Piss Contest

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Perdus aux USA , mais 'The show must go on'.
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Pour mon travail, je dus partir trois semaines aux état-unis avec une collègue.

Étant tous les deux célibataires, cela ne nous posait pas de problème particulier.

Jeanne était une belle femme 'bien en chair' comme on dit chez nous, c'est-à-dire qu'elle avait des formes épanouies et une poitrine avantageuse.

Je la connaissais depuis trois ans et nous étions devenus au fil du temps des amis très proches, sans jamais être allé plus loin.

Le samedi soir, nous déambulions dans les quartiers populaires de la ville quand nous tombâmes en arrêt devant un cabaret ou une affiche était placardée.

Tonight 10 pm-

Annual Open Competion of Couple-Omorashi -

20 $ entrance

5,000 $ to win

Nous ne connaissions pas du tout ce qu'était l'omorashi. Nous essayâmes, dans notre anglais maladroit de nous renseigner auprès du type à l'entrée. D'après ce que nous comprîmes, c'était un jeu qui venait du Japon et qui consistait à se retenir le plus longtemps possible de faire pipi. Il paraissait qu'il y avait des paris considérables sur les participants, un peu comme les courses de chevaux en France.

5 000 $ à gagner pour se retenir de faire pipi..., ça fit partir Jeanne d'un grand éclat de rire.

« Moi, si on m'avait payé 5 000 $ à chaque fois qu'il a fallu que je me retienne, je serais millionnaire »

Nous avions pas mal picolé tous les deux et nos inhibitions étaient un peu tombées, je ne trouvais rien de plus malin à cet instant que de la provoquer.

« Ben, allons-y, allons leur montrer ce que valent les Frenchies »

Elle me fixa avec un regard narquois.

« Chiche »

Il ne fallait pas m'en dire plus et en la prenant par le bras, je rentrais dans le cabaret.

Le type à l'accueil avait un accent épouvantable et nous ne comprîmes rien à ce qu'il nous expliquait. À la fin, il nous fit remplir et signer à tous les deux un papier. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi je devais en remplir un aussi mais dans le doute.

On nous conduisit dans les loges. Il y avait là une demi-dizaine de couples, certains nus, d'autres en train de se déshabiller. Devant notre étonnement en français, une grande femme nous prit à partie avec un fort accent québécois.

« Des Frenchies, ici...on aura tout vu, qu'est-ce-que vous faites là? »

Je voulus faire un trait d'humour pour cacher notre totale incompréhension de la situation.

« Bonjour, ben on a vu de la lumière alors on est entré »

Elle partit d 'un rire franc.

« Vous vous appelez comment? »

« Pascal »

« Et votre femme? »

« Euh...je ne suis pas sa femme, je suis juste une collègue, je m'appelle Jeanne »

Elle eut un air consterné.

« Vous n'êtes pas sa femme? »

« Euh...non »

Elle éclata à nouveau de son rire sonore.

« Vous, les Français, vous me surprendrez toujours...vous êtes très libérés sur certains plans »

Ce fut à nous de nous la regardez de manière perplexe sans comprendre ce qu'elle nous disait. Elle vit tout de suite notre embarras.

Elle redevint plus sérieuse.

« Mais dites-moi, vous savez ce que vous allez faire ce soir? »

« Euh...ben non, pas vraiment »

Elle leva les yeux au ciel d'un air catastrophé.

« Mais,le guy, à l'entrée, il ne vous a pas expliqué? »

« Ben si, mais on a pas tout compris»

« Et vous avez signé les papiers? »

« Oui »

« Vous êtes fous...on ne signe jamais des papiers qu'on ne comprend pas...maintenant, vous ne pouvez plus reculer »

Elle commençait à m'énerver avec ses non-dits.

« Bon...expliquez-nous exactement de quoi il s'agit »

« C'est un concours d'Omorashi en couple »

« Oui, ça j'avais compris, on doit se retenir tous les deux de pisser, c'est ça? »

« Euh...oui, enfin c'est un peu plus compliqué »

« Expliquez-nous les règles s'il vous plaît »

« OK, c'est assez simple...L'homme est allongé sous la femme et a un tuyau fixé a son pénis qui aboutit dans un bocal. La femme boit de l'eau, de manière contrôlée, et le gagnant est le couple qui remplit le bocal en dernier. »

« Euh, je ne comprends pas, c'est la femme qui boit et c'est l'homme qui pisse? »

« Oui, c'est un travail de couple »

Je blêmis en croyant comprendre.

« Vous voulez dire que, quand la femme ne peut plus se retenir...elle pisse dans la bouche de l'homme? »

Elle eut l'air soulagé par ma prise de conscience.

« Oui, exactement...plus la femme se retient, moins l'homme boit...et plus l'homme se retient, et plus ça dure...c'est ça le Couple Omorashi »

Nous nous regardâmes avec Jeanne atterrés. Je repris le premier mes esprits.

« Non, mais attendez, nous on n'avait pas compris ça...on n'est pas d'accord »

Elle me regarda d'un air compatissant.

« Oui, mais vous avez signé...vous pouvez toujours essayer de discuter, mais je pense que c'est juste du temps perdu »

« Oui, et si je m'en vais maintenant? »

« Si on vous laisse partir, ce qui m'étonnerait, vous aurez perdu au moins 10,000 $ »

« 10,000 $ ...mais je ne les ai pas »

« Bon, écoutez Monsieur...vous vous êtes mis dans de sales draps...Avez-vous déjà bu de l'urine? »

Je fus stupéfait par sa question.

« Mais non, jamais »

« Il va falloir vous y faire. Le bocal à remplir fait environ un litre. Ça représente pas mal de pipi de Madame. »

J'étais ébahi par ce qu'elle me disait. Il était hors de question que qui que ce soit me pisse dessus. Fou de rage, je me précipitai vers l'accueil. Je fus très rapidement saisi par deux vigile, qui devaient représenter à eux deux plus de trois fois mon poids, et qui m'emmenèrent dans un grand bureau. J'attendis plusieurs minutes avant qu'un homme d'une cinquantaine d'année, vêtus avec beaucoup de style, entre dans la pièce. Il s'adressa à moi en anglais. Je lui répondis comme je pouvais dans mon pauvre américain. Il changea alors immédiatement pour s'adresser à moi dans un français parfait.

« Quel est votre problème Monsieur »

Devant le calme Olympien qu'il affichait, je compris que ma colère était idiote et qu'il me fallait négocier le plus calmement possible. Je pris mon temps pour respirer profondément avant de lui répondre.

« Bonjour Monsieur, je suis ravi de rencontrer quelqu'un qui parle français. Mon problème, c'est que moi, et l'amie qui m'accompagne, n'avions pas du tout compris les règles de votre jeu et que, maintenant que nous les avons apprises, nous n'avons aucune envie d'y participer »

« Je vous crois, Monsieur, et je pense comprendre votre désarroi...c'est votre première fois? »

« La première fois de quoi? »

« Que vous buvez de l'urine »

« Oui...euh non, je ne veux pas boire de l'urine »

« Monsieur, je vous comprends et sachez que je compatis, mais il est trop tard. Les paris ont déjà été ouverts et votre forfait nous coûterait extrêmement cher. »

« Mais si je faisais exprès de perdre! »

« Essayez, Monsieur...essayez...Vous voulez que je vous donne un conseil, vous n'avez plus le choix alors, 'à toutes choses, malheur est bon' comme vous dites vous autres les Français. Vous allez découvrir une autre facette de votre femme. »

« Mais Jeanne n'est pas ma femme »

« Vous n'êtes pas mariés? »

« Non»

« Elle l'est? »

« Non, non plus »

« Alors, vous avez l'occasion de partager un moment d'intimité...et de gagner 5 000 $...De toutes façons, vous n'avez pas le choix...au lieu de vous révolter et de chercher un moyen de vous en sortir, acceptez »

Il me serra la main cordialement, et j'ajoutais une dernière question.

« Mais, je n'ai jamais fait ça...si je ne le supporte pas...si je vomis. »

Il me fixa d'un regard étrange, à la fois décidé et paternel.

« Ça arrive parfois, aux débutants, c'est très désagréable pour tous le monde, la femme en premier lieu bien sur...mais ne vous inquiétez pas, ça passera »

Son argument avait porté...je ne voulais pas faire vivre cela a Jeanne. Je me rendis compte à cet instant que je venais d'accepter intérieurement le fait de boire la pisse de Jeanne. Et que je ne voulais pas que cela lui fut désagréable.

Il ajouta d'une voix sèche.

« Allez Monsieur, ne faites pas d'histoires, c'est un mauvais moment à passer mais nettement moins mauvais que si vous nous fissiez faux bond »

Son visage s'éclaira d'un large sourire

« Et puis, qui sait, peut-être que vous aimerez ça en fin de compte »

Les deux vigiles me prirent par les bras et m'emmenèrent dans les loges. Elles étaient à présent vides. Les deux hommes me demandèrent de me déshabiller et me firent passer une sorte de peignoir en nylon comme ceux qui habillent les boxeurs à leur entrée sur le ring.

L'un des deux hommes s'adressa à moi.

« Wanna go to the toilet? »

« Euh no, thank you »

« You should Sir, it's just an advice »

Comprenant ou il voulait en venir, et en repensant aux 5 000 $ de prime, j'acceptais son offre

« OK, I go »

On me conduisit ensuite dans une immense salle.

Une dizaine de fauteuils en bois étaient insérés dans les murs, tous occupé par des femmes assez âgées, sans doutes entre quarante et soixante ans. Cela ressemblait un peu à l'image que je me faisais de la chambre des Lords, en Angleterre.

Le reste de la salle était occupé de, peut-être ,deux cents ou trois cents personnes. Le vacarme était assourdissant.

Sept bancs larges et bas avaient été dressés entre les sièges en bois. Sur chacun d'eux, reposaient des liens en cuir et une sorte de manchon en plastique relié à un bocal gradué.

À leur tête, un siège de toilette rembourré, surélevé d'une cinquantaine de centimètre par rapport au banc, et doté d'une sorte d'énorme entonnoir transparent.

Je remarquai alors les autres hommes debout à côté des bancs, vêtus comme moi d'un peignoir.

Il restait un banc libre...on m'y conduisit et les deux vigiles s'éclipsèrent.

Je restai là un moment, ne sachant trop quoi faire, le cœur battant à l'idée de ce qui m'attendait. Je regardais les autres hommes...ils semblaient se toiser les uns les autres et l'image des boxeurs me revint à l'esprit...tous avaient le même regard brillant.

Une voix de stentor retentit soudain dans les haut-parleurs.

« Ladies and Gentlemen, Welcome to the fifth annual open couple omorashi contest... »

Je ne compris pas bien le reste du discours qui dura quelques minutes avec les variations de tons que seuls savent prendre les speakers américains.

Un certain silence s'était fait dans la salle durant l'intervention, puis ce fut un déchaînement d'applaudissements et de sifflements.

Je restais là, un peu abruti par le bruit. J'avais de plus en plus l'impression de vivre un rêve. Je ne pouvais pas être là sous les projecteurs, à moitié nu devant ce banc, alors que cette foule bruyante m'observait.

Le speaker reprit la parole :

« Now, quiet please...the show begins »

Brutalement, le silence se fit dans la salle...j'avais les oreilles qui bourdonnaient encore du tintamarre précédent.

J'ai toujours été stupéfait par la discipline des Américains. Autant ils peuvent faire n'importe quoi quand on les laisse libres, autant ils respectent à la lettre les instructions qui leur sont données.

Le silence dans la salle se fit pesant. Tout le monde semblait attendre quelque chose.

Des jeunes femmes légèrement vêtues entrèrent et se dirigèrent vers nous

L'une d'entre elle me fit me dévêtir, et m'allonger sur le banc. Elle et me lia avec les liens en cuir les mains, les chevilles et le torse. J'essayai pour tester les liens, je ne pouvais pratiquement plus bouger. Je trouvais ça un peu inutile puisque si j'étais là maintenant, ce n'était pas pour m'enfuir Puis, elle m'enfonça délicatement dans la bouche l'orifice caoutchouté du large entonnoir attenant au siège de toilette et je sentis qu'elle introduisait mon pénis dans le manchon qui me serrait un peu...ce qui, à ma grande honte, commença à me faire bander.

J'étais immobilisé et la seule chose que je pouvais apercevoir au travers du plastique transparent de l'entonnoir était le plafond noir de la salle, encadré par le cadre ovale du siège de toilette. À nouveau, l'impression de rêve me submergea.

J'entendais des bruits diffus dans la salle...comme un doux murmure. Le temps passa, et je retrouvais un peu de mon calme.

Brusquement, une femme s'assit sur le siège. Je ne voyais que son cul, mais je savais que c'était Jeanne. Je ne l'avais jamais vu auparavant, ne serait-ce qu'en tenue légère et j'avais maintenant son sexe, entouré de poils bruns, et son anus entre-ouvert à quelques centimètres de mes yeux. À nouveau, je me sentis bander dans l'étui qui m'enserrait. Je n'avais jamais pensé à Jeanne comme une éventuelle amante mais la vision de son sexe à peine voilée par l'entonnoir de plastique ne manquait pas de m'exciter.

Le speaker reprit la parole.

« Now, the first drink...one liter »

Je vis le cul de Jeanne bouger un moment..et puis revenir à sa place...et le temps passa...j'essayais d'observer chaque détail, c'était la première fois que je prenais le temps d'observer attentivement le cul d'une femme, même si le plastique de l'entonnoir m'en cachait certaines parties. Je commençais quand même à m'ennuyer quand le speaker reprit la parole.

« The second drink...one liter »

Je vis à nouveau Jeanne bouger, puis se remettre en place. Elle venait de boire deux litre d'eau et je compris, aux mouvements de son corps, qu'elle devait déjà avoir du mal à se retenir.

Le temps passa à nouveau. J'observais que Jeanne bougeait de plus en plus nerveusement sur son siège. Le brouhaha dans la salle semblait s'être amoindri. sans doute y avait-il moins de personne à présent.

« The third drink...one liter »

Je vis à nouveau le cul de Jeanne se déplacer un instant et revenir à sa place.

Trois litres d'eau... je savais qu'elle n'allait pas pouvoir se retenir longtemps...et j'avais du mal à déterminer si j'appréhendais ou si j'attendais cela.

Le temps passa à nouveau...je voyais Jeanne se trémousser de plus en plus frénétiquement sur sa chaise.

Et tout à coup, cela arriva. Jeanne pissa. Cela commença par un léger filet qui coula le long de sa chatte. Puis très vite, ce fut un jet puissant qui rebondit contre les parois de l'entonnoir.

Et l'urine chaude m'arriva dans la bouche. Elle avait un léger goût acide mais ce n'était pas aussi désagréable que je l'aurai imaginé. L'idée d'absorber l'urine de Jeanne me révoltait plus. Pourtant,je finis par avaler ce breuvage chaud et un peu acre.

Et le speaker repris

« Fourth...one liter »

La soirée se passa ainsi, par moment Jeanne se mettait à pisser et je buvais sa miction. Il n'y avait plus aucun bruit dans la salle. Je résistais au maximum à ma propre envie de pisser qui était maintenant ma seule préoccupation.

Je perdis peu à peu la notion du temps, buvant de l'urine chaude et me retenant d'uriner moi-même le plus longtemps possible.

J'entendis vaguement le speaker.

« Fourtheenth ...one liter »

Et je me relâchai...pissant comme un fou et savourant la tension disparue de ma vessie.

Cela dura ainsi longtemps...puis on vint nous désentraver.

Jeanne partit la première, puis on me détacha pour me reconduire dans la loge. La femme qui m'avait accompagné, une blonde d'une trentaine d'année m'interpella.

« D'you want to vomit?»

« Euh...no, thank you...the more difficult is back »

« Ya...for newbies, you were great...you're third »

Je la regardais un instant, elle avait un regard admiratif. Elle pensait vraiment ce qu'elle disait. J'avais été bon pour avoir bu l'urine de ma collègue. Et je partis d'un grand rire nerveux.

Comment pourrais-je la revoir demain...et les autres jours...et travailler avec elle?

Je me rhabillais devant cette fille qui pouvait avoir dix ans de moins que moi.

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4 Commentaires
omrougeomrougeil y a plus de 2 ansAuteur

fassiez serait plus juste que fissiez (faute de frappe).

fassiez est la seconde personne pluriel du subjonctif présent du verbe Faire, fissiez celle du subjonctif imparfait.

Mais il est vrai que les correcteurs orthographiques sont peu à l'aise avec les subjonctifs

CocuforeverCocuforeveril y a plus de 2 ans

D'accord avec les deux commentaires précédents; ce qui m'amène à penser qu'il y aura un développement à venir

Assas78Assas78il y a plus de 2 ans

Oui pas très intéressant. Aucun érotisme, aucun retour de la partenaire et du lendemain et quelques fautes de français :

"moins mauvais que si vous nous fissiez faux bond". Non mais "moins mauvais que si vous nous faites faux bond ".

Fissiez n'est pas français, tout correcteur automatique sur internet vous l'aurait indiqué.

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Dommage qu'on ne sache pas comment Jeanne a vécu cette situation.

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