Plaisirs d'Inès - 02 (Dogging et +)

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Inès sait bien qu'en ne donnant que de petites caresses manuelles à son gentil mari, elle est loin de le remercier comme il conviendrait de la belle vie qu'il lui offre, des caresses qu'il lui prodigue à sa demande et surtout des exhibitions perverses qu'il organise pour elle. C'est aussi très agréable de sentir le pouvoir qu'elle a sur son mari lorsqu'elle le prive en permanence. Mais il est vrai qu'elle se sent elle-même un peu frustrée : ses doigts et la langue de son mari ne lui donnent qu'un plaisir limité. Pourra-t-elle longtemps se passer d'une vraie pénétration? Pourra-t-elle se contenter de ses exhibitions pour atteindre l'orgasme? Ne pourrait-elle pas prendre un peu plus d'initiatives, comme son mari le souhaite? Toutes ces questions traversent l'esprit d'Inès sans trouver de réponse. Elle finit par se dire qu'elle devrait essayer de faire un effort dans le sens souhaité par ce mari qui l'aime tant.

Aujourd'hui, c'est la Saint-Valentin. Inès et Alex ont décidé de passer une soirée en amoureux en se faisant livrer, par un traiteur, un dîner de grande classe. Inès a choisi de porter ce soir une robe blanche très décolletée. Elle n'a pas mis de soutien-gorge pour offrir une vue encore plus excitante à son mari. Elle a hésité à ne rien mettre du tout sous sa robe, mais elle a fini par se décider à porter une petite culotte de dentelle blanche, se disant que son mari prendrait certainement plaisir à la lui enlever.

Avant le repas, le couple fait son échange de cadeaux. Chacun a choisi d'offrir quelque chose qui devrait évidemment plaire à son conjoint, mais pas seulement. C'est un peu comme si chacun se faisait aussi, de fait, un cadeau à lui-même. Inès offre à son mari un abonnement à un site qui propose des films pornographiques. Alex a choisi pour sa femme une nuisette très sexy et presque transparente. Inès la met tout de suite à la place de sa robe. Ce ne sera pas seulement un essayage car le regard de son mari, où se lit son désir, l'encourage à garder cette tenue pour leur soirée. Alex préfère lui aussi se changer pour une tenue décontractée qui conviendra bien pour visionner son cadeau après leur dîner. Il choisit donc de ne porter qu'un pyjama de soie.

Assis sur le canapé du salon, ils partagent un apéritif de fête. La bouteille d'un champagne de luxe est bientôt bue aux trois quarts par les deux amoureux, qui en partagent le goût dans des baisers passionnés. La tenue d'Inès attire les caresses de son mari, qu'elle repousse car c'est un peu tôt pour ça, en lui disant :

« Ne t'inquiète pas. Je m'occuperai bien de toi après notre bon dîner, quand nous regarderons ton cadeau », phrase confirmée par une main qui se pose sur le bas ventre d'Alex.

Inès sait bien que, dans cette perspective, son mari va bander pendant tout le repas. Le faire ainsi attendre excite Inès, qui se délecte de son pouvoir sur lui.

Lorsque la sonnette de l'entrée retentit, Alex dit à sa femme :

« Ce doit être le livreur de notre dîner. Tu devrais aller ouvrir, ma chérie. »

« Dans cette tenue, tu n'y penses pas ! », s'insurge Inès.

« Pour une exhibitionniste comme toi, c'est tout à fait possible », insiste Alex.

Alors Inès suit l'envie que lui transmet sa chatte qui se mouille instantanément. Elle va ouvrir la porte. Le jeune livreur manque de faire tomber tous les paquets qu'il porte, mais il se ressaisit vite pour suivre Inès sur le chemin de la cuisine. Il indique comment bien réchauffer certains plats mais ses explications sont peu claires. La vue qu'il a devant lui l'empêche de mettre en ordre ses idées.

En même temps que sa femme allait ouvrir la porte, Alex s'était levé discrètement pour aller dans le couloir où une grande glace lui donne une bonne vue sur la cuisine avec peu de risque d'être découvert. Il a passé une main sous son pantalon de soie et caresse doucement son sexe. Il se demande si sa femme va enfin oser exploiter un peu cette situation excitante.

Comme les explications du livreur sont pour le moins confuses, Inès le questionne comme quelqu'un qui n'y comprendrait rien. Elle veut évidemment faire durer ces instants qui l'excitent. Lorsque le livreur a terminé, Inès le fait attendre pour ouvrir un tiroir et y chercher un pourboire. Elle fait semblant d'être surprise en l'ouvrant et dit alors :

« Oh, je suis désolée, je n'ai plus du tout de monnaie ! Comment pourrais-je vous remercier de toutes vos explications? »

« Cela ne fait rien, madame, ce n'est pas nécessaire ... j'ai eu grand plaisir ... à vous ... voir », lui répond le livreur en insistant sur ce dernier mot.

Alors, Inès qui, dans ses exhibitions, n'a toujours été que passive, ose un geste qui la surprend elle-même. Elle pose sa main au bon endroit sur le pantalon du livreur et serre le sexe tendu à travers le tissu, en osant dire :

« C'est vrai. Il me semble bien que vous avez eu plaisir à me voir. »

Sans lâcher sa prise, Inès se serre contre lui et lui offre sa bouche. Pendant un long baiser où leurs langues se mêlent, le jeune homme profite de la situation pour palper un sein à travers la nuisette. Un coup d'œil de côté fait découvrir à Inès l'image de son mari dans la glace. Elle apprécie d'avoir un voyeur et prolonge son baiser. Elle sait bien que son mari a l'envie perverse qu'elle le fasse cocu. Puis elle se dit qu'un vrai cocufiage passe par l'adultère classique où la femme trompe son mari sans qu'il le sache.

Alors Inès entraîne le livreur vers un coin de la cuisine qui ne sera pas visible via la glace. Elle ouvre tout de suite la braguette qu'elle sent sous ses doigts et en sort un membre d'une belle longueur. Elle relève sa nuisette et baisse un peu sa petite culotte. Elle guide alors le gland humide vers les lèvres de sa vulve déjà bien trempée. Elle le frotte à cet endroit en pressant un peu pour écarter ses lèvres. Le jeune homme commence alors un mouvement de va et vient qui s'accélère. Dans cette position debout, une pénétration n'est pas possible. A un moment, Inès ressent l'envie d'un coït profond et elle est prête à se coucher sur la table de la cuisine. Cependant, deux raisons la retiennent : à cet endroit, elle serait vue par son mari, et elle est au tout début d'une période dangereuse. Pour tromper son mari comme une vraie femme adultère, elle ne va rien lui montrer. Un risque limité suffira à son excitation. Aussi Inès se recule-t-elle et, de ses deux mains, baisse un peu sa culotte en l'étirant.

Le jeune homme a compris son attente. Il se met à se branler rapidement, son gland placé juste au-dessus de la culotte. Il est si excité qu'il atteint très vite la jouissance. Le sperme vient napper abondamment l'entre-jambes. Inquiet de risquer d'être surpris, le livreur se rajuste rapidement, alors qu'Inès remet en place sa petite culotte en la tirant bien vers le haut.

Inès le congédie par un :

« Je crois que c'est suffisant comme pourboire ! »

« Excusez-moi, madame, je me suis laissé emporter », répond le livreur, qui ajoute avant de partir :

« Quand vous commanderez un autre repas, demandez à être livré par Nathan. Je me ferai un plaisir de vous apporter tout ce dont vous avez besoin. »

Dès le départ du livreur, Alex vient serrer sa femme dans ses bras, en lui disant à l'oreille :

« Tu as été très excitante, ma chérie, ... comme une petite cochonne. »

« Tu as vu ce que j'ai fait ! Je ne sais pas ce qui m'a prise. Je t'ai trompé, mon chéri ... j'ai honte ! »

« Tu m'aurais trompé si je ne t'avais pas donné mon accord et si tu étais allée beaucoup plus loin ... comme je l'espère », corrige Alex.

Inès se dit : si il savait? Elle se sent bien dans ce rôle de femme adultère ou du moins dans ce début. Elle a l'impression d'un pouvoir nouveau qui lui plaît beaucoup. Avec un sourire, elle lui répond :

« J'ai la chance d'avoir un adorable mari, si compréhensif ... mais ... c'est vraiment un gros porc ! »

Le bon dîner est encore l'occasion d'échanger non seulement des paroles amoureuses mais quelques nourritures qu'ils font passer d'une bouche à l'autre. La bouteille de champagne est bientôt vide et une autre ouverte. A la fin du repas, ils sont tous deux bien éméchés, ce qui explique quelques nouveaux échanges peu raisonnables. Au dessert, Alex trouve que certains petits fruits manquent un peu de goût, aussi les fait-il passer dans le vagin de son épouse avant de les partager.

Après le repas, le couple s'installe confortablement sur le canapé, car Alex veut se connecter à son site cadeau. Avant de regarder un film pornographique avec sa femme, Il veut être dans les meilleures conditions, aussi baisse-t-il son pantalon pour libérer son sexe, dont s'empare la main d'Inès. Pour lui rendre la pareille, Alex pose la main sur la petite culotte, juste à l'entre-jambes. Ce contact le fait sursauter et s'écrier :

« Mais tu est complètement trempée, là ! »

Les explications nécessitent des échanges :

Inès : « Peut-être un peu, oui », alors qu'elle relève sa nuisette et baisse un peu sa culotte.

Alex : « Tu m'as trompé, salope. »

Inès : « Pas vraiment. Tu vois bien que ce n'est qu'à l'extérieur ! »

Alex : « Non, regarde, il y a des traces de sperme sur ta chatte ! Tu es au début d'une période dangereuse, n'est-ce pas? »

Inès : « Oui, c'est vrai, mais il n'y a pas de risque. Ce n'est que très superficiel. »

Alex : « Crois-tu vraiment? », et son regard montre plus d'excitation que de crainte.

Inès : « Sauf si je faisais ça, évidemment », alors qu'elle tire si fort sa culotte vers le haut que le tissu abondamment englué de sperme sépare complètement les lèvres et y reste coincé.

Alex : « Une petite culotte aussi tachée, il vaut mieux la retirer, n'est-ce pas? »

Inès : « Oui, mon chéri. Peux-tu t'en occuper? »

Alors Alex, avec ses deux mains fait descendre précautionneusement la petite culotte de quelques centimètres, à peine plus bas que les hanches, se gardant bien de déloger le tissu coincé à l'entre-jambes. Puis, il pince les deux lèvres vulvaires entre pouce et index, très fortement. Sans relâcher sa pression, Alex tire la petite culotte vers le bas jusqu'à ce que le tissu coincé soit libéré. Il montre alors à sa femme l'entre-jambes de la petite culotte en lui disant :

« Regarde ! Elle est presque propre. Il n'y a plus de sperme dessus ! », phrase qui déclenche un fort orgasme chez sa femme.

Alex se dit que cette soirée de Saint-Valentin commence vraiment bien et il n'a pas l'intention d'en rester là. Il se connecte au site, sélectionne un film et en envoie l'affichage au grand écran face à eux.

Les premières images montrent un couple, comme eux, l'homme nettement plus âgé que son épouse. Ils font l'amour, nus, sur un grand lit. La femme semble y prendre du plaisir mais sans atteindre l'orgasme. Alex interrompt l'affichage lorsqu'il entend sa femme dire :

« Tu as vu le sexe de l'homme. Il n'est pas plus gros que le tien, mais bien plus long. Tu crois qu'il ont choisi un acteur particulièrement ... comment dire ... bien monté? Ou serait-ce le tien qui serait, disons, un peu au-dessous de la moyenne? »

Inès serre dans sa main, qu'elle a faite passer sous le pantalon de son mari, un sexe bien bandé mais effectivement assez court. Après un moment d'hésitation, Alex finit par admettre son problème :

« Je crois bien que mon sexe est un peu au-dessous de la moyenne. Oui, on peut dire que j'ai une petite bite. »

Inès se met à rire et dit :

« Une petite bite, c'est mignon, ça ! Je pourrais t'appeler 'petite bite'. Qu'en penses-tu? »

« C'est un peu humiliant pour moi », répond Alex, « mais, si ça te fait plaisir et reste entre nous, pourquoi pas? »

« Merci 'petite bite' », conclut Inès, alors que son mari relance l'affichage du film.

Sur l'écran, on voit successivement deux gros plans sur les mains de l'un et de l'autre pour que les alliances soient bien visibles, montrant qu'il doit s'agir d'un couple marié. Un grand colosse noir, également nu, s'approche et tape sur l'épaule du mari, qui se retire alors pour aller s'asseoir dans un fauteuil. Le nouvel arrivant pénètre la femme avec un sexe énorme. Le coït qui commence paraît tout en force. Sa partenaire montre son plaisir par des cris de plus en plus fréquents. L'homme est endurant. Il amplifie et accélère ses mouvements. Le mari, dans son fauteuil se branle frénétiquement, tant il paraît excité par ce que subit sa femme. La scène se termine par la jouissance simultanée des deux partenaires, suivie par un nettoyage en due forme, par le mari cocu, de tout le sperme qui s'écoule du vagin de sa femme.

Le film a visiblement bien plu à Inès et Alex, qui se sont caressés mutuellement tout en regardant. C'est Inès qui a paru la plus surprise, aussi ne peut-elle s'empêcher de questionner son mari :

Inès : « C'est incroyable ! Comment un mari peut-il offrir sa femme et en être excité? Il aurait dû être jaloux ! Comment te sentirais-tu si ... c'était moi? »

Alex : « Je serais comme lui, excité et heureux de te voir prendre autant de plaisir. »

Inès : « Je ne pourrais jamais faire ça. Et puis comment pourrais-je recevoir en moi un sexe aussi énorme? Tu as vu sa longueur ! Il doit appuyer trop fort tout au fond ! Et son épaisseur ... c'est trop ! Cela doit dilater au-delà de ce qui est supportable ! Ça doit faire mal, non? »

Alex : « Je crois que, après une adaptation difficile mais rapide, les femmes qui ont essayé ne peuvent plus s'en passer. Tu devrais tenter ça. »

Inès : « Tu es fou ! Sûrement pas ! »

Malgré ses réticences, Inès est curieuse et ne peut que rester sur le sujet dans leurs échanges.

Inès : « Cet homme doit être exceptionnel. Crois-tu que tous les noirs sont comme ça? »

Alex : « Pas tous, mais il est vrai qu'en moyenne ils sont beaucoup mieux montés que nous, les blancs. D'ailleurs il paraît que les femmes qui y ont goûté ne veulent plus être pénétrées que par eux. »

Inès : « C'est vrai que, même sans rien connaître d'autre, je n'ai plus envie de ta petite bite, alors ... peut-être que ... »

Alex : « Tu sais que tu as mon accord pour toutes tes envies ... sans limite. »

Inès : « Ce n'est pas pour ça que j'aurais envie de te faire cocu, mon chéri. Pourtant, j'ai trouvé très excitant dans ce film le moment où le mari a fait ce nettoyage intime. Ça te dégoûterait, j'imagine? »

Alex : « Non, c'est tout le contraire.J'y prendrais beaucoup de plaisir. »

Inès : « Mais ça ne risque pas d'arriver. Ce serait trop risqué en étant sans contraception ! »

Alex : « C'est uniquement une question de date, ma chérie. »

Inès : « On dirait que tu cherches à me pousser dans cette direction, n'est-ce pas? »

Alex : « C'est vrai, pour notre plus grand plaisir à tous les deux. »

Inès : « Quel cochon tu es ! Peut-être un jour irai-je dans cette voie ... enfin ... juste un peu ... et seulement pour te faire plaisir. »

Les deux mois suivants sont difficiles pour le couple. Alex est accaparé par son travail qui déborde sur les week-ends. La situation financière de sa banque n'est pas au mieux et il va devoir s'en expliquer devant ses actionnaires. Il doit préparer une présentation bien étayée qui devrait montrer qu'un avenir meilleur est certain. C'est une mission difficile et très prenante qui occupe tout son temps et son esprit. Ce n'est pas le moment de penser aux expériences sexuelles.

Inès, de son côté, se retrouve avec sa seule main pour se donner du plaisir, comme pendant son adolescence. Elle n'a même pas l'occasion d'exhibitions excitantes auxquelles elle a pris goût. Les quelques possibilités pendant son travail d'hôtesse sont bien limitées. Elle n'a jamais été aussi frustrée et pendant si longtemps.

Dès sa fameuse réunion passée avec succès, Alex se dit qu'il est urgent de s'occuper de sa femme. Alors, il organise un week-end prolongé pour aller en Hollande profiter de la saison des tulipes. Inès est heureuse, conquise par ces étendues de fleurs comme nulle part ailleurs. De plus, ils logent à Amsterdam dans un hôtel de grand luxe avec vue sur un canal. Le dernier soir, ils prennent leur dîner sur une pénichette. Comme il fait très doux, Inès a mis un simple bustier qui sert de soutien-gorge et une mini-jupe sous laquelle elle porte un string. Elle s'est voulue excitante pour remercier un mari si attentionné après cette période frustrante.

Après leur repas, Alex entraîne sa femme vers un établissement qui devrait la surprendre. Il s'agit d'un théâtre érotique, dans cette ville où tout paraît possible. Inès, un peu réticente au départ, se laisse convaincre d'y entrer. Elle a été si privée de plaisir qu'elle ne peut refuser. Dans l'établissement, ils sont bien placés dans les fauteuils du premier rang. Lorsque son mari pose sa main sur sa cuisse, remontant un peu sous la mini-jupe, elle la repousse. Inès s'attendait à une pénombre comme dans un cinéma mais la petite salle est bien éclairée par la lumière de la scène. Elle dit à Alex :

« Laisse-moi, je suis trop en vue ! »

« Mais personne ne nous connaît ici, ma chérie. »

Alors elle laisse la main revenir. Elle n'y fait bientôt plus attention, tant elle est absorbée par ce qui se passe sur scène. Une belle blonde est courtisées par deux hommes assez musclés et très séduisants. Les acteurs sont vite déshabillés. Ils se couchent sur un grand lit et les deux hommes caressent la femme, sucent tour à tour une chatte complètement rasée. Puis l'un pénètre la blonde alors que l'autre lui donne son sexe à sucer.

Inès sent bien que la main de son mari remonte plus haut, mais, excitée par ce qu'elle regarde, elle le laisse faire, même lorsqu'il glisse un doigt sous le string pour venir titiller son clitoris, puis glisser le long des lèvres et enfin s'enfoncer dans son vagin.

Sur la scène, les deux hommes prennent la femme en même temps. L'un la pénètre par devant alors que l'autre la sodomise.

Inès n'a d'yeux que pour ce qui se passe devant elle. C'est pour cela qu'elle n'a pas remarqué qu'un homme, assis dans la rangée derrière elle, s'est avancé au ras de son dossier. Deux mains la font sursauter lorsqu'elles se posent sur ses épaules nues puis descendent juste au-dessus du bustier pour caresser le bord des seins. Dans un murmure, elle alerte son mari :

« Quelqu'un touche mes seins ! »

« Et bien laisse-le faire, ma chérie. Dans cette salle, personne ne sera choqué, crois-moi ! », répond Alex tout bas.

Les mains glissent sous le bustier qu'elles repoussent vers le bas, dégageant complètement les seins. Elles palpent, serrent, frôlent, pincent, alternant douceur et force. La chatte d'Inès, qui était déjà bien humide du fait du spectacle, dégouline vraiment. Alex s'en rend compte et en profite pour crocher le string et le faire descendre, alors qu'Inès se cambre un peu pour lui faciliter la tâche. Il retire le string et le met dans sa poche. Sa main remonte pour retourner fouiller la chatte de sa femme qui, excitée, écarte un peu ses jambes dans un mouvement qui fait encore plus remonter sa mini-jupe. En même temps, l'homme qui lui caresse la poitrine l'embrasse dans le cou.

Un homme qui se trouvait dans la même rangée qu'Inès se déplace pour venir s'installer sur un siège libre, juste à sa droite. Quelques secondes plus tard, elle dit tout bas à son mari :

« Chéri, tu vas rencontrer une main ... »

Effectivement Alex sent des doigts toucher le siens. Il les retire immédiatement pour donner à cet inconnu l'accès complet au sexe de sa femme, qui écarte encore plus les cuisses pour laisser les doigts l'envahir. Dans ce mouvement la mini-jupe a tant remonté qu'elle ne cache plus rien, mais Inès est trop excitée pour s'en inquiéter. Elle a du mal à retenir ses soupirs de plaisir qu'elle cherche à limiter pour ne pas perturber le spectacle qu'elle ne quitte pas des yeux.

Inès, qui ne regarde que la scène, n'a pas vu que son voisin de droite venait d'ouvrir sa braguette et de sortir son sexe. Elle ne s'en rend compte que lorsque l'homme, qui continue de lui fouiller la chatte de sa main gauche, attire vers lui le bras de sa voisine avec sa main droite. Un regard de côté permet à Inès de voir ce qu'il attend. Elle n'hésite pas à prendre en main le membre de son voisin et à le branler lentement, tout en regardant encore le spectacle. Puis, se tournant légèrement vers son mari, elle lui murmure à l'oreille :