Nouvel Horizon Ch. 04 - Fin

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Je suis dressé.
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/21/2022
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Je ne retiens que le soulagement, mais aussi la moue dubitative de Marie lorsque Claire lui suggère avec insistance qu’il me manque du volume au niveau de la poitrine. C’est une évidence, mais ma femme apprécie ce côté trouble dans ma silhouette. Le corset est vraiment réussi pour ainsi marquer une taille qui n’existe pas et qui rend ma démarche et mon apparence si féminine. Elle fait remarquer qu’il me manque maintenant un sac, et quelques bagues pour compléter le tableau. Je vois Claire approuver, un petit sac avec une longue chaîne en métal. Pour la bague, une bague d’O s’impose. Claire lui confirme comme les hommes se retournent sur moi maintenant, ce qui fait rire Claire. J’apprends alors que Vincent est plus intéressé par les hommes, et en particulier les hétéros à convertir en lope soumise comme moi et à pervertir profondément.

Les deux femmes s’embrassent avec passion et s’enferment dans la chambre pendant que je range toutes les affaires, ne sachant que penser. Mes pensées sont comme bloquées, je n’ai rien de cohérent à exprimer. Je dois juste réaliser que je suis bien et que je ne pense qu’à Marie. Elle remplit chaque seconde de ma vie, mais je sais bien que ce n’est pas aussi fort de son côté. Même si elle me rassure aussi souvent que possible, je fais tout mon possible pour la combler.

Le lendemain matin, tandis que je rentre dans la chambre de ma femme pour lui servir le petit déjeuner en tenue de soubrette comme je dois le faire dorénavant, j’ai la surprise de la trouver seule, le regard brillant. Elle me fait approcher, comme à son habitude elle se soulage dans ma bouche, puis maintient ma bouche contre elle, je la lèche doucement, tendrement, avec application. Je suis au paradis. Je l’entends s’exciter de tous les tourments que je subis comme cela lui plaît, que je ne jouirai plus jamais, et ne serai plus jamais un homme mais sa femelle, que je suis tout à elle et qu’elle veut me voir encore plus m’avilir et ramper à ses pieds. Son orgasme est dévastateur, je l’entends crier pendant près d’une minute, avant de s’affaler sur le lit. Je reste à genoux à ses pieds, baisant sa main qui pend sur le côté. Elle me manque tellement.

« Ma petite chienne, tu es merveilleuse et tu me combles. Samedi je pars avec Claire et Vincent à Cannes dans leur maison pour trois semaines. Nous avons prévu une fête non-stop et nous irons même trois jours au cap d’Agde pour une orgie je l’espère! Je t’enverrai des photos comme cela tu sauras tout ce que je fais. Toi tu as perdu le droit de me baiser, tu es ma femelle, ma chienne toute dévouée et j’adore voir l’adoration dans tes yeux. Notre couple n’a jamais été aussi heureux tu ne trouves pas?

Toi tu pars en stage pendant ce temps-là dans le château dont je t’avais parlé. C’est un couple qui propose ainsi des périodes de dressage pour les chiennes comme toi. Je veux que tu sois parfaitement obéissante et que tu penses à moi tout le temps et fasse tout ce qui t’est demandé. Rassure-toi, j’ai rempli un questionnaire avec ce que j’attends et désire de toi. Tu y passeras une semaine de plus que moi, soit 4 semaines avant de me retrouver j’espère encore plus en dévotion et soumise.

Oui c’est long 4 semaines, mais je veux que tu sois heureuse de pouvoir être prête pour ce que je veux de toi. Je t’aime plus que tout! »

J’avais espéré que ce projet était tombé à l’eau. Quatre semaines sans Marie, aux mains de Maître et Maîtresse, je craignais le pire. Et comme le couple au château étaient des amis de Claire je craignais le pire comme dressage.

Je ne me trompais ni d’un côté ni de l’autre. Pendant les trois premières semaines de ‘stage’ je reçu quotidiennement des photos de ma femme et de ses folles vacances. Je ne l’avais jamais vue si radieuse et si heureuse je dois l’admettre. Chaque jour j’étais fébrile de la voir, un petit rayon de soleil dans mon dressage. Même si chaque image, et parfois vidéo, était un coup de poignard au ventre. Les photos de sexe étaient souvent excitantes, Marie étant très sensuelle et se gavant de sexes ou de chattes de toutes les façons. Mais ce qui était bien plus destructeur c’étaient les photos quotidiennes avec un très bel homme qui revenaient sans cesse, et dans des attitudes très tendres et très proches.

Les mots de Claire qui accompagnaient les photos ne laissaient place à aucun doute. Ma femme vivait une idylle amoureuse avec ce Marc, un riche homme d’affaires, et le bateau somptueux que je voyais parfois était le sien. Rien que cela! Et Claire de souligner comme Marie était heureuse et éclatée et qu’elle n’avait pas le temps de m’écrire. Je pleurais alors tout seul, juste un sentiment d’abandon, me raccrochant à notre discussion avant d’arriver dans l’enfer où j’étais. Tout ceci était de ma faute, et Marie avait bien raison de me mépriser et de me remplacer. Et puis elle m’avait clairement expliqué que plus jamais je ne banderai ni ne prendrai de plaisir, j’étais à ma place. Et quelle place!

La torture psychologique de ces envois quotidiens venait compléter la torture physique que je subissais de façon dense au château. Nous étions trois, et je subissais le stage avec deux femmes, l’une très jeune, l’autre la trentaine comme moi. La première semaine avait pour objectif avoué de nous briser. Nous étions aux mains de deux hommes et deux femmes au sadisme et à la perversion évidents. Les tortures étaient appliquées en permanence, sans jamais avoir de plage de repos pour dormir ou simplement récupérer. Ainsi je pouvais m’assoupir tandis que j’étais suspendu par les bras et les couilles étirées par des poids déments. Réveillé régulièrement par le fouet pour que je ne prenne pas de repos.

Voir les deux autres femmes torturées tout aussi violemment renforçait la terreur ressentie, ayant le sentiment que jamais je ne pourrais subir ce qu’elles subissaient. Mais je n’étais pas traité différemment et je découvris à quel point un corps peut être résistant et à quel point il est possible de souffrir indéfiniment. Brisés, nous l’étions sans aucun doute et je lisais dans les yeux des deux autres esclaves la même terreur que celle que je ressentais. Nous étions prêts pour la seconde semaine qui était celle de l’obéissance et du dressage proprement dit.

La semaine n’était pas de tout repos, mais au moins nous pouvions dormir, manger quelque chose enfin même si c’était immonde et dans une gamelle. Les tortures n’occupaient plus que la moitié du planning, l’autre étant l’apprentissage d’une obéissance absolue. Nous apprenions ainsi à réagir à quelques signes, pour se mettre à genoux, pour venir à quatre pattes, pour prendre une position d’attente, pour faire nos besoins sur ordre, mais surtout pour servir parfaitement. J’ignorais qu’il était si complexe de faire un service à table parfait, et je l’appris dans la douleur. Comme de faire un ménage à fond à chaque fois, de repasser parfaitement. Nous étions très concentrés pour satisfaire nos tortionnaires et j’étais sans doute le plus mauvais des trois dans ces taches, et fus souvent puni devant les yeux horrifiés des deux femelles esclaves. Leur motivation n’en était que plus forte.

Après deux semaines, nous étions totalement fébriles, obéissants et terrorisés. En ce qui me concerne les seules pensées que j’avais c’était quand je recevais les envois quotidiens de ma femme, rayon de bonheur dans cette souffrance continue. Mais je ne pensais ni résister, ni me plaindre, mais juste suivre, survivre et obéir. Chaque fois que je regardais les photos, je ne pouvais empêcher une érection, ma femme était mon seul horizon.

La troisième semaine était consacrée aux traitements personnels, donc différenciés entre nous trois. Nous ne nous vîmes pas de toute la semaine, mais je les entendais pendant les longues périodes de torture qui ne cessaient jamais. C’est bizarre de le dire, mais nous nous y étions habitués, c’était comme cela, une offrande sans cesse répétée. Les tortures étaient au fond répétitives, au bout de trois semaines nous avions eu le temps d’expérimenter bien des choses. Ceci étant il ne faut pas s’y tromper, il suffit de faire varier l’intensité ou la durée pour que l’habitude n’aide pas à être brisé un peu plus.

Ces traitements personnels avaient été programmés par nos Maîtresses respectives. Pour ma part j’appris à ce moment-là que j’allais porter une cage de chasteté fermée définitivement, sans clé et sans autre possibilité de l’ouvrir que de la couper à la meule. A moi de ne pas avoir besoin de l’enlever. Je revoyais l’éclat dans le regard de ma femme, cette excitation infinie qu’elle a quand elle me dit que plus jamais je ne la baiserai ni même n’aurai de plaisir. Effectivement elle est allée jusqu’au bout. Le collier est lui aussi remplacé par un collier permanent. J’aurais tant aimé que ce soit Marie qui le ferme elle-même!

Ensuite je vais avoir droit à un branding de ses initiales stylisées, un sur chaque cuisse, d’une vingtaine de centimètre de diamètre. Pour que la marque ne s’estompe pas, elle sera recouverte de sel pendant quelques jours, puis brûlée à l’acide deux fois par jour pour les deux semaines restantes. J’en tremble de peur mais je dois bien avouer que la souffrance est somme toute assez restreinte. Et je jouis de voir ces marques ainsi que les tatouages qui me sont appliqués.

Derrière l’oreille un petit château pour marquer mon passage dans ce centre de dressage. Nous aurons tous les trois cette marque, comme les esclaves qui sont passés par ici. Sur mon pubis des ailes où sont marqués propriété de Marie, et sur mon torse une dame de pique à l’effigie de ma femme et écrit de façon explicite, esclave de Marie.

Enfin mes tétons sont élargis et des cadenas insérés dans les trous. La souffrance sur les tétons est un vrai aphrodisiaque pour moi, j’en suis assez humilié mais chaque fois je tente de bander et du coup je me punis avec les pointes de ma nouvelle cage qui sont situées à plusieurs endroits pour bien me blesser. Il paraît que je n’en ai plus que pour quelques semaines avant de ne plus jamais pouvoir bander!

Cette semaine est somme toute reposante, nous avons droit de dormir sur des lits, sans entraves, les tortures certes permanentes sont elles aussi plus light. Quand nous nous retrouvons dans l’étable où nous reprenons nos quartiers, nous nous observons tous les trois, pour savoir comment les autres ont été marqués. Les deux femmes se regardent presque en miroir. La seule différence est que la plus âgée porte un cerclage à la base des seins, qui les comprime en permanence et les projette en avant. C’est follement érotique. Je ne sais si c’est douloureux, l’effet est fort. Mais ce n’est qu’un détail par rapport à l’impression que les deux femmes dégagent maintenant.

Elles ont été rasées, ou plutôt épilées à l’électrolyse sur la tête et les sourcils, leur donnant un air étrange. Le crane a été tatoué de très gros chiffres, 3 pour la plus âgée, 4 pour la jeune. J’imagine que leur Maîtresse a déjà deux autres esclaves. Quel appétit! La cloison nasale est traversée d’un épais anneau de 5 ou -- mm d’épaisseur qui descend jusqu’à leur lèvre inférieure. Je ne comprendrai que plus tard que cela ne les dérangera pas trop puisque l’anneau dégage la bouche quand elles mangent dans leur gamelle.

Les tétons sont percés des mêmes cadenas que moi, mais l’impression est bien plus excitante avec leurs épais tétons. En descendant, je retrouve leur numéro sur le pubis, qui leur servira dorénavant de nom. Le sexe est fermé par une dizaine de piercing et un cadenas traversant tous les anneaux, tirant les lèvres vers le bas. L’impression globale me terrifie, à la fois hyper sexuelle mais aussi déshumanisée. Comme si toute leur personnalité avait été retirée. J’en tremble d’effroi. J’apprendrai plus tard qu’une partie de leur clitoris a été brulé pour qu’elles ne puissent plus jouir ou alors très difficilement, mais soient toujours aussi excitées.

Je pensais que la dernière semaine du ‘stage’ serait consacrée au repos et à la remise en forme. Ce ne fut que le dernier jour. Nous sommes entrés dans une phase décrite comme une phase de punition. Non que nous avions fait quoi que ce soit de mal, comment cela aurait-il été possible? Mais l’objectif était d’offrir à nos Maîtresse la promesse terrifiante de nous renvoyer au château en cas de mauvais service ou de service insuffisant.

Nous étions torturés, le mot est faible, tous les trois ensembles dans la grande pièce du château : l’objectif était à la fois de nous terrifier par ce que nous subissions et aussi de ce que les autres subissaient. Impossible de tenir le compte de ce que nous avons pu endurer sur nos corps déjà bien meurtris. Je plaignais tellement mes deux co-stagiaires : leurs seins et sexe prenaient tellement de torture, cela était inimaginable. Mon sexe à moi était relativement protégé par sa cage, mais relativement quand même. Je dus subir des sondes profondes, de plus en plus épaisses, certaines couvertes de papier de verre et mettant tout mon urètre en sang, avant que ne soit injecté de l’alcool pour aviver la souffrance.

Le plus difficile était que non seulement nous ne pouvions jamais dormir vraiment, nous tombions malgré les souffrances endurées dans un sommeil agité, mais de ne plus avoir aucune nouvelle de Marie ma femme. Je n’avais pas le temps ni la possibilité d’avoir une pensée cohérente, je me sentais simplement abandonné et c’était la pire des punitions. Pas un instant je ne trouvais cela monstrueux ou injuste, je subissais sans réfléchir, sans rien penser, là était ma vie. La simple vue de mes 4 tortionnaires nous plongeait dans des tremblements de peur incontrôlables.

Même les pires choses ont une fin, et je fus ramené chez moi par un de mes bourreaux. Il me laissa sur le paillasson à genoux à attendre sans bouger. Je me sentais soulagé d’avoir quitté cet enfer, stressé de retrouver ma femme et bizarrement perdu de me sentir libre ou presque. Lorsque la porte s’ouvre enfin, je me sens comme aspiré par la vision de ma femme, mon cœur s’emballe, je manque défaillir. Mon sexe se gonfle de sang et donc de souffrance, mais peu importe, je me sens transporté. Elle me regarde en souriant, je dois la suivre. Sans réfléchir ni hésiter je la suis à 4 pattes sans un mot.

Elle s’installe dans le canapé, me fait montrer mes tatouages, regarde la cage, le collier, mes piercings, sans réel commentaire. Je ne dis pas un mot dressé maintenant à la parfaite obéissance. Enfin elle avance le bassin, soulève sa robe, m’ordonne de la lécher doucement. Interdiction de la faire jouir avant qu’elle ne m’en donne l’ordre. Son sexe est doux, tendre, il m’a tellement manqué. Je ne sais ce qui m’attend, je suis au paradis. Concentré à lui donner du plaisir mais pas trop et aussi à l’écouter attentivement.

« C’est fou quand je te regarde, comme notre vie à changer en quelques mois!

J’avais un mari et maintenant j’ai un bel esclave dressé et obéissant.

C’est merveilleux moi qui n’avait aucune idée de tous les plaisirs que cela pouvait me donner.

Mais ce n’est pas tout à fait vrai, j’ai toujours un mari, et tu seras toujours mon mari.

Mmmhhh cela te fait plaisir je le sens.

Je t’aime plus que tu ne l’imagines. Et si toute cette histoire est allée aussi loin c’est que je n’ai cessé de vouloir voir jusqu’où tu irais.

Je ne suis pas dupe, au début c’était pour ton plaisir, mais j’ai bien vu ton regard changer, ton attitude vis-à-vis de moi avec un amour et une dévotion que je ne connaissais pas encore. Et aujourd’hui une dépendance de chaque instant. Tu ne vis plus que pour moi n’est-ce pas mon chéri?

Ce n’est pas une question, nous savons tous les deux que c’est le cas.

Tu peux être rassuré, je t’aime et je dois avouer que je t’aime encore plus ainsi.

Je n’imagine même pas comment je pouvais t’aimer avant. C’est comme si enfin les choses s’étaient mises en place alors que je ne m’en rendais pas compte.

Mais si tu restes mon mari tu es avant tout mon esclave, et bien dressé à ce que j’ai senti tout de suite en te voyant. Tu as su contrôler tes émotions et je t’ai senti pleinement te remplir de moi.

Inutile de te dire que je ne veux pas que cela change, même si je vais adapter un peu tes contraintes à mon plaisir. Tu sais que le château est toujours là pour t’accueillir si tu devais perdre un peu de ton dressage? J’ai appris qu’ils prenaient des esclaves pour des durées très longues afin de former Maîtres et Maîtresses. Je serais triste et déçue, mais je sais que cela n’arrivera pas. Je te sens si appliqué.

Voilà continue doucement, c’est très bon pour ta Maîtresse.

Ah oui, nous y voilà, c’est maintenant moi ta Maîtresse, Claire et son mari sont hors jeu, je vais t’expliquer mon petit esclave.

J’ai été sidérée lors de notre première rencontre comme tu t’es laissé faire et diriger par eux. Où était le male alpha que je croyais avoir épousé? J’étais amusée par leurs avances qui étaient vraiment directes, et je me suis demandé ce qui t’arrivait. J’étais aussi en pleine période de frustration sexuelle, j’en avais marre de me faire plaisir toute seule alors que tu me délaissais. Pour une fois, je me suis dit, pourquoi pas?

Le week-end avec Claire était une double révélation. D’abord le plaisir lesbien que je n’avais jamais vraiment essayé et ave Claire cela a été un truc de dingue. Je dois t’avouer que j’ai eu plus de mal les fois suivantes mais la première fois a été incroyable. Sans doute étais-je ultra chauffée et l’excitation de l’interdit. Enfin j’adore cela, c’est surtout que j’ai connu les plus dingues de mes orgasmes, rien à voir avec ce que tu me donnais! Oui maintenant on peut se le dire, tu es un piètre amant même si tu as une belle queue, rendue inutile. Tu ne mérites pas de t’en servir. Mmmhhh cette idée me plaît tellement, c’est en sachant que tu ne jouiras plus que j’ai eu mes plus gros orgasmes. Cela aussi cela m’a éclairé mais cette fois sur moi! Si j’ai découvert que tu aimais la soumission, et que tu en avais besoin, réciproquement j’ai découvert que j’adorais le contrôle et la domination.

Bien plus soft que ce que tu as pu vivre au château, quoique, je dois avouer que bien des vidéos que j’ai vues de toi m’ont faites jouir comme une folle.

Après je me suis laissée porter par Vincent mais surtout Claire. Tu sais que Vincent est son soumis? Ah non sans doute pas, mais tout ce qu’il a toujours fait c’est pour lui obéir! Bref te voir tomber aussi bas, aussi vite m’a fascinée. D’un certain côté je me suis sentie trompée et du coup je n’ai pas hésité à te laisser t’enfoncer dans cette relation perverse. Mais d’un autre côté j’ai réalisé que ce que j’aimais en toi ce n’était pas ton côté male Alpha, mais surtout ta sensibilité et ton amour pour moi. Et que je déteste les male Alpha. Marre que les mecs imposent leur vue, je me suis découverte une louve Alphe et je crois que tu n’as rien vu et que tu vas apprécier.

Avec Claire je crois que j’ai vécu ce que j’aurais aimé vivre à mon adolescence, baiser sans compter dans tous les sens. Je n’ai aps été très honnête avec elle, je sais bien qu’elle est tombée amoureuse dès le premier jour. Elle était prête à se séparer de Vincent et de toi pour venir vivre avec moi! Tant que cela m’arrangeait j’ai laissé faire.

Pour me convaincre elle m’a expliqué qu’en fait tout venait de toi, que tu avais ces pulsions en toi et que tu étais un être minable. Elle m’aurait dit cela le premier jour, j’aurais été choquée. Mais là je trouvais cela tout à fait cohérent avec ce que je voyais et vivais. Tu avais cela en toi, et tu avais su, inconsciemment que j’avais la domination en moi. Notre couple ne s’était simplement pas encore épanoui complètement. Par contre j’ai été déçue de la démarche de Claire. Qu’elle ne comprenne pas que je t’aime plus que tout, et toi seul.

Du coup j’ai rompu les relations, tu ne les verras plus. Rassure toi j’ai rencontré plein de nouvelles personnes passionnantes dont beaucoup vivent une relation comme nous, sans doute moins extrême, mais nous avons tous deux toujours aimé aller au bout des choses.

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