Pieds et Poings Liés

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Journal intime de mon initiation aux arts érotiques.
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Le début de la décadence

Je ne me suis pas lancée par hasard dans le BDSM. Pour moi, tout a commencé à cause d'un homme dont j'étais éperdument amoureuse (ma première et dernière relation sérieuse). Il s'appelait Adrien. C'était un homme brun, svelte, pas très musclé, mais son corps était harmonieux. Qu'est-ce que j'aimais le regarder nu quand j'y repense... Au début de la relation, nous étions un couple classique. Puis, Adrien a voulu pimenter les choses. Voyant qu'au lit nous commencions à tourner en rond, j'ai accepté. De plus, j'étais curieuse des envies d'Adrien.

Pour commencer, Adrien m'a simplement demandé d'acheter une tenue en cuir moulante, puis un cosplay de Totally Spies et de policière. Cela nous a amusés un mois, puis il m'a fait voir un film du nom de « Cinquante nuances de Grey » et m'a demandé ce que j'en pensais (à l'époque, je ne soupçonnais pas d'être amateur de ce genre de fantasme). Il me semble avoir répondu un truc dans ce style : « Tu sais... je ne suis pas attirée par les fantasmes de Christian Grey, mais je comprends qu'un homme puisse prendre du plaisir à dominer une femme de la sorte. Pourquoi tu me demandes ça? Tu voudrais que je sois ton Anastasia Steele? [Rire] » Il m'avait alors répondu qu'il préférait que je sois son Christian Grey. Au début, j'ai ri (peut-être par gêne), mais voyant que ses yeux attendaient une réponse, j'ai essayé d'esquiver en lui rétorquant : « Je n'y connais rien au BDSM », « Tu ne prendras jamais ça au sérieux » et « Je ne sais pas ce que c'est d'être une maîtresse ». Mais il a insisté, et je crois qu'une partie de moi voulait quand même essayer. C'est comme ça que nous avons débuté une relation BDSM, surtout intime, parce que nous étions tous les deux mal à l'aise à l'idée que nos proches l'apprennent.

Je me souviens de cette période comme l'une des plus fastes de ma vie. En tant que maîtresse, je m'améliorais de jour en jour, et lui me comblait plus en tant que soumis que quand notre couple était « classique » (rien que d'y penser, cela m'excite de nouveau). Lorsque notre couple fut bien accommodé par cette nouvelle hiérarchie, Adrien m'avoua qu'avant de me rencontrer, il était déjà soumis à une certaine Lucie avec qui il était resté en bon terme. Il essaya de me préciser que ce n'était pas une ex, mais pour moi, cela avait tout l'air de l'être. Enfin, il me dit qu'elle revenait dans la région et qu'il aimerait bien la rencontrer.

J'ai alors posé mon veto de peur qu'il me trompe, même si cela m'aurait étonné. Mais après réflexion, son anniversaire était proche, et Adrien était un bon soumis qui me comblait surtout ces derniers temps. Je pris alors contact avec cette certaine Maîtresse Lucie pour lui préparer une surprise. Maîtresse Lucie était mon aînée de cinq ans, les cheveux bouclés mi-courts, brune, matte de peau. On l'imaginait parfaitement nous dominer, plus grande que moi. Maîtresse Lucie était de ces femmes qui se moquent de ce que l'on pense d'elle. Sa féminité ressortait en contraste avec son charme de domination. Elle était tout simplement jolie. Adrien avait bon goût, décidément. Elle me dit qu'elle ne voulait pas revoir Adrien si ce n'était pas pour une session de domination (elle aimait bien Adrien, mais il n'y avait que le BDSM qui les reliait). Je crus bon alors de lui expliquer que c'était moi sa nouvelle maîtresse. « Je le sais », me rétorqua-t-elle. En fait, Adrien avait mis fin à leur relation lorsqu'il a commencé à me fréquenter et ne pouvant se passer de domination féminine, il m'a fait devenir sa maîtresse.

J'accepta la session BDSM à l'unique condition que je puisse y participer également. Elle ne fut pas ravie de cette condition mais y consenti. Il fut décidé qu'on allait faire une session de domination de couple avec elle en tant que dominatrice. J'appréhendais alors cette session, car je n'avais jamais encore été soumise à quelqu'un. Le jour J arriva, et autant vous dire que ce fut inoubliable. J'avais dit à Adrien que j'avais une surprise pour lui, je l'emmena chez Madame Lucie (ma dominatrice du jour). Lorsque Madame Lucie ouvrit la porte, je vis l'excitation dans les yeux d'Adrien, mais aussi un peu de stress. Pour nous deux, c'était notre premier plan à trois, tandis que Madame Lucie avait déjà expérimenté la domination de couple...

**

Madame Lucie

Accompagnés d'Adrien, nous entrâmes dans le salon de Madame Lucie. Elle était chaussée de bottes en cuir parfaitement cirées, recouvertes de lanières, ses bottes lui remontant jusqu'aux genoux. En guise de sous-vêtements, Madame Lucie portait des caches-tétons noirs métalliques en forme d'étoiles et un string en cuir avec une fermeture éclair au centre. À la hanche, Madame Lucie portait une ceinture en cuir très fine qui lui permettait de coincer des menottes en acier (similaires à celles de la police). Enfin, elle était vêtue pour l'occasion d'une combinaison résille recouvrant ses pieds jusqu'aux épaules et aux bras. Le tout était orné par ses bijoux et son joli maquillage (un soupçon de mascara et de fond de teint et une épaisse couche de rouge à lèvres). Pour les bijoux, elle portait un collier de style gothique en cuir, ras du cou, orné d'anneaux et de chaînettes argentées. Elle portait aussi un joli bracelet : une chaîne en or très épaisse, ainsi que du vernis à ongles rouge. Cela dénotait avec notre style ordinaire, à Adrien et moi.

Le salon était classique, bien que l'on puisse deviner ce qu'il allait advenir grâce à une croix de Saint-André, un fauteuil en cuir rouge faisant face à celle-ci, ainsi que quelques caisses en plastique contenant des accessoires BDSM.

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Au bout de la laisse

Madame Lucie posa directement les bases d'un ton autoritaire : « Appelez-moi Maîtresse Lucie à partir de maintenant », « Ce n'est pas parce qu'on se connaît que je vais être plus indulgente! » et nous ordonna de nous déshabiller. C'est à ce moment que j'ai eu la bêtise de demander « moi aussi? » Madame Lucie prit alors la première cravache dont elle disposait et me tapa les fesses, les rendant instantanément rouges. « Évidemment, toi aussi, petite salope! ».

Une fois nue, Madame Lucie m'obligea à me mettre à quatre pattes à cause de mon insolence. Adrien, déjà excité, me regarda amusé (c'était la première fois qu'il me voyait soumise). Notre dominatrice nous amena des colliers de soumission. Elle donna à Adrien un collier de cuir très grand aux aspects de minerve, pendant qu'elle lui posait le collier, elle m'obligea à lui caresser le pénis sans le branler. « Je les ai achetés à l'animalerie pour les chiennes de ton genre », me dit Lucie.

Après ce rituel, notre dominatrice préférée nous ordonna de jouer à un jeu : Adrien et moi devions faire des préliminaires pendant que Lucie nous donnait des coups de fouet. Si nous réagissions à ses coups, alors elle nous fouettait de plus belle jusqu'à ce que nous arrêtions de la calculer. Puis un deuxième jeu, c'était une sorte de rôle-play dans lequel j'étais une chienne et Adrien mon propriétaire me promenait dans tout l'appartement. Madame Lucie donnait des ordres à Adrien qui devait me dresser afin de satisfaire notre maîtresse. Ce fut l'expérience la plus humiliante de ma vie. Après coup, je compris que ces jeux avaient surtout pour but d'enlever le malaise qu'une séance à trois pouvait procurer.

Vers la fin du jeu, je dus boire de l'eau et manger des croquettes pour chien dans une gamelles, puis Madame Lucie voulut que je lui lèche et renifle ses bottes comme une bonne petite chienne. C'est à ce moment-là que je commençai à être excitée.

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Comme une chienne

Pour la deuxième partie de la session, Madame Lucie me mit un vibromasseur dans le vagin, puis demanda d'attacher Adrien à la croix avec des bracelets en cuir. Alors que je lui passais les bracelets, je sentis le jouet vibrer à une intensité très élevée et me gêner pour l'attacher. Cela fit rire Adrien, mais je pense que son comportement déplut à Madame Lucie, qui me demanda de le faire taire avec un bâillon. Une fois attaché, je devais embrasser et sucer Adrien du bout des lèvres de manière à l'exciter sans le satisfaire. Je me mis à genoux et commençai lorsque Madame Lucie vint m'aider pour la première fois. Adrien était tellement excité qu'il eut des petites érections de sperme que j'avala goulûment. Ce jeu me rendit la chatte humide puis avec Lucie, on se redressa devant Adrien et elle m'ordonna de tendre mes bras vers elle. Elle me passa les menottes qu'elle portait à sa ceinture pour me les mettre (elle les serra assez fort).

Madame Lucie s'assit dans le fauteuil et ouvrit sa fermeture éclair. Elle tira d'un coup sec ma laisse, je me mis à quatre pattes malgré moi (les mains jointes à cause des menottes). « Bouffe-moi la chatte comme tes croquettes de merde, sale chienne! » m'ordonna Madame Lucie. Je m'exécutai, mais à vrai dire, je ne sais pas si ce fut génial, car mis à part une expérience alcoolisée au lycée avec une amie, je n'ai jamais touché à un autre vagin que le mien (mon seul avantage était d'être une femme). Pour autant, je fis de mon mieux. Alors que j'entendais Adrien gémir de plaisir, je me rendis compte que ma performance faisait entendre de légers « smac -- smac! » mais je ne pus m'attarder sur ce détail car mon vibro se mit à se manifester. Nous sommes restés dans cette position un bon quart d'heure, je pense. C'est alors que Madame Lucie (qui commençait à sérieusement prendre du plaisir) me tira ma laisse, me faisant ainsi remonter mon visage vers le sien. Pendant que je remontais ma tête, je continuai de lécher et d'embrasser. Sous ma langue, je sentis la chaleur de sa peau, mais aussi le relief du résille qu'elle portait. Puis je sentis un objet métallique pointu se décrocher au passage de ma bouche. Je compris alors que c'était son cache-téton gauche. Madame Lucie et moi nous mîmes à nous embrasser. Elle continuait de tirer sur ma laisse comme si elle voulait que nous fusionnions.

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Shampoing à l'oméga 3

Alors que l'excitation commençait à redescendre, Madame Lucie, agacée par les gémissements d'Adrien, me donna l'ordre d'y mettre fin. Je me rapprochai de lui, encore fixé à la croix, me mis à genoux (le visage face à son sexe qui ne m'avait jamais paru aussi grand) et le branla comme jamais je ne l'avais fait auparavant. Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais branler un homme alors que vous avez les mains attachées n'est pas très pratique. La main gauche est obligée d'accompagner la main droite, même s'il ne participe pas au travail, et si vous voulez branler des deux mains, alors le lien des menottes ne laisse pas assez de liberté pour avoir un mouvement ample. Mais vous savez ce qui est le pire? Eh bien, c'est la giclée que je me suis prise ce soir-là. Mon nez se transforma en cascade, et mes yeux, bien que clos immédiatement, en étaient imprégnés. Je crois que ce soit les narines, la bouche, les cheveux, les yeux, et même les oreilles -- pas un endroit de mon visage n'a été épargné. Je n'avais jamais vu un homme éjecter une telle quantité de sperme.

Alors que j'essayais tant bien que mal de m'essuyer, Madame Lucie s'approcha de moi, recolta une quantité non négligeable de sperme sur mon visage avec son index, avant de me mettre devant ma bouche. Elle n'eut pas besoin de donner d'ordres avant que je comprenne ce qu'elle voulait, je me mis donc à sucer son index. La fin de la séance fut plus ordinaire : Madame Lucie me tira vers son fauteuil à l'aide de la laisse, détacha mes menottes, et je gardais de grandes traces rouges au poignet qui m'empêchèrent de sortir en public les trois jours suivants. Puis, elle me dit de monter sur ses genoux (nous avions le même gabarit, mais le fauteuil était large, ne gênant pas trop). Elle se mit à me doigter (tout en tirant ma laisse de manière à ce que je sache toujours qui est la dominatrice), de plus en plus fort, jusqu'à mon orgasme et que je mouille. Nous étions face à Adrien qui continuait de gémir et de nous regarder. Une fois que je repris mes esprits, elle m'ordonna de le libérer et de lui autoriser à nouveau de s'exprimer. Alors que je venais de lui retirer le bâillon et de le détacher, même s'il avait encore les bracelets, elle dit : « Je sais que tu as assez de jus pour jouir une deuxième fois, viens me satisfaire petite pute », tout en retirant le cache-téton droit, laissant ses deux seins apparents. Il s'est alors jeté sur elle. J'avais l'impression de voir un chien et une chienne faire l'amour. Il a joui, mais c'était bien moins impressionnant que la première fois, et Madame Lucie a semblé satisfaite, bien qu'il se voyait bien qu'elle avait l'habitude.

J'ai retiré ma laisse que j'avais gardée toute l'après-midi et le vibromasseur avant de me rhabiller. Adrien a fait de même, et Madame Lucie est restée dans sa tenue (les seins à l'air), et nous nous sommes quittés. Après une telle après-midi, Adrien et moi avions un sentiment de honte, de saleté, et nous n'avons pas fait l'amour pendant trois semaines.

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