Nouvelle demeure 06

BÊTA PUBLIQUE

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Il m'ordonna de contourner le bureau afin qu'il puisse me voir me désha-biller. Je lui demandais si je pouvais verrouiller la porte et il hurla :

- Non! Bordel de merde fais ce qu'on te dit!

Je contournais donc le bureau et me postais à coté de lui pour me dévê-tir rapidement.

Puis il m'enjoignit de me pencher pour qu'il puisse me présenter à son amie Sheryl.

Je me courbais sur eux et il me présenta comme si l'on se trouvait nor-malement dans un salon.

Je vis s'afficher sur son visage l'humiliation qu'elle ressentait et je com-pris tout de suite qu'elle aussi se trouvait là contre sa volonté.

Nous nous sommes saluées cordialement, et monsieur Taylor nous poussa tête contre tête nous ordonnant de nous embrasser.

Je pressais mes lèvres contre les siennes, après tout cela ne faisait pas très longtemps que j'avais des rapports avec Anne.

Mais je sentais cependant qu'elle n'avait jamais roulé de pelle à une au-tre femme et que cela lui était très difficile de s'exécuter docilement.

J'aurai voulu la réconforter, lui dire que ce n'était pas si grave, mais monsieur Taylor m'ordonna de me taire et de lui rouler une pelle.

Aussi me mis-je à lui rouler un patin fiévreux, tandis que nous nous em-brassions, monsieur Taylor saisit ma main et la posa sur sa poitrine. Je faisais de mon mieux pour rassurer la pauvre malheureuse jeune femme. Il était évident que ce qui lui advenait la traumatisait profondé-ment.

J'entendis la porte du bureau s'ouvrir, et le concierge entra et verrouilla la porte dans son dos. Je commençais à me poser des questions au su-jet de cette relation privilégiée qui existait entre ces deux hommes. Je l'entendis se déshabiller, il se posta immédiatement dans mon dos et planta sa grosse pine dans ma chatoune.

Alors qu'il avait entrepris de baiser vigoureusement, monsieur Taylor re-leva la tête et observa attentivement le rictus horrifié alors qu'il se répan-dait dans sa foufoune asservie.

Je continuais à l'embrasser tendrement alors qu'il restait emboîté en elle. Je le voyais river les yeux sur la bite du concierge qui coulissait avec aisance dans ma chatte servile.

Il me frappa soudain que la relation particulière entre ces deux hommes était due au plaisir de monsieur Taylor de voir un homme noir baiser des jeunes femmes blanches rétives.

Il regardait attentivement le concierge et commenta :

- C'est ça mec, Baise-la à couilles rabattues! Emplis sa chatte de salope de semence fraîche! Fais-là se trémousser sous l'emprise de ta grosse bite noire!

Le concierge semblait apprécier ses commentaires et je le sentis se ren-gorger en haussant le rythme et la profondeur de ses pénétrations, puis il bourra sa grosse bite au fin fond de ma caverne et je sus à cet instant qu'il allait jouir.

Tandis qu'il jouissait enfoncé dans ma grotte embrasée, monsieur Taylor me regardait droit dans les yeux se réjouissant visiblement de ma gêne.

Lorsque le concierge se retira, monsieur Taylor m'ordonna de contourner le bureau et de m'étendre au sol.

Dès que je fus installée à sa convenance, il se retira de la foufoune de Sheryl débordante de foutre, et l'amena à s'accroupir sa chatoune ba-veuse frôlant mon visage.

Je n'ai pas hésité, Je ne le pouvais pas.

Je n'avais plus de libre arbitre.

Mais Sheryl résista à quand ils lui pressèrent la tête entre mes cuisses.

Elle a cria, se débattit pour se redresser, les supplia, rien n'y fit. Mon-sieur Taylor recula d'un pas et le concierge lui échauffa les fesse à grands coups de ceintures, elle entreprit misérablement de me lécher la foufoune. Il la fouetta encore à deux reprises avant de se satisfaire de sa façon de faire.

Monsieur Taylor prenait de nombreuses photos avec son portable, per-sonnellement je m'en foutais, mais Sheryl sanglotait misérablement lorsqu'il se pista face à elle pour prendre des gros plans de sa bouche enfouie dans mon entrecuisses.

Je jouis à deux reprises avant qu'ils ne nous laissent en paix.

Sheryl n'avait pas joui.

Ils nous mirent à genoux cote à cote, et ils entreprirent de nous baiser en bouche, échangeant fréquemment leur place.

C'était très pénible pour Sheryl, elle ne parvenait pas à leur prodiguer de gorges-profondes, elle étouffait, crachotait, et pleurait, il était évident que leur plaisir en était décuplé.

Monsieur Taylor se vida les burnes dans ma bouche, j'avalais tout avec facilité. Le concierge résista plus longuement et jouit à son tour dans la bouche de Sheryl.

Elle parvint à reculer la tête et la plus grande part de ses jets spermati-ques explosèrent sur son visage.

Il leva la main pour la gifler, mais monsieur Taylor l'arrêta. Il se recula affichant un sourire démoniaque éclairant son visage. Puis monsieur Taylor m'enjoignit de lécher le foutre couvrant son visage.

Je me tournais pour lui faire face lui tint gentiment la tête, et entreprit de lui nettoyer la figure de la langue. Je léchais même les grosses gouttes qui avaient giclé sur ses miches.

Elle se contentait de pleurer misérablement.

Ils nous intimèrent finalement de nous rhabiller. Je fus prête en un ins-tant, puis j'aidais Sheryl.

Elle était désolée, elle ne parvenait à retrouver ni son soutien-gorge ni sa petite culotte, ils dirent alors qu'elle n'en aurait plus nul besoin, qu'elle se promènerait cul nu désormais.

Je parvins finalement à la rhabiller décemment avant qu'on ne m'or-donne de l'escorter dans la petite salle de bain de monsieur Taylor pour l'aider à se nettoyer tout en l'amenant à reprendre ses esprits et à se calmer.

Elle commença par me repousser, comme si j'étais de leur coté. Puis je la lâchais et la laissais pleurer tout son saoul. J'aurai voulu lui dire que tout allait bien, mais je ne savais pas comment elle s'était retrouvée à se faire violer dans ce bureau, ni comment cela s'était passé.

J'essayais de lui dire que je savais ce qu'elle avait enduré, que moi aussi j'avais été violée contre ma volonté.

Je lui fis un court résumé de mon histoire, je souhaitais seulement que cela lui rendit la situation moins pénible.

Mais elle ne me répondit pas un mot.

Finalement, elle se laissa nettoyer et rafraîchit son maquillage.

Je retournais dans le bureau de monsieur Taylor, je n'étais pas bien fraî-che, mais j'avais fait de mon mieux en de telles circonstances. La mati-née avait été rude.; monsieur Taylor me fit signe de quitter son bureau je vis avec plaisir qu'il semblait très nerveux. Sapristi ce n'était pas une honte qu'il soit ainsi troublé.

En sortant de son bureau je jetais un oeil sur son horloge et constatais avec surprise qu'il était plus de 14 heures... Et je n'avais pas encore tra-vaillé sur mon ordinateur!

Je gagnais ma stalle et m'assit pendant un long moment sans même mettre en route mon ordinateur. Finalement je me calmais et entamais ma journée de travail bien que je ne sois pas réellement productive. J'étais surprise de ne pas avoir eu de nouvelles des gars de la message-rie, c'était la seule chose de bien, qui m'était arrivée ce jour là.

Puisque je n'avais pas reçu l'ordre de travailler tard, j'éteignais mon ordi-nateur et quittais le bureau à 16 heures. Je gagnais mon arrêt de bus que je pris sans aucun problème.

Personne ne me molesta dans ce premier bus.

Mais lorsque j'en descendis pour prendre ma correspondance, alors que j'attendais son arrivée à l'arrêt les trois jeunes gars qui m'avaient ru-doyée le premier jour arrivèrent. Les trois gars que le chauffeur de bus avaient viré du car lorsqu'il avait vu dans son rétro, ce qu'ils me fai-saient.

Je cherchais à me cacher derrière un colosse qui lisait son journal. Mais ils me virent quand même.

L'instant d'après ils m'encerclaient et leur chef me précisait à quel point il avait apprécié ma compagnie.

Il nota mes nouveaux ornements et tendit la main pour jouer avec.

Je ne pouvais espérer leur échapper qu'en montant dans le bus, mais à son arrivée un des jeunes m'invita :

- Allez ma petite chérie, tu vas t'asseoir avec nous...

Je ne pouvais que leur obéir, je ne pouvais rien faire d'autre. Je le lais-sais me traîner à travers le bus à moitié rempli et nous nous sommes assis sur la banquette arrière.

Il me prit sur ses genoux, ce qui fit remonter ma jupe sur mes cuisses dénudant ma foufoune.

Ses copains remarquèrent mon autre piercing et le désignèrent du doigt.

- Quelles salope! S'exclama-t-il.

- Ma chérie j'ai envie de te baiser, tout comme mes copains...

- Je ne pus que soupirer un misérable

- Oui...

Ils n'avaient pas pensé que ce serait aussi facile, leur babil excité en était l'évidence. Je restais assise sur les genoux du gars alors que tous trois ils baladaient leurs mains sur mes charmes à peine cachés. Ils étaient frustes et ils me faisaient mal.

Lorsque nous sommes arrivés à leur arrêt de bus, un arrêt avant le mien, ils me firent descendre sans que je leur résiste, ils m'entraînèrent alors au travers des rues vers une maison qui était sombre et tranquille.

L'un d'eux déverrouilla la porte et me montèrent immédiatement dans une chambre de jeune homme, la seconde d'après je me retrouvais à poil.

Ils restèrent longuement autour de moi palpant mes charmes de leurs mains avides. Ils inspectaient mes charmes comme s'ils n'avaient jamais disposé d'une femme nue auparavant. Je suppose d'ailleurs que c'était le cas. Ils ne volaient même pas savoir pourquoi je les avais suivis et je leur obéissais au doigt et à l'œil, ils s'en foutaient totalement.

Fatigué d'attendre, leur chef me fit agenouiller. Je lui prodiguais une somptueuse pipe et bien sur, il gicla rapidement sur mes amygdales, je fis ensuite de même avec ses deux copains.

Puis ils me baisèrent à tour de rôle sur le lit, profitant de l'absence de leurs parents.

Ils me baisèrent tous encore et encore, cela dura assez longtemps fina-lement. Ils profitaient de leur pouvoir à pleines bites, et possédait un bon pouvoir de récupération. Lorsque j'eus fini de baiser avec le troisième d'entre eux, le premier était déjà prêt pour que lui refasse une bonne pipe.

Alors que je le suçais une fois de plus les autres me prirent par derrière. Lorsque j'eus fini de sucer le troisième ils me dirent :

- Bordel, il faut qu'elle nous quitte avant le retour de papa!

Je me suis habillée précipitamment, et j'ai gagné mon domicile à quel-ques rues de là. J'en avais soupé du bus pour aujourd'hui.

Bien que je sois très en retard, Dave n'était pas encore rentré. Je pris une douche puis préparais le souper.

Nous avons mangé dehors, et après souper nous avons attendu le coup de téléphone qui je le savais ne devait pas tarder. Nous sommes sortis, cette fois nous étions autorisés à utiliser la grille de derrière.

Roy et Anne, assis autour de la piscine nous attendait en compagnie de plusieurs hommes. Je fus invitée à me pencher sur une table robuste face à eux et je dus leur raconter ma journée.

Ca avait été une longue journée elle était longue à raconter.

Il était évident que tous les hommes trouvaient ce récit très excitant. Ils se succédèrent dans ma chatte et mon cul tandis que je leur narrais en détail tout ce qui m'était arrivé ce jour même.

J'étais face à Anne et il était évident qu'elle adorait m'entendre raconter chaque détail. La tête de Dave se trouvait sous sa jupe ce qui avait pour effet de parfois détourner son attention.

Il se passa une bonne heure avant que mon récit terminé je fus autorisée à m'agenouiller pour sucer tous les hommes présents.

Finalement nous sommes rentrés à la maison, nous avons pris une dou-che et sommes allés coucher, je pleurais longuement avant de m'endormir. Je me demandais si la drogue me laisserait la possibilité de me suicider. Je ne voyais pas pourquoi pas.

Nous nous préparions à partir au boulot le lendemain matin lorsque l'on frappa à la porte.

- Oh merde! Pensais-je affoler

- Je ne veux pas reprendre le bus aujourd'hui!

Je gagnais la porte toujours nue et l'ouvrit.

Deux hommes en costume se trouvaient sur le seuil, l'un d'eux précisa :

- Bonjour madame, je m'appelle Gary Owens, je suis inspecteur de police, puis-je entrer?

Soudain consciente de ma nudité, je m'excusais de les abandonner 5 minutes et partais dans la chambre enfiler une robe.

J'enfilais ma robe et entraînais Dave dans la salle de séjour.

Nous nous sommes assis et un des détectives a commencé :

- Vos voisins les plus proches vous-ont-ils drogués annihilant votre volonté?

Nous nous sommes regardé dans les yeux. On nous avait ordonné de ne pas répondre à cette question, mais je voyais à l'expression de leur visage qu'ils étaient au courant.

Ils nous tendirent à chacun une petite fiole contenant un liquide clair et nous ordonnèrent de la vider. Nous avons obtempéré. Je ne me sentais pas vraiment différente.

Je priais pour que ce soit l'antidote, et pourtant je ne me sentais pas vraiment différente.

L'inspecteur reposa sa question :

- Vos voisins les plus proches vous-ont-ils drogués?

Nous répondîmes à l'unisson :

- OUIIII!

La drogue ne faisait plus effet, nous avions retrouvé notre libre arbitre!

Dave prévint nos employeurs que nous étions malades.

Nous avons accompagné les deux inspecteurs au poste de police, nous avons discuté avec eux toute la journée, leur donnant des détails sca-breux et forts gênants.

Ils détenaient déjà pas mal de DVD et de films et une série d'enregis-trements personnels de Roy.

Ils nous racontèrent que l'un des associés de Roy ayant constaté l'effet de la drogue sur Dave et moi avait drogué sa femme et sa fille et avait fait de sa femme une prostituée et de sa fille sa concubine. Cependant il avait négligé de leur ordonner de ne raconter à personne ce qu'elles vi-vaient ou de demander de l'aide.

Ils nous ramenèrent chez nous, et pour la première fois depuis de lon-gues semaines nous nous sommes sentis libres.

Dave s'empara d'un revolver qu'il braqua sur quelques importuns les jours suivants.

Mais rapidement les gens qui avaient abusé de nous comprirent que nous n'étions plus disponibles.

Dave retourna travailler le lendemain.

Quant à moi je voulais quitter mon emploi et me rendais à la boite pour toucher mon salaire du mois.

La première chose que je remarquais fut que monsieur Jefferson avait été remplacé. J'allais jusqu'à son bureau et frappais à la porte et de-mandais à voir monsieur Jefferson.

La femme assise à son bureau me prévint que monsieur Jefferson avait été licencié puis elle me demanda :

- Est ce vous Donna?

Je hochais la tête, et elle s'excusa au nom de la firme pour ce que j'avais subi.

Je la regardais avec curiosité, elle m'expliqua alors que Sheryl avait dé-chaîné un véritable ouragan sur l'entreprise en rapportant que monsieur Taylor l'avait violée l'avant-veille.

Monsieur Taylor et le concierge étaient tous deux sous les barreaux, monsieur Jefferson et les eux préposés de la messagerie les rejoin-draient dès que je donnerai mon témoignage.

Je soupirais et refermais la porte avant de m'asseoir pour lui expliquer ce qui m'était arrivé et pourquoi, de fait ils ne m'avaient pas réellement violé mais qu'ils avaient surtout profité de mon état de faiblesse.

Ils avaient abusé de moi en constatant que j'étais incapable de refuser quoi que ce soit à qui que ce soit!

Elle semblait désolée d'entendre mon témoignage et me prévint que de toutes façons ils sont virés et inculpés et que la compagnie aimerait m'indemniser pour tout ce que j'avais subi.

Je souris, je savais ce qu'elle pensait. On lui avait probablement dit de s'assurer que je ne porterai pas plainte contre eux.

Je lui dis de cesser de se tracasser, je ne porterai pas plainte contre eux, que je voulais juste percevoir mon dernier salaire avant de rentrer chez moi, et que je ne comptais jamais revenir dans cette boite.

Elle hocha la tête et précisa :

- Attendez-moi ici, je vous ramène votre paye dans cinq minutes.

Puis d'une voix sincère elle poursuivit :

- Je suis vraiment désolée pour tout ce que vous avez subi, ça a du être horrible! Je sais bien que la compagnie ne peut pas être considérée comme responsable, mais nous nous sentons tous très mal... Nous aurions aimé vous conserver dans nos effectifs si vous pensiez pouvoir continuer à travailler pour nous. Vous étiez une excellente collaboratrice!

Je lui rétorquais que je ne doutais pas de ses bons sentiments, mais que les conditions de travail dans leurs bureaux n'étaient pas humaines et que j'avais décidé de les quitter i l y avait déjà quelque temps.

Elle jeta un oeil par la fenêtre et se contenta de hocher la tête.

Une femme arriva tout de suite, et me tendit une liasse d'imprimés, puis je signais un reçu pour mon dernier salaire, je ne le regardais même pas avant qu'elle ne me quitte, puis j'appelais le nouveau superviseur pour lui signaler qu'il y avait erreur.

Le chèque représentait un salaire d'un semestre.

Elle me rétorqua :

- Non... Ce n'est pas une erreur... Je leur ai dit de vous faire un chèque de cette somme pour que vous n'ayez pas à vous plaindre de nous! Je suis vraiment désolée pour tout ce que vous avez traversé... Si vous changez d'avis et que vous vouiez un jour re-prendre votre boulot, adressez-vous à moi, je serai très heureuse de vous réengager!

Je la remerciais vivement et regagnais mon bureau, j'emballais mes af-faires personnelles et reprenais le chemin de la maison.

Nous avons passé quelques soirées au calme avant de décoder si nous allions ou non revendre la maison. Mais nous avions investi tous nous avoirs dans cet achat et nous perdrions beaucoup d'argent en la reven-dant aussi rapidement. Aussi avons nous décidé de la garder!

Roy et Anne avaient signé un bail pour leur maison aussi personne ne nous ennuya en s'installant à nos cotés.

Une chose marrante se passa pourtant. Je continuais à passer la plupart de mon temps dans la maison entièrement nue, ainsi que Dave d'ail-leurs.

Le samedi suivant nous étions assis le long de la piscine lorsque les deux jeunes qu'Anne avait engagés pour tailler notre pelouse se pointè-rent. Je les avais totalement oubliés.

Ils ne savaient rien des changements survenus. Je ne sais pas pourquoi, mais je fis exactement comme le samedi précédent. Ils tondirent la pelouse et je couchais avec eux jusqu'à ce qu'ils soient entièrement satisfaits. Puis je payais leurs services avant qu'ils ne partent.

A peine avaient-ils franchi la grille d'entrée que Dave sortit de la maison et me donna un verre puis il s'assit à mon coté affichant un large sourire. Je lui souris en retour et haussais les épaules.

Je ne m'étais pas non plus débarrassée de mes tenues de pote, je ne les avais pas remises depuis que j'avais pris l'antidote, mais je les gardais, on ne sait jamais, quelque fois que je doive reprendre le bus un de ces jours!

Nous avons eu recours à un professionnel pour nettoyer la maison.

Nous avions cherché de nous même à dénicher les caméras et les mi-cros, mais nous avions échoué. Nous avons donc loué les services d'un type qui vint muni d'un détecteur et une bonne expérience de ce genre de boulot, il trouva rapidement deux micros et deux caméras dans cha-que pièce, il en découvrit aussi dans le patio et dans le petit coin que Dave avait nettoyé dans la cave.

Il trouva un transmetteur à courte distance et nous avons conjoncturé que le récepteur devait se trouver de l'autre coté de la porte.

Nous avons rangé tout cet équipement dans un carton que nous avons remisé dans un coin de la cave, puis nous l'y avons oublié autant que possible.

A part en ce qui concerne la nudité, nous avons repris notre vie d'autre-fois, faire l'amour nous semblait bien meilleur maintenant. Je m'habillais parfois en pute pour faire plaisir à Dave.

Parfois, alors que Dave se trouvait à son travail, j'avais une irrésistible envie d'enfiler une micro jupe et un chemisier transparent pour faire une virée en bus.