Parodie : Les Petites Maisons

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Mary respire de plus en plus fort. Elle sourit et, en même temps, se sent enveloppée d'une douce chaleur tandis que Caroline poursuit son massage et ses caresses, utilisant des mouvements fluides. Les jolis seins bravent la gravité avec une effronterie qui fit rire Caroline.

- A ton âge, j'avais aussi de jolis seins.

Les gestes attentifs et précis de Caroline semblent effacer toutes les barrières accumulées. Mary se laisse bercer par les mouvements apaisants de Caroline et de son mari. Des mains calleuses emprisonnèrent sa poitrine ferme. Les tétons déjà durs, frottent dans le creux des deux pognes qui malaxent les deux rondeurs. Adam s'approche de sa belle-mère pour lui prêter main forte. Caroline sourit à son beau-fils. Ensemble, ils se placent de chaque côté de Mary, leurs mains expertes se coordonnant pour parcourir tout le corps. La longue culotte de la jeune femme est retirée.

- Respire profondément, ma chérie, dit Caroline avec tendresse, tandis qu'Adam commence à effleurer les cuisses de Mary avec des mouvements lents et profonds.

Mary ressent une sensation agréable alors que les mains de son époux se rapprochent de son sexe. Leurs gestes sont parfaitement synchronisés, créant une symphonie apaisante entre les seins et le sexe de Mary. L'aveugle se sent enveloppée dans une bulle de douceur.

- Laisse-toi faire. Permet à ton corps de se détendre complètement, ajoute Caroline d'une voix réconfortante en se plaçant derrière Mary qui est allongée sur le lit conjugal.

L'aveugle lâche un gémissement. Les doigts de son époux écartent ses lèvres et caressent les replis de son sexe. Caroline observe Adam et se penche pour prendre un petit sein de sa fille dans sa bouche. La langue maternelle titille le téton dur. Penchée ainsi, la volumineuse poitrine de Caroline pend au-dessus du visage de sa fille. Mary perçoit le mouvement des deux masses au-dessus et se redresse pour venir téter sa maman.

Adam est transporté par le spectacle lesbien et incestueux. Les deux femmes se lèchent mutuellement les seins. Lui, il enfonce ses doigts dans la chatte. Caroline est prise d'une folle excitation. La jeune aveugle sent un corps la chevaucher au-dessus de son visage et, quand un sexe de femme se plaque sur sa bouche, elle s'abandonne à la luxure. Mary commence à lécher les grandes lèvres rosées qui pendent. Le goût est épicé. Tournée vers son beau-fils qui enfonce ses doigts dans la chatte de sa femme, Caroline se penche pour poser sa main sur le pubis de sa fille. La langue de la petite sonde en profondeur sa vulve poisseuse qui plaque la tête sur le lit.

Les doigts de Caroline crochètent le vagin de sa progéniture et frottent une zone précise qui électrise. Ses fluides coulent dans la bouche de Mary comme un élixir mystérieux excitant son propre sexe comme par une connexion magique. Caroline se penche encore plus et atteint la culotte de son beau-fils qu'elle baisse. La verge n'est pas complètement tendue.

- Donne-la-moi, demande Caroline à Adam.

L'homme se redresse et approche de l'amazone qui chevauche la bouche de sa propre fille. Son bout tout mou est déposé au creux de la main de sa belle-mère. Elle le branle un peu et se penche pour le prendre entre ses lèvres. La langues est vigoureuse et lèche la longueur de la tige. Pendant un moment, Adam sent la bouche qui le suce, le lèche et l'avale. Il ose à un moment prendre un des seins massifs pendant qu'il malaxe un, plus modeste, de sa femme.

Caroline se lève et libère la bouche de sa fille.

- Suce ton mari, commande la mère en tenant la verge d'Adam qui commence à bander.

La jeune aveugle écarte ses lèvres et sent le bâton de chair pénétrer sa bouche. Adam est électrisé. Il a envie de baiser sa femme comme jamais. Mais, c'est quand il sent la langue de sa belle-mère qui s'est agenouillée derrière lui, écarter ses fesses pour titiller son anus et la main saisir ses bourses que l'homme éclate. Il crie et jouit dans la bouche de la petite Mary qui reçoit les jets de sperme au fond de sa gorge comme une récompense. Elle avale et avale encore avec bonheur.

CAROLINE EST REPARTIE DEUX jours plus tard. Elle a laissé le couple se découvrir et n'a plus participé à leurs ébats. Loin des distractions du monde extérieur et des préoccupations quotidiennes, ils se préparent à redécouvrir l'essence de leur amour, s'appuyant sur la force de leurs liens émotionnels et la puissance communicative du sexe. Dans cet espace de vulnérabilité partagée, Mary se sent prête à s'ouvrir à sa féminité et à son mari d'une manière qu'elle n'avait pas envisagée auparavant, marquant ainsi un pas important vers la guérison de leur intimité.

CHAPITRE 3

APRES LEUR VOYAGE POUR SOUTENIR LEURS FILLES dans leurs propres foyers, Charles et Caroline se retrouvent enfin chez eux, un sentiment de mission accomplie les enveloppant. Assis côte à côte dans leur lit douillet, éclairé par la lueur chaleureuse d'une lampe à huile, ils partagent les détails de leurs visites, échangeant des regards remplis d'amour et de compréhension mutuelle. Sous les draps, Caroline branle doucement l'énorme membre de Charles qui caresse un sein volumineux à travers la chemise de nuit.

- Tu sais, Caroline, je pense que ce serait une bonne idée de rassembler tout le monde ici le mois prochain, propose Charles, son esprit toujours à la recherche de moyens pour renforcer les liens familiaux. Une réunion de famille, ici, chez nous. Ça pourrait faire beaucoup de bien à tout le monde et initier de nouveaux rapports.

Caroline, d'accord avec l'idée, hoche la tête avec enthousiasme.

- Oui, Charles, je pense que c'est une excellente idée. Après tout ce que nous avons vu et entendu, je crois que se retrouver tous ensemble, partager des moments, des rires, cela pourrait aider à apaiser certaines tensions et à rappeler l'importance de la famille.

Ils commencent alors à planifier cette réunion, discutant des arrangements pratiques, des invitations à envoyer et de comment ils pourraient rendre cette occasion spéciale pour chacun. Charles suggère de préparer l'immense grange. Ils passent le reste de la soirée à élaborer des plans tout en baisant calmement.

LE MOIS SUIVANT, la ferme bourdonne d'une activité joyeuse alors que Laura et Almanzo, Mary et Adam arrivent. Dès leur arrivée, l'air se remplit de rires et d'accolades, la chaleur des retrouvailles enveloppant chaque membre de la famille dans une étreinte invisible. Les chevaux et les calèches sont rangés dans le champ derrière l'immense grange.

Adam, portant un costume soigneusement choisi pour l'occasion, se joint à Almanzo et Charles à l'extérieur. Charles, pipe en bouche, exhale des volutes de fumée dans l'air frais du matin, écoutant et partageant des histoires avec ses gendres. Almanzo, plus détendu qu'à l'accoutumée, rit à gorge déployée à une anecdote partagée par Adam, tandis qu'ils savourent ensemble une boisson, appréciant ce moment de camaraderie masculine.

Dans la cuisine, une scène de chaleur et de convivialité se déroule. Caroline, en maîtresse de maison expérimentée, dirige les préparatifs du repas, tout en engageant ses filles dans une conversation sur les progrès réalisés dans leurs vies de couple. Mary, vêtue d'une robe échancrée qui met en valeur sa féminité retrouvée, attire l'attention de Laura, qui ne peut s'empêcher de la complimenter sur sa tenue.

- Mary, tu es absolument ravissante dans cette robe, dit Laura, un sourire sincère éclairant son visage.

Mary rougit légèrement, touchée par le compliment de sa sœur. C'est à ce moment que Caroline les rapproche et embrasse chacune d'elle sur la bouche.

- J'ai cousu de jolies robes un peu coquines pour nos hommes. Je vous les montrerai plus tard.

Caroline, tout en remuant une marmite sur le feu, écoute attentivement ses filles partager leurs expériences sexuelles du dernier mois, offrant des conseils maternels et des mots d'encouragement.

Alors que la soirée approche, la petite maison est baignée dans une atmosphère de convivialité et de chaleur, amplifiée par le crépitement de la cheminée et la lueur douce des lampes à huile. Charles et Caroline, entourés de leurs enfants et de leurs conjoints, prennent un moment pour partager leurs pensées, leurs expériences de vie, et exprimer leur fierté face aux parcours de chacun.

- Nous sommes tellement fiers de vous tous, commence Charles, sa voix empreinte d'émotion. Voir l'amour que vous entretenez dans vos mariages renforce notre conviction que c'est le pilier d'une union heureuse et durable.

La bière, coulant à flot tout au long de la soirée, contribue à l'ambiance décontractée, chaque couple se rapprochant, partageant des rires et des regards complices. Dans cette bulle de bonheur familial, Caroline décide de proposer une petite surprise. Elle monte à l'étage avec ses deux filles puis, une demi-heure plus tard, elles reviennent dans des robes affriolantes. Elles ont le même tissu noir avec des fines lignes rouges dessus. Mais les formes sont très différentes et s'ajustent à chaque silhouette.

Les hommes voient Mary qui descend la première dans une robe qui magnifie sa minceur. Elle est serrée à la taille et souligne joliment son petit cul. La robe est très courte et découvre le magnifique galbe des cuisses de la jeune femme. Le tissu sert et remonte sa petite poitrine pour donner une charmante silhouette à l'aveugle qui sourit dans le vide sous les compliments des hommes. Elle reste au bas des marches et écoute sa sœur descendre.

La robe de Laura, du même tissu, met en avant sa plantureuse poitrine. Le sillon entre ses seins est parfaitement visible et une plongée vertigineuse donne le tournis à Charles et Adam. Un peu plus longue que celle de sa sœur, la robe est cependant largement fendue sur le côté exposant sa jambe, sa cuisse et la naissance de sa fesse.

Caroline suit ses filles. Sa robe met également en valeur sa magnifique poitrine. Toutefois, la différence réside quand la mère de famille tourne sur elle-même. L'échancrure dans son dos, découvre toute sa peau jusqu'à la naissance des fesses.

Laura prend sa sœur par la main et la guide vers les trois hommes. Mary embrasse son mari qui pose ses mains sur ses cuisses découvertes. Puis Laura déplace sa sœur vers leur père. Charles pose également ses lèvres sur la bouche de son aînée et ils mêlent leur langue. Enfin, la cadette présente son mari à sa sœur. Ce dernier serre sa belle-sœur contre lui et l'embrasse avec fougue. Mary est ensuite attablée devant son assiette et son verre de bière.

C'est Caroline qui continue le petit rituel. Elle vient embrasser son époux qui la complimente sur les magnifiques robes. Ensuite, Caroline pose ses lèvres sur celles d'Adam qui sert sa belle-mère contre lui. Il caresse le dos nu et descend dangereusement ses mains vers les fesses. Almonzo sourit à Caroline quand elle approche. Avant qu'elle ne se penche pour l'embrasser, il a le temps de déposer un baiser sur chaque sein. Caroline rit.

Laura est déjà dans les bras de son père. Elle lui sert discrètement le sexe à travers le pantalon tandis qu'ils s'embrassent. Après, c'est Adam qui bénéficie des doigts de sa belle-sœur dans son pantalon. Sans préambule, elle saisie la verge molle qui attend dans la culotte de coton. Almonzo embrasse tendrement sa femme.

Pendant le repas, la pièce est enveloppée dans un silence attentif, les couples écoutant, absorbant chaque mot. Caroline continue en servant les plats :

- L'amour est un jardin qui nécessite attention et soin. Il faut l'arroser de gentillesse, le nourrir de compréhension et le cultiver de tous les plaisirs possibles. Si vous faites cela, votre amour ne cessera de grandir, peu importe les épreuves que la vie vous réserve.

LA SOIREE SE POURSUIT DANS UNE AMBIANCE de légèreté, les couples partageant anecdotes et éclats de rire, se sentant plus unis que jamais. Après le repas, Charles propose qu'on se rassemble dans la grange pour communier ensemble.

- Mais, papa, les animaux vont prendre toute la place, sourit Mary qui est blottit contre Adam.

- Non ma chérie. Tonnerre et Grover sont dans leur box, dans la grange et vos chevaux ont été attachés derrière la maison.

Chaque mari prit sa femme respective par le bras. Dans leur robe magnifique, les femmes suivent leur époux jusqu'à la grange pâlement éclairée par la lune pleine.

Deux jours ont filé comme le cours d'une rivière tranquille, emportant avec eux les moments de joie, de plaisirs et de découvertes insoupçonnées. Les couples, Laura et Almanzo, Mary et Adam, ont repris le chemin de leur quotidien, laissant derrière eux le cocon chaleureux de la petite maison. Charles et Caroline, désormais seuls, contemplent le silence qui a remplacé le brouhaha des rires, des orgasmes et des conversations licencieuses, un silence aussi profond que la terre sur laquelle ils ont bâti leur vie.

Leurs regards se croisent, un miroir de leur amour et de leur engagement mutuel, reflétant la lumière d'un soleil couchant qui promet encore de nombreux levers. Dans cet instant suspendu, les antithèses de la vie se fondent en harmonie : la jeunesse et la vieillesse, le départ et le retour, les épreuves et la joie. Comme la terre se repose en hiver pour fleurir au printemps, ils savent que chaque adieu est le prélude d'une nouvelle rencontre. Ils attendent déjà leurs prochaines retrouvailles, ce rituel familial qui se répètera comme le ferment de leur bonheur.

CHAPITRE 4

ALMONZO EST ALLONGEE DANS LE LIT DE SA MAISON. Nu sous les couvertures, il lit les feuillets que sa femme lui a donnés. Il en est à la deuxième page mais il peine à lire plus vite malgré l'intérêt du sujet. Laura, sous les draps lui prodigue une merveilleuse fellation.

Comme par un hasard curieux, à des centaines de kilomètres de là, Mary est également allongée dans son lit. Adam l'a déshabillée et lui suce les seins pendant qu'il se masturbe. Sa femme décrypte la très longue lettre en braille que sa sœur lui a envoyé.

A quatre pattes dans la grange, Tonnerre et Grover en liberté devant elle, Caroline lit les feuilles qu'elle a étalées sur la paille. Charles, derrière elle, a enfoncé son mandrin et écoute la lecture de sa femme.

**************************************************

* Avril 1871, Ma famille est formidable. *

**************************************************

Voici mes premiers essais d'écriture. Le bonheur de notre famille, les épreuves que nous connaissons, doivent être consignés pour que les générations futures sachent que le bonheur est possible. Voici mes premières lignes :

« Ils sortaient après un beau repas. La lune baignait l'extérieur de la grange tandis que trois lampes à huile éclairaient son intérieur. Ils étaient tous les six au centre, au milieu des ballots de paille. Les deux chevaux demeuraient dans leur box fermés. Charles ôta la robe noire de Caroline. La pâleur de sa peau soulignait ses formes généreuses. La blonde retira l'unique tissu qui habillait son mari. Sa musculature se raidit sous le coup de la fraîcheur nocturne. Distants d'un bon mètre, ils tendirent leur bras et se prirent les mains.

Le silence était total. Pas de vent. Un calme absolu. Tous les regards fixaient les deux corps éclairés par les trois lampes à huile. Caroline s'approcha de Charles et au moment où leurs peaux se touchèrent, au moment où la volumineuse poitrine frôla le torse musclé, au moment où leurs bouches s'unirent, une vague de chaleur irradia entre toute la famille.

Laura s'exclama mais tous restèrent fixés sur les deux corps qui s'étreignaient. Les mains du père palpaient les fesses vigoureuses de la mère dont une jambe entourait la taille de l'homme. Sa toison se frottait sur la verge à demi tendue et déjà sa main caressait les testicules velus. Les lueurs des lampes sculptaient leurs corps nus.

Laura, aux cheveux détachés, avança et retira sa belle robe noire, dévoilant un corps maigre avec une très forte poitrine. Elle rejoint ses parents au centre qui l'accueillit avec chaleur. Charles l'embrassa tendrement tandis que ses mains la palpaient avec envie. Caroline continuait à se frotter sur le pénis et elle pelota les petites fesses de sa fille.

Adam se tourna vers Mary et la déshabilla. La robe qui la moulait si bien au sol, l'aveugle sourit tendrement à son époux. Elle s'agenouilla devant lui et, après s'être débarrassée du pantalon et de la culotte, elle prit la verge dans sa bouche et le suça avec une extrême tendresse.

Dans un mouvement quasi instantané, une boule de chaleur monta dans le cœur de chacun, comme s'ils faisaient tous partie du même corps. Ils se déshabillèrent mutuellement et s'étreignirent sans aucune gêne. Almanzo se retrouva dans les bras de sa femme dont les seins massifs se collèrent à sa peau.

La lune donnait au ciel une douce pâleur qui servait de dôme à cette orgie familiale. Le silence était impressionnant. Quelques hululements parvenaient de temps en temps à le percer. Charles et Caroline se regardèrent silencieusement un moment avant de s'embrasser à nouveau et, comme le père fut accaparé par sa magnifique fille aux cheveux blonds, sa femme se retourna vers Almonzo. Charles s'était agenouillé et caressait lentement le corps nu de Laura.

L'aveugle approcha à tâtons. Mary, au corps si fin, si délicat, s'agenouilla également et se blottit contre le corps tout chaud de son père qui ne savait plus qui caresser de ses deux filles. Il la regarda un instant en lui souriant gentiment et l'embrassa. Il sentit les petites mains de Mary se mêler à celles de Laura sur son bas-ventre et dont le tâtonnement n'avait pour but que d'atteindre le sexe en pleine érection.

Caroline regardait ses deux filles. Elle embrassait Almonzo et accueillit Adam. La femme prit la verge tendue de l'avocat pour la sucer. Les lampes à huile illuminait la scène et procurait une certaine forme d'intimité. Tonnerre et Grover, les deux chevaux étaient calmes malgré les premiers gémissements qui s'élevaient. Toute la famille rassemblée se donnait mutuellement du plaisir pour communier ensemble.

On examinait l'enlacement des corps, ces imbrications improbables de jambes, de bras, de seins, de sexes, de mains, de cheveux, de langues et de peaux. On riait à gorge déployée en s'embrassant, en gémissant. Peu à peu, une clameur sourde et grave montait. On caressait. On s'amusait. On donnait. On pénétrait. On léchait. On suçait. On pinçait. On gémissait. Une communion extatique vibrait et grondait prenant chaque membre par les tripes et provoquait des démangeaisons qui laisseraient une cicatrice indélébile sur les sensibilités.

On s'allongea sur la paille. Charles avait pénétré Laura avec lenteur, comme pour être en harmonie avec la danse pondérée des lampes. Allongée sur le dos, la jeune institutrice sentait l'agréable sensation de son étroit fourreau s'écartant sous l'avancée paternelle. Mary, à ses côtés, embrassait son père depuis un moment en flattant sa musculature saillante. Elle pressait son pubis sur la cuisse ferme de l'homme qui s'enfonçait avec rythme dans le vagin de sa sœur qui commençait à lâcher des petits cris aigus.

La parole n'est rien, tout est dans l'action. Ce soir-là, la famille connut réellement la communion. Ils se dépouillèrent de toutes les hontes dont les années les avaient emmaillotés. Dans le fourreau de son désir, Adam disait des choses qui auraient déchiré le cœur de Caroline à tout autre moment. Allongée sur le ventre, elle appréciait les culbutes énergiques de ses beau-fils qui alternaient leur pénétration. Un puissant orgasme éclata lorsqu'Almonzo succéda à Adam pour la troisième fois. Tout le corps de la femme trembla et sa gorge s'érailla de son cri de libération.

Les chevaux hennirent plus loin et Laura regarda avec fierté son mari fiché dans le sexe de sa mère. Elle laissa sa sœur qui était à quatre pattes, la verge paternelle dans la chatte. L'institutrice avait déjà jouit deux fois par les caresses de son père. Elle approcha d'Almonzo et d'Adam. Elle les embrassa chacun leur tour avant de demander à son époux de rejoindre Mary et Charles.