Pénélope

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Rainett
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Pénélope et Johan se sont mariés par une belle journée de printemps dans la petite chapelle du village. Pénélope ne savait rien des problèmes qu'avait son mari avec la justice. Deux semaines après, dès leur retour de lune de miel, la police est venue arrêter Johan. Pénélope a été choquée en voyant son nouveau mari partir en prison.

Les six premiers mois, Johan était incarcéré dans la maison d'arrêt du département. Pénélope allait le voir aussi souvent que possible, pratiquement une fois par semaine. Mais une fois jugé, Johan a été envoyé en centrale pour cinq ans. Pénélope devait parcourir un long chemin pour lui rendre visite et, en raison de ses finances limitées, elle ne pouvait le visiter que deux fois par an.

La première visite, on les a autorisés à passer environ une heure ensemble. « Oh, bébé, tu m'as manquée »

« Tu m'as manqué aussi, chéri. Pourquoi ne m'as-tu rien dit de la gravité de tes ennuis avec la justice? »

« Je ne t'ai pas vu depuis longtemps, et tu veux parler de mes ennuis? Pas question. Je veux te baiser avant que l'heure ne soit écoulée »

« Johan, tu n'as pas besoin d'être grossier. Moi aussi, j'ai envie de toi, mais cet endroit me donne la chair de poule. N'importe qui pourrait nous surprendre »

« Je m'en fiche, bébé. J'en ai tellement envie que je pourrais te baiser sur la place publique. Toute la prison pourrait regarder, je m'en fiche. Maintenant, déshabille-toi »

Johan s'approche de sa femme et l'embrasse profondément, en enfonçant sa langue dans sa bouche. Tout de suite, il a ses mains partout sur elle, et il tâte ses rondeurs et ses profondeurs. Même si Pénélope craint d'être épiée avec ces rideaux qui ferment mal, le désir de son mari est communicatif, et les sensations provoquées par la fougue de Johan finissent de la convaincre.

Elle n'a pas eut de bite en elle depuis longtemps, et son jeune corps a besoin d'exulter. Elle ouvre son chemisier, dégrafe son soutien-gorge pour exposer sa poitrine, et enlève sa culotte. Elle s'allonge sur la banquette où son mari la rejoint. Il suce et mordille ses mamelons en se débarrassant de son pantalon. Ses doigts s'enfoncent dans la chatte chaude et humide pour préparer le terrain.

L'action des deux doigts qui coulissent en elle ne tarde pas à fournir son effet, elle ouvre davantage ses jambes pour s'offrir au désir de son mari.

« Oui, bébé, je te veux maintenant, tu m'as tellement manqué »

Johan ne s'est pas prier pour se coucher sur sa jeune épouse et la pénétrer.

Le directeur est assis dans son fauteuil confortable, regardant le spectacle sur l'écran de la vidéosurveillance. Ce nouvel équipement installé à prix d'or permet d'avoir une vue imprenable sur les parloirs. Il zoome pour voir le prisonnier 156770 glisser sa bite dans la chatte de sa jolie petite femme.

« Mon Dieu, comme ta chatte est douce, Pénélope »

« Et comme ta bite est dure, mon chéri »

Johan glisse ses mains sous les cuisses de sa femme pour repousser ses jambes vers ses épaules, et la baise durement. Pénélope, tout à son plaisir, gémit fortement. Mais les privations de sexe ne permettent pas à Johan de tenir longtemps, et il s'effondre sur Pénélope en éjaculant à longs jets.

« Merde, c'est déjà fini, je n'ai pas pu me retenir. Désolé, chérie »

« Ce n'est pas grave, bébé, je suis tellement heureuse de te voir, je n'ai pas besoin de plus »

Pénélope est gentille de rassurer son mari, mais six mois sans sexe, ce long voyage, tous ses espoirs, un coup qui dure moins d'une minute la laisse frustrée et un peu déçue. Son mari a beau la cajoler, elle reste sur sa faim.

Le directeur, en voyant que le jeune homme a déjà fini, secoue la tête d'un air méprisant et arrête l'enregistrement.

« Johan, j'aimerais venir plus souvent, mais tu sais l'argent me manque »

« Je sais, bébé, tu fais de ton mieux. Je sais et je comprends. Téléphone-moi souvent, et tout ira bien »

Ils se rhabillent rapidement en entendant le son de la cloche annonçant la fin des visites.

« Pas le temps de traîner » S'exclame Pénélope.

« Chérie, avant de partir, promets-moi quelque chose »

« Tout ce que tu voudras, mon cœur »

« Promets-moi, la prochaine fois, que je pourrai avoir le pucelage de ton joli cul si serré, chérie »

« Heu, Johan, tu sais que je n'aime pas ce genre de choses »

« Promets-moi, bébé »

« Peut-être, on verra à ce moment-là »

Un garde ouvre la porte et appelle Johan. Ils s'embrassent et Pénélope est en pleurs :

« Je t'aime, chéri »

Dans son bureau, le directeur tient un conseil de guerre avec ses principaux lieutenants :

« Eh bien, qu'en pensez-vous, les gars? N'est-ce pas qu'elle est sexy, cette jeune poulette? »

« Ouais, elle est baisable, d'accord, mais c'est une jeune mariée amoureuse, il n'y a aucune chance qu'elle trompe son mari »

« Je n'ai pas l'intention de lui laisser le choix. Je vais lui organiser une mise en scène à ma façon et bientôt, elle nous suppliera de la baiser, cette douce petite épouse si vertueuse. Je vais en faire ma salope personnelle »

Le directeur a étiqueté et rangé la vidéo dans sa vidéothèque pour pouvoir contempler cette jolie jeune femme à loisir. Son honneur est en jeu. Il s'est engagé à faire plier cette poulette. Il ne peut pas échouer. Même si c'est la dernière chose qu'il fera, il doit posséder cette salope au bout de sa bite.

Environ deux mois plus tard, Pénélope a reçu un appel l'informant que son mari, Johan, a des soucis de santé, et qu'elle doit venir dès que possible. Elle dépense ses derniers sous pour se rendre immédiatement au chevet de son mari. Elle est accueillie par le directeur en personne qui la conduit à travers un dédale de couloirs. Après quelques centaines de mètres, elle a perdu le sens de l'orientation, et elle se demande où elle se trouve.

« Avant de vous rendre au chevet de votre mari, je me dois de vous montrer quelque chose »

« Et mon mari? Est-ce qu'il va bien? »

« Votre mari peut attendre. Cela ne nous prendra que quelques minutes »

Ils arrivent finalement dans une pièce équipée d'une vitre sans tain, un équipement qui permet de voir sans être vu ce qui se passe dans la pièce voisine. Il y a déjà deux autres gardiens dans la pièce. Pénélope les salue poliment. Ils s'installent, on éteint la lumière, et on tire le rideau pour épier ce qui se passe à côté.

Ce qu'elle voit, coupe le souffle à Pénélope. Une scène scandaleusement pornographique se déroule devant ses yeux écarquillés. Un homme est allongé sur le dos, sur un banc, au milieu de la pièce. Une femme est allongée sur lui. Ils sont nus tous les deux et la femme lui fait l'amour, à en juger par les mouvements de ses hanches. Un homme est debout à la tête du couple, et il présente sa bite à la femme qui le suce. Lui aussi est nu.

Un autre gars doigte le trou du cul de la femme, tout en caressant son énorme bite. Pénélope est hypnotisée par le spectacle qui se passe devant elle. Cela lui semble irréel. L'homme arrête de doigter le cul de la femme et positionne sa queue contre son anus. Et il commence à avancer ses hanches.

« Aïe » Pense Pénélope. En même temps, elle sent une main lui palper les fesses, en cherchant à s'infiltrer dans la raie de son cul. Pendant une fraction de seconde, elle ferme les yeux en pensant laisser les choses continuer, mais elle entend la femme de l'autre côté de la vitre hurler à cause de la pénétration douloureuse.

Lorsqu'elle rouvre les yeux, le gars qui se faisait sucer, à côté, s'est retiré, et il éjacule sur le visage de la femme. Cela ne va pas lui arriver. Elle se tourne brusquement et demande :

« Qu'est-ce que tout cela signifie, monsieur le directeur? »

« Alors, laissez-moi vous expliquer. Certaines jeunes femmes acceptent une sorte de contrat afin d'obtenir un meilleur traitement pour leur mari. En participant à ce programme, elles peuvent venir visiter leur mari aussi souvent qu'elles le souhaitent, rester plus longtemps avec lui. Peut-être que vous n'êtes pas inquiète pour la santé de votre mari, et que ce programme ne vous intéresse pas? »

« Ce n'est pas juste, je suis préoccupée par la santé de mon mari, vous n'avez pas le droit d'insinuer de telles choses, mais je ne peux pas accepter cela. Je suis une épouse fidèle, et je ne vais pas faire cela »

« C'est votre choix, Mme Millet » Le directeur a conduit Pénélope jusqu'à son bureau en lui expliquant que son mari est tombé malade, très malade, et qu'il ne peut être visible pour le moment.

« Je suis désolé que vous ayez fait tout ce chemin, mais vous ne pourrez pas le voir aujourd'hui »

« Espèce de salaud, vous voulez dire que si je veux voir mon mari, il faut que je vous laisse, vous et vos copains, m'utiliser comme une pute? Si je n'accepte pas de coucher avec vous tous, je ne verrai pas mon mari? »

« Mme Millet, je ne vais pas tourner autour du pot longtemps, j'ai du travail et même si votre compagnie m'est agréable, d'autres tâches m'attendent. Je vous ai donné un choix simple. Soit vous acceptez de participer au programme, soit vous refusez. Ce n'est pas la peine de me crier dessus, les choses ne sont pas simples pour moi non plus »

« Qu'est-ce que je suis censée faire alors, accueillir toute la prison dans ma chatte? »

A bout de nerfs, Pénélope s'est jetée sur le directeur, les ongles en avant, prête à lui arracher les yeux. Mais les gardes sont rapides et la maintiennent fermement.

« Vous savez que j'ai dépensé mes dernières économies pour venir le voir, et que je ne pourrai pas revenir avant longtemps si je repars maintenant. Vous le saviez que je ne pourrais pas le voir »

Pénélope s'affale sur une chaise, et sanglote dans ses mains, en proie à un profond désespoir. Puis, elle supplie le directeur de faire une exception, pour une fois, afin qu'elle puisse venir en aide à son cher mari.

« Peut-être devrais-je vous montrer ceci, Mme Millet. Cela pourrait vous aider à prendre votre décision »

Le directeur a lancé une vidéo. Elle montre une femme nue, couchée sur le dos, jambes écartées. Un homme est accroupi entre ses jambes. Il lui lèche la chatte. Elle ne peut pas voir le visage de l'homme, mais le visage de la femme, en gros plan, prouve qu'elle est parfaitement heureuse. Puis la femme jouit bruyamment, l'homme se relève et se positionne pour la baiser. C'est à ce moment qu'elle a vu le visage de l'homme, et elle reconnait le visage de Johan, son mari.

« Non, il ne ferait jamais une chose pareille, mon mari ne fait pas ça. C'est un piège ! »

« La vidéo ne ment pas, Mme Millet. C'est bien votre mari »

Pénélope sanglote à chaudes larmes en regardant son mari chéri baiser une autre femme. Elle peut entendre ce qu'ils disent, et Johan dit à cette femme les mêmes mots qu'il lui a dits à elle. Pénélope est anéantie, brisée. L'un des gardes s'est déplacé derrière Pénélope, et il dégrafe son chemisier pour y enfoncer sa main. Elle le laisse faire. Elle n'a plus la force de lutter. Tout son monde vient de s'écrouler. Tête basse, elle sanglote les yeux fermés.

Le directeur fait signe au garde. Il faut faire vite, profiter du moment pour la contraindre, avant qu'elle ne se rebiffe. Le garde sort ses nichons hors des bonnets et masse ses mamelons. Le garde devient brutal et les tétons s'érigent. Le deuxième garde et le directeur se déshabillent rapidement, en surveillant les réactions de Pénélope. Le garde se penche sur elle et l'embrasse à pleine bouche. Il enfonce sa langue dans la bouche de la jeune femme qui l'accepte et la suce docilement.

Le garde se déplace devant Pénélope, lui ôte son chemisier et son soutien-gorge. Elle ouvre grand les yeux et regarde, incrédule, les trois hommes qui l'entourent. Torse nu, ses seins sont exposés à la vue de tous, avec leurs tétons dressés. Le directeur et l'autre gardien sont nus. Sur l'écran, Johan continue de baiser l'autre pétasse en lui murmurant des mots d'amour. Son esprit est perdu, déconnecté du monde réel. C'est comme si elle flottait dans l'air, en regardant ce qui se passe dans la pièce. Elle comprend ce qui lui arrive, elle sait qu'elle doit tout arrêter, mais en toute honnêteté, elle ne veut pas les arrêter.

Elle sent la bouche de l'homme sur ses seins, la langue caressante, les lèvres qui happe les tétons, les dents qui lui infligent une délicieuse douleur en la mordillant cruellement. Peu à peu, ses seins se couvrent de salive et sa respiration se creuse. Le garde saisit les mamelons, les tire, les serre et les tord. Le regard de Pénélope se pose sur la bite du directeur qui s'approche d'elle. Il est beaucoup plus grand que son mari, et cette façon qu'il a de se branler, en décalottant son gland, l'hypnotise.

Il pointe sa queue vers sa bouche. Elle sait ce qu'il veut. Tous les hommes veulent la même chose d'une fille. Elle ouvre la bouche et lèche délicatement la goutte qui suinte du méat. Elle le regarde dans les yeux, le prend en bouche, et suce profondément sa bite. Il a bon goût, elle le suce avec plaisir, alors elle aspire plus fort en creusant ses joues. Elle sait comment faire plaisir à un homme.

Le premier garde, celui qui lui léchait les seins, lui a troussé sa jupe et enlevé sa culotte. Sa langue s'enfonce maintenant dans sa chatte humide. Elle ferme les yeux de plaisir. Le directeur pompe sa bite dans la bouche de Pénélope, en poussant plus profondément à chaque coup. Pénélope a quelques petits haut-le-cœur, mais elle les réprime. La langue sur sa chatte est agréable et la fait frissonner de plaisir. Elle pense qu'elle est une femme infidèle, et qu'elle adore cette pensée.

Les hommes continuent leur assaut, surtout ne pas laisser refroidir la marchandise. Le premier garde la baise rapidement, et bientôt Pénélope sent son sperme chaud gicler sans protection dans sa chatte fertile. Elle n'a même pas eu le temps de lui demander de mettre une protection, et maintenant c'est trop tard. Elle adore cette sensation dont elle est privée depuis trop longtemps. Elle était proche de l'orgasme, et gémit de déception lorsque la bite se retire.

Le directeur retire sa queue de la bouche de Pénélope et l'aide à se relever. Le deuxième garde s'allonge sur la couchette, la queue dressée vers le ciel. Pénélope sait ce qui l'attend. La vision de la femme prise en sandwich est encore présente dans son esprit. Elle enjambe l'homme allongé, le directeur l'aide à s'installer avec prévenance, elle les dévisage alternativement. Elle s'accroupit lentement, s'empalant sur la bite de l'homme, elle glisse facilement, sa chatte est parfaitement lubrifiée.

Pénélope est émue, elle a son ventre qui bruisse d'excitation, elle n'a jamais connu pareille situation, elle n'est pas prête pour cela. Elle sait qu'elle va se faire enculer maintenant, et ses peurs ressurgissent. Le directeur est énorme, il va la briser, la déchirer peut-être, voire lui laisser des séquelles irréversibles. En tout cas, elle sait qu'elle va souffrir, et elle tremble de peur et d'appréhension.

Elle se souvient des cris de la femme quand ils l'ont enculée. Elle a peur, mais en même temps, depuis le temps que son mari la tarabuste avec ça, elle veut savoir. Lorsque le doigt épais du gardien s'enfonce dans son trou du cul, elle est certaine que quelqu'un lui a donné la drogue du plaisir. Cela lui fait un peu mal, mais elle est si pleine d'endorphine qu'elle adore cette sensation. Elle embrasse l'homme sous elle à pleine bouche, aspire sa langue dans sa bouche, et commence à osciller énergiquement des hanches sur sa queue. Elle adore cette fascination que lui procure ce doigt fouillant son anus vierge.

« C'est bon, elle adore. Prends l'appareil photo »

Pénélope entend les hommes discuter entre eux, mais elle s'en fiche. Elle veut vivre l'expérience jusqu'au bout, quoi qu'il arrive. Maintenant, elle a hâte qu'il la sodomise, et qu'il lui fasse connaître cette sensation délicieuse que son mari lui promettait. Le doigt dans son cul se retire, et elle tourne sa tête pour voir ce qui va lui arriver. Le directeur s'est positionné derrière elle, et il appuie la tête bulbeuse de son sexe contre son anus. Il commence à pousser, en étirant l'anneau serré de Pénélope. C'est heureusement déjà bien lubrifié par la sueur et les jus, mais le gland a sauté brusquement à l'intérieur :

« Aïe ! Putain, ça fait mal ! Aïe, putain, ça me déchire ! Arrêtez, ça fait trop mal ! »

« Calme-toi, petite, le plus dur est passé ! Maintenant, ça va aller tout seul ! »

Pénélope essaye instinctivement la fuite en avant, mais l'homme sous elle la maintient fermement. La grosse bite du directeur continue son voyage dans les profondeurs de son cul serré.

« Oh mon Dieu, ça fait mal. S'il vous plaît, allez-y doucement, ça me tue ! »

« C'est toi qui le veux, Pénélope, c'est pour ton mari »

Le directeur empoigne les hanches de Pénélope et pousse sa bite fortement vers l'avant. Un hurlement sort de ses lèvres et se termine en plainte rauque, un cri de douleur et de terreur mêlées, semblable à celui de la femme qu'elle avait entendue plus tôt. L'impression qu'un tisonnier brûlant lui a été enfoncé dans son cul. La mince paroi qui sépare sa chatte de son cul semble sur le point de se rompre. Sous elle, le garde pousse sa bite le plus fortement qu'il le peut, car il est sur le point de jouir. Pénélope pense que le directeur est entré jusqu'au bout, jusqu'à ce qu'il pousse en avant une fois de plus, puis encore une fois. Elle pense qu'elle va mourir, ou rester estropiée, mais le directeur la rassure :

« C'est bien, bébé. Tu as tout pris. Tu as toute ma bite dans ton cul »

Et le directeur commence à la baiser. Elle crie et se débat, essayant d'échapper à l'insupportable douleur. Son corps ne peut pas supporter cette souffrance. Elle voudrait que ça s'arrête, ça lui fait trop mal, mais son organisme réagit curieusement. Elle commence à ressentir le plaisir que lui procurent ces deux bites qui coulissent en elle.

Finalement, ses cris de souffrance évoluent en une longue litanie de jouissance. Ses hanches accompagnent les mouvements des hommes, elle se cambre, s'offre, et se laisse défoncer le cul aussi fort que le souhaite le directeur. Le deuxième garde, qui a retrouvé un regain de forme, présente sa bite devant sa bouche, et elle le suce fort, en creusant ses joues, et en l'enfonçant profondément jusque dans sa gorge.

De longs jets de sperme chaud giclent dans sa chatte. Le gars sous elle empoigne ses seins et les presse fort. Le directeur, surpris par les soubresauts de Pénélope, ne peut pas se retenir plus longtemps et jute dans ses entrailles. Elle sent cette chaleur au plus profond d'elle. Elle était si proche de jouir qu'elle bascule d'un coup dans une folie furieuse faite de tremblements, de râles et de plaisir. Elle se tord, secouée de spasmes pendant une éternité, pour finalement s'effondrer sur le garde.

Le directeur se retire, repousse le garde occupé à mettre sa bite dans la gorge de Pénélope, l'aide à se relever, chasse l'autre garde de la couchette, et installe Pénélope à quatre pattes sur la couchette. Aussitôt, il écarte ses fesses, et il s'enfonce durement en elle. Pénélope ressent encore un peu de douleur, mais elle est en partie engourdie par le traitement que le directeur lui a infligé.

Dolente, elle s'offre en poussant ses fesses vers le haut, mais ça ne suffit pas à contenter son bourreau. Il lui claque violemment les fesses à plusieurs reprises pour la réveiller, et la rendre plus combative. Il la baise longuement pendant que les deux gardes se rhabillent et quittent la pièce. Elle sourit en sentant un ruisseau de sperme poisseux s'écouler de son cul. Le directeur se retire, mais elle reste allongée, attendant que les picotements dans son corps commencent à s'atténuer. Puis, elle se tourne vers le directeur :

« Est-ce que je peux voir mon mari maintenant? »

« Bien sûr, tu vas le voir, mais n'oublies pas qu'il y a d'autres gars qui ont besoin de tes services, bébé »

« Après avoir vu mon mari »

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