Nuit Magique

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Texte très hard d'autant que totalement vécu...
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L'annonce m'avait fait sourire. La jeune femme de 35 ans cherchait un vrai Maître capable de la briser et non qu'elle briserait comme tous ceux qu'elle avait pu croiser. Typique d'une personne voulant se convaincre que personne ne pourrait la dominer et prompte à dézinguer tous ceux qui essaieraient. Une démarche tellement égocentrique qu'il était difficile de s'y intéresser. Enfin en ce qui me concerne. Il est vrai que les personnes soumises sont en règle très générale, juste intéressées par leur propre sort, émotions, le dominant étant là pour leur procurer ce qu'elles souhaitent. Cela semble paradoxal pour qui n'a jamais frayé dans ce milieu, mais tellement évident aussi.

Julie était belge, une grande brune élancée, ronde là où il faut, une très belle femme. Trois enfants, divorcée, cherchant à vivre ses pulsions violentes et profondes. J'ai commencé à échanger avec elle, à la fois par ennui, mais aussi parce que sa violence était peu banale. Violence dans ses mots, dans sa recherche, dans sa brutalité aussi à rejeter tous ceux qu'elle méprisait. J'avais assez roulé ma bosse pour savoir que je saurais la briser, mais aussi que cela demanderait une énergie folle et renouvelée, sans grand intérêt pour moi. Nous échangions sur les pratiques qu'elle avait subies, celles que je connaissais aussi, différents tourments et supplices. Ce qui était amusant, c'est qu'elle ne voulait rien accepter, mais s'offrait pleinement et ne refusait rien. Attendant que tout cela lui soit imposé contre sa volonté. Vraiment contre sa volonté, et non une volonté cachée.

Je me suis pris au jeu, commençant à élaborer des scenario. J'avoue que la torturer était tentant, son corps me parlait. Il fallait juste la baîlloner, car son accent aurait sans doute tout gâché! Pas question d'une relation, je lui proposais une nuit, une nuit unique dans tous les sens du terme. Avec le recul, j'ai compris qu'elle n'avait pas voulu entendre dans tous les sens du terme. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre, pensant que sans doute au bout d'une heure elle serait déjà au bout de sa vie. Pas de safeword, cela n'avait pas de sens, donc une responsabilité accrue pour moi. Nous avons dialogué longuement avant sa venue, j'ai toujours le besoin de très bien sentir ma partenaire, toucher son âme, donner un sens à chaque geste et chaque moment.

Elle est arrivée de Bruxelles en voiture, se présentant à moi à 18h. J'occupe une maison en fond de cour, calme et isolée, pouvant héberger toutes les folies imaginables. Ce que je n'ai pas manqué de faire. Ce soir en serait une épique.

Elle est grande, puissante, brune aux yeux noirs, la peau douce, les fesses lourdes, les seins appétissants. Elle m'offre un sourire étincelant quand j'ouvre la porte, elle est heureuse et pas du tout stressée d'être là. Son sourire se fige tandis que je la gifle à toute volée sur le pas même de la porte.

-Pour qui tu te prends? Je ne t'ai pas donné l'autorisation de lever les yeux sur moi. Tu crois venir papoter et passer un bon moment? Je crois que tu t'es un peu trompée. Tu voulais quelque chose de différent, je crains que tu ne le regrette.

Elle ne dit rien, baisse ses yeux remplis de larmes. Je sais à quel point elle est émotionnelle, mais pas question de laisser un rapport d'égalité s'installer. J'ai été assez prévenu des échecs précédents. Je la prends par les cheveux, la fait rentrer et mettre à genoux dans l'entrée. Il me faut de la force, elle est lourde, et ne se laisse pas faire naturellement. Une éducation à mener! Je lui ordonne maintenant de me regarder. Ses yeux jettent des éclairs, je suis prévenu, c'est un animal sauvage. En lui intimant l'ordre de ne pas quitter mes yeux, je la gifle, longuement, puissamment, ses joues sont rouges, ses yeux coulent, son mascara la défigure. Je n'arrête pas, cela dure le temps que les éclairs dans ses yeux laissent la place au désarroi. Elle n'a même pas eu le temps de poser son manteau.

Je la fais mettre nue, elle est belle, un peu ronde comme c'est si bon. Son ventre est bombé, la peau un peu mate, le sexe et le reste du corps parfaitement épilé. Ses seins sont en forme d'obus, vraiment très lourds. Elle est à genoux, la tête baissée, les jambes écartées. J'ai mes chaussures aux pieds, et sans prévenir je lui décroche un monumental coup de pied sur le sexe. Elle s'effondre, le souffle coupé. Je la prends par les cheveux et la remets en place. Elle se laisse faire. Me regarde par en dessous, craintive. Je répète la même violence encore 9 fois. Chaque fois je la sens se détendre, se laisser aller un peu plus, trembler de tout son corps. Elle se pisse dessus, n'arrivant pas à se retenir. Lorsque je lui demande de lécher le parquet ainsi souillé, elle refuse, me défie. Cela me fait sourire.

Sans un mot je la saisis par les cheveux, et plonge son visage sur le liquide. Elle résiste. Je lui donne 10 secondes, sinon ce sera 20 coups de pied dans son sexe déjà meurtri. Elle refuse, je m'y attendais, elle me teste. Je la remets à genoux, elle se laisse faire, une paire de menottes pour les mains dans le dos. Je serre trop les braceletss pour que ce soit désagréable. J'enchaîne les 20 coups, toujours aussi forts. Ses cris sont gutturaux, je la sens chanceler en perte de tension. Je ne vais pas la briser d'emblée je le sais, mais qu'elle sache qu'elle est au bon endroit.

Je la reprends par les cheveux, elle est dans un demi comas, et cette fois ci lèche sans rien dire. Je la gifle à nouveau en lui disant que je suis déçu de son attitude. Je ne veux surtout pas qu'elle me sente triomphant. Malgré son état, je sais qu'elle continue de contrôler. Qu'elle voulait me jauger, et je ne veux donner prise à aucune manipulation de sa part.

Ses obus me font très envie, j'ai plein de projets pour eux. Pour commencer, toujours dans l'entrée, je les ligote à leur base par de larges élastiques qui les enserrent très fort. L'élastique est plus terrible que les cordes, et je sais que je ne peux pas les laisser ainsi trop de temps, car cela pourrait créer des dommages. Mais d'emblée la souffrance se lit sur le visage de Julie, surprise d'être ainsi aussi sensible. Sa poitrine est alors somptueuse, pointant en avant, rapidement bleue et remplie d'une tension douloureuse qui va ne faire que s'accroître. Les marques de cannes seront sanglantes, je n'en doute pas. Les tétons sont écrasés par la tension, et peu proéminents ainsi, mais je saurais aussi les faire sortir de leur situation.

Julie a les mains toujours menottées dans le dos. Je lui passe un bandeau pour masquer ce que je vais faire, je ne veux pas qu'elle bouge. Je sors une épaisse aiguille chirurgicale, j'appuie avec un bouchon de liège à la base de sa paroi nasale et d'un geste rapide, je la perce en enfilant l'aiguille de l'autre côté. Elle essaie de s'enfuir, mais c'est trop tard, l'aiguille est insérée. Elle vocifère, mais peu importe, je bloque sa tête et fait coulisser un anneau dans son nez qui ne saigne même pas. L'anneau est épais et lourd, humiliant sans aucun doute. Quand elle se calme, je lui glisse une laisse à l'anneau et l'emmène, à 4 pattes dans la salle de bain se regarder. Elle ne dit rien, je sens qu'elle voudrait m'incendier de son regard, mais n'y arrive pas vraiment, elle flanche. Elle commence à flancher. Pas une seule soumise que j'ai dominée n'aurait supporté son traitement, elle a du coffre.

-Tu es bien à ta place ainsi. Et avec cet anneau ton statut de femelle à baiser est au moins clair. Tu verras tu ne vas pas être déçue de la suite de la soirée.

Je crois qu'elle commence à comprendre. Je la monte au deuxième niveau, dans une pièce calfeutrée que j'utilise parfois en donjon. En fait je n'adore pas tellement le concept de donjon, comme un lieu où pratiquer les sévices, là où j'aime les pratiquer partout, et être confortable dans un canapé ou sur un lit. Mais là il y a d'une part une croix où je l'attache dos au mur, mais aussi d'autres accessoires qui n'ont rien à faire dans une chambre ou un salon! Elle est écartelée, me regarde avec une esquisse de sourire, genre même pas peur. Sa poitrine pointe et c'est d'elle dont j'ai envie de m'occuper pour l'instant.

Je caresse ses deux globes tendus, la sensation est tellement excitante, je ne me lasse jamais de ce plaisir, de cette tension, des gémissement qui ne manquent pas tandis que je la griffe un peu. Je fais rouler les tétons, les faisant un peu émerger. Les auréoles sont devenues énormes par la pression. Les seins sont froids, il ne faudra pas que je tarde à passer aux cordes. Avant de les marquer, je passe d'abord aux aiguilles. Pas chirurgicales, non des aiguilles de coutures, plus épaisses et moins incisives pour que la douleur soit accrue. Avec un bout coloré ludique. Mais aussi parce que les aiguilles chirurgicales laissent passer le sang, ce qui n'est pas très joli. Julie a les yeux rivés sur les instruments de torture, je la rassure qu'elles sont désinfectées : je ne pratique pas la torture psychologique sur la santé.

La peau est tendue à craquer, les aiguilles sont peu affutées, il faut appuyer fort, sentir la chair qui cède, c'est tellement jouissif à chaque fois. La tension dans le corps de Julie, soulagée chaque fois que l'aiguille rentre. Je les enfonce jusqu'à la tête colorée. Une dizaine en cercle tout autour du mamelon, d'un sein puis de l'autre. Je les masse pour que les chairs soient bien maltraitées, sentir Julie gémir. Pour la première fois je la touche, son sexe est ouvert, trempé, c'est une vraie masochiste. Je pince son clitoris, le fait sortir, elle halète. Je m'occuperai de son sexe plus tard, la position n'est pas très pratique. Je prends des photos pour ses souvenirs. Il me reste des petites aiguilles, mais je veux m'occuper de ses globes avec d'autres. Sa tête est baissée pour soulager la tension dans son nez étiré vers le bas par la laisse, qui pend entre ses seins suppliciées.

Ces yeux s'écarquillent à la vue des six aiguilles que je sors. Elles sont neuves, stérilisées et chirurgicales. Epaisses et très longues, elles sont menaçante. Je bande comme jamais, j'adore ces tortures, intimes, si proches de ma victime, pouvant partager avec elle ce plaisir. Julie mouille toujours autant malgré la peur et le stress de ce qu'elle va subir. J'appuie sur le peau tendue, bien au milieu de son obus. Je presse, la chair s'enfonce légèrement, puis cède, l'aiguille commence à rentrer. Elle retient son souffle, épouvantée de voir la progression inexorable, quoique difficile, je dois appuyer fort, traverser différents tissus. En tenant fermement son sein, je sens la progression, les ravages créés par cette intromission monstrueuse. Le parcours est long, peut être bien 15 centimètres pour traverser de part en part. Quand enfin l'aiguille sort, Julie expulse tout l'air bloqué dans ses poumons, dans un gémissement mélange de souffrance et de plaisir. Elle est secouée de spasmes, tandis que l'aiguille ressort largement. Elle sait qu'il y en a encore 5 et que chacune va ainsi la traverser, la blesser, la faire jouir de sa souffrance masochiste.

C'est un temps hors sol, nous sommes liés dans une torture extrême qui déforme ses seins, bouleverse ses chairs les plus intimes. Quand toutes sont rentrées, la vue est sauvage, d'une violence rare. Des rigoles de sang se sont formés, maculant son sein. Je me caresse à la regarder, je ne veux pas jouir, je perdrai une grande part de ma volonté de l'emmener là où elle n'est jamais allée. Son regard est brouillé, malgré le poids de la laisse, elle me regarde. Comme un défi je la caresse sur son clitoris, la faisant frémir, puis je lui murmure dans l'oreille ce qui va lui arriver ensuite, elle tremble et ne résiste pas, l'orgasme la fait hurler, avant qu'elle ne retombe comme inanimée.

Je me remplis de cette image, cette violence me vide un peu, il faut que je ralentisse, sinon je ne vais pas tenir moi! Mais pas encore le temps de faire une pause. J'approche de ma suppliciée avec une briquet qu'elle regarde en panique. Elle sait ce qui va lui arriver sans pouvoir imaginer ce qu'elle va ressentir. Moi non plus je dois l'avouer, là je suis en terrain inconnu et je vais me guider à ses réactions. La flamme est intense et je l'approche du bout d'une aiguille, la chauffant de façon intense. Quelques secondes suffisent, elle gémit, m'implore, rue dans ses liens, et retombe dès la chaleur dissipée. C'est tellement excitant. Je recommence encore et encore, de plus en plus longtemps. Ses cris sont déchirants, son corps arc bouté. La dernière aiguille est rouge vif dans sa partie visible, l'odeur de brûlure épouvantable, ses gargouillis un cadeau pour moi. Je jouis de ses spasmes de souffrance.

Enfin elle retombe, complètement épuisée. Il va falloir que je la libère. Les grandes aiguilles sont difficiles à enlever, comme soudées en elle, cela lui arrache des plaintes, des cris suraigus. Le sang ne coule pas, sans doute coagulé. Pour les petites c'est plus simple, mais là le sang s'en donne à cœur joie. Je sais qu'elle a peur du sang, aussi je lui montre comme ses mamelons sont ravagés. Libérée des pointes, elle respire mieux. Avant de la libérer des élastiques qui étranglent ses seins, je prends une canne. J'attache son cou en arrière, serrant fort pour stresser sa respiration et ne pas risquer de blesser son visage. Puis j'abats la canne sur un globe offert, puis l'autre, les marques sont immédiatement sanguinolentes. Je frappe le dessus, le dessous, le côté, jusqu' ce que ses seins soient deux masses en sang. Alors je descends sur le ventre, cette zone si sensible, si attirante aussi avec son coté dodu. Je frappe fort, très fort, plus fort que je ne l'ai jamais fait. Elle ne s'échappe pas. Je crois même percevoir qu'elle s'offre. Ses yeux sont fermés, elle râle, elle souffre tant.

Les coups descendent et sur son pubis elle couine comme une truie, pourtant ne fait aucun mouvement de défense. Elle sait s'offrir, ce qui me permet de frapper terriblement fort, chaque marque est rouge, gonflée après quelques secondes. Je descends rapidement sur ses cuisses, une dizaine de marque profondes sur chacune d'elles. Il me faut maintenant parachever ces marques. Je prends un scalpel, et je le passe sur chacune en partant à nouveau des seins, provoquant systématiquement un saignement, une respiration qui se bloque tout le temps où le scalpel traverse ses chairs. Je m'affaire ainsi presque une heure, soulignant toutes les marques de souffrance qu'elle a pu recevoir.

Julie pend sur ses attaches, l'animal sauvage est brisé, cette fois ci j'en suis certain. Tout comme je suis certain qu'il n'est pas question de s'arrêter là. En une heure ou deux elle aurait repris vigueur et tout serait à recommencer. C'est maintenant qu'il faut la travailler en profondeur. Moi je suis franchement épuisé. Je détache les élastiques. Les seins glacés prennent une forment bizarre, étalés sur son ventre, déformés par les supplices subis. Elle tombe sur moi quand je détache ses bras, et malgré son poids, je la porte sur un banc assez bas. Je l'y attache, ventre contre le plateau, fesses très surélevées. Elle ne peut pas bouger mais est dans une position très confortable, la tête reposant sur un coussin rembourré. Le reste du corps fermement ligoté par des ceintures.

Ses deux trous sont parfaitement offerts. Son sexe est gonflé des coups à son arrivée, mais son anus est intact et tout propre. Je lubrifie mes doigts dans son sexe avant de l'ouvrir par son petit trou. Elle est très souple, et je rentre facilement trois doigts. Je n'ai pas prévu de fist ce soir, mais peut être que ce serait une idée. J'aligne mes deux machines à baiser qui sont prévues pour ce banc. Une pointe du haut vers le bas pour son cul, l'autre à l'horizontal pour son sexe. Je règle précisément et la course et l'angle avec deux godes en silicones, assez épais, mais rien de fantastiques pour une fille comme elle. Une fois satisfait, je change les godes pour deux très larges goupillons industriels, fait pour nettoyer les grandes bouteilles de lait. Ils doivent faire près de 10 centimètres de diamètre, sachat que les poils en plastique se recourbent. L'effet dans un orifice est garanti!

Je les badigeonne d'une crème pour les blessures musculaire à l'alcool et à la menthe, qui provoque une brûlre intense, et je les positionne dans Julie. Elle sort de sa torpeur pour hurler, pas encore à cause de la crème qui n'a pas eu le temps de faire son effet, mais des poils des goupillons qu'elle sent irriter son rectum d'un côté son vagin de l'autre. Les machines partent à vitesse lente pour vérifier que tout va bien et surtout qu'elle ne peut sortir les deux monstres en elle. J'accélère tandis que Julie commence à hurler en rythme, la crème ne va faire effet que 30 à 45 minutes, mais avec l'irritation qu'elle va subir elle va déguster. Je vais retrouver son cul et son sexe en sang quand je vais revenir.

Je m'absente pour reprendre mon souffle, mes esprits, et dormir un peu. Je dois mettre des boules Quiès car elle fait beaucoup de bruit, je suis dur comme jamais.

Lorsque j'émerge, je n'entends que le va et vient des deux machines. Julie semble s'être assoupie sur le banc, ivre de souffrance. Je verse généreusement de la crème mentholée sur le goupillon supérieur, la brûlure dans son fondement devant sans doute la réveiller! Je descends prendre une rapide douche. Elle gémit quand je reviens, implorant pitié de façon désordonnée. Je la trouve touchante, elle lâche prise, et semble apaisée malgré ses souffrances inimaginables. Je caresse doucement son dos, sa nuque, calmant ses gémissements. J'ai envie d'elle. J'ote les engins de torture, puis je la détache. Une serviette nettoie ses trous maculés de sang et de mouille. Je la traîne à 4 pattes, tirée par son nez jusqu'au lit. Elle est surprise que je la fasse monter. Je la rassure, la nuit ne fait que commencer. Elle sent comme moi qu'une barrière d'âme a cédé entre nous, l'altérité a presque disparu.

Je l'allonge sur le ventre, la masse doucement, m'enivrant de la douceur de sa peau. Elle continue à gémir, les intestins en feu, le sexe aussi mais différemment! Je la retourne sur le dos, ses marques sont sublimes, je les suis une à une, grattant parfois une croute, massant ses seins martyrisés, léchant les tétons encore intacts, embrassant son cou, avant de partager un long baiser. Je lui écarte les cuisses, soulève ses fesses, je la prends doucement. Ses yeux sont brûlants, notre étreinte est longue et tendre. Elle me murmure sans fin qu'elle est à moi, elle semble irradier. Elle veut s'endormir, mais je la sors du lit en la tirant durement par son anneau, la soirée ne fait que commencer.

Je l'habille car nous sortons. Elle ne porte que son imperméable et ses chaussures à talon. Je lui enfile difficilement une cagoule opaque en latex sans d'autre ouverture que deux trous pour respirer avec deux tuyaux s'enfonçant dans chaque narine. Une fermeture éclair peut libérer l'accès à sa bouche. Julie panique un peu, la tension sur son visage est très forte et la respiration difficile. Je bloque les deux tuyaux, elle panique immédiatement. Je la rassure en la touchant. Elle n'a plus aucune vision et une audition très faible. Je lui mets un collier pour accrocher la laisse puisque l'anneau de son nez n'est pas disponible. Enfin je lui enfile un casque de moto, nous allons nous déplacer en deux roues.

Elle se colle contre moi, incapable de savoir de quel côté se pencher, je lui commande de se laisser aller. Pas de visite de Paris la nuit, elle n'en profiterait pas! Elle ne connaît pas la capitale, et ne pourrait même reconnaître Pigalle où je la fais descendre. Je lui enlève son casque et la promène ainsi. C'est un des rares quartiers où cela ne semble pas trop déranger. La vision est pourtant très forte. Je la tiens quand même par sa nuque pour la guider. Nous entrons dans un très grand sex shop qui fait aussi office de cinéma porno. Plusieurs hommes rentrent à notre suite dans le cinéma, se doutant que la soumise venait se faire offrir en pâture.

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