Peter noircit également

Informations sur Récit
Un mari obligé de faire un stage en prison.
3.7k mots
4.1
9.2k
2
Récit n'a pas de balises
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
MaitrePol
MaitrePol
63 Admirateurs

Ceci est une histoire contenant la description de sexe lesbien, de soumission interracial et de sexe sous force majeur, je l'ai écrit pour ceux qui apprécient ce genre d'histoire si cela vous choque n'allez pas plus loin, je vous suggère une histoire de trio comme la mienne mais elle est juste un peu cochonne et est écrite par James Halliwell (Les trois petits cochons) pour les néophytes sachez qu'il s'agit de la suite de Le plaisir vient dans l'acceptation suivie par Lisa sur les traces de sa fille qui se terminait par toute la famille fut bientôt au service d'un club spécial. Hors un fan m'a fait comprendre qu'il y avait omission de ma part. Alors voici la troisième partie avec celle-ci. Je suggère de lire les deux premières histoires si elles non pas été lues.

Peter noircit également.

Peter Clarke était en sueur, son avocat lui avait dit si tu as la clémence du juge tu devrais t'en tirer avec six mois à faire dans la communauté. Dans le cas contraire ce pourrait être 5 ans. Son cœur palpitait dans moins d'une heure le juge prononcerait la sentence. Pourquoi avait-il fallut qu'il s'enivre ce soir-là.

Peter se souvenait très bien pourquoi les verres s'ingurgitaient aussi facilement. C'était le jour où il avait mangé des fruits de mer pour diner. Une indigestion s'en était suivit et il avait dû rentrer chez lui plutôt. Il fut intrigué de voir qu'une Mercedes noir était garée dans son allée. Pourquoi avait-il tournée la poignée de porte aussi doucement, sa pauvre mère décédée l'avait-elle influencée. Ses narines furent assiégées d'une odeur charnelle pendant que ses oreilles captaient des gémissements indiscutables. « HOOOO OUI! ENCORE OUI! ARRRRGGGG! »

Quand ses yeux captèrent la scène de débauche qui se jouait sur le divan Peter fut prît d'effroi. Sa femme se faisait labourer la chatte par un gros noir pendant qu'elle-même gratifiait clitoris et moule de sa fille d'une langue efficace. Tenant une caméra une grosse noire harnachée d'un énorme godemiché aussi impressionnant que la queue du male alpha qui faisait gueuler sa femme filmait toute le spectacle. Quand Peter voulu s'en prendre à l'homme une droite au menton lui fit regretter son intervention.

Peter mit quelques minutes pour revenir à lui pour constater qu'il était ligoté à une chaise, c'est nu qu'il fut témoin de la soumission de sa femme pour la race noire.

La débauche de sa fille le troubla au point où il banda comme jamais en la regardant se faire lécher ma sa mère. Voir son petit cul s'ouvrir pour cette langue maternelle lui prodigua une dureté incroyablement. C'est honteux qu'il éjaculat dans la bouche de sa fille qu'on avait obligé à lui faire une pipe. Quand l'orgie prit fin et qu'il réalisa que même détaché il était demeuré voyeur et avait retiré beaucoup d'excitation à voir sa femme et sa fille se vautrer dans la luxure, il fut pris de honte et de déshonneur, il empoigna ses vêtements et disparu en claquant la porte.

Lisa s'inquiétait, depuis 5 heures que son mari était partit en furie et elle était toujours sans nouvelles. Soudain on sonna à sa porte, deux agents de police se tenaient devant Lisa quand elle ouvrit la porte. On lui annonça que son mari était à l'urgence mais quand même dans un état satisfaisant dans les circonstances, il avait eu une collision avec 3 véhicules et aux dires des agents, la boisson semblait en être en cause. En effet Peter était allé noyer sa peine dans un bar du comté voisin.

Le drame s'était produit après la fermeture, il avait pris le volant avec les facultés affaiblies. Après avoir brulé un feu rouge, il avait emboutit 3 autres véhicules. Peter fut sorti de sa torpeur quand son avocat l'avisa que le juge allait rendre son verdict. Il chercha à nouveau dans la salle et vit finalement sa femme arriver suivi de son amant noir juste au moment où le juge Alexander Brown cria: « Accusé levez-vous! » Chancelant, Peter se leva pour connaître le sort qu'on lui réservait pour avoir blessé 4 personnes et en avoir tué une autre. Le juge Alexander Brown : « Pour la mort d'une jeune femme et les blessures infligées à 4 autres personnes la cour vous déclare coupable et vous condamnes à 5 ans de prison avec possibilité de libération conditionnelle dans 3 ans, la cour vous permet d'embrasser votre femme une dernière fois avant votre incarcération. »

Peter Clarke dû être soutenu par un garde, ébranlé il fondit en larme. Il ne put prendre sa femme dans ses bras une dernière fois étant menotté. Peter: « Ou étais-tu? » Lisa : «J'étais aux toilettes. » Peter: « Désolé, mais j'avais besoin de toi. » Lisa : « Moi aussi je suis désolé mais je ne peux pas m'occuper des besoins de tout le monde en même temps. »

Le baiser français qu'elle lui donna étala la raison de son retard en une crème gluante qu'il dû avaler pour sauvegarder la face devant son avocat et le garde. Après qu'elle lui ait fait un câlin, c'est avec la rage au cœur qu'il la regarda s'éloigner avec Jamal à ses côtés. Quand la main de Jamal glissa sur le cul de sa femme sans qu'elle ne réagisse, il sut qu'il en avait fait sa chienne. Jamal lui avait dit de ne pas s'en faire qu'il prendrait soin d'elle pendant qu'il serait en prison, maintenant il en était sûr.

Le père de la jeune victime montra avec méchanceté à Peter toute l'arrogance que Jamal témoignait envers lui. Il avait perdu sa fille maintenant il obtenait un semblant de justice, le coupable perdait sa femme. Avoir 5 ans pour y réfléchir, la leçon allait être pénible.

Le voyage en autobus jusqu'à la prison fut un vrai calvaire. Peter regardait les derniers paysages qu'il voyait pour un bon bout de temps tout en se demandant ce qui l'attendait derrière les barreaux. Était-ce aussi pénible qu'on le disait, les prochains jours lui fourniraient des réponses. Peter eu un soulagement quand on l'informât de sa destination, à cause de la covid-19 on devait l'incarcéré dans une prison pour jeune de 16-18 ans, celle pour adulte était au prise avec plusieurs cas non contrôlés.

Peter eut un frisson quand il franchit la grille d'entrée et qu'elle se refermât avec fracas derrière lui. Il rencontra sur son chemin des groupes de jeunes hommes à majorité blanc. Curieusement ils étaient tous accompagnés par un garde noir, vraisemblablement ce n'étaient pas des gardes car ils ne portaient le même uniforme que les autres mais ils semblaient tout de même aussi jeunes bien qu'un peu plus costaud. Vulgairement, certains de ces gardes firent entendre un sifflement au passage de Peter.

C'est la tête baissée que Peter traversa la cour de la prison. Une forte odeur de parfum lui fit cependant relever celle-ci. Devant lui se tenait un colosse noir charbon entouré de six jeunes blancs efféminés et d'un frêle asiatique entravé d'une laisse. Chacun portait une chemisette agencée avec un minuscule slip rosé enlevant toutes traces de virilités en eux. C'est d'une voix grave que le colosse s'adressa à Peter : « Bienvenu dans le bloc B Lucky Seven. »

Les mots Lucky Seven trottaient dans la tête de Peter, pourquoi ce surnom car ils étaient déjà 7 jeunes et lui deviendrait le huitième du groupe. Peter frissonna, il n'avait aucune envie de faire partie d'un groupe, faire son temps bien tranquille était tout ce qui avait de l'importance à ses yeux. Éviter les problèmes était sa devise en commençant par fermer les yeux sur les choses bizarres qu'il voyait en prison. Malgré tout une chose le tracassait, à chaque samedi après souper la grosse brute noire venait dans le bloc B et amenait de force le jeune asiatique qu'il ramenait le lendemain matin estampillé d'un autre Valet de Pique, barbouillé de sperme et le cul zébré. Le dernier à avoir visité cette brute qu'on appelait Marcus avant lui portait le numéro 6 poinçonné sur sa nuque et son corps était tatoué de plusieurs Valets de Pique.

Bizarrement Chang lui était sans numéro et devait suivre une formation quotidienne qui selon la rumeur était donné par Marcus. Le jeune parfois devait passer son dimanche à l'infirmerie pour récupérer. L'état visqueux et amoché d'en lequel il revenait après cette visite obligatoire rendait Peter extrêmement troublé et rendait ses nuits terriblement agitées car il avait une peur bleu que son tour arrive, les mots Lucky Seven le hantaient toujours.

Peter avait beau se débattre mais une force obscure l'ayant menée à la cellule de Jamal le forçait à s'agenouiller devant le colosse noir. Marcus avait les jambes remontées sur chaque appuie bras offrant son sexe monstrueux à la vue de sa prochaine victime. Peter avait devant lui un phallus énorme avec des couilles toutes aussi démesurées. Hypnotisé par l'ouverture du gland qui s'ouvrait comme une bouche insatiable, il avait beau vouloir détourner les yeux, une force invisible l'obligeait à se concentrer sur l'abaissement du prépuce donnant accès à ce trou qui s'agrandissait et l'attirait fatalement.

Peter sentit son corps diminuer s'ajustant à cet urètre dégoulinant surmontant le gland de ce gourdin noir. Peter eut juste le temps de voir les couilles gargantuesques de Marcus avant que sa tête entre en contact avec ce magma gluant. Il avait beau tenter de s'agripper à la couronne de chair, ses bras n'arrivaient plus à en faire le tour. C'est la tête première que Peter glissa dans ce tunnel visqueux jusqu'à l'intérieur des couilles cette mare de semence Peter avalait à grande gorgée les embryons de Jamal.

L'ensemble du bloc B fut réveillé par les cris de Peter en sueur. Il leur expliqua qu'il avait fait un cauchemar sans leur en donner la teneur. Peter tenta du mieux qu'il pouvait pour cacher la raideur qui déformait sa culotte mais aux regards des autres détenus il réalisa son échec. Le cauchemar avec laissé des séquelles et Peter tentait d'en diminuer la rigidité quand plusieurs bras l'agrippèrent l'arrêtant dans son activité.

Un détenu : « Marcus nous interdit de nous masturber. » Peter : « Je ne suis pas un de ses minets moi. » Un autre détenu : « Pour l'instant. »

Peter ne put rien faire quand on lui abaissa sa culotte, quand on appliqua de la glace sur son membre celui-ci reprit un aspect plus modeste et permit ainsi qu'on y installa une cage de chasteté. Peter : « Pourquoi? » Un détenu : « Pour te préserver pour la soirée de transfère. » Peter : « Quel transfère? » Peter ne reçut aucune réponse, avec sa queue en cage, il mit plus de 2 heures à trouver le sommeil.

Toute la semaine la rumeur circula dans l'aile du bloc B et A qu'un transfert de chienne se ferait dans les douches le samedi suivant. Bien que l'on était aux petits soins pour lui Peter était intrigué et nerveux, depuis 5 jours il devait prendre des cachets 3 fois par jours. Maintenant ses couilles lui faisaient mal, un désir sournois cheminait dans ses veines mais cette maudite cage l'empêchait d'assouvir ses envies sexuelles.

Son inquiétude grimpa d'un cran quand le jeudi soir en présence des minets de Marcusl, deux colosses entrèrent dans le bloc B et lui fit une coupe de cheveux avant de lui faire une épilation intégrale. Le tout se termina par une injection dans une fesse. Le lendemain ses hormones semblaient en ébullitions, Peter ne cessaient de jouer avec sa cage, il éprouvait un besoin de jouir. Le vendredi fut aussi mouvementé, très tôt on livra un colis envoyé par Jamal portant la mention à ma future chienne. Quand il l'ouvrit il trouva une photo de Marcus portant un simple Temptation string. Peter pouvait voir l'argument de taille qu'il possédait pour asservir ses minets, il eut un élan d'empathie pour leurs pauvres petits anus ayant subi l'introduction de cette arme de fission massive.

C'est avec un frémissement dévalant son échine dorsale qu'il continua d'inspecter le colis symbolique. Une photo reposait sur un assortiment de strings jaune, blanc et fuchsia. Plus intriguant encore c'était ces nuisettes assorties et les bas de soies qui enrobaient une paire de d'escarpins vertigineux. Devinant le but de ce butin, le cœur de Peter s'accélérât. Quand il voulut prévenir les gardes du destin qu'on lui réservait, un geôlier s'empressa de lui faire comprendre qu'avec au mieux encore 30 mois à purger ce serait une très grosse erreur à faire. Son transfère dans le bloc C ou D dirigé par les asiatiques et les arabes serait beaucoup plus pénible pour lui.

Piégé, Peter éprouva de la frustration, sa vie basculait littéralement, lui aimant fortement les femmes se voyait à la veille d'être initié à une sexualité réprouvable selon lui. Sa construction chétive l'avait toujours retenu d'exprimer son avis quand il voyait des homosexuels afficher leurs orientations. Pour ajouter à son malaise, cette maudite photo de Marcus exposant sa longue queue parcourue de grosses veines irrigant son gland monstrueux défiait toujours les frontières de sa morale. Honteusement sa gracile quéquette essayant de percer les cloisons de sa petite cage témoignait cruellement de son attirance pour cet organe noir.

Le matin du grand jour Peter se réveilla avec un besoin de libération, encore une nuit à boire la semence de Marcus, à être immergé dans ses couilles gluantes avait exacerbé ses besoins lascifs. Quand on commença à le préparer pour la grande cérémonie des douches, son criant besoin de jouir avait annihilé toute forme de rébellion. Un simple non à son réveil lui avait valu de recevoir deux nouvelles injections forcées. L'effet rendît Peter maniable et surexcité, quand un détenu s'approcha avec une immense seringue à lubrifier, il se laissa mettre sur le ventre et n'opposa aucune résistance quand il sentit qu'on l'incérait dans son cul, un léger murmure s'échappa de ses lèvres.

Peter : « Qu'est-ce? » Le détenu : « Un lubrifiant, tu m'en remercieras demain. » Le cerveau de Peter décoda le message, il tenta bien de camoufler la panique qui en résultait mais le détenu s'aperçu du raffermissement de ses fesses. Le détenu : « Ne t'en fait pas, Marcus sait y faire avec les insoumis avec flagellation ou patience en un tour de main tu deviendras suppliant, c'est toi qui va déterminer la manière de t'y amener. Peu importe ce soir tu seras sienne, et pour le reste de ta peine tu seras son esclave sexuel. J'ai bien essayé d'y échapper mais il m'a cassé comme une brindille. »

Peter se mit à pleurer répétant sans arrêt : « Non! Non! Non!. » Avant que Peter puisse réagir le codétenu sous les recommandations de Marcus lui glissa un suppositoire d'en le cul. Quand l'œillet plissé se referma sur la dernière partie du suppositoire empêchant tout rejet, l'agitation de Peter prit fin. Comme le mouton qu'on mène à l'abattoir, Peter se laissa préparer pour sa soumission à l'ébène hégémonie. Cette simili protection comme ils ont dit lui procurerait assistance et satisfaction sexuelle jusqu'à la fin de son terme.

Peter fut surprit quand pour se rendre aux douches on lui retira sa cage avant de l'obliger à revêtir un string fuchsia. Peter eut beau refuser, il obtempéra quand on voulut lui remettre sa cage. Sa progression dans le couloir était accompagnée de sifflement et d'invitations vicieuses. Accompagné des 6 minets de Marcus, Peter fut invité à entrer d'en les douches, une série de six sièges répartis en trio de chaque côté d'un trône. Peter trouva étrange qu'on l'invita à s'assoir sur le banc central. Peter était mal à l'aise d'autant plus que cette bizarre fissure qu'il avait remarquée sur le siège exerçait une pression sur son string.

Tout compte fait, Peter appréciait maintenant le mince rempart qui bloquait maintenant l'accès à cette chose qui appuyait de plus en plus sur son anus. Impossible de se levé vu les deux mains noires qui reposaient sur ses épaules. Peter tentait de surmonter l'inconfort de la situation quand il entendit des supplications. Chang : « Non maître pas ça, je vais faire tout ce que vous voulez, S.V.P. Apprenez moi à être une bonne chienne. »

Peter vit Marcus entrer dans les douches avec Chang se trainant à quatre pattes tiré par une laisse. Maître et esclave se retrouvèrent sous la douche situé juste en face de Peter.

Marcus : « Montre-moi si tu sais comment laver le corps de ton maître. » Chang ne perdit pas de temps, avec un dévouement digne de mention il se mit à laver les pieds de son seigneur, au bout d'un moment il remonta savonner les mollets et les cuisses. Jamal tournait sur lui-même pour permettre à Peter de suivre la manœuvre. Bien malgré lui Peter resta troublé devant l'anatomie de cet adonis. Les normes de distanciations n'étant pas respectées Peter pouvait voir les veines se gonfler sous la pulsion du sang donnant à ce superbe membre une longueur royale.

Un tremblement descendit le long de son échine facilitant l'intrusion partiel de son cul quand il vit la langue de Chang parcourir les veinures du phallus noir jusqu'au gland. Pour la première fois depuis des semaines Peter sentit son clitoris pouvoir affirmer sa dureté. La petite tente qui déformait son slip fuchsia s'accentua quand il vit les doigts pleins de savon de Chang s'enfoncer entre les lunes noires de Marcus pendant que son autre main astiquait ses énormes couilles. Pour Peter leur calibre laissait supposer que Chang n'arriverait jamais avaler toute la semence qu'elles étaient en mesure de produire.

Peter ne pouvait cacher l'émotion qui se développait dans sa culotte. C'est rouge de honte qu'il accueillit le clin d'œil de Marcus ayant remarqué son petit mais éloquent stimulus. Une marque sur la gorge de Chang indiquait la profondeur que Marcus avait pu y glisser son membre. Insatisfait de son effort pour le recevoir Marcus avait pris la décision de se débarrasser de Chang pour se former un meilleur soumis. Peter comprit trop tard pourquoi on lui avait laissé le banc central, sa mince culotte venait de céder sous la pression et maintenant son anus faisait l'objet d'une lente intrusion.

Deux mains sur ses épaules l'empêchaient de s'y soustraire. Peter fut témoin de l'effort que Chang faisait pour satisfaire Marcus. Le petit attribut de Peter déformait le devant de son string fuchsia, Peter était excité de voir la langue de Chang lécher les veines qui qui garnissait le membre noir, excité par ce gland luisant s'enfonçant dans les lèvres asiatiques.

Soudain un colosse arable vint se placer derrière Chang et sans préambule glissa son membre entre les fesses de Chang, empoigna la poitrine du petit et d'un simple mouvement du bassin se redressa avec sa proie embrochée sur sa tige.

Tout en lui pétrissant les tétons, il se promena dans l'assistance exposant son nouveau jouet. Les témoins purent ainsi voir Chang, les jambes toutes écartelées montrant son petit zizi laissant écouler une crème blanche résultat du plaisir que lui procurait ce ramonage brutal. Peter ne pouvait quitter des yeux l'action qui maintenant se déroulait sous son nez, le petit Chang ronronnait à chaque aller et venu de cette queue noire qui glissait dans son œillet plissé. L'odeur qui émanait de cette profanation anale et ce phallus luisant performant sans relâche troublait Peter au plut point.

Un frisson le traversa quand il se retrouva sous le faisceau visuel de Marcus et que son énorme majeur de Marcus lui faisait signe de le rejoindre. Les globes fessiers de Peter se contractèrent sur la queue artificielle, un soubresaut sur le devant de sa culotte fit sourire Marcus. L'innocent blanchâtre vivait ses derniers moments de son hétérosexualité. Marcus le savait, dans les prochaines minutes le culte de la noirceur coulerait dans les veines de ce future soumis blanc et débuterait ainsi une indéniable servilité à son sceptre suprême.

Ainsi au cours des mois suivant Peter accepta tout naturellement sa soumission à la race noire. Après 3 ans d'assujettissement à la race noire, Peter reçu la confirmation de sa libération conditionnelle. Le matin de sa sortie Marcus s'assura de lui remplir les entrailles une dernière fois, Peter fut surprit qu'il l'obligea à porter un collier. Mal à l'aise, c'est dans une petite culotte rose et muni d'un collier au cou que Peter se présenta à la sortie de prison sous les sifflements des autres détenus et des gardiens de prisons.

MaitrePol
MaitrePol
63 Admirateurs
12