Plaisirs d'Inès - 05 (Enceinte)

Informations sur Récit
La grossesse d'Inès n'nterdit pas ses plaisirs, même tarifés.
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Partie 5 de la série de 5 pièces

Actualisé 03/24/2024
Créé 01/27/2024
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Plaisirs d'Inès - 5 (enceinte)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Inès a vraiment apprécié la soirée d'anniversaire que son mari avait organisé pour ses vingt ans. Elle avait pu, ce soir là, se faire baiser par autant d'hommes qu'il y avait de bougies sur son gâteau. Ils avaient tous joui en elle, alors que le risque était très élevé, puisqu'elle avait senti la veille l'arrivée de son ovulation. C'était d'autant plus dangereux que son mari n'avait pas sélectionné pour elle que des blancs et qu'elle avait enchaîné les orgasmes pendant toute la soirée. Le risque inconsidéré qu'elle avait pris avait amplifié ses jouissances successives. Son comportement à certains moments lui avait fait honte, mais elle n'en portait que peu la responsabilité puisque son mari avait tout organisé, tout décidé pour elle.

Pendant les deux semaines qui suivent, après de tels excès, les époux veulent s'abstenir de tout rapport sexuel. En fait, ce n'est pas tout à fait le cas, car ils leur arrive souvent de se caresser jusqu'à la jouissance en regardant le film des vingt ans d'Inès.

Un soir, au lit, Inès confie à son mari que ses règles ont déjà quelques jours de retard. Alex, qui s'y attendait, lui donne un test de grossesse. Lorsque son épouse revient, lui tendant le test, il n'a pas besoin de le regarder pour savoir que le résultat est positif. Le visage de sa femme suffit. Un médecin le confirme peu de temps après.

Depuis quelques jours, Alex sent bien que sa femme est perturbée. Quelque chose ne va pas. Le soir, au lit, il lance la discussion :

- Alex : « Quelque chose te tracasse, ma chérie? »

- Inès : « Je me demande si je dois le garder. »

- Alex : « Évidemment, mon amour. »

- Inès : « Personne ne sait qui m'a engrossée. Ma seule certitude, c'est que ce n'est pas toi, mon gentil cocu. Imagine que ce soit un asiatique ou un noir, ou pire, ce vilain clochard, comment réagirais-tu? »

- Alex : « Je serais le papa qui convient, quelque soit le père biologique. »

- Inès : « Tu dis ça, mais mon accouchement pourrait être une véritable humiliation pour toi. Comment la supporterais-tu? »

- Alex : « Je la prendrais comme un beau cadeau de toi, ma chérie. »

- Inès : « Tu es merveilleux. Je t'aime. »

- Alex : « Bon, alors tout est réglé. Autre chose te dérange? »

- Inès : « C'est que ... c'est difficile à dire ... 9 mois, c'est long ! »

- Alex : « C'est vrai mais c'est comme ça pour toutes les mères. »

- Inès : « Mais non, idiot ! Je le sais bien. Je voulais juste dire que c'était long sans relations sexuelles. »

- Alex : « A part quelques précautions, rien ne te les interdit. D'ailleurs les femmes enceintes ont souvent une forte augmentation de leur libido. Alors, toi qui n'est déjà pas mauvaise dans ce domaine ... ! »

- Inès : « Ne te vexe pas, mais avec toi, mon chéri ... ! »

- Alex : « Qui te parle de moi? »

- Inès : « Veux-tu dire que tu me laisseras prendre des amants dans mon état? »

- Alex : « Oui et même plus, puisque je t'y aiderai. »

- Inès : « Oh, merci ! C'est génial d'avoir un mari cocu et qui aime ça ! »

Une semaine plus tard, Alex explique à sa femme qu'il a loué un studio à deux rues de leur domicile. Ce sera facile pour elle de passer la nuit avec un amant avec la discrétion qu'elle souhaite. Il la conduira le soir dans des night-clubs d'une ville voisine où elle aura peu de risque d'être reconnue. Il a fait équiper le studio de caméras cachées dont il pourra voir les images via Internet sur l'écran de son bureau ou de leur maison. Une détection de mouvement fera apparaître un signal sur l'écran pour l'avertir. Alex explique à Inès que c'est pour assurer sa sécurité, mais elle se doute bien que ce n'est pas la seule raison pour un tel voyeur.

Ce vendredi soir, Alex dépose sa femme devant l'entrée d'un night-club. Elle entre seule car il sont convenus de lui laisser le champ libre pendant un quart d'heure. Cela devrait suffire pour que cette femme seule soit repérée par beaucoup d'hommes présents, tant sa tenue ne doit pas la laisser passer inaperçue. Inès à choisi un tee-shirt très fin qui moule bien sa poitrine nue et une mini-jupe plissée. Elle a si longtemps hésité sur le choix d'un string qu'elle a fini par décider de sortir 'commando', se disant qu'elle y va pour se faire baiser, alors pourquoi tergiverser. Il est vrai que, maintenant qu'elle est enceinte, Inès se sent plus femme et est plus sûre d'elle. Ses hésitations de jeune fille sont du passé. J'ai un gentil mari cocu qui veut une femme salope, alors pourquoi ne pas le satisfaire? C'est ce qu'Inès se dit, sans se cacher que ses propres envies y sont aussi pour beaucoup.

Quand Alex rentre à son tour, il voit bien que sa femme est déjà sur la piste de danse avec un grand jeune homme, assez bronzé, à peine plus vieux qu'elle et qui la serre de près. Alex ne peut entendre leurs échanges mais Inès semble apprécier sa compagnie car elle rit souvent. L'homme fait bientôt remonter sa main entre eux pour palper un sein. Inès le laisse faire et cela paraît lui plaire car, dès que son partenaire se recule un peu, les tétons sont visibles, pointant à travers le fin tissu. Puis, une main descend dans le dos, jusqu'à la taille, puis plus bas pour caresser une fesse. Le couple s'arrête un instant de danser, alors que la musique continue, pour un premier baiser qui s'éternise. L'homme profite de ce moment pour froisser le tissu de la mini-jupe dans sa main, faisant ainsi remonter le bord jusqu'à découvrir la moitié des fesses nues. Cette vue, qu'il n'est pas été le seul à avoir vu dans cet établissement bien rempli, fait bander la petite bite d'Alex, qui apprécie cet instant.

Après quelques danses de plus en plus érotiques, le couple vient s'asseoir dans une alcôve peu éclairée, au fond de la salle. Les personnes présentes ont plutôt choisi des tables proches de la piste de danse, aussi Alex n'a-t-il aucun mal à se placer seul dans une alcôve voisine. De près, il voit que le partenaire de sa femme est un jeune maghrébin, visiblement très au fait de la drague. Celui-ci a déjà passé une main sous la mini-jupe d'Inès, la relevant ainsi très haut. La pénombre rassure Inès qui ne trouve pas utile de cacher une chatte qui est bien vite recouverte par la main de l'homme qui la serre de près et profite de la situation pour glisser deux doigts dans le vagin offert. Alex est si proche qu'il va pouvoir capter tous les échanges entre eux. Il apprend ainsi que l'homme s'appelle Ali. Il est surpris d'entendre Inès se présenter sous son vrai prénom, alors qu'il lui avait suggéré un petit mensonge. Il s'étonne de l'évolution de sa femme qui ne paraît plus si timide ni si obsédée par son anonymat. Alex est attentif à leurs échanges, qui ne sont perturbés que par un petit bruit de clapotis dont il connaît bien l'origine :

- Ali : « Ma belle, tu viens toujours danser sans culotte? »

- Inès : « Oh, non, mais j'en avais envie aujourd'hui. »

- Ali : « C'était pour qu'en te fasse des choses coquines, comme ce que font mes doigts? »

- Inès : « Oui ... mais ... pas seulement ... »

- Ali : « Peut-être voulais-tu te faire baiser? »

- Inès : « On peut dire ça. Avais-tu d'autres idées? »

- Ali : « On peut dire ça aussi ... »

- Inès : « Voudrais-tu que je suce cette chose très longue et très dure que je sens sous ma main? »

- Ali : « Bien sûr, mais j'aimerais aussi sentir ma queue bien serrée dans ... ton petit cul. »

- Inès : « Je ne te dis ni oui ni non, mais peut-être ... T'occuperas-tu aussi de ma chatte? »

- Ali : « Je te fais la même réponse que toi. Ce que je préfère c'est sodomiser les femmes, surtout si elle sont un peu réticentes, comme toi. »

- Inès : « Ali, tu es un gros cochon pervers ! »

- Ali : « Peut-être aimes-tu ça ... comme toutes les salopes? »

- Inès : « Devine ! »

Pour l'aider à le savoir, Inès repousse les doigts qui lui fouillent le vagin, pour s'asseoir carrément sur la main. Ali replie alors le majeur qu'il introduit dans l'anus d'Inès, qui laisse échapper un petit cri de plaisir. Alex, aidé par la conversation qu'il a entendue, devine ce qui se passe dans la pénombre de l'alcôve voisine et manque d'éjaculer dans son pantalon.

« Et bien, on ne s'ennuie pas, ici », dit la voix forte d'un homme que la couleur de peau n'a pas permis à Inès et Ali de découvrir plus tôt dans la pénombre de l'endroit.

« Salut, Abdou », dit alors Ali, « Viens t'asseoir à côté de nous. Cette meuf canon s'appelle Inès. »

Celle-ci se retrouve serrée entre les deux hommes et ne fait rien pour cacher sa chatte découverte. Je suis devenue la reine des salopes, se dit-elle, sans en avoir la moindre honte. Sa libido de femme enceinte a pris le dessus.

« On partage? », questionne alors le grand noir, qui n'attend même pas la réponse de son copain pour prendre le visage d'Inès dans ses mains et l'embrasser fougueusement.

Se sentir prise ainsi sans avoir eu à donner son avis excite beaucoup Inès. Déjà un gros doigt d'Abdou s'enfonce dans un vagin trempé. Inès, fouillée des deux côtés est à la limite de la jouissance. Elle sent bien que, si elle laisse faire ces deux hommes hyper excités, il vont la prendre là, devant de nombreux spectateurs et elle ne peut pas faire ça ! Alors, elle prétexte un besoin pressant pour leur échapper. Elle passe devant son mari et lui dit très discrètement :

« Je vais leur demander de m'emmener au studio. Rentre à la maison et regarde sur ton écran. Cette nuit, je ne serai pas sage du tout, alors profite. Je ferai ça pour mon plaisir mais aussi pour celui d'un cocu que j'adore. »

Dès son retour, Alex démarre son système de voyeur. Quelques minute plus tard sa femme arrive avec les deux hommes. Elle est vite mise nue par ses partenaires qui se débarrassent aussi de leur vêtements. Sur l'écran, Alex remarque la taille imposante des sexes masculins. L'activation à distance des zooms de certaines caméras lui permet de mieux voir ce qui rend sa petite chose honteuse. Le pénis d'Ali est fin mais d'une longueur étonnante, avec plus de 25 centimètres, lui semble-t-il. Quant à la grosse bite d'Abdul, la longueur paraît la même, mais c'est le diamètre qui surprend, large comme un poignet. Comme si cela ne suffisait pas, le gland déborde comme un gros champignon de la taille d'un poing fermé. Alex s'inquiète pour sa femme si fine. Mais cette inquiétude ne l'empêche pas d'avoir envie de voir la suite, comme en témoigne cette petite bite bien bandée qu'il a sortie et qu'il astique lentement.

Pendant qu'Inès branle la grosse bite noire d'une main qui n'arrive pas à en faire le tour, elle suce le long membre d'Ali qui vient vite buter au fond de sa gorge. Alors l'arabe fait placer Inès couchée sur le lit, sur le dos, le tête renversée en arrière, tout au bord. Il sait que cette position aligne bien la gorge d'Inès dans laquelle il veut enfoncer son membre. Il force et Inès se met à hoqueter. Elle étouffe à moitié, mais l'homme n'en a cure. Inès voudrait lui échapper, mais, entre ses jambes maintenues écartées par Abdul, la grosse langue de cet homme envahit délicieusement sa chatte.

Il serait dommage d'arrêter une soirée qui s'annonce si excitante, se dit-elle.

Inès essaie alors de se décontracter et enfin le long sexe s'enfile dans sa gorge. Elle trouve vite une nouvelle façon de respirer. C'est heureux car Ali se déchaîne, ramonant sa gorge avec force et rapidité. La salive abondante d'Inès lui permet de supporter ce coït anormal. Son excitation l'aide aussi, car la main d'Abdul vient de remplacer sa langue et c'est un gros poing fermé qu'il introduit dans un vagin dégoulinant, avant de pistonner violemment. On ne sait si les cris d'Inès, à demi étouffés dans sa gorge obstruée, sont de douleur ou de plaisir.

Lorsqu'ils la libèrent, Abdul se couche sur le lit, tenant son gros membre bien vertical, alors qu'Ali soulève Inès comme si elle ne pesait rien et vient la positionner au-dessus du sexe de son copain, tournée vers ce dernier. Les lèvres de la chatte viennent juste caresser le gros gland. Inès sait qu'elle veut cet énorme engin en elle. Son envie est trop forte pour s'inquiéter de sa taille peut-être trop importante pour elle. Inès croise le regard d'Abdoul où elle lit l'envie qu'il a de la prendre ou plutôt de la défoncer. Elle semble n'être pour lui qu'un jouet sexuel mais cela ne l'humilie pas. Au contraire, cette impression l'excite, aussi appuie-t-elle un peu sur ce gros sexe qui n'est devenu qu'un jouet pour elle également. Ses lèvres vulvaires s'écartent légèrement mais peinent à laisser entrer ce trop gros gland. Elle va y aller progressivement, s'arrêtant dès que la douleur sera trop forte. Son mari voyeur s'inquiète en regardant l'image qu'il a cadrée sur l'entre-jambes de sa femme. Inès s'applique à y aller doucement, certaine qu'elle va finir par y arriver.

C'est sans compter sur Abdul qui s'impatiente et fait un signe à son copain Ali. Ce dernier place alors ses mains sur les épaules d'Inès et presse de toutes ses forces vers le bas. L'entrée brutale du sexe, planté jusqu'aux couilles, arrache un hurlement à Inès. Alex se demande s'il ne devrait pas foncer au studio et arrêter tout ça. Il est prêt à partir lorsqu'il entend un long râle de sa femme, un râle qui ne peut être que de plaisir. Alors Alex reprend son poste de voyeur, la main autour de sa petite bite.

Inès sent la forte pression du gland sur le col de l'utérus et cela l'inquiète dans son état, mais elle se dit vite qu'à ce stade de sa grossesse son corps n'a pas encore changé, alors c'est elle qui décide de coulisser sur ce pieu qui lui dilate le vagin si délicieusement. Elle veut contrôler la situation et se demande donc si elle ne devrait pas leur avouer son état, mais Abdul semble juste la laisser faire à sa guise, aussi renonce-t-elle à ses confidences. Heureuse de ce moment de plaisir, Inès se penche sur le corps d'Abdul pour river ses lèvres aux siennes pour un interminable baiser où leurs langues se cherchent, se mêlent, se caressent.

Dans cette position, la croupe cambrée d'Inès est un appel auquel l'arabe ne peut résister. Alors Ali crache entre les fesses d'Inès, qui sursaute d'autant plus qu'elle sent un gland presser immédiatement sur son anus. Ce mouvement inattendu l'inquiète et pourtant elle se cambre encore plus pour faciliter cette double pénétration. Inès accompagne cette longue intrusion lente dans son fondement par des râles de plaisir. Elle ne s'est jamais senti si pleine, si remplie. Abdou reste immobile alors qu'Ali fait de longs et lents vas et viens. La peau qui sépare les deux conduits féminins est si fine que, pour Abdou, c'est comme si le sexe de son copain frottait sur son membre. Tous deux ne sont pas loin de la jouissance, mais c'est déjà le cas pour Inès qui enchaîne les orgasmes jusqu'à une sorte de feu d'artifice lorsque l'éjaculation simultanée des deux hommes éclate. Depuis son poste de voyeur, Alex les accompagne dans une même jouissance.

Après un moment de torpeur du trio, Alex entend sa femme dire :

« C'était trop bon, mes chéris ... On recommence? »

Cette fois, les deux hommes permutent leurs positions. Lorsque l'énorme bite noire s'introduit dans l'anus d'Inès, c'est trop pour elle qui crie :

« Non, non, non ! Arrête ! Arrête ! »

Abdul n'a pas de raison d'obtempérer, puisqu'il sent bien qu'Inès pousse ses fesses vers lui, en parfaite contradiction avec ses demandes. Sa poursuite de cette conquête annale a deux résultats : dans son bureau, Alex vient de retrouver une petite bite toute bandante sous sa main, malgré son éjaculation récente, et Inès commence à murmurer :

« Oui, vas-y, vas-y ... jusqu'au bout. »

Inès redit cette phrase en boucle, passant progressivement du murmure au cri. Elle se sent partir dans une jouissance quasi permanente, tant elle apprécie d'avoir deux beaux membres en elle. Les hommes se contentent de la laisser faire. Inès est déchaînée. Elle leur fait encore atteindre la jouissance et, après seulement quelques minutes de repos, les surprend en disant :

« Je n'arrive pas à savoir ce qui était le mieux entre cette fois et la première ... On recommence? »

Abdoul lui répond :

« Laisse-nous un moment pour récupérer, ma belle. On n'est pas des robots. »

Inès, trop heureuse de pouvoir encore espérer une folle jouissance, ne s'insurge même pas quand Ali lui dit :

« Tu es vraiment un incroyable vide-couilles ! »

Ce n'est qu'à l'aube qu'ils 'remettent le couvert' avec une troisième double pénétration qui laisse Inès toujours indécise, les trois hommes étant maintenant épuisés. Oui, les trois hommes, car son mari est dans le même état après trois éjaculations en une nuit, prouesse pour son âge avancé.

Le lendemain soir, Inès invite de nouveau les deux hommes dans son studio pour de nouvelles festivités sexuelles. Son mari voyeur va devoir reprendre sa semaine de travail plus fatigué qu'avant le week-end.

Les hormones d'Inès sont à un tel niveau qu'elle ne peut attendre le week-end suivant. Deux fois dans la semaine elle se fait emmener au night-club par son mari, qui passe encore des nuits blanches à regarder sa femme se faire prendre par deux hommes, voire trois à la fois.

Puis, cette fréquence ne suffit plus à Inès dont la grossesse la fait sombrer dans la nymphomanie. C'est tous les soirs qu'elle se fait maintenant emmener au night-club. Elle vit la nuit et dort toute la journée. Inès voit vite que son pauvre mari, qui doit travailler le jour, est au bout du rouleau, aussi lui dit-elle un soir :

« Mon chéri, je ne veux pas t'épuiser. Tu n'auras plus besoin de me conduire chaque soir. J'ai laissé l'adresse du studio au patron du night-club, où je suis maintenant bien connue, par mon prénom seulement, évidemment. Il m'enverra au studio tous ceux qui en auront envie. Comme ça, tu pourras me regarder avec tes caméras quand tu te sentiras en forme. C'est l'idéal, n'est-ce pas? »

« Oui, j'apprécie que tu fasses ça pour moi », lui répond Alex, « mais ... ne pas avoir choisi le ou les hommes ne te gêne-t-il pas, ma chérie? »

« Tu sais », explique Inès, « c'est un peu comme si je faisais la pute et ... je crois bien que ça m'excite. »

Évidemment, arrive ce qui devait arriver dans ces conditions. Peu d'hommes présents au night-club ont envie de refuser une telle aubaine. Dès la première soirée, lorsque la sonnette de son studio retentit, Inès se trouve face à une vingtaine d'hommes. Elle ne peut refuser et doit subir des pénétrations de toutes sortes. Ne plus rien contrôler l'angoisse, mais sa libido n'en est qu'à demi freinée et elle enchaîne tout de même les jouissances. C'est maintenant son tour d'atteindre l'épuisement. Les derniers baisent une Inès endormie.

Là encore, Inès se repose de nouveau sur son mari, qui négocie un arrangement bien rémunéré avec le patron du night-club. Celui-ci filtrera les hommes admis, en limitera le nombre à trois et enverra même son videur assurer la sécurité. Tout se passe au mieux pour Inès qui profite maintenant de tous les plaisirs, sans crainte. De temps en temps, Alex s'octroie une nuit de voyeur lorsqu'il s'en sent capable.

Tout paraît pour le mieux dans le meilleur des mondes, enfin au moins jusqu'au moment où le ventre d'Inès commence à bien montrer son état.

Celle-ci paraît perturbée au point d'avoir arrêté ses rencontres au studio, ce qui étonne Alex. Un soir, au lit, celui-ci entame la discussion :

- Alex : « Tu ne vas plus au studio, ma chérie. Aurais-tu un souci? »

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