Possession

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En temps de guerre.
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Rainett
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«À qui appartiens-tu, femme?» demanda l'officier.

Émeline a résisté à la tentation de lancer un regard de mépris au grand mâle noir Algonien. Il pouvait la frapper pour beaucoup moins que cela. Elle s'est contentée de démêler son foulard de soie autour de sa gorge, pour lui révéler sa honte. Un collier en cuir rouge épais, avec une plaque indiquant le nom de son propriétaire, le Général Katanga.

Le cuir rouge signifiait qu'elle était la chienne d'un haut dignitaire. Généralement, les gardes qui tenaient les points de contrôle aux sorties de la ville, en voyant le nom du tyran inscrit sur sa plaque, rectifiaient instantanément leur posture. Le Général Katanga était le leader des troupes d'occupation, le plus brutal du secteur. Il n'avait jamais aucun scrupule, aucune honte, ni aucune pitié.

Son propre frère, Arkham, avait été interné à sa demande dans une ferme de rééducation idéologique, simplement parce que la femme de son frère lui plaisait beaucoup. Arkham était mort là-bas, affamé, épuisé, désespéré, tandis que sa femme, tombée en disgrâce, était rejetée dans un bordel à soldats.

Le mari d'Émeline avait subi le même sort. Le Général Katanga ne s'encombrait pas de savoir-vivre lorsqu'une femelle blanche lui plaisait. Il la voulait, il la prenait. Tant pis pour le mari. Les premières années d'occupation, les maris frappés et terrifiés avaient été maintenus en place pour servir leurs ex-épouses blanches. Puis, progressivement, la technologie avait pris le dessus. D'abord les colliers de chien, électrifiés, mais il fallait surveiller les mâles, et garder la télécommande en main.

Alors maintenant, Patrick, le mari d'Émeline, était équipé d'un implant sous la peau à l'arrière de son crâne. Les électrodes connectées directement à la source, au cerveau. Pas de télécommande, la puce, programmée par l'esprit du maître, surveille et corrige les transferts de pensées en temps réel.

Si le maître est irrité par son esclave, le flux de pensées s'arrête. La fréquence cardiaque ralenti, l'automatisme de la respiration s'arrête. Vous pouvez penser à respirer, mais pas longtemps. La fatigue prends le dessus, vous devez dormir, et vous ne vous réveillez plus.

Désormais, Patrick était parfaitement servile. Il regardait le maître noir baiser Émeline, sans états d'âme, coopérant volontiers dans les scènes les plus immondes ou cruelles. Il ne pouvait se résoudre à provoquer le moindre mécontentement de son maître. Après tout, cette salope d'Émeline prenait du plaisir avec la grosse bite du maître.

«T'es la salope du Général Katanga?» un mélange de mépris et de respect sur le visage. C'était un athlète puissant, d'une beauté sauvage, le genre d'étalon qui faisait mouiller Émeline, maintenant qu'elle s'était abandonnée au sexe noir.

Émeline attendait que l'officier prenne sa décision. Émeline regardait son amie Carole être entraînée par les gardes. Carole n'était pas la salope d'un officier. Elle appartenait à un sergent, un petit grade qui ne protégeait pas sa femelle de la fougue des soldats. Si vous n'êtes même pas la salope d'un officier, vous n'êtes rien, juste une femelle livrée aux hommes de troupe. Aussi, les soldats de la garde l'entouraient maintenant.

Penchée en avant sur le capot de leur véhicule, la robe troussée autour de la taille, ils avaient écarté le fragile tissu de sa culotte pour pouvoir la toucher. Un par un, les soldats sortaient leurs grosses queues noires en se caressant. Les plaisanteries grasses fusaient entre les rires énervés, Carole agitant ses fesses pour les encourager.

Émeline les regardait faire, les gémissements de Carole avaient fait place à des grognements gutturaux, puis à des cris aigus de bête blessée. Les gars se succédaient sans répit. Ils se soulageaient dans la blanche chatte, puis revenaient prendre leur tour. Un manège sans fin. Des grognements, des cris, ses seins qui se balancent librement dans son ample chemisier, le son clair d'une claque qui s'abat sur la fesse, et tout ce sperme qui coule le long de ses cuisses.

À vrai dire, Émeline était envieuse. Son amie Carole avait beaucoup de bite noire depuis qu'elle était la femelle du sergent. Quand il avait des invités. En public, elle s'offrait, toujours consentante. Combien par semaine? Souvent. Depuis qu'elle s'était convertie au sexe noir. Elle était conditionnée pour ça. Elle en voulait de plus en plus. Rien ne la rebutait, ni le nombre, ni la taille, ni la position. Du moment qu'elle était baisée ...

Émeline s'était inquiétée pour elle : «T'es qu'une putain de salope! Tu n'as même pas peur des maladies, ou de tomber enceinte?»

«Pas de risque» avait rigolé la jeune femme «Ils injectent un sérum aux troupes chaque semaine. Ça tue tous les désordres et augmente leur taux de testostérone. Ils sont tous en manque, à la recherche de putains de femmes comme moi!»

«Il te baise tous les jours?» l'officier voulait savoir. Un putain de salaud, arrogant, insolent, avec une bite à la place du cerveau. Mais si masculin, beau comme un dieu, athlétique et puissant.

«Non» répondit-elle à contrecœur. Le Général Katanga ne la baisait pas souvent. Il la montrait. Il l'affichait. Il l'utilisait comme récompense lorsque des gens lui rendaient service, se montraient complaisant. Il punissait les récalcitrants et récompensait les plus dociles en leur offrant la salope blanche.

Lorsqu'il trouvera une fille plus jolie, plus salope, il engrossera Émeline, et elle ira rejoindre son harem, son cheptel où ses femmes tombées en disgrâce élèvent sa nombreuse progéniture. Et cet enculé de Patrick, son mari, il le débranchera. Tout simplement.

Penchée sur le capot du véhicule, Carole exultait. Incapable de résister à la demie-douzaine de grosses bites noires gonflées de testostérone qui la besognaient à tour de rôle, elle nageait en pleine luxure. Elle avait regardé les gardes avec mépris lorsqu'ils avaient vérifié son laisser-passer. Peut-être les avait-elle provoqués avec ce regard, en tout cas elle allait avoir du mal à marcher dans les magasins, ruisselante de sperme, au côté de son amie Émeline.

L'officier a suivi le regard d'Émeline : «Elle aime ça, cette salope!» Émeline jeta un autre coup d'œil à son amie. Elle ne pouvait pas prétendre le contraire. Carole avait une grosse bite noire à la place du cerveau. Elle avait réfléchit à la meilleure façon de s'adapter aux forces d'occupation des Algoniens. Il n'y avait pas de ressentiment. Les menaces, les coups, les persécutions, rien de tout cela ne convenait à Carole. Elle s'était tout simplement soumise à la suprématie de la bite noire, le sceptre de l'envahisseur.

L'ordonnance du Premier ministre de remettre leurs armes aux troupes d'occupation, de se soumettre à l'Ordre Nouveau, rien de tout cela n'avait pénétré l'esprit de Carole. Elle s'est tout simplement offerte à la bite noire.

«Elle a un mari?» demanda l'officier. Un mari! Question stupide que les noirs Algoniens utilisaient rarement ces temps-ci. Cela ne signifiait plus rien du tout. Chaque foyer où vivait une jeune femme désirable servait de cantonnement aux maîtres noirs. Ils étaient partout chez eux, la lance toujours en batterie ...

«Ils l'ont tué quand il a voulu résister. Ils l'ont noyé dans l'étang du jardin.» Répondit Émeline, les yeux humides. Elle n'était pas présente, ce jour-là, mais elle le savait. Le sergent le racontait souvent, en rigolant. Cela avait contribué à retourner le cerveau de Carole. Les gardes la baisaient à tour de rôle, lorsque Martin, son mari, avait surgi. Perdant son sang-froid, il s'était jeté sur eux.

Quatre gardes s'étaient saisis de Martin et lui avaient plongé la tête dans l'étang du jardin, pendant que le sergent introduisait sa bite dans la chatte de Carole. Le mari et la femme suffoquaient en même temps, mais pas pour la même raison. Ils ont dit à Carole que lorsque elle a poussé son premier cri de jouissance, son mari rendait son dernier souffle.

«Je suis désolé pour eux» a dit l'officier.

Émeline l'a dévisagée, étonnée et incrédule qu'il dise cela. Une émotion bienveillante? Chez un Algonien? Ces noirs sauvages et féroces pouvaient-ils ressentir des émotions? Étrange ...

Émeline dévisageait son interlocuteur. Un lieutenant. Elle aimait son allure, sa prestance. Et le renflement de son pantalon, entre les jambes. L'officier la dévisageait aussi. Il aimait visiblement son apparence. Le chemisier montrait plus qu'il ne cachait. Un zip frontal fermait la jupette juste en dessous de son pubis. Pas besoin de faire beaucoup de mouvement pour qu'elle dévoile ses charmes. Une simple brise suffisait.

La mâchoire de l'officier se serra. Il avait affaire à une pute de haut vol. Elle était construite pour faire baver d'envie les soldats noirs et les esclaves blancs qui n'avaient pas le droit d'y toucher. Elle était dressée, éduquée, pour faire bander les dignitaires. C'était une de ces chiennes cruelles, dangereuses, toute dévouée au cruel Général Katanga.

Émeline regrettait que le mari de Carole, Martin, soit mort trop tôt. Ce n'était pas nécessaire de le tuer aussi cruellement. Patrick, son mari, était maintenant parfaitement conforme. Il exécutait instantanément toutes les pensées de son maître, comme un robot. Il avait appris à accepter que la bite noire était meilleure pour sa femme.

L'officier poursuivait ses idées : «Tu as besoin d'une baise, toi aussi?»

Elle lui décocha un regard meurtrier! Ce petit officier méritait une réprimande. Elle pouvait le faire punir. Elle s'approcha tout près de lui pour lui demander à voix basse :

«Tu oses demander? Tu cherches les problèmes?»

«Peut-être. Peut-être que tu pourrais. Mais peut-être que tu en as marre de tous ces vieux croûtons que tu dois éponger, et que tu as envie de te faire culbuter par un vrai mâle, pour une fois ...»

L'officier humait le parfum capiteux de la belle Émeline. Les narines exercées du jeune noir distinguaient, à travers les effluves parfumées, l'odeur caractéristique de la chatte enfiévrée. La salope avait besoin d'un coup de bite, il en était sûr.

Émeline regarda Carole. Les gardes l'avaient tous honorée au moins une fois. Maintenant, ils faisaient cercle autour d'elle. Accroupie, de la bouche et des mains, elle redonnait de la vigueur aux membres défaillants. Carole était insatiable, après avoir eu sa chatte bien remplie, elle voulait sa charge de sperme dans sa bouche, et sur ses seins gonflés de désir.

«Ouais, baise-moi» réclama Émeline d'une voix rauque. C'était une décision si essentielle et si soudaine. Elle était jalouse de Carole. Jalouse de son plaisir, de l'entendre réclamer plus de bite aux gardes. Cette pute prenait son pied, et elle, la princesse, devrait se contenter de faire la causette à ce jeune mâle beau comme un dieu?

C'était une pute, Carole, et ils l'avaient démasquée. Qu'est-ce qu'elle était, Émeline? Certainement pas une pute. C'était une salope qui prétendait être une pute. Elle avait appris à considérer Patrick, son mari, comme un domestique, elle avait appris à faire bander les hommes noirs. Elle baisait, mais elle ne jouissait pas tant que ça. Ce jeune noir lui donnait envie de baiser. Elle voulait être son prix, sa récompense. Elle voulait être sa conquête, comme Carole.

L'officier la conduisit à l'intérieur du bâtiment qui servait de point de contrôle. Ce n'était, en réalité, qu'un hangar en tôles disjointes, poussiéreux et en désordre. Une table avec une machine à café, quelques tasses mal égouttées. Et surtout, dans un coin, un vieux matelas crasseux où ils «interrogeaient» les femelles qu'ils contrôlaient.

«Tu vas te plaindre au Général Katanga?» Lui demanda le jeune homme, en caressant ses nichons par-dessus le fin tissu de son chemisier.

«Cela dépend...» murmura-t-elle en lui offrant ses lèvres.L'officier avait une grande bouche, aux lèvres pulpeuses, des dents blanches, et ses yeux bruns qui dévoraient les siens. «Cela dépend de la façon dont tu me baises...»

Il sourit en la voyant ôter son chemisier. Ses seins magnifiques se balançaient librement. Depuis combien de temps Patrick n'avait-il pas vu ses seins? Autorisé à les toucher? Maintenant, elle appartenait aux dignitaires noirs des forces d'occupation, ses seins appartenaient au Général Katanga, et il les prêtait à ses amis pour jouer avec.

«Tu détestes le Général Katanga, alors?» demanda-t-elle en ouvrant sa jupette, écartant le vêtement pour qu'il puisse voir ses bas, ses jarretelles et son pubis nu. Il pouvait voir sa chatte rasée, surmontée du tatouage indiquant qu'elle était la propriété du Général Katanga

«Ouais, et toi... tu détestes ton mari?»

«Oui» admit-elle, dans un souffle. Elle le détestait. Elle détestait qu'il lui rappelle le temps passé, un temps doux. Elle détestait sa nouvelle vie, la perte de sa personnalité, de sa liberté. Elle voulait être baisée comme Carole. Elle voulait être possédée, cajolée, abusée, dominée et remplie.

«Était-il un bon amant, avant?» Il voulait tout savoir. Là, maintenant, ses doigts exploraient son sexe ruisselant.

«Non ... Il n'a jamais été bon ... pour ça ... J'ai toujours simulé ...» admit-elle. Elle haletait, le désir lui coupait le souffle. Avant, elle n'aurait jamais pu dire ça. Mais là, elle en avait tellement besoin. Elle le regardait sortir sa lance. Superbe. Longue, épaisse, les veines couraient le long du tronc, le gland énorme, violacé, le méat qui suintait déjà. Et ses couilles lourdes, qui pendaient dessous, pleines de semence.

Elle n'a pas pu résister. Elle a glissé sa main, caressant ses contours duveteux, soupesant ses fruits mûrs.

«Et le Général Katanga, il te baise bien?» Il insistait, menait son enquête.

Elle hocha la tête affirmativement. Oui, il la baisait bien. Il était puissant, bien monté, c'était un mâle alpha, et elle aimait comme il la baisait. Elle n'aimait pas le reconnaître, mais le Général Katanga l'avait révélée. Il l'avait faite femme. Sensuelle, amoureuse, et salope. Elle avait besoin de baiser avec des noirs aussi souvent que possible maintenant.

«Alors, si je te fais crier, supplier ...»

«Oui» souffla-t-elle.

Il l'attrapa alors par ses cheveux et la força à se courber. Il crocha ses doigts dans son chignon parfaitement coiffé, l'obligeant à ce qu'elle tourne sa bouche vers sa bite : «Pute, suce-moi!» il a ordonné.

Elle lécha sa bite, crachant dessus pour l'humidifier, et la goba avidement avec ses lèvres rouges. Elle ronronnait de satisfaction. Il maintenait sa tête à deux mains, à présent, en ondulant du bassin, pour baiser sa bouche comme une chatte. Elle tirait la langue pour lui caresser le bas de son manche. À cet instant, il a retiré sa bite de sa bouche et, les doigts toujours accrochés dans ses cheveux, il l'a entraînée, courbée en deux, vers la table devant la fenêtre.

De l'autre côté des vitres sales, le visage de Carole, les yeux écarquillés, regarde avec intérêt Émeline se faire malmener par le jeune officier : «Là, oui, là, putain, baise-là, cette salope, elle n'attends que ça!»

Toute sa longueur est rentrée d'un coup. Aucun avertissement, aucun préliminaire, juste un enfouissement brutal de chair noire en elle. C'était comme si elle était empalée, embrochée, farcie. Elle couina sous sa virilité et s'accrocha du mieux qu'elle pouvait au bureau. Seigneur, elle avait besoin de ce ... putain, respire, essaie de tenir, se dit-elle alors que l'officier de la garde la labourait. Ses seins étaient écrasés sur le bureau, frottant d'avant en arrière. Elle allait et venait, sa chatte s'accrochait encore et encore à la bite qui la forait. Elle grognait, elle gémissait.

Il l'insultait, vomissait des commentaires grossiers, et elle adorait cela. Elle adorait ses insultes. Elle adorait le ton de sa voix. Elle était faite pour les baises sordides. Elle était faite pour les érections titanesques. Même si c'était un peu trop rugueux, mais quel beau spécimen.

Il attrapa ses poignets et les tira derrière elle, tandis qu'il enfouissait sa bite encore plus fort en elle. Le claquement des chairs, les grognements du mâle en rut, et les cris de la salope qui exulte.

Bouche ouverte, elle pensait qu'il allait l'ouvrir en deux. C'était l'impression que cela lui faisait. Elle pensa à Patrick et à sa petite bistouquette qui la câlinait tendrement, autrefois. C'était ça qu'elle voulait, maintenant. Être baisée comme une chienne, être traitée de salope, mais surtout être montée par une grosse bite qui lui ramonait la chatte.

«Salaud! Cria-t-elle, défonce-moi ... plus fort!»

«Putain, prends-ça, salope!» cria le sergent en jaillissant en elle.

Émeline était à bout de souffle, étalée sur le bureau tandis qu'il se vidait en elle. La tête lui tournait et sa chatte était en feu. À travers les vitres crasseuses, Carole regarda le jeune noir injecter son sperme dans la chatte de son amie. Elle regardait la façon dont le corps de sa copine glissait vers l'avant à chaque poussée brutale.

Il se retira d'elle, épuisé. Il regardait sa chatte se vider. Sa jolie petite chatte blanche, toute boursouflée, toute distendue, d'où s'échappait des flots de foutre. Une chatte bien remplie, heureuse, repue, et ruisselante de son sperme.

Il avait fini, il avait fait ce qu'elle espérait. La salope pouvait aller se plaindre à son maître, il s'en foutait, ça valait le coup. Elle avait besoin d'être prise. Elle avait besoin d'une bonne baise. Il la regarda se lever, arranger ses vêtements, se recoiffer, et dissimuler son collier en cuir avec le foulard en soie.

Elle le regarda, les yeux battus : «Qu'adviendrait-il de toi si je le disais à Général Katanga?» elle a demandé.

Il sourit douloureusement : «Mourir en héros, je suppose».

Elle acquiesça. Il avait raison. L'occupation devait être complète, brutale, la discipline devait être de fer. Il avait souillé la salope d'un dignitaire, en pénétrant dans une propriété privée.

«Je vais le dire au Général Katanga ... Je vais lui dire que tu as réussi le test. C'est toi que je veux. Il veut que je fasse des films ... Avec un étalon ... Il me fallait un mec avec une grosse bite, bien dure ... Je t'ai choisi ...»

Le jeune officier restait là, bouche ouverte, les bras ballants, se demandant si elle se foutait de lui.

Elle le fixait durement : «Nous sommes toutes là, à vous servir, les femmes blanches ... ouvrant nos jambes aux bites noires ... C'était pour ça la guerre, n'est-ce pas?»

Il hocha la tête, encore incrédule.

«Le Général Katanga veut sa vidéothèque, alors il partage ... Il m'a laissé le choix ... Choisir mon étalon! Je vais baiser avec toi chaque fois qu'il le demandera, et Patrick nous assistera. Et le Général Katanga aura ses films. Il pourra se branler en regardant sa pute se faire monter par un bel étalon!»

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1 Commentaires
horpheuhorpheuil y a plus de 3 ans
j'aime beaucoup

Y aura-t-il une suite ?

L'ambiance et la mise en place des personnages est intéressante, Ce monde mériterait d'être développé.

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