Parodie : The Big Bang Theory

Parodie : The Big Bang Theory

Le complexe d'Eros

(Our whole universe was in a hot, dense state

Then nearly fourteen billion years ago expansion started, wait

The earth began to cool, the autotrophs began to drool

Neanderthals developed tools

We built a wall (we built the pyramids)

Math, science, history, unraveling the mysteries

That all started with the big bang (bang)

..... )

L'appartement 4A à Pasadena : un lieu où la science et l'excentricité s'entremêlent dans un joyeux chaos. Dans ce laboratoire de vie, au troisième étage de ce petit immeuble où l'ascenseur est toujours en panne, nous rencontrons Sheldon, Léonard, Howard et Raj, les colocataires les plus inoubliables que l'univers ait jamais connus.

Sheldon, le génie excentrique, une espèce d'homme adolescent longiligne avec une raie sur le côté, règne en maître absolu de l'appartement. Sa logique obsessionnelle et son amour pour les règles sont plus rigides que les lois de la physique. Il s'agit d'un boy-scout qui compte les marches qu'il grimpe, qui organise ses vêtements par ordre de couleurs et qui a plus de diplômes accrochés à ses murs que de relations sociales. L'amour, les sentiments? Oh, c'est une question de chimie complexe qu'il ne parvient pas à résoudre. Quant au désir, à l'Éros... un trou noir d'incompréhension.

Mais parlons d'amour, de désir, ou plutôt de l'ignorance totale de Sheldon en la matière. Dans son univers consacré à la science, les relations humaines sont un mystère non résolu. Il connaît tous les éléments du tableau périodique, mais l'idée de courtiser quelqu'un le laisse totalement perplexe. Il est comme un extraterrestre qui tenterait de comprendre les émotions humaines en utilisant un télescope. Autant dire qu'il a encore beaucoup de théories à élaborer avant de décrocher un prix Nobel en matière de romance.

Et voilà Penny, la voisine d'en face, qui apporte une touche de beauté et de normalité dans ce monde de cerveaux surchauffés. La blonde est belle, sociable et rêve d'une carrière artistique à Hollywood. Une silhouette avantageuse esquissée par une volumineuse poitrine, une taille fine et des hanches menues mais vigoureuses. Son appartement en face de celui des geeks n'est pas seulement un espace de vie, c'est aussi un point de rencontre où l'amitié avec Léonard a pris racine. Entre eux, c'est une relation fusionnelle faite de rires, de taquineries et d'une complicité qui transcende les différences. La grande expérience de Penny pour les relations amoureuses a suffisamment développé son intuition pour comprendre que Léonard en pince pour elle. Cependant, la personnalité du génie colocataire intrigue la belle blonde. Mais comment Sheldon pourrait-il résister au charme envoûtant de Penny? Les lois de la gravité semblent soudainement se réorganiser lorsqu'elle entre dans la pièce.

- Léonard, pourquoi est-ce que ces éléments ne m'aident pas à comprendre l'amour? Je suis censé tout comprendre, même les forces gravitationnelles les plus complexes! lance Sheldon, les yeux fixés sur son tableau périodique de Mendeleïev.

- Sheldon, l'amour n'est pas une équation mathématique, répond Léonard en remontant ses lunettes carrés sur son nez. C'est un mystère qui ne peut être résolu par des formules scientifiques. Mais ne t'inquiète pas, nous allons t'aider à percer ce mystère.

A ce moment là, la porte de l'appartement s'ouvre sur Penny qui arbore un sourire joyeux.

- Salut les garçons! Qu'est-ce que vous fabriquez aujourd'hui dans votre laboratoire d'intellectuels?

- Penny, je suis confronté à une énigme qui défie toute logique, répond Sheldon perplexe. Comment puis-je comprendre cette chose étrange appelée amour?

- Oh, Sheldon, l'amour n'est pas une énigme à résoudre, rit Penny. C'est une aventure à vivre! Tu vas voir, on va t'apprendre les bases et tu deviendras le scientifique de l'amour.

- Exactement, lance Léonard avec un clin d'œil complice à Penny qui rigole. Sheldon. Prépare-toi à une expérience totalement nouvelle!

- Je suppose que je vais devoir m'armer de patience et de logique pour comprendre cette irrationalité humaine. Que la science soit avec moi! soupire le génie filiforme.

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Le lendemain, le génie aux habitudes rigides, se trouve face à un constat troublant en mangeant ses céréales du mardi. Son comportement atypique et sa totale méconnaissance de l'amour et du désir semblent être des obstacles sur son cheminement. Il constate depuis quelques semaines, une manifestation trouble en lui lorsqu'il est proche de Penny. Ses règles et routines, si efficaces dans le domaine scientifique, se transforment en véritables énigmes lorsqu'il s'agit des relations humaines. Il est temps pour lui de réaliser que ses connaissances académiques ne suffisent pas à décoder les subtilités de l'amour.

La porte de l'appartement s'ouvre. Penny entre en demandant si les gars ont encore du lait pour son petit déjeuner. En petit shorty de nuit avec un tee shirt ample et échancré, la blonde s'approche avec désinvolture vers Sheldon qui est assis dans la cuisine. Les yeux du génie ne quittent pas les beaux galbes des cuisses nues. Au-dessus de la table, Penny se penche pour saisir le bidon de lait. Le tee-shirt ample s'ouvre et la gravité gonfle les seins comme le désir de Sheldon qui manque de s'étouffer en plongeant son regard sur la poitrine ainsi offerte. Aussi rapidement qu'elle est entrée, Penny repart avec le lait en dandinant des fesses. La bouche ouverte de stupéfaction, Sheldon fixe la porte fermée.

Heureusement, le génie peut compter sur Léonard, son meilleur ami et colocataire, pour lui venir en aide. Léonard, en bon scientifique romantique, est prêt à donner des conseils éclairés à Sheldon et à l'aider à naviguer dans les méandres des émotions. Après tout, qui de mieux placé que Léonard pour comprendre les tourments du cœur, lui qui a lui-même succombé aux charmes de Penny?

- C'est Penny que j'ai entendu? demande Léonard qui vient de se lever.

La mine déconfite de Sheldon et l'énorme barre qui déforme son pantalon de pyjama répondent.

- Sheldon, il est temps d'ouvrir ton cœur et de te laisser guider par autre chose que la logique pure. Laisse-moi t'apprendre les bases de l'amour et de la séduction.

- Léonard, es-tu sûr que cette démarche est scientifiquement valide? Ne risquons-nous pas de perdre toute objectivité? répond le génie en fronçant les sourcils.

- Sheldon, l'amour est une expérience subjective, pas une expérience de laboratoire. Tu ne sens rien en toi?

Sheldon se dandine sur son tabouret, gêné par son érection inopinée.

- Parfois, il faut laisser les sentiments prendre le dessus sur la logique. Mais ne t'inquiète pas, je serai là pour t'aider à naviguer dans ce territoire inconnu.

Ainsi, les deux amis se lancent dans une quête aussi loufoque qu'instructive pour décoder les mystères de l'amour et du désir. Entre lectures de romans à l'eau de rose, visionnages de comédies romantiques et observations discrètes de couples dans le café du coin, Sheldon et Léonard tentent de comprendre les dynamiques amoureuses et d'appliquer ces nouvelles connaissances au désir naissant de Sheldon pour Penny. La consultation de quelques vidéos pornographiques fut abandonnées par les protestations fermes du génie.

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Le lendemain, dans la buanderie au sous-sol de l'immeuble, Sheldon plie son linge avec une attention méticuleuse. Penny arrive et le salue avec son sourire habituel. Elle est vêtue d'une jupette plissée qui s'arrête au-dessus à mi cuisse et d'un chemisier blanc très ajusté qui comprime sa poitrine.

Tout en discutant avec Sheldon sur la fête costumée organisée par Stuart dans le magasin de comics, Penny sort son linge sale de son panier pour le bourrer dans les grandes machines à laver. L'adulescent observe les mains de la jeune femme saisir ses strings, ses tangas, ses soutien-gorges en dentelle. A nouveau, une modification physiologique se manifeste dans le pantalon serré de Sheldon.

- Tu crois que je peux me déguiser en Wonder Woman? demande Penny qui regarde sa nuisette transparente. Je pense que...

La jeune femme stoppe. Les yeux fixes de Sheldon sur son sous-vêtement sexy l'alertent. Le regard de Penny constate l'énorme bosse dans le pantalon du geek qui ne bouge plus. La blonde termine rapidement son tri et sort de la buanderie. Elle est troublée. Ce garçon l'exaspère mais la fascine également. La barre gonflée dans le pantalon fait papillonner son ventre.

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Le lendemain, Sheldon, les yeux rivés sur un livre de psychologie interpelle Léonard :

- J'ai découvert une théorie intéressante sur l'attraction physique. Il semblerait que les personnes soient attirées par des traits faciaux symétriques. Dois-je donc m'assurer d'avoir une symétrie parfaite pour conquérir le cœur de Penny?

- Sheldon, je ne pense pas que la symétrie faciale soit un critère décisif dans les relations amoureuses, sourcille Léonard. Mais je suis sûr qu'il y a d'autres aspects de toi qui peuvent la séduire. Concentrons-nous sur ton charme intellectuel et ta personnalité unique.

- Charme intellectuel, personnalité unique... J'imagine que cela fait partie de mes atouts non scientifiques. Poursuivons cette étude de l'amour, Léonard. Nous sommes sur le point de faire une découverte révolutionnaire!

- Prépare-toi, Sheldon. L'amour est un terrain glissant, mais je suis convaincu que nous trouverons une formule gagnante.

Le soir même, après le repas partagé avec Sheldon, Léonard, Raj et Howard qui n'a pas cessé de la daguer, Penny retrouve son appartement et se couche. Sa main glisse doucement sur son ventre. Dans son imagination, la silhouette filiforme de Sheldon est nue, sa queue droite pointée vers elle. Les doigts de la blonde fouille sa vulve à la recherche d'un plaisir déjà latent depuis quelques heures. Dans les vapeurs oniriques de ses fantasmes, elle avale le dard énorme de Sheldon qui s'enfonce au fond de sa gorge. Elle se fait chienne en se retournant à quatre pattes. Elle imagine l'excitation du garçon qui pénètre sa queue épaisse dans sa vulve trempée.

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Les jours suivants, Sheldon et Léonard mettent en pratique leurs nouvelles connaissances sur l'amour et se lancent dans une série d'expériences pour approcher Penny d'une manière plus romantique. Ils tentent de créer des situations propices à des rapprochements et à des déclarations d'affection.

- Bon, Sheldon, nous allons mettre en place notre première expérience amoureuse. Prêt? lance Léonard avec enthousiasme.

Sheldon, d'un air sceptique répond :

- Je suppose que je n'ai pas d'autre choix. Mais rappelle-moi encore pourquoi nous ne pouvons pas simplement établir un protocole expérimental pour obtenir des résultats précis?

- Parce que, mon cher Sheldon, l'amour et le désir ne fonctionnent pas de cette façon. C'est une expérience pleine d'imprévus et d'émotions. Allez, suis-moi!

Les deux compères multiplient les stratagèmes maladroits pour se rapprocher de Penny. Ils tentent des approches romantiques dignes des films hollywoodiens, mais qui se soldent souvent par des situations comiques et embarrassantes. Devant l'appartement de Penny, Sheldon frappe trois fois.

- Penny, Penny, Penny.

Sheldon, tenant un bouquet de fleurs avec maladresse déclare lorsque la blonde ouvre :

- Penny, j'ai lu que les fleurs sont un moyen efficace d'exprimer ses sentiments amoureux. Voici un bouquet pour toi.

- Oh, Sheldon, mon petit chat, c'est adorable! Mais tu sais, les fleurs ne sont pas vraiment mon truc, rit Penny en se tenant au chambranle de sa porte.

- Mais selon mes recherches, c'est un geste romantique couramment apprécié. Ai-je mal interprété les données?

- Sheldon, les données ne peuvent pas tout expliquer dans la vie. Il faut aussi tenir compte des préférences individuelles. Mais ne t'inquiète pas, j'apprécie ton geste! dit Penny en battant des cils avant de refermer la porte de son appartement.

Le soir, le génie est confortablement allongé dans son lit. Il repense aux différentes interactions avec sa voisine. Soudain, son sexe frémit et gonfle. Étonné de ce phénomène, le génie tâte son sexe. Peu à peu, la sensation agréable l'invite à se caresser. Il découvre la masturbation et, quand le plaisir monte de plus en plus, il est apeuré. Le processus est lancé et il éjacule de longs jets de sperme dans sa main et ses draps. Sa tête bourdonne. Il est dans les vapes.

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Le lendemain matin, Léonard est un peu gêné quand son colocataire lui explique son expérience onanique de la veille. Cependant, il tente de décrire le phénomène physiologique à son ami.

Malgré les résultats peu concluants de leurs expériences de séduction, Sheldon et Léonard persistent dans leurs tentatives de comprendre les sentiments amoureux et les déclencheurs du désir chez la femme. Ils continuent d'analyser chaque interaction entre Sheldon et Penny, cherchant des signes d'affection et d'intérêt réciproques.

- Penny a esquissé un sourire en ma présence, signifiant peut-être un certain degré d'intérêt. Cela pourrait-il être un indicateur de compatibilité émotionnelle? note Sheldon dans son carnet d'expérience.

- Sheldon, n'oublie pas que les sentiments ne peuvent pas toujours être réduits à des indicateurs et des mesures. Le désir est avant tout un ressenti profond et personnel.

- Tu as raison, Léonard. Peut-être que je devrais me fier à mon intuition plutôt qu'à mes calculs. Après tout, le désir est un phénomène complexe qui échappe souvent à toute logique.

Léonard, riant :

- C'est ça, Sheldon. Laisse parler ton cœur ou ton ... plutôt que ton cerveau. Qui sait, peut-être que tu découvriras des émotions que tu n'aurais jamais imaginées!

- Très bien, Léonard. Je vais essayer de suivre ton conseil. Après tout, la science peut nous guider, mais c'est le cœur qui nous montre le chemin, sourit timidement Sheldon.

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Sheldon, face aux subtilités de ses désirs, se retrouve confronté à des situations aussi déconcertantes qu'incompréhensibles. Ses réactions décalées et son manque de compréhension des émotions provoquent des moments hilarants.

Un soir, Sheldon décide d'inviter Penny à dîner dans un restaurant chic. Penny se prépare avec soin, choisissant une tenue charmante et mettant en valeur son sourire éclatant. Sa longue robe blanche au tissu souple épouse sa silhouette avantageuse. Elle est excitée à l'idée de passer du temps avec Sheldon, espérant qu'il comprendra enfin ses désirs pour lui. Coquine, elle n'a pas mis de soutien-gorge.

Le restaurant est élégant, avec une ambiance feutrée. Ils s'installent à leur table, et Sheldon, tout en se délectant de son plat, commence à décrire avec enthousiasme les théories des cordes. Penny, un peu décontenancée, essaie de suivre sa logique complexe.

- Sheldon, tu sais mon petit chat, j'adore t'écouter parler de science, mais ce soir, j'aimerais simplement profiter de notre dîner et discuter de choses plus légères. Comment s'est passée ta journée?

- Mais Penny, les théories des cordes sont fascinantes! Elles sont cruciales pour comprendre l'univers. Comment peux-tu trouver cela ennuyeux?

- Ce n'est pas que je trouve ça ennuyeux, Sheldon, dit la blonde un peu frustrée. C'est juste que j'aimerais passer du temps avec toi sans avoir à réfléchir à des concepts complexes. J'aimerais simplement partager des moments agréables et profiter de ta compagnie.

- Ah, je comprends, lance le génie. Je suis désolé, Penny. J'ai peut-être été trop absorbé par mes propres intérêts et j'ai négligé de prendre en compte tes préférences.

- Merci, Sheldon.

A travers le tissu souple de sa robe, ses tétons pointèrent.

- Je sais que tu es passionné par la science, mais il est important de trouver un équilibre dans nos conversations. Nous avons tellement d'autres sujets intéressants à aborder.

Le repas se poursuit dans une atmosphère plus détendue, avec des échanges légers et des rires partagés. Sheldon réalise qu'il doit faire preuve de souplesse et de considération dans ses interactions avec Penny, en tenant compte de ses intérêts et de ses envies. Mais, les deux pointes qui percent la robe blanche le trouble. Encore une barre dans son pantalon.

Le serveur, qui arrive pour déposer les desserts, ne peut que fixer la poitrine de la blonde. Sheldon le remarque et le tance un peu violemment. En sortant du restaurant, Penny le remercie pour le dîner et pour avoir pris sa défense.

- Mais, Penny. Pourquoi tes tétons étaient si voyant?

- Euh.... je... bégaye la blonde soudain timide. Je ne sais pas.

- Les mamelons possèdent des neurones qui sont en charge de la contraction des muscles, muscles qui réagissent indépendamment d'une stimulation émotive et physique précise, par exemple, l'excitation sexuelle ou le froid, annonce Sheldon d'un ton docte. Mais il ne faisait pas froid, Penny?

- Mon petit chat, sourit Penny en prenant le bras du génie. J'étais excitée.

- Excitée... Pourquoi?

- Parce que tu me plais , grand benêt!

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Le lendemain matin, au petit déjeuner, tout en aidant Sheldon à comprendre les subtilités de l'amour et du désir, Léonard commence à ressentir une pointe de jalousie face à l'évolution de la relation entre Sheldon et Penny. Il se trouve tiraillé entre son amitié avec Sheldon et ses propres sentiments pour Penny.

- Sheldon, je suis ravi de voir que tu t'intéresses à Penny et qu'elle semble avoir du désir pour toi, mais je dois avouer que je ressens une pointe de jalousie. Tu as réussi à éveiller son intérêt de manière si... inattendue.

- Léonard, je ne comprends pas pourquoi tu te sentirais jaloux. Après tout, nous sommes amis et tu m'as toujours encouragé à explorer mes émotions. Léonard, je comprends que tu puisses ressentir de la jalousie, mais notre amitié est plus importante que tout le reste. Je tiens à toi et je suis reconnaissant de ton soutien.

- Merci, Sheldon. C'est réconfortant de savoir que notre amitié est solide. Nous surmonterons ces moments difficiles ensemble.

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Chaque soir, dans son lit, Sheldon s'adonne à la masturbation. La belle blonde imaginaire s'effeuille devant son lit. La Penny vaporeuse expose ses deux énormes seins qui pointent vers lui comme des promesses de plaisirs qu'il ne connaît pas. Les hanches nues ondulent comme des serpents tentateurs. Le pauvre naïf ne conçoit pas que sa belle émanation onirique puisse le caresser et exciter son énorme sexe. Chaque soir, il se répand dans ses draps.

Ayant enfin réalisé l'étendue de son désir pour Penny, il se décide à franchir le pas et à exprimer ses intentions amoureuses. Le lendemain, alors qu'il monte les trois étages avec la belle blonde qui occupe toute son attention, Sheldon se livre avec nervosité :

- Penny, il y a quelque chose que je dois te dire. Ces derniers temps, j'ai ressenti quelque chose de différent envers toi. Je pense que je suis tombé amoureux.

- Oh! Euh... Sheldon, je ne m'attendais pas à ça. C'est un peu soudain, tu sais. Tu crois que c'est de l'amour? Tu ne confonds pas amour et désir?

Alors qu'ils passent devant l'ascenseur en panne, Sheldon répond avec sérieux :

- Oui, je comprends la différence. L'amour est une émotion complexe, mais après avoir analysé les données disponibles, j'ai conclu que la compatibilité sexuelle avec toi est élevée.

- Sheldon, je ne sais pas quoi dire. Notre amitié est si précieuse pour moi, et je ne veux pas la compromettre. Mais je suis franche avec toi. Tu me troubles.

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Penny, confuse par les déclarations de Sheldon, se trouve face à un dilemme délicat : choisir entre l'amitié fidèle de Léonard et l'aventure incertaine avec Sheldon. Le lendemain, alors qu'elle accompagne Léonard au magasin de costume pour en choisir un déguisement pour la fête dans la boutique de Stuart, elle s'ouvre à lui.

- Léonard, tu es un ami incroyable, toujours là pour moi. Et avec Sheldon, c'est différent... mais il y a quelque chose de spécial entre nous. Qu'est-ce que je devrais faire?