)

CocuforeverCocuforeveril y a presque 7 ans

Fameuse fiction, j'attends la suite pantalon baissé!!

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